Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale (RMFVVC)

Après avoir offert plus de 2 390 séances d’interprétation en 37 langues pour des femmes allophones victimes de violence conjugale, ce programme d'interprétariat EST EN PÉRIL. Après avoir financé pendant 4 ans ce programme qui a prouvé son efficacité et son absolue nécessité, ce gouvernement laisse planer le doute, encore une fois, sur son avenir après le 31 mars. C'est inacceptable ! « Avant que le projet d’interprétariat existe, les maisons finissaient par faire appel à des personnes de la communauté qui connaissaient la langue. Mais ça posait des problèmes de sécurité pour les femmes, car dans certaines petites communautés, les personnes qui faisaient l’interprétation connaissaient souvent le conjoint ou étaient dans le réseau de la femme. » - Louise Lafortune, Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale

Aujourd’hui, en cessant de financer les services de représentation de Rebâtir de Juripop, le gouvernement détruit un maillon essentiel du continuum de services, compromet l’accès des victimes à une justice adaptée à leur réalité particulièrement complexe et met en péril leurs droits. Nous réclamons le maintien de ces services et la mise sur pied d’une table de concertation avec le ministère de Simon Jolin-Barrette, la Commission des services juridiques et les groupes experts afin d’améliorer l’accès à la représentation juridique des victimes de violence conjugale. Notre Regroupement signe aujourd'hui une lettre ouverte collective aux côtés de L'Alliance des maisons d'hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale, la Fédération des maisons d'hébergement pour femmes, l'Association québécoise Plaidoyer-Victimes-aqpv, SOS Violence Conjugale, Sabrina Lemeltier, Cathy Allen et Danielle Mongeau. À lire ici : https://lnkd.in/euhsEGBF

📢 Employeurs, syndicats, responsables des ressources humaines : et si votre milieu de travail pouvait faire une différence ?      La violence conjugale affecte la santé et la sécurité non seulement des employées victimes, mais également de leurs collègues et de leur employeur. Les femmes immigrantes font face à une série d’obstacles complexes lorsqu’il s’agit de dénoncer une relation violente, de quitter leur partenaire violent et de demander de l’aide. Le milieu de travail peut s’avérer le seul endroit sécuritaire et soutenant pour ces femmes.      🔎 Apprenez à reconnaître les signes, à comprendre les réalités spécifiques et à agir adéquatement face à la violence conjugale en milieu de travail.      🗓 Conférence gratuite | 13 mars | 10 h - 11 h | En ligne  👉 Inscrivez-vous dès maintenant : https://lnkd.in/ezrXpwJj     💡 Nos conférences, formations et outils sont offerts gratuitement aux milieux de travail québécois. Découvrez comment vous impliquer : milieuxdetravailallies.com     

Nous sommes particulièrement inquiètes de la fin annoncée du service de représentation juridique offert par Rebâtir aux victimes de violence conjugale et de violence sexuelle. Les avocat.e.s spécialisé.e.s de Rebâtir ont soutenu près de 200 victimes en moins d'un an. Un service crucial dans des dossiers souvent complexes, pour lesquels il est très difficile de trouver des avocat.e.s à la fois bien formé.e.s et à des tarifs accessibles. Le même gouvernement qui dit avoir à coeur l'accès à la justice sabre aujourd'hui dans un pilier essentiel qu'il avait lui-même mis sur pied. Il est encore temps de revenir sur cette décision.

Les intervenantes font des petits miracles en maison, mais aussi à l'extérieur. Dans des rencontres à deux, ou dans des activités de groupe. Aujourd'hui, immersion dans une journée (pas si) typique d'une intervenante jeunesse en maison d'aide et d'hébergement. http://camhabite.ca

Nous avons le plaisir de vous dévoiler le premier très-court métrage d'une série de trois, intitulé BONNE NUIT LES AMOUREUX. Rien de tel que la fiction pour montrer ce qui se déroule derrière des portes closes. Apprenons à reconnaître les signes de contrôle coercitif. Ça peut sauver des vies. https://lnkd.in/eum8aHgu

Le 14 février, venez discuter avec nos trois invitées - Ingrid Falaise, Karine Barrette et Edith Quesnel - et découvrir une nouvelle vidéo de fiction sur le contrôle coercitif. Pour que l'amour ne soit jamais une prison. Inscriptions ici : https://lnkd.in/ea3DUbqp

À l'occasion de la Saint-Valentin, on a le goût de parler du contrôle coercitif, pour que l’amour ne soit jamais une prison. Le 14 février, on vous propose un midi-causerie en ligne, avec une surprise à la clé : un très-court métrage poignant sur le contrôle coercitif. Cet événement s'adresse à toute personne interpellée par la violence conjugale, dans sa vie personnelle ou professionnelle. Serez-vous des nôtres?

Dans le cadre du nouveau volet de notre programme "Milieux de travail alliés contre la violence conjugale", on vous partage notre offre de lancement : 🎯 services gratuits pour les 40 premières organisations (!) Pour en savoir plus sur l'accompagnement, les formations et les outils dont vous pourriez bénéficier, participez à une session d’information en ligne Mercredi 29 janvier 2025 de 11h à 12h → Inscriptions : https://lnkd.in/dA2_T99K

La confidentialité des maisons d'aide et d'hébergement cache trop souvent les petits miracles qui s'y passent. À quoi ressemble le quotidien des intervenantes qui y oeuvrent? Voici trois courts récits d'une journée (pas si) typique en maison. 1/3 http://camhabite.ca