🌟🤖 AI Spotlight Series 🤖🌟: Using AI power to prevent pests and protect food crops:
Amidst a growing global population and an urgent need for increased food production, crop diseases such as wheat rust spread further north and create an increasing threat to production. And while more than $85B is spent globally on crop protection, increasing the use of pesticides brings risks to the environment.
By applying computational biochemistry, genomics, machine learning (ML), computer vision and robotics, Terramera and their partners were able to develop new pest and pathogen controls to manage disease in field crops, minimize the use of pesticides, and secure export markets. Their work established the foundations of a computational biochemistry platform to facilitate digital data collection that enables computational models for developing new agricultural fungicidal formulations for wheat leaf rust, which is caused by fungal infections and attacks some of Canada’s most important crops, including wheat and barley.
Their work is protecting the world’s food supply and lessening impacts on the environment, with potential for the computing tools developed to be applicable in other fields outside of agriculture, including medicine, biotechnology, chemistry and computer science.
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Utiliser la puissance de l’IA pour lutter contre les organismes nuisibles et protéger les cultures vivrières.
Face à l’augmentation de la population mondiale et au besoin urgent d’accroître la production alimentaire, les maladies des cultures telles que la rouille brune du blé se propagent plus au nord et constituent une menace croissante pour la production. Alors que plus de 85 milliards de dollars sont dépensés dans le monde pour la protection des cultures, l’augmentation de l’utilisation des pesticides comporte des risques pour l’environnement.
Grâce à l’application de la biochimie computationnelle, de la génomique, de l’apprentissage automatique, de la vision artificielle et de la robotique, Terramera et ses partenaires ont pu mettre au point de nouveaux moyens de lutte contre les organismes nuisibles et les agents pathogènes afin de gérer les maladies dans les cultures de plein champ, de minimiser l’utilisation des pesticides et de sécuriser les marchés d’exportation. Ce travail a jeté les bases de la plateforme de biochimie computationnelle afin de faciliter la collecte de données numériques permettant d’élaborer des modèles computationnels pour le développement de nouvelles formulations fongicides agricoles contre la rouille brune du blé, qui est causée par une infection fongique et qui attaque certaines des cultures les plus importantes du Canada, dont le blé et l’orge. Leurs travaux protègent l’approvisionnement alimentaire mondial et réduisent l’impact sur l’environnement. Les outils informatiques mis au point pourraient être appliqués à d’autres domaines que l’agriculture, notamment la médecine, la biotechnologie, la chimie et l’informatique.