Quelles sont les idées fausses ou les pièges courants à éviter lorsque vous exécutez ou répondez à des arguments kritik?

1 Connaissez votre kritik

L’une des erreurs les plus courantes lors de la conduite d’une kritik est de s’appuyer sur des critiques génériques ou vagues qui ne s’engagent pas dans le contexte spécifique de la résolution, le cas de l’adversaire ou les attentes du juge. Un bon kritik devrait avoir un lien, un impact et une alternative clairs, et devrait expliquer comment et pourquoi ils l’emportent sur les avantages de l’affirmative. Une mauvaise kritik peut facilement être rejetée comme non pertinente, déroutante ou abusive.

2 Connaissez votre adversaire

Une autre erreur courante lors de l’exécution d’un kritik est d’ignorer ou de mal comprendre la position, les arguments ou le cadre de l’adversaire. Une kritik ne devrait pas être une approche unique, mais plutôt une réponse sur mesure qui expose les défauts ou les inconvénients du plaidoyer de l’adversaire. Un kritik doit également anticiper et aborder les contre-arguments possibles, tels que l’absence de lien, la permutation, le tournant d’impact ou la contestation du cadre. Un kritik qui ne le fait pas peut être facilement réfuté ou retourné.

3 Connaissez votre juge

Une troisième erreur courante lors de l’exécution d’un kritik est de supposer que le juge adhérera automatiquement à la perspective, à la méthodologie ou au langage du kritik. Un kritik ne devrait pas être une conférence, mais plutôt un dialogue qui engage le juge et le persuade d’adopter la vision du monde du kritik. Un kritik doit également être respectueux, accessible et cohérent, et doit éviter le jargon, les acronymes ou les théories complexes qui peuvent aliéner ou confondre le juge. Un kritik qui ne le fait pas peut être facilement ignoré ou rejeté.

4 Connaissez vos options

L’une des erreurs les plus courantes lors de la réponse à une kritik est de la concéder ou de la rejeter sans s’engager dans sa substance ou ses implications. Une kritik n’est pas une question mineure ou périphérique, mais plutôt une contestation fondamentale de la validité ou de l’opportunité de la thèse affirmative. Un kritik doit être pris au sérieux et faire l’objet d’une réponse stratégique et globale. Une kritik peut être répondue de plusieurs manières, comme nier le lien, l’emporter sur l’impact, défendre le cadre ou offrir une permutation.

5 Connaissez votre stratégie

Une autre erreur courante lors de la réponse à un kritik est de s’appuyer sur des arguments génériques ou défensifs qui ne traitent pas des revendications ou hypothèses spécifiques du kritik. Un kritik n’est pas un simple différend factuel ou logique, mais plutôt un conflit philosophique ou éthique qui nécessite une analyse nuancée et critique. Un kritik devrait être contesté selon ses propres termes et exposé comme imparfait, nuisible ou contradictoire. Une kritik devrait également être tournée ou compensée par les avantages ou les alternatives de l’affirmative.

6 Connaissez votre rôle

Une troisième erreur courante lorsque l’on répond à une crise est de perdre de vue la vue d’ensemble ou la charge de la preuve dans le débat. Un kritik n’est pas un argument autonome, mais plutôt une partie du cas et de la stratégie globale du négatif. Un kritik ne doit pas être traité comme un facteur isolé ou décisif, mais plutôt comme une composante du calcul de décision du juge. Une kritik devrait également être mise en balance avec le cas de l’affirmative et la résolution, et ne devrait pas être autorisée à déplacer ou à éluder les obligations négatives.

7 Voici ce qu’il faut prendre en compte

Il s’agit d’un espace pour partager des exemples, des histoires ou des idées qui ne correspondent à aucune des sections précédentes. Que voudriez-vous ajouter d’autre?