Almé

Almé

Fabrication de textiles

Du 36 au 54, Almé propose des pièces intemporelles et singulières, résolument modes et pleines d’allure.

À propos

1. Le sens de la féminité Chez Almé, nous développons un univers inspiré par l’âme de la femme française, élégante, audacieuse et exigeante. Du 36 au 54, notre ambition est d’offrir des pièces intemporelles et singulières, sans contraintes ni compromis. Nous voyons en Almé un manifeste: celui de rendre accessibles à toutes, quelles que soient leurs courbes, des silhouettes résolument modes et pleines d’allure. Au-delà d’un standard de la mode, nous célébrons toutes les femmes: les inspirées, les curieuses, les insouciantes, les timides, les sensibles, les battantes, les amoureuses, les engagées, les passionnées, les indépendantes… La femme Almé est avant tout moderne, vraie, héroïne de son propre quotidien. 2. Le sens du style Le style Almé Paris, ce sont des pièces au tombé parfait, dans un subtil mélange de transparence, de matières fluides, de coupes structurées et ajustées. Chaque création est dessinée puis testée sur de vraies femmes pour saisir leur ressenti et sculpter une silhouette idéale. Ode à la femme urbaine, chaque saison Almé conçoit des collections empreintes d’esthétisme et de confort, à la fois raffinées et décontractées, afin de vous proposer un vestiaire constitué de pièces originales et de basiques rehaussés de détails forts. Broderies, galons, pièces métalliques appliquées, découpes étudiées, comme autant de signatures de notre savoir-faire. 3. Le sens des valeurs Nos collections sont imaginées en France dans notre atelier, du premier croquis à la sélection des couleurs et des matières. Nous connaissons personnellement chacun de nos fournisseurs, avec qui nous avons noué des liens forts et pérennes basés sur le partage de mêmes valeurs: amour du tissu, exigence du travail bien fait, bienveillance et confiance mutuelle. Nous vendons en direct exclusivement sur notre e-boutique, sans intermédiaire de l’usine au consommateur afin de vous garantir un prix juste et une qualité irréprochable.

Secteur
Fabrication de textiles
Taille de l’entreprise
11-50 employés
Siège social
Paris
Type
Partenariat
Fondée en
2016

Lieux

Employés chez Almé

Nouvelles

  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    Revue de presse 🗞️ "Almé a choisi le chic VIIIe arrondissement pour se doter d'un premier salon dans la capitale, au 8 rue de la Boétie, au fond d'une cour d'un immeuble haussmannien. Il ouvrira début septembre et proposera donc une expérience shopping assez intime, puisque les consommatrices peuvent réserver gratuitement un créneau de trente minutes, seules ou entre amies." cc : Fashion Network ; Fashion Network Worldwide

    Almé se dote d'un premier salon parisien

    Almé se dote d'un premier salon parisien

    fr.fashionnetwork.com

  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    ⏳ Il y a sept ans, Emmanuelle et Larry ont fondé ALMÉ avec une vision claire : créer une marque pour toutes, valorisant chaque femme, peu importe sa morphologie. Aujourd'hui, nous annonçons notre nomination parmi les 30 meilleures entreprises de mode françaises en 2024 ! Cette réussite est le reflet de l'engagement et de la passion de notre équipe. Ensemble, nous avons surmonté des défis, innové et surtout, nous avons écouté et célébré les femmes qui nous inspirent. Ce succès n'est qu'un début. Nous sommes plus déterminés que jamais à continuer ce chemin. Merci de faire partie de cette aventure avec nous. #ALMÉ #FrenchFashion #Top30 #Empowerment cc : Emmanuelle S. ; Larry Szerer ; Antoine Pierre Versible eu

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    Nous sommes ravi·es de vous annoncer le lancement du tout nouveau podcast 🎙 « Faire Corps », une réalisation portée par Emmanuelle Szerer, fondatrice d’Almé. Ce podcast vise à démêler et démystifier le rapport au corps à travers des échanges francs et libérateurs. « Faire Corps » brise l'omerta qui entoure la relation au corps féminin en offrant un espace de parole où chacun·e s’exprime et se dévoile sans aucun jugement. Emmanuelle tend le micro à des femmes, et parfois à des hommes, pour comprendre et décrypter le cheminement individuel de ses invité·es et de leurs rapports au corps, faisant à écho à des expériences collectives qui peuvent résonner en chacun·e d’entre nous.  Un éventail de thèmes seront évoqués comme la maternité, l’alimentation, le désir, le rapport au sport, et bien d’autres encore ! Ensemble, nous partagerons des outils concrets pour s'accepter et embrasser notre corps tel qu'il est, pour se sentir moins seul·es, pour lâcher prise et se libérer des injonctions les plus pesantes.  Rejoignez-nous dans cette quête d'authenticité, d’acceptation et de bienveillance envers nous-mêmes et nos corps à partir du lundi 22 avril, une écoute disponible gratuitement sur toutes les plateformes.

  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    ♥️

    Voir le profil de Emmanuelle S., visuel

    🌈 Founder and Creative Director @Almé Paris 🙌🏻 Liberté Sororité Almé 😍 Nous célébrons tous les corps et sublimons les femmes du 36 au 54 🇫🇷Made in France, responsables et engagés

    🎙️Et si je lançais un podcast ? Cette idée me traverse l’esprit depuis des mois, voire des années. Des podcasts, j’en écoute beaucoup, vraiment beaucoup. Ils m’aident à me concentrer, m’évader, réfléchir, me divertir… Mais aucun ne m’a réellement aidé quand j’en avais le plus besoin, quand les changements de mon corps étaient un sujet, quand je me posais des tonnes de questions. Aujourd’hui avec Almé mon combat est de rendre la #mode vraiment inclusive, de normaliser les dites “grandes” tailles chez les marques, d’offrir de la confiance en soi aux femmes qui en manquent. J’ai envie de créer un podcast pour celles-ci, et pour toutes les autres. Un podcast pour parler de notre rapport au corps, qui évolue avec le temps. Un podcast pour se sentir moins seules. Un podcast que j’aurais aimé écouter Un podcast avec des invitées qui nous font lâcher prise. Ce projet, c’est maintenant une réalité et je suis très fière de vous annoncer que Faire Corps sortira dans quelques semaines. Merci à Géraldine Couvreur qui m’a présenté la team des LOAD! Studios dont Laurent Aknin et Adrien Noel avec qui on fait un taff dingue ! Si le projet vous parle, si le thème vous plaît, je suis preneuse de tous vos contacts, femmes admirées à interviewer, et je serai ravie d’en discuter avec vous !

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    Almé X Association Joséphine À l'approche du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, nous saisissons une précieuse occasion de célébrer les accomplissements des femmes, de promouvoir l'égalité et de réfléchir aux inégalités persistantes. Dans cette optique, Almé est ravi d'annoncer son partenariat avec l'association  Joséphine, qui offre des soins de beauté et de bien-être à des femmes en situation de vulnérabilité émotionnelle, sociale et économique. L'essence même de Joséphine est de reconnaître l'importance des soins de beauté, qui permettent aux femmes de se ressourcer et de changer le regard qu’elles portent sur elles-mêmes et, en fin de compte, de retrouver l'énergie et l'estime de soi nécessaires pour reprendre le contrôle de leur vie. Ce qui lie Almé et Association Joséphine, ce sont des valeurs sorores partagées, qui placent la beauté et le bien-être au cœur de l'épanouissement personnel et de l'autonomisation. Nous avons fait don de 180 pièces à Joséphine, ce geste symbolise notre engagement envers les femmes qui travaillent chaque jour pour assurer un accès à la beauté et au bien-être pour tous et toutes. Nous exprimons notre gratitude envers l'association Joséphine pour son travail inspirant et sommes honoré·es de pouvoir contribuer à sa noble mission. Bravo à Camille Fabry d'avoir conduit ce beau projet. Merci à Muriel Jadelus pour ses précieux conseils.

  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    Savez-vous ce qu’ont en commun l’écrivaine Georges Sand, la docteure Madeleine de Pelletier ou encore l’archéologue Jane Dieulafoy ❓ ➡ Ce sont des femmes qui, à travers des époques historiques singulières, se sont appropriées des codes du vestiaire masculin afin de pouvoir expérimenter librement leur profession, se mouvoir sans être contraintes par des vêtements imposants, contraignants et oppressants qu’elles étaient alors censées porter. En témoigne cette citation criante de Marie Bashkirtseff, au 19e siècle : « Je rage d’être femme, je vais m’arranger des habits bourgeois et une perruque, je me ferai si laide que je serai libre comme un homme ». Car à cette époque, le vêtement masculin est synonyme de pouvoir, de liberté et d’action, les femmes qui s’emparent de ces codes transgressent et menacent un ordre établi bridé, suscitant alors l’indignation collective.  Ce sont des axes appréhendés par l’essai de la journaliste et historienne de la mode Yvane Jacob à travers son dernier ouvrage « Parées » qui pose une question structurante : Le vêtement a-t-il libéré les femmes ou les femmes se sont-elles libérées de leurs vêtements ? L’essai nous montre qu’historiquement, le rapport au vêtement est loin d’être monolithique selon les époques, les classes sociales et les hommes et femmes concerné·es. La période de la Renaissance, avec le corps piqué et le vertugadin dont l’armature donne un grand volume aux hanches, permet d’exacerber des traits de féminité alors dominants. La Restauration voit apparaître la crinoline, le port de cette ample cage de fer est vécue comme une amélioration pour certaines femmes qui considèrent cet habit comme une surface leur permettant de maintenir une distance de sécurité avec autrui, d’avoir leur espace à soi que l’autre ne peut outrepasser. La fin du XIXe sonne le glas du corset, de son inconfort et danger pour la santé, pour céder petit à petit la place au pantalon, notamment grâce au développement du déplacement à bicyclette. On commence à s’habituer à voir des femmes arborer un vêtement bifide : le pantalon, une révolution loin d’être insignifiante au demeurant. Le vêtement, clair indicateur symbolique de la position subalterne à laquelle ont été reléguées les femmes à travers le temps, fut tout aussi un moyen d’expression et de revendication émancipatrice contribuant à la redéfinition et subversion des normes sociales établies. En somme, l’autrice nous rappelle que le rapport des femmes au vêtement s’insère dans un continuum complexe et protéiforme, si certaines se sont battues pour le port de vêtements dits masculins, d’autres prônent davantage le droit à la mini-jupe et aux talons hauts car l’essentiel est d’avoir le choix, chaque femme doit pouvoir être libre de s’exprimer à travers le vêtement, peu importe la forme, la couleur ou la typologie qu’il revêt.  Yvane Jacob #Parées #YvaneJacob #Mode #Liberté #DiversitéVestimentaire #HistoiredelaMode #ÉmancipationdesFemmes

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour Almé, visuel

    2 147  abonnés

    La grossophobie structurelle ou le rôle crucial de la mode dans la lutte contre cette discrimination pernicieuse et multidimensionnelle : La #grossophobie est une discrimination qui s’inscrit de manière structurelle dans nos sociétés. En effet, comme de nombreuses autres discriminations, elle dépasse l’échelle d’attitudes individuelles mais s’inscrit dans le fonctionnement même des organisations et des normes structurantes de la société. Un exemple criant de cette grossophobie structurelle est le fait que l’industrie de la mode propose une gamme étroite de tailles, s’arrêtant majoritairement au 42 ou 44 alors même que 40 % des femmes françaises font une taille 44 et plus. Cette exclusion façonne péjorativement l’image de soi des personnes concernées qui sont privées de l’expérience sociale du shopping, de l’accès à la mode et par extension, de la confiance en soi et du bien-être. Chez Almé, nous avons fait le pari de la mode inclusive, mais qu’est-ce que cela induit précisément ? 👉 Un changement de paradigme de l’intégration vers l’inclusion : autrement dit, un glissement de l’idée de “s’efforcer de s’adapter à un système existant” vers une “transformation du système pour accueillir tous les individus.” Concrètement, nous avons fait le choix de concevoir des vêtements du 36 au 54 car nous croyons en une mode qui s’adresse à toutes les femmes. 👉 Nous souhaitons diffuser une représentation plus harmonieuse et égalitaire des différentes morphologies existantes. 👉 L’objectif serait de tendre vers une légitimation et une valorisation de tous les corps afin d’atténuer le poids normatif et injonctif des standards de beauté de la minceur. Notre monde idéal serait une société où les femmes n’ont plus à subir le poids incessant des normes restrictives de beauté et des schémas culpabilisants que cela induit. Nous sommes conscient·es que nous pouvons faire encore beaucoup pour tendre vers cette avancée, c’est pourquoi, le principe d’inclusivité demeure et demeurera le moteur principal de notre réflexion. #grossophobie #diversitécorporelle #modeinclusive #inclusivité #discrimination

Pages similaires

Parcourir les offres d’emploi