C'est Assez !

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🛑 MARINELAND : STOP À L'INACTION ! La situation a assez duré, nous adressons ce jour une lettre ouverte à la ministre Agnès Pannier-Runacher. https://lnkd.in/erjRJzpG 👇 Mentionnez @agnesrunacher en commentaire pour que la ministre respecte ses engagements pris face caméra et pour qu'elle respecte les recommandations de ses vétérinaires concernant les dauphins du Marineland ! ✍️ Signez et partagez notre pétition pour envoyer des dauphins du Marineland au sanctuaire de Tarente en Italie ! https://lnkd.in/eMQa6mwg 📢 LETTRE OUVERTE 📢 Madame la Ministre, Le 25 novembre 2024, vous avez exprimé publiquement votre ferme opposition au transfert des orques du Marineland vers le Japon, soulignant le manque de réglementation stricte sur le bien-être animal dans ce pays. Les orques, étant de la même famille que les dauphins, il nous parait évident de traiter ces derniers avec les mêmes précautions. Vous avez également précisé que des parcs européens, tels que ceux en Espagne, étaient capables d’accueillir ces animaux. Cette prise de position semble être un premier pas vers la protection des droits des cétacés, et nous vous en remercions. Toutefois, depuis vos déclarations dans les médias, deux delphinariums de l'UE viennent de fermer leurs portes et ont déjà commencé à transférer leurs dauphins vers des parcs en dehors de l'UE. En 2016, le Parc Astérix a transféré deux dauphins Equinox et Naska au Zoo Attica en Grèce. Ce dernier a récemment annoncé le transfert de cinq dauphins au Clearwater Aquarium, aux États-Unis. Récemment, le Zoo Aquarium de Madrid a annoncé le transfert de ses dauphins vers le parc Hainan Ocean Paradise en Chine. Ce zoo, appartenant au groupe Parques Reunidos, propriétaire du Marineland d’Antibes, a d'ores et déjà affirmé qu'il pourrait servir d'hébergement temporaire pour d'autres cétacés, ce qui pourrait être le cas pour ceux du Marineland. Ce mouvement, parmi d’autres, démontre que les parcs européens, sous pression face au rejet croissant de la captivité des cétacés, cherchent à exporter leurs animaux vers d'autres destinations, notamment l’Asie, où les normes de bien-être animal sont souvent insuffisantes. Cela constitue la preuve qu’un transfert vers un pays de l’UE ne garantit en rien que ces animaux ne finiront pas dans des conditions déplorables en Asie, particulièrement en Chine, où les lois sur le bien-être animal sont bien moins strictes que chez nous. En revanche, une solution éthique existe : le sanctuaire de Tarente en Italie, serait prêt à accueillir quatre dauphins de Marineland.... ❌ Pour lire la lettre en entier rendez-vous sur notre site https://lnkd.in/erjRJzpG

📢 C’est Assez! ET Code Animal saisissent le Conseil d’État en Référé Liberté contre le Ministère de la Transition Écologique 📢 ❌ Le 1er janvier 2025, le Ministère de la Transition Écologique a pris la décision de remplacer, sans consultation préalable des associations de protection animale, le site I-FAP, dédié à l’enregistrement et au suivi des animaux sauvages détenus en captivité. Un nouveau site devrait voir le jour, mais cette transition s’accompagne de graves conséquences pour la faune sauvage. Une note de service adressée le 2 janvier aux services de l'État a officialisé cette décision. ✔️ Ce changement met en péril la protection des animaux, car entre la suspension du site I-FAP et l'activation du nouveau dispositif, aucun suivi n'est assuré. Concrètement, les détenteurs de félins, reptiles, oiseaux, cétacés, mammifères marins, etc. ne sont plus obligés d'enregistrer leurs animaux auprès des autorités. Pire encore, le Ministère ordonne à la police de l’environnement (OFB) et aux préfectures (DDPP) de suspendre tout contrôle et toute verbalisation des détenteurs d’animaux sauvages. ✔️ En conséquence, pendant plusieurs mois, particuliers et professionnels (cirques, zoos, delphinariums, etc.) pourront disposer de ces animaux sauvages, parfois dangereux ou protégés, sans crainte d’être inquiétés par les pouvoirs publics. ✔️ Cette situation laisse potentiellement le champ libre à un trafic d’animaux sauvages en France et en Europe, un phénomène déjà reconnu comme l’une des plus lucratives activités criminelles transnationales, et l'une des principales causes de disparition des espèces. Face à cette situation alarmante, Code animal et C’est Assez! ont décidé d'agir. Représentées par Me Arielle Moreau les deux associations ont déposé ce lundi un référé liberté devant le Conseil d’État, exigeant du Ministère qu’il mette en place une solution de substitution à l’I-FAP et qu’il assure le suivi des animaux sauvages détenus par les particuliers et les professionnels, conformément aux obligations légales de protection animale.

📢 Une défaite au goût de victoire ! 📢 🐬 Dans une décision du 31 décembre 2024 le Conseil d'État rejette notre demande de faire interdire de façon générale « tout transfert d’orque et de dauphin en tant que pratique d’élevage susceptible d’occasionner des souffrances » (R214-17 du code rural et de la pêche maritime), mais acte les dispositions suivantes : • ☑️ Transferts à l'étranger : L’autorité administrative ne peut pas autoriser l’exportation si les animaux risquent d'être utilisés à des fins principalement commerciales • ☑️ Transferts en France et au sein de l'UE : l’autorité administrative, doit tenir compte du respect du bien-être animal tel que garanti par les articles L. 214-1 et R. 214-17 du code rural et de la pêche maritime, et des interdictions de vente et d’exposition des cétacés à des fins commerciales. ❌ Pour rappel l’article R214-17 du code rural et de la pêche maritime interdit : 1° De priver ces animaux de la nourriture ou de l'abreuvement nécessaires à la satisfaction des besoins physiologiques propres à leur espèce et à leur degré de développement, d'adaptation ou de domestication ; 2° De les laisser sans soins en cas de maladie ou de blessure ; 3° De les placer et de les maintenir dans un habitat ou un environnement susceptible d'être, en raison de son exiguïté, de sa situation inappropriée aux conditions climatiques supportables par l'espèce considérée ou de l'inadaptation des matériels, installations ou agencements utilisés, une cause de souffrances, de blessures ou d'accidents ; 4° D'utiliser, sauf en cas de nécessité absolue, tout mode de détention inadaptés à l'espèce considérée ou de nature à provoquer des blessures ou des souffrances. 5° De mettre en œuvre des techniques d'élevage susceptibles d'occasionner des souffrances inutiles aux animaux compte tenu de la sensibilité de l'espèce concernée. Or, précisément, la détention en captivité de ces animaux a été interdite par la loi du 30 novembre 2021 car jugée contraire à leur bien-être ! Le Ministère de l'Écologie doit donc s’assurer du respect de ces critères quand il instruit les demandes de transfert sous le contrôle du juge administratif. Il est donc urgent de travailler sur des solutions pour accueillir ces animaux. Les delphinariums démantelés pourraient être utilisés de façon provisoire pour assurer l’entretien de ces animaux le temps de la réalisation de sanctuaires. Merci à notre avocate, Me Arielle Moreau pour tout le travail effectué sur ce dossier ! 🐬 Pour bien comprendre la décision du Conseil d'État et pour en connaître les conséquences sur Marineland, retrouvez notre présidente Christine Grandjean, ce dimanche à 11h sur France Info ! 🐬 #marineland #wikie #keijo #orques #dauphins

🚨 Rappel : avec notre avocate @Arielle Moreau, nous avons déposé en janvier 2024 un recours devant le Conseil d’État pour demander l’interdiction des transferts de cétacés à des fins commerciales. Notre objectif est de protéger les cétacés captifs en France, afin qu’ils ne soient pas envoyés dans d’autres parcs à l’étranger où leurs conditions de vie pourraient être encore pires. 🐬 L’audience a eu lieu hier, lundi 9 décembre. Le rapporteur du Conseil d’État, qui donne un avis avant que le juge prenne sa décision, a soutenu notre position. Selon lui, le bien-être des animaux est une raison valable pour interdire le transfert de cétacés vers d’autres parcs zoologiques. Il a même mentionné un exemple : une décision de justice aux Pays-Bas avait refusé qu’un grand dauphin soit envoyé dans un parc en Chine, au motif que ce transfert servait des objectifs commerciaux, au détriment du bien-être animal. 🐬 Cependant, le rapporteur estime que cette interdiction ne peut pas être générale : chaque cas doit être examiné individuellement par l’autorité responsable (CITES) lorsqu’elle décide de délivrer ou non un permis de transfert. Il rejette donc l’idée d’une interdiction totale et universelle des transferts de cétacés. En résumé, tout dépendra de l’État et, en dernier recours, des juges pour prendre ces décisions. ❌ La décision des transferts est, en somme, une décision politique. ❌ Nous attendons maintenant la décision du Conseil d’État, qui devra dire s’il suit cette analyse ou s’il choisit d’aller plus loin pour renforcer la protection des cétacés. 🙏 Enfin, un point important reste en suspens : si une interdiction générale était adoptée, qui paierait pour s’occuper des cétacés captifs à long terme ? Comme dans d’autres cas similaires, il semblerait logique que les parcs zoologiques et leurs actionnaires soient responsables de ces coûts. #orques #marineland #wikie #keijo #dauphins #dolphins

📢 La nouvelle du jour fait l'effet d'une bombe 📢 🐬 Marineland compte fermer son zoo marin le 5 janvier 2025, prétextant que la législation l'y oblige. Rappelons que la loi de 2021 interdit la détention de cétacés captifs d'ici 2026, mais elle prévoit deux exceptions : la détention à des fins scientifiques ou la détention dans un refuge marin (communément appelé sanctuaire). Planète Sauvage, qui est l'un des deux derniers parcs en France à détenir des dauphins en captivité, a choisi de miser sur la recherche scientifique et compte donc garder ses dauphins au-delà de 2026, et même les faire reproduire. La loi n'est pas si stricte que cela ... Par ailleurs, l'arrêté qui met en application la loi interdisant la captivité pose des critères de conformité des bassins. Marineland est conforme aux critères prévus par la réglementation. Certes, les cétacés captifs sont la propriété de Marineland et, s'ils le souhaitent, ils peuvent expédier leurs cétacés aux 4 coins du monde dans d'autres bassins, mais c'est bien le gouvernement qui valide ou non les permis d'exportation. Donc, maintenir les cétacés sur place ou les envoyer ailleurs, est une décision POLITIQUE. C'est pourquoi, l'audience du Conseil d'État le 9 décembre prochain sera cruciale. Avec Maître Arielle Moreau notre avocate, nous avions déposé un recours en janvier dernier au Conseil d'État pour faire interdire les transferts de cétacés captifs à but commercial. Si le Conseil d'État se prononce pour un maintien des cétacés captifs dans leurs bassins en attendant une solution de sanctuaire, alors le Marineland n'aura pas d'autre choix que de se plier à cette décision. Les orques pourraient rester à Marineland. Quant aux dauphins, nous pouvons toujours en envoyer environ 4 dans le sanctuaire de Tarente en Italie qui n'attend que cela ! Il est important de continuer à signer notre pétition pour envoyer les dauphins en sanctuaire. 🐬 http://bit.ly/41hGTro À suivre ... 🙏

📢 IMPORTANT 📢 - 🐬 Le 17 janvier 2024, avec l'aide de notre avocate Me Arielle Moreau nous engagions un recours devant le Conseil d'État pour que le gouvernement interdise les transferts de cétacés captifs à des fins commerciales, avec pour seule dérogation possible, le transfert en sanctuaire. 🐬 ✌ Bonne nouvelle ! L'audience aura lieu le 9 décembre prochain ! Une décision du Conseil d'État est attendue sur cette question de la légalité des transferts des cétacés détenus dans les parcs français vers les parcs étrangers. 🤞 La récente décision courageuse qu'a prise la ministre Pannier-Runacher de refuser les permis d'exportation au Japon ne règle pas le sort des animaux pour autant : faute de sanctuaire prêt à accueillir les orques quelle est la solution ? Marineland appartient au groupe Parques Reunidos. Leurs nombreux actionnaires doivent prendre une décision pour maintenir les orques et les dauphins sur site le temps de la création de sanctuaires. Si vous souhaitez nous aider dans cette bataille juridique, vous pouvez faire un don via la plateforme Hello Asso. 🙏 Merci https://lnkd.in/ehT-PZgn On vous tient au courant !

🙏 Merci pour votre mobilisation 🙏 🐬 C’est avec soulagement que nous apprenons que les permis d’exportation des orques vers le Japon 🛁 ont été refusés. 🐬 Nous vous donnerons plus d’infos dès que nous en aurons. C'est un sursis pour les orques … Plus d’infos à suivre. Mais on tient à vous remercier du fond du cœur pour votre mobilisation depuis vendredi !! Merci à toutes et tous !! Merci à Agnès Pannier-Runacher pour cette décision responsable et courageuse ! #marineland

🚨 L’heure est grave, nous sommes au pied du mur. Le Marineland d’Antibes est sur le point de transférer Wikie et Keijo, ses deux dernières orques vers le Kobe Suma Sea World au Japon où sont détenues Stella et Ran dans des conditions déplorables (voir vidéo). ✍️ Signez et partagez la pétition https://lnkd.in/exN5CasS 📹 Jodie Hillier #orcas #orques #marineland #marinelandantibes #wikie #keijo #ran #stella #japon #japan

🚨 La meilleure solution pour les orques et le bien-être animal selon le Directeur du Marineland, M. Picot, se résument ainsi : 6 SPECTACLES PAR JOUR dans un mouroir japonais. Mme la ministre Agnès Pannier-Runacher, n’accordez pas les permis d’exportation vers cette destination où Stella et Ran vivent déjà un enfer. Ce serait une tache indélébile sur l’image que vous laisseriez. ✍️ Signez et partagez la pétition et identifiez la ministre en commentaire https://lnkd.in/eEqY7NWy #orcas #orques #marineland #marinelandantibes #wikie #keijo #ran #stella #japon #japan