CEPREMAP

After the US election, US economic indicators appear favorable: the dollar appreciated, stock exchanges increased and the Fed cut its interest rate. The latest Macroeconomic Outlook is online: https://lnkd.in/e8nPCfSB

Since the end of 2019, US GDP grew by 10.2%, that is 2% per year despite the COVID-19. It grew by only 2.8% in France (0.56% per year); 2.4% in the UK, (0.48% per year) and 0.4% in Germany (0.08% per year). The latest Macroeconomic Outlook is online 👉 https://lnkd.in/eNZKz8NT

Opinion | L'erreur du budget Barnier https://lnkd.in/esyASe8S Une tribune des membres de l'Observatoire de Macroéconomie du CEPREMAP François Langot Jocelyn Maillard Selma Malmberg Fabien Tripier et Jean-Olivier Hairault.

The hoped-for growth rate of 0.4% for France in the third quarter was achieved. Let’s hope that this growth, achieved during the Olympics, doesn’t come at the expense of growth in the last quarter of 2024! The latest Macroeconomic Outlook is online 👉 https://lnkd.in/e9GVGgzJ

Évolutions des salaires Les questions de pouvoir d’achat sont au cœur de l’actualité. L’Insee contribue à éclairer les débats avec deux études récentes sur l’évolution des #salaires 1️⃣ une étude sur les salaires dans le secteur #privé en 2023 ▪ En 2023, un salarié du secteur privé gagne en moyenne 2 735 euros nets par mois en équivalent temps plein (EQTP). ▪ Du fait d’une inflation encore forte (+4,9 % en 2023, après +5,2 % en 2022), le salaire net moyen a diminué de 0,8 % en euros constants, après -1,0 % en 2022. ▪ La moitié des salariés du secteur privé perçoivent moins de 2 183 euros nets par mois en EQTP. Un salarié sur dix gagne moins de 1 512 euros, alors qu’un sur dix perçoit plus de 4 302 euros. ▪ En 2023, le pouvoir d’achat des salaires a résisté en bas de l’échelle salariale, en raison notamment des revalorisations du Smic, puis a diminué à mesure que l’on progresse dans la distribution. En conséquence, les inégalités salariales ont continué de diminuer. ▪ Les femmes gagnent en moyenne 13,5 % de moins que les hommes en EQTP. Cet écart s’est réduit de 0,5 point par rapport à 2022 et de 7,4 points depuis 2008. 👉 https://lnkd.in/eW93xNjV 2️⃣ une étude sur les salariés de la « deuxième ligne » (caissiers, ouvriers des industries agroalimentaires, agents d’entretiens, etc.), qui ont continué à travailler sur site pour apporter les services indispensables à la vie quotidienne lors de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 ▪ En 2022, 6,8 millions de personnes exercent ces métiers, soit 29 % des salariés du secteur privé. ▪ En 2022, ces salariés de la deuxième ligne perçoivent en moyenne 1 830 euros nets mensuels pour un équivalent temps plein (EQTP), soit légèrement moins que les autres employés et ouvriers du privé. ▪ Ils ont davantage bénéficié de primes exceptionnelles en 2020, année de la crise sanitaire, mais moins les années suivantes. ▪ Entre 2019 et 2022, leur salaire moyen a davantage baissé (-0,7 % en euros constants) que celui des autres employés et ouvriers (-0,2 %), dans un contexte de forte inflation (+8,6 % sur la période). 👉 https://lnkd.in/e3APVpwv Bonus en images : une série de vidéos diffusée en 2023 faisait déjà le point sur les différents concepts de salaires, leur distribution, ainsi que les écarts de salaires entre femmes et hommes et les facteurs explicatifs de ces écarts (chiffres 2021) : https://lnkd.in/et3JfEZs Retrouvez aussi notre « L’essentiel sur… les salaires » (https://lnkd.in/eCYy48WV) et un outil interactif visant à mieux comprendre et mieux faire connaître le salariat dans le privé et la fonction publique, ainsi que la multiplicité des professions (https://lnkd.in/e7bhQUrd) : ils seront mis à jour avec les chiffres 2023 d’ici quelques semaines.

Le déficit budgétaire a finalement dérapé en 2024, car le précédent gouvernement avait préféré parier sur une conjoncture très favorable plutôt qu'un plan d'ajustement volontariste, comme nous l'anticipions dans une note précédente de l'Obs macro du cepremap (https://lnkd.in/ec4VEqyh). Le gouvernement Barnier a dû agir dans l'urgence par un plan à court terme, sans engagement pluriannuel, et en choisissant un ajustement qui risque de freiner l'activité économique l'année prochaine, et de déstabiliser encore plus fortement le ratio d'endettement. Dans une nouvelle note de l'Obs macro (https://lnkd.in/dTf4Nr46), nous évaluons des plans de consolidation à l'horizon de 2027, et soulignons la plus grande efficacité de cibler en priorité la réduction des transferts bismarckiens.

[🗞A lire] Un #budget peu efficace pour réduire la dette publique et ses risques de hausse Le projet de loi de finances pour 2025 présenté par Michel Barnier va-t-il vraiment permettre de réduire la dette publique de 60 milliards d’euros ? Voici pourquoi peut-on en douter.... Lire la suite 👉 https://lnkd.in/e4u9kECi Un article co-écrit par François Langot, Fabien Tripier, Jean-Olivier Hairault, Jocelyn Maillard et Selma Malmberg pour The Conversation France Gouvernement | DGCCRF - Ministère de l'Économie | Faculté de Droit, Sciences Économiques & Gestion | Le Mans Université | CEPREMAP | Les Echos | Le Monde | Ouest-France | LE MAINE LIBRE | Institut RFI - Institut du Risque et de l'Assurance du Mans | Gérald Billard | Adrien FAUCON EVRARD |

Le déficit budgétaire a finalement dérapé en 2024, car le précédent gouvernement avait préféré parier sur une conjoncture très favorable plutôt qu'un plan d'ajustement volontariste, comme nous l'anticipions dans une note précédente de l'Obs macro du cepremap (https://lnkd.in/ec4VEqyh). Le gouvernement Barnier a dû agir dans l'urgence par un plan à court terme, sans engagement pluriannuel, et en choisissant un ajustement qui risque de freiner l'activité économique l'année prochaine, et de déstabiliser encore plus fortement le ratio d'endettement. Dans une nouvelle note de l'Obs macro (https://lnkd.in/dTf4Nr46), nous évaluons des plans de consolidation à l'horizon de 2027, et soulignons la plus grande efficacité de cibler en priorité la réduction des transferts bismarckiens.

Un budget peu efficace pour réduire la dette publique et ses risques de hausse. Le projet de loi de finances pour 2025 présenté par Michel Barnier va-t-il vraiment permettre de réduire la dette publique de 60 milliards d’euros ? Voici pourquoi on peut en douter. Une Tribune des membres de l'Observatoire de Macroéconomie du Cepremap (François Langot, Jocelyn Maillard, Selma Malmberg, Fabien Tripier et Jean-Olivier Hairault). https://lnkd.in/gR3MDXNS

After two years of continuous decrease of headline inflation in the Euro Area, the ECB cut its key interest rates for the third time this week! The latest Macroeconomic Outlook is online https://lnkd.in/eicp4b8A ******* Après deux ans de baisse continue de l'inflation dans la zone Euro, la BCE a baissé ses taux cette semaine pour la troisième fois. Le nouveau Macroeconomic Outlook est en ligne!