Ecolhuma

🚀L’inclusion scolaire ne doit plus être une charge supplémentaire pour les enseignants, mais un projet collectif. 📢 Il y a 20 ans, la loi École inclusive a ouvert une voie. Mais aujourd’hui, il faut la rendre pleinement effective : ✅ Former massivement les enseignants aux pratiques inclusives. ✅ Développer des outils pour faciliter l’adaptation des cours sans surcharge de travail. ✅ Recruter plus d’AESH et garantir leur stabilité auprès des élèves. ✅ Renforcer la collaboration enseignants-familles-médico-social. Chez Ecolhuma, nous accompagnons les enseignants pour faire de l’inclusion une réalité vécue, pas une injonction impossible. 📊 Le baromètre Ecolhuma 2024 le montre : nous sommes à un tournant. On continue de bricoler, ou on repense réellement l’inclusion ?

🎭20 ans après la loi École inclusive, qu’en pensent vraiment les enseignants ? D’après le Baromètre Ecolhuma 2024, trois profils d’enseignants émergent : 📉 Les réticents (31%) ❌ Doutes sur le bien-fondé de l’inclusion ❌ Se sentent peu préparés et dépassés ❌ Redoutent que l’inclusion se fasse au détriment des autres élèves 🤔 Les réservés (42%) ⚠️En faveur de l’inclusion, mais sous conditions ⚠️Plus sceptiques pour les élèves ayant des troubles comportementaux ⚠️ Attendent des ressources adaptées pour réussir 💡 Les convaincus (27%) ✅Engagés pour une inclusion réussie ✅ Se forment davantage et utilisent des pratiques inclusives ✅ Plus confiants et mieux préparés 👉 Ce que cela nous apprend ? 📌 L’adhésion à l’inclusion dépend du niveau de soutien et de formation reçu par les enseignants. 📌 Moins un enseignant est accompagné, plus il doute de sa capacité à inclure les élèves à BEP. 📌 Il ne suffit pas d’imposer l’inclusion : il faut outiller et accompagner ceux qui la mettent en œuvre au quotidien.

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🆘Comment inclure 6 élèves à besoins éducatifs particuliers dans une classe de 25… sans moyens adaptés ? 📅 Depuis 2005, l’inclusion est un droit. Mais un droit sans moyens, est-ce vraiment un progrès ? 📉 Le constat du terrain (Baromètre Ecolhuma 2024) : 👉 84% des enseignants demandent plus d’AESH. 👉 Seuls 24% des élèves en primaire et 19% en secondaire reçoivent une aide en classe. 👉 48% des enseignants se sentent seuls pour gérer l’inclusion. Un paradoxe : Plus les enseignants sont soutenus, plus ils adoptent des pratiques inclusives efficaces. Pourtant, le soutien est insuffisant et inégal d’un établissement à l’autre. Il est temps d’agir : 👉 Mieux former les enseignants à la pédagogie inclusive. 👉 Recruter plus d’AESH et garantir leur présence sur des temps significatifs. 👉 Favoriser la collaboration entre enseignants, AESH et familles.

🎙️ Donner à la jeunesse la place qu’elle mérite dans nos récits et nos imaginaires, c’est aussi transformer notre regard sur l’École et sur l’avenir. Ashoka France lance le #PrixVisionsJeunesses pour mettre en lumière des histoires positives portées par et pour la jeunesse. Une belle initiative que nous sommes fiers de relayer ! 📢 Chez Ecolhuma, nous savons que chaque jeune a du potentiel, et que l’éducation joue un rôle clé pour lui permettre de l’exprimer. Valoriser leurs voix, leurs parcours et leurs talents, c’est une façon de leur redonner confiance et de renforcer leur place dans la société. 💡 Créateur·ices, enseignants, éducateurs : vous connaissez un talent qui mérite d’être mis en avant ? Partagez l’info et encouragez-les à candidater ! À la clé : 3000 euros et une mise en lumière médiatique. Fabien HOBART Fanny LEBLOND MOINS Nathalie Dreyfus Christophe Le Guelvouit Florence Rizzo Romain Renne Muriel Meillier 📌 Toutes les infos ici 👉 https://lnkd.in/e7Zcn4TX

📅Il y a 20 ans, la loi de 2005 sur l’école inclusive était une révolution : tous les enfants, quels que soient leurs besoins, devaient être accueillis en milieu scolaire ordinaire. Une avancée historique… mais où en est-on vraiment aujourd’hui ? 📊 Le Baromètre École Inclusive 2024 d’Ecolhuma montre un écart énorme entre la théorie et la réalité : 👉 19% à 26% des élèves ont des besoins éducatifs particuliers (BEP) selon les enseignants, contre 4% officiellement reconnus. 👉 80% des enseignants déclarent ne pas être suffisamment soutenus pour faire face à l’inclusion. 👉 48% se sentent isolés dans cette mission. 💡 Le problème ? 👉 Des chiffres officiels sous-estimés, donc une invisibilisation du problème. 👉 Des enseignants qui veulent bien faire mais manquent de formation et de moyens. 👉 Une inclusion qui repose trop souvent sur la seule bonne volonté des profs. 📢 L’école inclusive ne doit pas être un slogan, mais une réalité vécue dans les classes. Quels sont, selon vous, les véritables freins à l’inclusion scolaire aujourd’hui ?

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📱Écrans, stress, cyberharcèlement : l’urgence de former les enseignants🚨 Une députée vient de proposer la création d’une commission d’enquête sur l’impact de TikTok sur la santé mentale des jeunes. Si cette initiative met en lumière un vrai enjeu, les difficultés des élèves ne se limitent pas à une plateforme. Notre Baromètre Santé Mentale révèle un malaise plus profond dans l’école : ➡️ 1 élève sur 5 montre des signes inquiétants de stress et d’anxiété ➡️ L’usage excessif des écrans perturbe le sommeil et la concentration des élèves ➡️ Le cyberharcèlement explose : alors qu’un adolescent sur 4 serait concerné (IPSOS 2024), 1 enseignant sur 2 se sent démuni face à ce phénomène, qui dépasse le cadre scolaire. 👉 Les enseignants et chefs d’établissement sont en première ligne… mais sans formation adaptée. Chez Ecolhuma, nous nous mobilisons pour : ✅ Former les enseignants à identifier et gérer le stress et l’anxiété des élèves ✅ Accompagner les chefs d’établissement à structurer une vraie politique de prévention ✅ Donner des outils aux équipes éducatives pour mieux comprendre et réguler l’impact des écrans et du cyberharcèlement 💬Que faudrait-il mettre en place en priorité selon vous ? Quels sont les meilleurs programmes de prévention et gestion des situations de cyberharcèlement ? Vos idées nous intéressent ! 👇 

🤖 Corriger sans comprendre ? L’IA face au défi de l’évaluation scolaire 🔎 Une étude conjointe de l'Université du Pays Basque et de l'Université de Pau révèle que l'intelligence artificielle peut corriger des travaux d'élèves de primaire avec une précision de 70 %, en reproduisant les critères d'évaluation de futurs enseignants. 🚀 L'étude a comparé les corrections faites par 507 étudiants enseignants avec celles générées par ChatGPT, Gemini et Copilot. Les résultats sont frappants : les évaluations produites par l’IA s’alignent souvent avec celles des étudiants ayant les meilleures performances académiques. Mais une correction automatique, est-ce une évaluation ? L’IA peut vérifier une réponse, mais elle ne perçoit ni les hésitations, ni les stratégies, ni les incompréhensions d’un élève. 💡 Son atout ? Elle peut automatiser les tâches répétitives, libérant du temps aux enseignants pour qu’ils se concentrent sur ce qui fait la vraie valeur de l’humain : repérer les blocages invisibles, donner des feedbacks personnalisés, ajuster l’enseignement et accompagner les élèves dans leur progression. 👉 Utiliser l’IA pour évaluer, oui, mais pas sans redéfinir le rôle central de l’enseignant dans l’accompagnement des apprentissages. Et vous, quand pensez-vous? Quelle place de l’enseignant à l’heure de l’IA? #IA #Éducation #IntelligenceArtificielle #ÉvaluationScolaire #InnovationÉducative

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