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Organisations civiques et sociales

Une planète, une vie

À propos

Handgreen est une association de sensibilisation et d'information à la protection de notre planète. Handgreen s'engage à lutter contre la pollution et le réchauffement climatique. Handgreen est présidée par Maïlys Rourera, 13 ans. Viens l'aider ! Adhésion en ligne

Secteur
Organisations civiques et sociales
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Pollestres
Type
Établissement éducatif
Fondée en
2021
Domaines
Ateliers de sensibilisation aux changements climatiques, Ateliers de DIY, La fresque du climat, Inventons nos vie bas carbone, CleanWalk et Fêtes des saisons

Lieux

Employés chez Handgreen

Nouvelles

  • Handgreen a republié ceci

    Voir le profil de Quentin Travaillé 👨🏻‍🌾, visuel

    J’aide le grand public à comprendre le vivant qui nous entoure pour apprendre à la préserver 🐛

    𝗟𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗲̀𝗰𝗲𝘀 𝗻𝗲 "𝗱𝗶𝘀𝗽𝗮𝗿𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁" 𝗽𝗮𝘀 : 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗰𝘂𝗹𝗲𝘂𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲́𝗲𝘀. Il faut le dire franchement 👇 Ce n'est pas pour rien que nous parlons de 𝗯𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́. Et malgré l'organisation de la #COP16 je n'ai pas l'impression que nous prennions vraiment conscience de ce que ça signifie. 𝗟𝗘 𝗩𝗜𝗩𝗔𝗡𝗧 𝗖'𝗘𝗦𝗧 𝗟𝗔 𝗗𝗜𝗩𝗘𝗥𝗦𝗜𝗧𝗘 🌿 Chaque espèce, aussi minuscule soit-elle, joue un rôle essentiel dans l'équilibre de son écosystème. En détruisant leur habitat, nous rompons les liens subtils qui unissent toutes les formes de vie. Les conséquences sont désastreuses : 1️⃣ 𝗘𝗳𝗳𝗼𝗻𝗱𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 : La disparition d'une espèce peut entraîner une cascade d'extinctions, mettant en péril l'ensemble de la biodiversité. Et même si nous connaissons plein de choses sur le vivant, nous savons surtout que nous sommes ignorants. Qui peut réellement prévoir ce que deviendra la France si les insectes disparaissent ? 2️⃣ 𝗣𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : Les écosystèmes fournissent de nombreux services essentiels à l'humanité : régulation du climat, pollinisation, purification de l'eau... La liste est longue. ⛰️ Forêts, océans, prairies... ces écosystèmes complexes, fruit de millions d'années d'évolution, sont sacrifiés au profit de l'agriculture intensive, de l'urbanisation galopante et de l'exploitation des ressources naturelles. 𝗔𝗟𝗢𝗥𝗦 𝗤𝗨𝗘 𝗙𝗔𝗜𝗥𝗘 ? 🐛 Eh bien, faire revenir la variété. Un paysage « qui fait propre » est un paysage qui meurt. 𝗜𝗹 𝘆 𝗮 𝟭𝟬𝟬𝟬 𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗿𝗼𝗻𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗽 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗶̈𝘀. Il faut intégrer les non-humains à notre façon de penser nos infrastructures. Au point de parfois avoir à ne pas en construire de nouvelles pour préserver le vivant. Il existe 1000 choses à faire et à penser, et tout ceci est bien dur à résumer en un post sur LinkedIn. 𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀 𝘀𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗲𝘇 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗿𝗲́-𝗲𝗻𝘀𝗮𝘂𝘃𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲, 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝗰̧𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 : 𝗩𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗺𝗮 𝗻𝗲𝘄𝘀𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲𝗿 « 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗿𝗲́-𝗲𝗻𝘀𝗮𝘂𝘃𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 » 👉 https://lnkd.in/egkNnqrF 👈 #biodiversite #biodiversity #biodiversité

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    L’ONG Oxfam a calculé le bilan carbone moyen des 50 personnes les plus riches du monde et le résultat, publié le 28 octobre, est spectaculaire : un ultrariche émet 7 746 tonnes de CO2e par an rien qu’avec sa consommation de jets et yachts, contre 9 tonnes annuelles pour un Français moyen. Lire l'article ➡️ https://lnkd.in/eQCRN4KZ

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    7 920  abonnés

    #StopExtinction #StopPesticides - Une nouvelle étude d’une ampleur inédite parue le 24 octobre dans la revue Science, alerte sur le fait que l’effet des pesticides sur le déclin des insectes pourrait être encore plus important que prévu. Les chercheurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL) ont démontré que certains pesticides, perçus initialement comme inoffensifs, pourraient en réalité perturber le développement des insectes. La biomasse des insectes est en déclin au niveau mondial. Les études systématiques sur les effets des différents produits chimiques restent limitées, alors même que leur utilisation serait une des causes principales de ce déclin. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont utilisé une chimiothèque de 1 024 molécules - couvrant les insecticides, les herbicides, les fongicides et les inhibiteurs de croissance des plantes - pour évaluer l'impact des doses sublétales de pesticides sur les insectes. DR Lautaro Candara, premier auteur de l’étude : « nous avons découvert que pour plus de la moitié des produits, l’exposition des larves même à des doses écologiquement pertinentes, c’est-à-dire très faibles, provoquait des changements dans les processus physiologiques des insectes et avait des effets sublétaux. » Combien d’études faudra-t-il encore pour que nos élus et représentants politiques comprennent l’urgence et agissent ? Stoppons l'extinction des pollinisateurs - changeons notre modèle agricole L'étude en question (en anglais) : https://lnkd.in/etc2wcXr

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    221  abonnés

    « Un SUV, par exemple, inclut 2 300 € de frais publicitaires. Pour pouvoir se payer le surcroit de consommation incitée par la pub, les Français ont augmenté leur temps de travail de 6,6 % depuis les années 1990. Dit autrement, nous travaillons aujourd’hui 2 heures et 24 minutes supplémentaire à cause de la pub. »

    Voir le profil de Timothée Parrique, visuel

    Chercheur en économie écologique, spécialiste de la décroissance et du post-capitalisme

    Dans le grand palmarès des produits superflus, il existe une star indétrônable : le panneau publicitaire numérique. Inutile, couteux, polluant, moche, et malsain, c’est une absurdité absolue.   Un écran LCD numérique de 2 m2 consomme 2 049 kWh par an, l’équivalent de la consommation moyenne d’électricité pour l’éclairage et l’électroménager d’un ménage. Sa fabrication nécessite 8 tonnes de matériaux et il émet 2,45 tonnes de CO2 sur l’ensemble de son cycle de vie. Il y a actuellement 55 000 panneaux numériques en France, soit 134 750 tonnes de CO2 ou l’équivalent des émissions de 14 000 personnes pendant un an. La plupart des gens les détestent. 85 % des Français sont favorables à la réduction du nombre de panneaux publicitaires numériques dans l’espace public. Gêne visuelle, pollution esthétique, angoisse de consommation, les raisons de les haïr sont nombreuses. Ils contribuent à la surexposition aux écrans, avec des conséquences délétères pour les plus jeunes, et distraient les conducteurs et les passants. La grande majorité des gens qui les regardent ne pouvant pas se permettre d’acheter les produits, on peut aussi les considérer comme des distributeur de FOMO. La publicité coûte cher, 33,8 milliards d’euros par an en France, et ce sont les consommateurs qui paient la facture. En effet, ces dépenses sont intégrées dans le prix final des produits. Un SUV, par exemple, inclut 2 300 € de frais publicitaires. Pour pouvoir se payer le surcroit de consommation incitée par la pub, les Français ont augmenté leur temps de travail de 6,6 % depuis les années 1990. Dit autrement, nous travaillons aujourd’hui 2 heures et 24 minutes supplémentaire à cause de la pub.  Un panneau publicitaire numérique coûte entre 1400 et 4500 €, prix auquel il faut ajouter la configuration du logiciel (11€/mois), le branchement (200 €), la conception du contenu (2500 €/an), la consommation d’électricité (512 €/an), et l’installation du panneau qui peut chiffrer jusqu’à 15 000 €. Avec une durée de vie de 10 ans, un panneau coûte donc 43 460 €. La facture totale des 55 000 écrans en France avoisine alors les 2,3 milliards d’euros. Pour comparer, ce même montant suffirait à financer l’éducation de 27 000 élèves pendant une décennie. Tout ça pour quoi ? Des fringues hors de prix, de l’investissement locatif, et des frites ? Des bagnoles, des sodas, et du parfum ? N’oublions pas qu’en France, seulement 1,6 % des entreprises font de la publicité. Parmi celles-ci, la moitié du marché est monopolisée par moins de 200 grands annonceurs, des marques que nous connaissons beaucoup trop bien tant elles nous bombardent de pub. À ce niveau de concentration et d’intensité, ce n’est plus de la communication, c’est de la propagande.  

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    221  abonnés

    Rien n’est foutu Battez vous !

    Voir le profil de Sam Belle Étoile Environnement, visuel

    Préservation de l'environnement

    SANS RÉDUCTION DRASTIQUE DES ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE, L'OBJECTIF DE 1,5°C "SERA BIENTÔT MORT", MET EN GARDE L'ONU "Selon le document, publié à moins d'un mois de la COP29, les politiques de réduction des émissions mises en place par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1°C au cours du siècle" Article France info 👉https://lnkd.in/gXxashQB Et pendant que l'on regarde ailleurs... LES FORÊTS DE NOTRE PLANÈTE N'ABSORBENT PLUS ASSEZ DE CO2 "Un signal inquiétant : entre sécheresse et incendies, forêts et sols n’ont pas absorbé assez de dioxyde de carbone en 2023" "On les connaît pourtant comme des puits de carbone terrestre : arbres et sols des forêts contribuent à piéger le dioxyde de carbone, un des principaux gaz à effet de serre" "Des puits à carbone en chute libre Hélas, l’an passé, une équipe de chercheurs internationaux rattachés à des universités allemande, britannique, chinoise et française, estime que les puits de carbone terrestres ont vu leur absorption de CO2 « drastiquement réduites en 2023 ». En effet, entre incendies et sécheresse, les forêts et sols, qui captent habituellement 20 % des émissions humaines de CO2, ont absorbé bien moins de dioxyde de carbone en 2023 que d’ordinaire" Article Consoglobe 👉https://lnkd.in/g5BW--3s LE CO2 ET El Niño POUSSENT LES OCÉANS VERS DES RECORDS DE CHALEUR "La température moyenne des eaux de surface a atteint 21,06°C en février, un record mensuel absolu, selon les données de l’observatoire européen Copernicus" Article Good planèt 👉https://lnkd.in/g5YwGw7S LES CLIMATOLOGUES TIRENT LA SONNETTE D'ALARME CONCERNANT L'EFFONDREMENT IMMINENT DU COURANT OCÉANIQUE ATLANTIQUE Article Trust my science 👉https://lnkd.in/gGUQQ5T7 Et les conséquences des catastrophes climatiques s'aggravent... LE COÛT DES ÉVÉNEMENTS CLIMATIQUES A DOUBLÉ SUR LES QUATRE DERNIÈRES ANNÉES EN FRANCE "La moyenne des coûts des sinistres climatiques a presque doublé ces dernières années, selon France assureurs. L’organisation professionnelle chiffre à 6,5 milliards d’euros le coût des catastrophes naturelles en 2023, la moyenne étant autour de 3,7 milliards entre 2010 et 2019. Une tendance qui se retrouve au niveau mondial et qui devrait s’amplifier en raison de la crise climatique" Article Novethic 👉https://lnkd.in/gB_T5iWJ Cette fois, l'astéroïde, c'est nous... #climat

    Réchauffement climatique : sans réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre, l'objectif de 1,5°C "sera bientôt mort", met en garde l'ONU

    Réchauffement climatique : sans réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre, l'objectif de 1,5°C "sera bientôt mort", met en garde l'ONU

    francetvinfo.fr

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    Thomas Wagner Thomas Wagner est un Influencer

    Fondateur de Bon Pote, le média qui alerte sur un truc pas cool : le changement climatique

    Aujourd'hui commence la COP16 sur la Biodiversité à Cali en Colombie, une occasion unique de faire avancer la lutte contre l'effondrement de la biodiversité. Ayant le sens du timing, le Point a eu la bonne idée de publier hier un torchon allant à l'encontre du consensus climatique : "la biodiversité ne s'effondre pas en Europe". Que dit le consensus scientifique ? l'IPBES dit sur l'Europe : « la biodiversité en Europe subit un déclin important et continu ». Les écologues et scientifiques qui ont dédié leur vie à la biodiversité sont outré depuis hier. Après les climatosceptiques sur le climat, voici les dénialistes sur la biodiversité. Pas étonnant, on sait que le Point avait donné la parole à Sylvie Brunel, une climatosceptique notoire. Ici c'est Bertrand Alliot, porte-parole d'Action écologique, proche de l'extrême-droite et de la fondation Clintel, une fondation climatosceptique. Honte à ce journal qui continue de désinformer, notamment via sa rédactrice en chef géraldine woessner et Erwan Seznec. Aucune excuse ici, ce n'est pas un hasard, ni pour la personne interrogée, ni pour le choix du timing. Si le GIEC fait référence pour le climat, je vous recommande de vous fier à l'IPBES pour la biodiversité. La tâche pour inverser la tendance est déjà immense, nous n'avons pas besoin de désinformation pour la rendre encore plus difficile.

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    Juliette Nouel Juliette Nouel est un Influencer

    Créatrice des ATELIERS de l'ADAPTATION au CHANGEMENT CLIMATIQUE : ateliers-adaptationclimat.fr. Confériencière sur l'adaptation.

    #JusticeClimatique Les résultats de ce graphe proviennent d'une enquête mondiale menée auprès de 5 627 adultes dans 11 pays du Nord et du Sud et publiée dans la revue Nature avec le titre : "Climate justice beliefs related to climate action and policy support around the world". Ils montrent : 👉 UNE FORTE CONNAISSANCE internationale des "principes" de la justice climatique, à savoir la répartition inégale de la responsabilité, des impacts et des capacités d’adaptation entre les différents groupes (peuples autochtones, femmes, personnes à faibles revenus, etc.) et la nécessité d’en tenir compte dans la mise en oeuvre des mesures d’atténuation et d’adaptation afin qu’elles soient justes et équitables. 👉 LA VALEUR DE LA JUSTICE CLIMATIQUE - comme motif d'action dans la lutte contre le changement climatique et ce dans différentes zones géographiques du monde. - comme moyen pour favoriser l'acceptabilité des mesures de lutte. À L'INVERSE... Des politiques climatiques mal conçues peuvent encore aggraver le fardeau disproportionné qui pèse sur les groupes les + exposés et vulnérables. Et ce de trois façons, rappelle l'article : 1️⃣ L'injustice DISTRIBUTIVE, qui fait référence à la répartition inégale de la vulnérabilité au changement climatique et de la capacité d’adaptation entre les différents groupes sociaux. Elle est largement liée à l’histoire de la colonisation, à l’oppression raciale, économique et politique et à la répartition inégale de la richesse et du pouvoir entre et au sein des sociétés. 2️⃣ L'injustice PROCÉDURALE, qui reflète la sous-représentation des communautés de première ligne dans la sélection et la mise en œuvre des réponses au changement climatique. 3️⃣ L'injustice DE RECONNAISSANCE, qui décrit l’incapacité à reconnaître les droits et les intérêts des groupes marginalisés comme légitimes dans l’élaboration des politiques liées au changement climatique. A NOTER : 1) si l'enquête montre une connaissance généralisée des fondements de la justice climatique, elle souligne également que la plupart des répondants (66,2 %) n’avaient pourtant jamais entendu les termes "justice climatique". 2) l'enquête a été réalisée en 2022 auprès d'adultes âgés de plus de 18 ans en Australie, Brésil, Allemagne, Inde, Japon, Pays-Bas, Nigeria, Philippines, Émirats arabes unis, Royaume-Uni et États-Unis. Les pays ont été sélectionnés pour refléter des populations présentant une grande diversité de cultures, de revenus, de vulnérabilités au changement climatique et de responsabilités dans les émissions mondiales de GES.

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    Le gaspillage alimentaire représente 4,3 millions de tonnes de déchets par an. ➡️ Produits abimés, restes de repas… À l’origine de ces déchets se trouvent les ménages, mais aussi toute la chaine de production et d’acheminement des produits vers le consommateur! À l’occasion de la journée de l’alimentation, découvrez l’infographie « De la fourche à la fourchette, les déchets alimentaires s’accumulent » dans l’ADEME Infos Lien en commentaire👇 #ADEME #ADEMEInfos #Alimentation

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    «  Il y a aujourd'hui 4 fois moins d'animaux qu'il y a un demi-siècle ! » Grégory DERVILLE

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    Maître de conférences en science politique / Conférencier et formateur en permaculture et transition écologique des territoires

    Quelques nouvelles de l'#écoterrorisme – le vrai, pas celui que fantasment les andouilles en costume et en tailleur qui sont à la tête des États et des multinationales et des principaux médias. Selon le dernier rapport "Planète vivante" du WWF, qui compile des données sur 5.495 espèces à travers le monde, les populations d'animaux sauvages ont diminué de 73 % en 50 ans. Il faut essayer de bien se rendre compte de ce que cela signifie : sur cette planète, il y a aujourd'hui 4 fois moins d'animaux qu'il y a un demi-siècle ! Année après année, on se rapproche là aussi d'un point de bascule, c'est-à-dire d'un point au-delà duquel la dégradation d'un écosystème est tellement grave qu'il peut s'effondrer de façon brutale et irréversible – l'un des meilleurs exemples de ce phénomène est la disparition de la Grande barrière de corail d'Australie, qui est inévitable à brève échéance si on continue sur la même trajectoire. Les causes de cette véritable défaunation sont parfaitement identifiées : le changement climatique, la surpêche, la déforestation, l'agriculture et l'élevage industriels, la diffusion affolante de molécules chimiques… et derrière tout cela, le système capitaliste, productiviste et extractiviste qui met au-dessus de tout autre objectif la recherche obsessionnelle du profit pour quelques uns et de la croissance à tout prix (un jour peut-être je comprendrai comment des gens intelligents et cultivés peuvent ne pas comprendre cela). Les solutions, on les connaît aussi : restauration des zones humides, réintroduction d'espèces, création d'aires protégées gérées par les populations autochtones… Mais surtout, surtout, surtout, il n'y a strictement aucune chance d'inverser le processus de destruction du vivant si on reste dans le cadre du libéralisme décomplexé qui nous gouverne, si on ne transforme pas totalement nos systèmes énergétiques, alimentaires, financiers, fiscaux… Évidemment, c'est plus difficile à faire que de taper sur les zécolos en caricaturant leurs positions et leurs propositions, ou que de promettre que "dans quelques années tout ira bien grâce aux solutions technologiques"… Ce n'est pas l'écologie qui est "punitive", c'est l'absence d'écologie.

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    221  abonnés

    Arrêtez de vous voiler la face : changez maintenant ! (Dites le aussi aux autres) #StopClimatosceptiques

    Voir le profil de Marianne Coudert, visuel

    Redirection écologique I Pilotage de projets I Sensibilisation

    John Morales, météorologue américain, pleure. « C’est juste un ouragan incroyable, incroyable, incroyable. Il est tombé… 🥺 » « La pression est tombée de 50 millibars en dix heures. Je suis désolé. C’est juste atroce. » « Les mers sont tellement, tellement chaudes » « Vous savez à quoi c’est dû. Je n’ai pas besoin de vous le dire : le réchauffement de la planète, le changement climatique. » « Les conditions climatiques extrêmes causées par le réchauffement climatique m’ont changé. Honnêtement, VOUS devriez être bouleversés aussi et exiger des mesures pour protéger le climat. » Nous accueillons Kirk. Ils vont subir Milton.

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