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“65€ pour un sweat, c’est trop cher.” On l’a entendu, et honnêtement, on comprend. Quand on vend en ligne, on sait qu’il faut convaincre en un clic. Mais si les produits de notre collection 90’s kids commencent à 35€ jusqu’à 65€, on passe à côté de plein de clients qui voudraient tester notre marque sans forcément investir tout de suite dans une pièce plus chère. C’est pour ça qu’on a lancé nos chaussettes Made in France à 15€. Un petit prix, mais la même exigence : épaisses, résistantes, durables, et fidèles à nos engagements. Dans l’e-commerce, un produit d’entrée de gamme, c’est souvent la première étape pour découvrir une marque, sans risquer un investissement trop important dès le début. Le petit prix crée aussi une relation de confiance. Il permet de casser cette barrière psychologique du “je ne suis pas sûr de la qualité” et d’offrir une première expérience positive. Un produit comme celui-là, bien fait et abordable, peut marquer le début d’une vraie histoire avec la marque. Il suffit d’un petit geste pour transformer un curieux en client fidèle :) Pour toi, est-ce qu’un produit accessible peut être un bon moyen d’introduire une marque ? Notre collection dispo ici : https://lnkd.in/dNQQBfWi

On crée des vêtements intemporels dans une industrie obsédée par les tendances. Et croyez-nous, ce n’est pas toujours facile. Aujourd’hui, la mode fonctionne à l’effet wow, à la nouveauté, aux pièces qui deviennent virales en quelques jours. Les basiques, c’est ce que tout le monde porte, ce qu’on met tous les jours. Pourtant, ils n’ont pas le wow privilege. Et c’est là tout le défi. Comment se positionner comme la marque de référence pour des pièces intemporelles ? Parce qu’au fond, un bon basique, c’est celui qu’on garde longtemps, celui qu’on porte sans réfléchir, celui qui reste dans notre garde-robe, année après année. C’est un investissement dans le temps, pas dans la tendance. C’est exactement ce qu’on veut créer : des t-shirts qui ne sont pas tendance mais qui traversent les saisons. Des pièces avec une coupe parfaite, une matière de qualité et une couleur qui ne perd jamais de sa fraîcheur. Hier, on a sorti le 11ᵉ t-shirt de notre collection. 11 t-shirts en 2 ans. On prend notre temps pour proposer des pièces qui ne sont pas juste des produits de passage, mais des intemporels qui ont ce petit truc en plus. Chaque modèle est pensé pour durer, pour être porté encore et encore. Pour en savoir plus sur notre nouveau modèle, c’est juste ici : https://lnkd.in/eMeaqYud

Des milliers de jeunes sur TikTok relèvent le défi de ne rien acheter pendant un an. Ce challenge explose sur la plateforme ces derniers mois. En creusant le sujet, on s’est rendu compte que c’est pas juste une question d’économies. C’est une manière de remettre en question notre façon de consommer dans une société où on nous pousse à acheter toujours plus, toujours plus vite. Ce No Buy Challenge est aussi une forme de détox. Oui, on parle souvent de détox physique, mais on en parle rarement pour notre rapport à la consommation. En arrêtant les achats non essentiels, ces utilisateurs découvrent qu’ils ont plus de place pour se concentrer sur ce qui compte vraiment. C’est Elysia Berman qui a popularisé ce challenge. Tout a commencé avec un achat impulsif : elle entre dans une boutique pour acheter des gants et ressort avec un manteau à 600$. Là, elle décide d’arrêter, de tout documenter et de changer sa manière de consommer. Résultat ? Des milliers de dollars économisés, des dettes remboursées et une bien meilleure santé mentale. Moins acheter, ça ne veut pas dire juste économiser. Ça veut dire se libérer de cette obligation de toujours avoir plus. Et si cette tendance nous aidait à repenser ce que l'on croit être essentiel ?

Pourquoi la mode responsable n’attire pas les jeunes ? La fast fashion maîtrise les codes des jeunes, et ça marche. On t’explique pourquoi. Elle joue sur 3 leviers puissants : - L’ultra-trendy : Zara, NA-KD & co analysent les défilés en temps réel pour proposer des copies accessibles en quelques semaines. Résultat : des pièces qui collent aux tendances du moment. - Le prix : Des vêtements à 10, 20 ou 30€, qui permettent de renouveler son dressing sans se ruiner. - L’effet nouveauté : Chaque semaine, de nouvelles collections, une incitation constante à l’achat. Et pour couronner le tout, la fast fashion joue sur l’aspect social. L’impression que tu fais partie d’un groupe, que tu es à la pointe de la dernière tendance. Et la slow fashion dans tout ça ? Les marques responsables, elles, misent souvent sur l’inverse : des coupes intemporelles, des matières durables et une mode qui traverse les saisons. Essentiel, mais ça manque parfois de peps pour une génération dopée à la nouveauté. À nous, marques engagées, de proposer des alternatives qui séduisent vraiment 💪 Chez HonestMind, on essaie de trouver cet équilibre : des pièces intemporelles, mais jamais boring. On soigne les coupes et les matières pour que chaque pièce reste moderne, sans tomber dans l’ultra-trendy. Et pour rendre tout ça plus accessible à nos jeunes clients, on propose une solution de paiement en plusieurs fois, afin que le prix ne soit plus un frein à une consommation responsable. Et toi, tu penses qu’il manque quoi à la slow fashion pour capter vraiment l’attention des jeunes ?

On galère à trouver de nouvelles marques avec qui collaborer. Depuis 4 ans, on a co-créé avec 39 marques responsables et on voudrait continuer, mais c’est de plus en plus compliqué. On reste exigeantes. On veut des matières propres, mais à des prix justes. On sait que nos clients ne mettront pas 150 euros dans un pantalon, même s’il est éthique et Made in France. On pourrait accepter des compromis, comme augmenter nos prix et baisser nos marges. Mais ce serait ni rentable pour nous, ni le but d’une entreprise. On a choisi l’éthique et on ne va pas vous mentir, c’est pas le chemin le plus facile. Alors on lance un appel. Vous connaissez une marque qui coche ces cases ? Une pépite qui mériterait d’être mise en avant ? Taguez-les en commentaire ou écrivez-nous.

Les grandes marques commencent à comprendre : le “one size fits all” ne fonctionne pas. Une seule taille pour tout le monde, ça n’a jamais marché. Certains leaders ont commencé à changer la donne. Adidas a fait son mea culpa en 2022 avec sa campagne “Sorry Bra”, reconnaissant qu’il était temps de proposer des brassières réellement adaptées à toutes les morphologies féminines. Un peu tard, vous me direz. Mais quand une grande marque comme ça décide d’adapter ses produits à toutes les morphologies, ça envoie un message fort. Quand les géants bougent, le reste de l’industrie suit. Mais combien de marques continuent encore aujourd’hui de fermer les yeux sur la diversité des corps ? Le vrai problème, c’est que l’industrie a longtemps préféré la rentabilité à l’inclusivité. Parce que l’inclusivité, ça ne fait pas forcément gonfler le CA. Par contre, produire en masse avec le moins de variations possibles, c’est plus simple et plus économique. Mais c’est aussi nier une évidence : nous n’avons pas tous le même corps. Chez HonestMind, on fait de notre mieux pour écouter nos clients et étendre notre offre de tailles pour répondre aux besoins de chacun. Chaque année, on augmente notre panel de tailles et on essaie de créer celles qui nous sont demandées, même si ça engendre des coûts supplémentaires. On n’est pas parfaites en termes d’inclusivité, mais ce dont on est sûres, c’est qu’on avance chaque jour pour offrir des produits qui correspondent à notre clientèle.

Produire moins, c’est parfois plus rentable. Dans la mode, on a longtemps cru que produire en masse était la seule façon d’être rentable. Plus de volume = plus de bénéfices, non ? Faux. Aujourd’hui, surproduction rime surtout avec invendus, remises forcées et marges réduites. Sans parler des stocks dormants qui coûtent une fortune à entreposer. Produire trop, c’est prendre le risque de brader. Produire juste, c’est vendre au bon prix, limiter le gaspillage et optimiser la rentabilité. Certaines marques l’ont compris : elles misent sur le “made-to-order”, les précommandes ou les petites séries. Résultat ? Moins de déchets, une meilleure gestion de trésorerie et des clients qui attendent (et donc valorisent) leurs pièces. Nous, on a choisi d’ajuster notre production à la demande réelle. Nos stocks sont calculés en fonction des alertes stock, taille par taille, ce qui nous permet d’affiner progressivement nos quantités pour nous rapprocher toujours plus de la demande exacte. Notre dernier sweat en est la preuve : cette réédition a été produite selon cette méthode, et on sait déjà qu’il n’y aura pas de stocks dormants. À force de nous ajuster, on finit par taper juste. Et cette logique, on l’applique à toute notre collection, des sweats aux t-shirts. D'ailleurs si tu veux jeter un coup d'œil à notre dernière créa : https://lnkd.in/dJsr8S9q 👀

Vos vêtements sont-ils vraiment recyclés ? Spoiler alert : seulement 0,1 % des textiles sont réellement transformés en nouveaux vêtements. Si tu regardes de plus près les étiquettes de tes vêtements, tu verras que la majorité sont un mélange de fibres naturelles (lin, chanvre, laine) et synthétiques (coton, polyester, élasthanne). Quand tu mélanges tout ça, tu crées une fusion de matériaux qui rend le recyclage plus complexe. Un vrai casse-tête pour les technologies actuelles. D’ailleurs, côté pollution : le polyester est un carnage pour nos océans. Le plus fou dans l’histoire ? C’est aussi le polyester qui est le plus facile à recycler. Étant un plastique, il peut être déchiqueté, fondu et transformé en nouveaux matériaux grâce à un processus thermique. En gros, on utilise la chaleur pour décomposer les fibres. Le hic, c’est que les fibres naturelles, comme le coton, brûlent sous la chaleur et ne peuvent pas être recyclées aussi facilement. On n’a rien contre les fibres naturelles, bien au contraire ! Mais pour la création de nos vêtements, on choisit de limiter le nombre de fibres à 2 maximum. C’est une démarche qui permet à nos clients de donner une seconde vie à nos produits.

Ce n’est pas parce qu’un vêtement est cher qu’il est de bonne qualité. En faisant un peu de veille ce matin, on est tombées sur un hoodie à 790€. 100% coton, un tissu basique, rien de révolutionnaire. Vous avez bien lu, 790€ pour un sweat. Quelle est la différence de prix avec un sweat similaire d’une autre marque ? Principalement le nom. Parce que dans l’industrie du luxe, ce n’est pas toujours la qualité qui justifie le prix, mais plutôt la perception de la marque et le marketing autour du produit. Le coton, en soi, n’est pas un matériau rare. Alors, pourquoi payer plus cher ? On a tendance à penser que prix = qualité, mais dans le luxe, c’est le prix qui crée l’illusion de la qualité. 90% du prix, c’est le logo. La mode de luxe se repose sur son image, souvent au détriment de l’éthique et de la transparence. Mais la vraie question à se poser, c’est : est-ce que le prix élevé en vaut vraiment la chandelle en termes de durabilité, de fabrication et de conditions de production ? Avant de céder au luxe, souvenons-nous que la valeur d’un vêtement, c’est avant tout sa fabrication, sa durabilité et sa transparence. Les conditions de travail, la qualité des matériaux et l’éthique doivent être nos vrais critères. Le vrai luxe, c’est celui qui respecte à la fois l’humain et la planète.

“Produit bientôt épuisé”, “dernières pièces disponibles”, “rupture de stock imminente” Ces mots déclenchent souvent une réaction immédiate : cliquer, acheter, ne pas laisser passer. Ces fausses ruptures de stock sont créées pour booster les ventes. L’idée, c’est de faire croire que le produit est presque épuisé pour pousser le consommateur à acheter rapidement, par peur de le rater. C’est le principe du FOMO (Fear Of Missing Out), qui joue sur la peur de manquer quelque chose de rare. Une technique marketing qui, selon nous, manque d’honnêteté. Chez HonestMind, quand on dit qu’un produit est bientôt en rupture, il l’est vraiment. On produit en quantités limitées tout au long de l’année. Non pas pour créer un sentiment de rareté, mais pour répondre de manière juste aux besoins réels de notre communauté. Avant chaque production, on analyse la demande en tenant compte des retours de nos clients et des performances des articles précédents, comme les quantités vendues par modèle, par taille ou par coloris. Ça nous aide à identifier les produits et variantes les plus appréciés. À partir de ces données, on prévoit des quantités adaptées à chaque taille chaque modèle et chaque coloris. On préfère produire moins, quitte à faire un moins bon chiffre d’affaires si un produit cartonne. Ça nous permet de mieux comprendre vos attentes. Si la demande est là, on ajuste pour le prochain réassort, mais au moins on évite de surproduire inutilement.