"Dysfonctionnelles, complexes, obsolètes" : les Français portent un regard très négatif sur nos institutions. Pour autant, ils n’ont pas envie d’un grand soir, mais bien d’une évolution plus démocratique. Le quatrième article de notre dossier "Ve République : la fin de vie ?" est à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle. Eddy Vautrin- Dumaine David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli Verian Group CEVIPOF - Sciences Po
L'Hémicycle
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La revue qui aime la politique
À propos
L’Hémicycle est une revue trimestrielle indépendante. 100 pages d’analyses, d’entretiens, d’Histoire et d’histoires. Ses ambitions : décrypter un monde devenu de plus en plus complexe, explorer les nouveaux sens de la politique, raconter les combats des femmes et des hommes qui s’engagent, apporter une perspective historique sur notre époque.
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- Paris, Île-de-France
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- Fondée en
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- Information, Journalisme et Média
Lieux
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Principal
48, Rue Croix des Petits Champs
75001 Paris, Île-de-France, FR
Employés chez L'Hémicycle
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Ariane Hermelin
Journaliste indépendante
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Mariana Grépinet
Grand Reporter, ex Paris Match, aujourd'hui BFMTV, La Tribune Dimanche, L'Hémicycle. Enseignante IPJ Dauphine, EPJT. Doctorante à…
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François Clemenceau
Éditorialiste international à LCI et à la Tribune Dimanche
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Magali FORESTIER
Presenter & International News Reporter
Nouvelles
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Astrid LOUDET, Business Executive Europe du Sud, chez Sage, était l’invitée de Magali Forestier, dans « On se dit tout », sur L’Hémicycle TV. Leader sur le marché en matière de comptabilité intégrée, de paie et de système de paiement, avec plus de 10 000 collaborateurs dans le monde, Sage est « en évolution permanente, soit pour sortir de nouvelles versions de logiciels, soit pour entrer en conformité avec une réglementation qui bouge », explique Astrid Loudet, Business Executive Europe du Sud, chez Sage. Accompagnant plus de deux millions d’entreprises dans plus de vingt pays, la société perçoit l’émergence de nouveaux outils numériques comme une opportunité : « l’Intelligence artificielle va nous permettre de nous concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée, et laisser les tâches répétitives être traitées par cette technologie », appuie-t-elle. Engagée en faveur de la diversité et de l’inclusion « au quotidien », Sage affiche un taux de représentativité des femmes « à quasiment 50%, se félicité la dirigeante, et au comité de direction de Sage en Europe du sud, nous avons 60% de femmes ». Aux politiques, Astrid Loudet invite à créer « un groupe d’études au sein de notre Parlement » afin de travailler sur l’innovation et la numérisation, et ainsi « s’assurer que nos hommes politiques en font un sujet d’actualité permanente », développe-t-elle. Aussi, elle demande à bénéficier de davantage de « stabilité et de visibilité économique et politique pour pouvoir s’inscrire sereinement sur des projets », conclue-t-elle. Une émission à voir en intégralité sur la chaîne YouTube de L'Hémicycle : https://lnkd.in/gpxBHxtt David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli VL. TREMPLIN Handicap Collège de Paris
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Avec la crise créée par le résultat des législatives, la solution d’un exécutif composé d’experts inspirée de l’exemple transalpin, a fait couler beaucoup d’encre. Mais les quatre expériences italiennes d’équipes gouvernementales « techniques », toutes dirigées par des économistes, montrent qu’elles ne sont pas forcément transposables en France. Et qu’elles peuvent aussi produire des conséquences politiques néfastes. Le cinquième article de notre dossier "Ve République : la fin de vie ?", signé Anna Bonalume, est à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle. David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
Gouvernement technique : Le modèle italien | L'Hémicycle
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Dans une Assemblée agitée, l’examen en séance publique du projet de loi de finances (PLF) et du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) tournent à la course contre la montre. Selon les oppositions de gauche et d’extrême droite, l’arme de la temporisation utilisée par Michel Barnier « piétine » tout autant la démocratie parlementaire que l’usage du 49-3. Lequel finira par arriver, de façon quasi certaine. Un article à lire sur le site web de L'Hémicycle. Laura Audemar David Revault d'Allonnes Éric Revel Romain GIBERT Manuel Lagny Mathieu Gabai Oscar Pauli
Budget 2025 : le 49-3, mais quand ? | L'Hémicycle
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Thierry Coulhon, président du directoire de l'Institut Polytechnique de Paris, était l’invité de Magali Forestier, dans « On se dit tout », sur L’Hémicycle TV. Dans une société française où « les universités ont eu du mal à exister parce qu’elles étaient gouvernées par le pouvoir central », la situation a évolué : « Aujourd’hui, nous sommes dans une période de réarticulation et nous dépassons les oppositions grandes écoles / universités », analyse Thierry Coulhon, président du directoire de l'Institut Polytechnique de Paris, établissement public d’enseignement supérieur et de recherche qui réunit six grandes écoles d’ingénieurs françaises. Engagé en faveur de la diversité et de l’inclusion, l'établissement a mis en place « une stratégie qui repose sur le mentorat, l’accompagnement à tous les niveaux, mais aussi regarder les choses telles qu’elles sont, c’est-à-dire faire le travail d’analyse des flux », explique-t-il. Sur la représentativité des femmes dans le domaine scientifique, « il y a autant d’admises que de candidates » à l’Institut, constate le président. Pour lutter contre les « stéréotypes » et le phénomène d’ « auto-censure » installés, « il serait bon d’inciter les recteurs à encourager les proviseurs et les professeurs de lycée à demander aux filles de prendre maths expert, et à insister pour qu’elles ne se censurent pas », appuie-t-il. Au monde de l’enseignement supérieur, Thierry Coulhon adresse un message : « Cessons d’interpeller les politiques, prenons-nous en main, conseille-t-il, en ayant comme azimut les grandes missions, les compétences, la formation des jeunes, la recherche, l’innovation et les grands défis ». Une émission à voir en intégralité sur la chaîne YouTube de L'Hémicycle : https://lnkd.in/dhrtxYAB David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli VL. TREMPLIN Handicap Collège de Paris
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Toutes deux constitutionnalistes, spécialistes des institutions de la Ve République et professeures de droit public à l’université Panthéon-Sorbonne, Marie-Anne Cohendet et Anne Levade n’en ont pas moins de profondes divergences sur l’interprétation de la crise politique que nous traversons. Face à une situation actuelle qui "n'est pas une crise institutionnelle mais politique, une crise de la pratique", selon Anne Levade, la révision de la Constitution "n’est pas une bonne idée [...] dans une période d’instabilité alors qu’un tiers de l’électorat veut mettre à bas la démocratie.", estime Marie-Anne Cohendet. Le troisième article de notre dossier "Ve République : la fin de vie ?" est à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle. David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
Une Constitution en débat | L'Hémicycle
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Si le passage à une VIe République n’est en rien tabou, nul besoin, pour assurer la nécessaire « reparlementarisation » de notre régime, de modifier la Constitution : une loi ordinaire suffirait, notamment pour mettre en place le scrutin proportionnel. Dans ce second article de notre dossier "Ve République : la fin de vie ?", Benjamin Morel dévoile les chantiers envisageables pour "changer la nature de la Constitution" et "ouvrir très largement les voies de la démocratie directe", sans pour autant passer à une VIe République. Selon lui, "on peut, avec les meilleures intentions du monde, produire le pire des régimes car nul n’est capable de prévoir la délicate alchimie qui, dix ans après la promulgation du texte, en aura affecté le fonctionnement", analyse-t-il. Un article à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle. Benjamin Morel David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
Institutions : le grand chantier | L'Hémicycle
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Étoile montante du barreau de Paris, Robin Binsard défend à la fois « beaux mecs » fichés au grand banditisme et trafiquants de stups, élus et hauts fonctionnaires dans des dossiers financiers, ou encore des mis en cause dans des dossiers d’infractions sexuelles. Ce pur pénaliste déplore « l’instrumentalisation » de la justice au détriment de « personnes jetées en pâture dans les médias ». Un portrait à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle : David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
Avocat tous azimuts | L'Hémicycle
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Ancien magistrat, député, ministre de l’Intérieur, président de l’Assemblée nationale, puis président du Conseil Constitutionnel, et désormais comédien, Jean-Louis Debré était l’invité d’Hexagone, l’émission de L’Hémicycle TV, animée par la journaliste Valérie Trierweiler. Personnage incontournable de la vie politique française, Jean-Louis Debré, qui a quitté la scène politique en 2016, a été guidé toute sa vie par l’« obsession d’apprendre », celle qui permet d’échapper à « la résignation et au scepticisme », raconte-t-il. Dans son ouvrage En Coulisses, co-écrit avec Valérie Bochenek (Éditions Plon, 2024), ce personnage incontournable de la vie politique française se confie sur une baisse de « qualité » et de « tenue » du personnel politique : « Lorsque j’écoute les discours d’il y a 50 ans, ils transmettent une espérance, une foi, une passion. Quand j’écoute ceux d’aujourd’hui à l’Assemblée nationale, quelle tristesse », regrette-t-il. Sur les premiers pas de Michel Barnier en tant que Premier ministre des Français, il questionne : « Pourquoi ne pas avoir fait venir aux responsabilités gouvernementales, celles et ceux qui étaient majoritaires à l’Assemblée nationale ? », faisant référence à la coalition du Nouveau Front Populaire. Critique, il annonce que le gouvernement Barnier ne tient « que parce qu’il y a des combines, des intérêts, et tant que le Rassemblement national veut bien qu’il reste là », mais que celui-ci « ne durera pas ». Face à une situation budgétaire « catastrophique », l’ancien président du Conseil Constitutionnel souhaite « un gouvernement de salut public ». Il ajoute : « Je crois que nous avons tous intérêt aujourd’hui, à ce que nous retrouvions une crédibilité en Europe et dans le monde. J’ai envie de dire à tous, à la droite, à la gauche : arrêtez. Et commençons à nous unir, la France a besoin d’unité, de paix, de tranquillité ». Dans son ouvrage, l’ancien président de l’Assemblée nationale dévoile sa « thèse » sur l’actuel Président de la République : « Pour moi, Macron, c’est les illusions perdues ». Arrivé il y a sept ans au sommet de l’État, Emmanuel Macron porte, selon lui, l’échec politique de son parti, dont « il ne reste rien », mais aussi l’effondrement de la droite et de la gauche : « Une démocratie fonctionne avec une droite républicaine et une gauche républicaine. Nous aurions pu comprendre s’il avait construit quelque chose. Mais le parti macroniste n’existe pas », juge-t-il sévèrement. Une émission à voir en intégralité sur la chaîne YouTube de L'Hémicycle : https://lnkd.in/duvDuwBr David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
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Pendant près de sept décennies, elle a constitué un modèle de stabilité. Mais la présidentialisation continue du régime a fait du chef de l’État un personnage trop puissant, en décalage complet avec les attentes des Français d’aujourd’hui. De ce point de vue, le résultat des législatives de juillet dernier représente sans doute la fin d’une époque. Le premier article de notre dossier " Ve République : la fin de vie ?" est à lire dans la revue d'automne et sur le site web de L'Hémicycle. David Revault d'Allonnes Éric Revel Manuel Lagny Mathieu Gabai Romain GIBERT Oscar Pauli
La Ve République, grandeur et décadence | L'Hémicycle
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