Outremer Méditerranée -  Agence éditoriale

Outremer Méditerranée - Agence éditoriale

Médias audio et vidéo en ligne

À propos

Agence fondée en 1993, Outremer Méditerranée a d’abord évolué dans les domaines de l’hôtellerie 5 étoiles, de la décoration, du textile et de la culture avant d’opérer un virage vers la production éditoriale et la presse. Aujourd’hui, elle est notamment éditeur délégué du groupe Marie Claire pour le Sud et du nouveau média indépendant en ligne sudnly. Son engagement éditorial a conduit l’agence à s’intéresser à une forme de communication éthique, dans une démarche fondée sur l’exigence créative et la rigueur professionnelle, respectueuse des valeurs humaines. Privilégiant les sujets en adéquation avec ses convictions et sa sensibilité – modèles économiques vertueux, sujets à dimension culturelle, éco-responsable et solidaires –, l’agence tend à produire des stratégies éditoriales, des concepts et contenus aptes à soutenir une communication plus profonde et durable. Au cœur de nos compétences, du conseil en communication écrite à la production de contenu créatif, du brand content à la direction artistique de projets liés au monde de la création, de la culture et de l’art de vivre.

Site web
https://sudnly.fr/agence/
Secteur
Médias audio et vidéo en ligne
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Nice
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
1993

Lieux

Employés chez Outremer Méditerranée - Agence éditoriale

Nouvelles

  • Chez Païsan, on cultive les objets du quotidien, avec un sens très français du terroir, du bon sens et de l’excellence. Lisez donc l’histoire singulière de David, Nicolas et Régis, parisiens suractifs devenus cultivateurs d’objets durables dans le Finistère avec leur e-shop Païsan qui défend le savoir-faire made in France et une vision entrepreneuriale qui vise à recréer du lien. L’article complet est en ligne sur sudnly.fr et pour suivre toutes nos histoires, abonnez-vous gratuitement à notre newsletter hebdomadaire sur Kessel.media. À très vite ! Pour lire l'article complet : https://lnkd.in/dCdbFpNy

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  • Pour le grand psychanalyste américain Heinz Kohut, “un espace en apparence inanimé peut être aménagé par une personne animée. Dans ce cas, il devient une prolongation de cette personne”. Autrement dit, nous pouvons faire corps avec notre maison. Il est donc heureux d’apprendre que Marie Delattre, la fondatrice de la jeune marque de produits d’entretien Maia , les a imaginés comme s’ils devaient nous entretenir nous-mêmes. En somme, comme une gamme de produits de soins d’intérieur. Professionnelle du secteur, Marie connaît ce dilemme : faire grand propre génère des substances indésirables qui conduisent nos espaces de vie à être jusqu’à 5 fois plus pollués que l’extérieur. Un comble, surtout si vous n’avez pas de grenier. Pour atteindre la vraie propreté, celle qui ne laisse aucune trace toxique, elle a réuni 18 mois durant microbiologistes et pharmaciens autour d’une idée simple : en revenir aux détergents naturellement efficaces – coucou savon de Marseille, bicarbonate magique et vinaigre blanc – et puiser dans la cosmétique bio les actifs et enzymes qui finiront le job tout aussi naturellement. Place donc aux lessives écologiques délicatement parfumées, au spray parfait si propre qu’il autorise le contact alimentaire, aux nettoyants solides toutes surfaces ultra-moussants, sans oublier la collection spéciale bébé au-delà de tout soupçon. Le tout fabriqué en Provence avec des formules de naturalité proches du 100%. Une vraie cure de beauté donc pour la maison et ses doppelgängers. De là à comparer les tâches ménagères à une routine beauté, il y a tout de même un pas que votre conjoint ne devrait pas franchir. Relisez cet article sur la plateforme Kessel.media, dans la newsletter Sudnly intitulée "Bon anniversaire Agathe" ☀️ ⏩ https://urlr.me/tjP4n #produitsmenagers #respectdelenvironnement #ecologie #mediasud

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  • L’île rouge incarne le plus tragique des paradoxes : comment un territoire aussi riche de nature peut-il être l’un des pays où les humains sont les plus pauvres ? Jean Christophe PEYRE et Anthony Rabibisoa le savent mieux que personne.  Avec Floribis, ils veillent aux destinées d’un géant de la production de vanille dans le monde et sur le millier de salarié·es qu’emploie l’entreprise, pour la plupart à Madagascar. Une société aux process industriels mais à la dimension humaine, devenue premier artisan parfumeur de l’île. En se tournant vers l’univers du bien-être, avec la création d’Izaho Botanicals, les deux entrepreneurs prônent plus que jamais l’harmonie de l’humain et de la nature, selon les traditions ancestrales malgaches. En suivant une conviction : pour prendre soin des autres, il faut d’abord prendre soin de soi, ce moi que traduit le mot Izaho. Même s’ils ont une connaissance profonde des espèces endémiques de l’île, ils se sont entourés de scientifiques et d’experts de la santé pour mieux en saisir les principes actifs, qui viennent irriguer en bienfaits thérapeutiques la recherche et développement de leur laboratoire. À travers cette approche naturellement holistique qui associe intériorité, extériorité et environnement, les fondateurs d’Izaho contribuent à préserver la biodiversité, menacée à Madagascar comme sur la planète entière, tout en œuvrant à un projet d’économie sociale et solidaire, s’associant à des ONG environnementales et soutenant très concrètement des associations de cultivateurs. Et leurs produits ? Soins corporels spécifiques, blends aux plantes précieuses malgaches qui ciblent la réparation et la récupération, ou à spectre large pour une action détox et relaxation, fermeté et fraîcheur ou relipidante et apaisante, infusions de beauté intérieure ou soins signatures Duos, qui agissent dedans et dehors. Retrouvez vite cet article sur Kessel.media, dans l'édition de la newsletter Sundly intitulée "Retour de flamme". ☀️ ⏩ https://urlr.me/y2gDR #cosmétique #beauté #bienêtre #madagascar

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  • Rare est le navigateur auvergnat, région aussi difficile à joindre à la voile que par tout autre moyen de transport connu. Louis Chaumeil et Charles Tissier, jeunes entrepreneurs de Clermont-Ferrand, peuvent le regretter. Un bon vent pourtant les porte bien au-delà des frontières de leur ville, par la magie d’un bracelet frappé d’une rose des vents justement. Cette médaille fétiche, ils décident un jour d’en passer commande auprès d’un atelier de la région lyonnaise, fabricant de médailles estampées labellisé EPV, pour les fixer sur un cordon à nœud produit dans le Puy-de-Dôme. Vous l’avez compris, les deux amis ambitionnent de lancer leur marque de bracelets à faible impact environnemental, loin des problèmes d’extractivisme que connaît la bijouterie traditionnelle, et fabriquée en France. Le succès est foudroyant et propulse leur marque baptisée Le Vent à la Française vers des succès exponentiels. D’abord imaginées pour homme, leurs créations inspirées de l’univers nautique se sont diversifiées, gardant avec raison le cap initial : qualité, simplicité, petits prix, garantie à vie et fabrication française. Preuve que le made in France peut prendre le large, quel que soit son port d’attache. Retrouvez cet article sur la plateforme Kessel.media, dans l’édition de la newsletter Sudnly, sous le titre “et là, on fait quoi ?” #leventalafrancaise #fabriqueeenfrance #bracelets #artisanat #faitmain #handmade #mediasud

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  • Les moins jeunes d’entre vous se souviennent sans doute qu’au mitan des années 80, Plastic s’appelait Bertrand. À l’époque, bien sûr, ça planait pour lui, dans la lancée des glorieuses sixties où le plastique fleurait bon la modernité colorée et le bonheur pop à bon marché. Aujourd’hui, cet enthousiasme s’est franchement refroidi, spécialement dans les milieux marins qui voient chaque année un demi-million de tonne de déchets plastiques ajouter au désastre (si vous n’avez pas idée de ce que cela représente, allez donc faire quelques brasses dans l’Atlantique entre Hawaï et la Californie, où le sinistre 8e continent de plastique couvre une surface équivalente à 3 fois la France). Moins héritiers de Joe Colombo ou d’Anna Castelli Ferrieri qu’enfants de la tendance actuelle du design post-industriel, Chris Belmonte et Dylan Casasnovas ont retourné le problème en endossant, avec leur studio de création et pragmatisme, l’identité de Plastic & Fils. Leur crédo, faire des déchets plastiques une matière de qualité, solide, durable et réutilisable. Démonstration, leur étagère Dapple en Polyéthylène Haute Densité recyclé, qui équivaut à 20 kg de plastique extirpés de nos eaux bleues et plages méditerranéennes. Autre exemple, Sea You, poubelle conçue pour l’espace urbain habillée de tuiles plastiques recyclées et recyclables, fabriquées à l’aide d’un four solaire pour garantir un impact réduit et mieux recueillir les déchets. Entre une planche à découper effet faux marbre créée pour le Youtubeur Whoogy’s, une collab’ avec la Villa Noailles et une sculpture mutante de flamant rose pour la Métropole Toulon Provence Méditerranée, les deux plastic boys se prêtent à tout projet sur mesure. C’est fantastique. Retrouvez cet article sur la plateforme Kessel.media, dans l'édition de la newsletter Sudnly, sous le titre “J-3 avant le Jour de la Terre”.☀️ ⏩️ https://urlr.me/n95s1 #plastiquerecyclé #zerodechet #ecodesign #mobilierurbain #marseille

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  • Toute la France est envahie par la fast fashion et l’industrie mondialisée. Toute ? Non. Comme autant de petits villages gaulois, des manufactures historiques continuent contre vents et marées de perpétuer un savoir-faire ancestral et une qualité inaltérable. Chaque mois de janvier, Nicolas Barbero et Antoine Bourassin parcourent la France à leur rencontre pour reconstituer notre patrimoine domestique national. Un bien commun devenu si riche qu’ils ont dû offrir un nouvel espace à leurs Trésors Publics. Le Grand Tour, en vogue aux XVIIe et XVIIIe siècles en Europe, réunissait esthètes et artistes dans un voyage initiatique aux sources de l’art de leur temps – en particulier, en Italie – notion que l’on connaît aujourd’hui sous sa forme hélas massive et dévoyée de tourisme en short. Le Tour de France, dans sa version pédestre s’entend, qualifie l’itinérance qu’exige la formation des apprentis artisans dans la perspective du compagnonnage et dont la tradition remonterait selon l’Ancien Testament à l’édification du Temple de Salomon. Lisez vite la suite de l'article sur Sudnly.fr #patrimoinedomestique #savoirfairetraditionnels #mediasud

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  • Casse-bonbon, badass, happy, human (after all), la galerie de portraits imaginés pour la première collection capsule de la jeune marque Allmemberz nous affranchit d’emblée sur son état d’esprit. Son vestiaire urbain pour kids en liberté a la capacité de faire disparaître les barrières du genre et reculer la fast fashion. Comme beaucoup de parents en effet, Delphine l’a rêvée, cette marque facile à vivre, à l’esprit fun et pop, et à la fabrication irréprochable. Sauf qu’elle l’a fait. Avec maturité et conscience mais en assumant ses penchants d’éternelle ado. Le résultat est un joyeux mix no gender de style actuel, pimpé au gré de références culturelles eighties et nineties, largement infusé de coolitude skate, de prêt-à-porter fièrement et d’artisanat made in nord du Portugal, minutieux sous toutes les coutures. De collections au kilomètre et de saison, ici, pas question, les créations de la marque s’inscrivant dans des séries limitées et numérotées qui lorgnent du côté des éditions d’artistes. Aux parents, désespérés d’avoir en guise d’enfant un clone de grande enseigne mondialisée, aux enfants, ravis de saisir l’occasion d’affirmer leur personnalité, il est temps de prendre votre carte pour un club où tout le monde peut vraiment se reconnaître, ALLMEMBERZ. Retrouvez cet article et d’autres encore sur l’espace Sudnly hébergé par Kessel.media, dans l’édition de la newsletter intitulée « Attention aux émissions » ☀️ ⏩️ https://urlr.me/1gVfD #jeunemarque #Allmemberz #antifastfashion #modeenfants #modeados #nogender #inclusivité #mediasud

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  • À l’heure où les grandes puissances spatiales relancent la course à la lune, dans le fol espoir sans doute d’exploiter une planète B, Blandine gayaud garde les pieds sur terre. En l’occurrence, celle de sa région natale et de cœur, les Hautes-Alpes. Une terre dont les plaines et les montagnes regorgent de ressources naturelles qui lui ont inspiré une marque de cosmétique exemplaire, capable d’offrir de la beauté en partage. Le bon lait d’ânesse des producteurs locaux dispense ses vertus apaisantes et régénérantes, associé au miel de montagne des Alpes certifié médaille d’or et, sensiblement plus exotique, au beurre de karité. En revanche, les graines de grenade au pouvoir antioxydant dont Blandine a fait l’ingrédient innovant et suractif de sa gamme bio s’avèrent 100% endémiques, récoltées au soleil de Provence. Décidée à donner le meilleur de la nature haut-alpine et d’elle-même, la jeune femme a placé sa marque Lune pour L'autre sous l’égide protectrice de l’astre féminin, témoignant d’un engagement qui parle de confiance, de sororité et de solidarité. La vraie beauté est celle qui se partage. Relisez cet article sur Kessel.media, dans l'édition de la newsletter Sudnly intitulée “J-3 avant le Jour de la Terre” ☀️ ⏩ https://urlr.me/HPvDN #LunePourLAutre #cosmetiquenaturel #HautesAlpes #Bio #IngrédientsNaturels #mediasud

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  • 2020. François Siffrein Blanc, réduit à l’inaction par la pandémie dans son showroom de mode marseillais, cherche une idée mode pour accessoiriser ses silhouettes. Inspiré par un besoin de légèreté, d’amour et de fun, il choisit de renouer avec l’esprit des années 70 et le style suédois en imaginant une collection de sabots un peu folle baptisée Hööf. Mars 1811, Nottingham, East Midlands, Angleterre. La nuit est fraîche mais une foule active se bouscule dans l’obscurité. Au petit matin, 50 métiers à tisser, bijoux de mécanique, sont découverts réduits en pièces dans les ateliers de la ville. On soupçonne alors les ouvriers textiles, dont la manifestation contre les conditions de travail engendrées par la Révolution Industrielle naissante a été durement réprimée la veille. S’ensuivent une série de missives signées d’un mystérieux Ned Ludd, toutes adressées aux patrons des sociétés textiles et qui les menacent de nouvelles destructions de machines. Si l’épisode signe clairement le point de départ de la célèbre révolte des Luddites, plus obscure en revanche est l’origine du mot sabotage, qui lui est étroitement associé et dont l’idée fera florès à travers l’Europe, au gré des luttes syndicales qui grondent et des conflits armés à venir. D’aucuns pensent que les sabots des ouvriers, introduits dans les mécanismes, auraient servi à les détruire. D’autres évoquent la tradition des typographes, qui consistait à jeter dans une poubelle en forme de sabot géant les caractères en plomb mal fondus ou inutilisables. D’autres enfin parlent du bruit assourdissant que feraient les sabots de bois, heurtant de concert le pavé de la vindicte sous lequel point de plage. Pour en découvrir davantage, lisez vite la suite de l'article sur Sudnly.fr ainsi que sur la plateforme kessel.media dans l’édition de la newsletter Sudnly « Retour de flamme »! ☀️ #sabots #mode #designcoloré #mediasud

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  • Vous allez être ravie d’apprendre qu’il existe un déodorant de taille à vous accompagner jusqu’au bout de vos journées actives et surtout, dépourvu de sels d’aluminium, benzophénone, benzyle salicylate et autres perturbateurs endocriniens qui se sont longtemps nichés dans les rutilants contenants de l’industrie cosmétique. Un univers que Stéphanie DEFOUR connaît trop bien, pour y avoir fait ses armes et opposé ses convictions personnelles. Après avoir traversé le monde sac à dos, elle décide d’assumer ces convictions en prenant son propre envol avec Un Battement d'aile impulsé par un voyage décisif au Costa Rica. Son effet papillon, qui ne provoquera peut-être pas de tempête au Texas mais sans doute un rayon de soleil dans votre vie, tient en 4 déodorants qui enferment dans leurs boîtes en alu recyclable des compositions solides, 100% naturelles et tout aussi efficaces. À appliquer d’un doigt pour des heures de fraîcheur naturelle tandis que Stéphanie reverse une partie de ses bénéfices à Reforest’Action qui plante des arbres et non des PFAS. À relire sur Kessel.media, dans l’édition de la newsletter Sudnly intitulée "détruisez cet e-mail après l’avoir lu" ☀️ #Bio #CosmetiquesNaturels #ConsommationResponsable #UnBattementdAile #MagasinsBio #ProduitsBio #BienEtreNaturel #Ecologie #SanteNaturelle #ChoixResponsable #BioEthique #MagasinBio #NouveautesBio #decouvertebio #mediasud

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