En 1968, les étudiants ne voulaient plus perdre leur vie à la gagner. Aujourd’hui, ils ne veulent plus détruire celle des générations futures. 🌱
3/4 d’entre eux estiment que leurs études ne les rendent pas capables d’affronter les défis en cours. C’est notre rôle de les y préparer.
Nous prêtons main forte aux écoles de commerce et aux écoles d’ingénieurs grâce à un programme clef en main, dispensé sur plusieurs années : Raisons d’agir.
Les compétences que nous participons à développer : l’esprit critique, l’aptitude à la prise de décision, le discernement, appréhender sa place dans le monde et sa responsabilité vis à vis d’autrui, la capacité à s’orienter dans les grands défis éthiques contemporains, de reconnecter à soi et aux autres, sont attendus par la jeunesse autant que par nos entreprises.
Pour le besoin spécifique de certaines écoles, une formation dédiée à vous formateurs est possible. Elle reprend synthétiquement nos méthodes suivi d’un accompagnement de trois mois pour faciliter l’intégration de nos outils dans vos parcours de formation.
Il n’y a plus de temps à perdre ! ⏰
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Nous préparons le futur et prenons soin du présent.
Par des parcours jalonnés de conférences, formations et co-développements, nous accompagnons également les entreprises par une réflexion pluridisciplinaire mêlant philosophie, psychologie et coaching, autour de trois thèmes, véritables piliers de l’économie de demain : justice, responsabilité, coopération.
Ces programmes ambitieux vous permettent de :
- trouver des solutions qui vous ressemblent;
- renouer avec votre vision du progrès plutôt que de miser sur l’innovation systématique;
- remettre le travail au centre autant que l’humain;
- resacraliser les mots comme bienveillance, solidarité, sobriété, et laisser chacun dans votre entreprise de les approprier et les investir concrètement.
En moins d’1 an, nous transformons votre organisation.
Pourquoi sommes nous si nombreux à AVOIR tout sans que cela ne nous apporte entière satisfaction ?
Un début de réponse avec Marianne qui nous parle SENS au travail sur B SMART !
La perte de confiance en soi, problème personnel ou mal du siècle ?
Christopher Bénil 🍀remet les choses à plat sur ce qu'est l'estime de soi, et comment la défendre devant toutes les attaques qu'elle subit.
La compétition des réseaux sociaux, le culte de la performance, mais aussi l'incertitude face à l'avenir peuvent nous blesser dans notre estime de nous même.
Et si nous prenions un peu de hauteur ? Comment lutter ? Quelles autres réponses pouvons nous donner à ce vertige ?
D'abord en agissant face à ce que nous POUVONS changer, c'est ce que nous dit Marc-Aurèle : "Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé; et le courage de changer de qui peut l'être; mais aussi la sagesse de distinguer l'un de l'autre."
Voilà peut être pour notre quotidien.
Quant à l'avenir, Sénèque nous dit aussi :
"Il n'y a pas de vent favorable à celui qui ne sait où il va".
Deux sages paroles qui peuvent compléter et orienter vers où porter nos regards...
On prépare les décideurs engagés de demain I Des enjeux éthiques, sociaux, environnementaux ? Transformons votre entreprise en moins d'1 an
La perte de confiance en soi, problème personnel ou mal du siècle ?
Revoyons nos classiques !
En tant que jeune, il est facile de se sentir atteint dans son estime de soi. A l’heure des réseaux sociaux et de la surexposition permanente à la pseudo réussite sociale, où l’on vante un culte de la performance constant, et sur tous les aspects de nos vies : notre assiette, notre corps, notre travail, que faire face à tant d’attaques contre notre équilibre ?
🔆 Rappel : l’estime de soi est en lien étroit avec la cohérence que nous entretenons entre notre identité, nos rapports aux autres, mais aussi nos actes. Elle est aussi en lien avec notre façon de nous percevoir.
Pourtant, la confiance en soi et l'estime de soi sont encore trop souvent mal distinguées, et nous pouvons vite nous y perdre. Petit éclairage sur une notion clef de notre épanouissement.
Voici ses trois piliers : l'amour de soi, l'image de soi, et la confiance en soi.
1️⃣ L’amour de soi inconditionnel, s'aimer au delà des performances, il est notre bouclier face à l'adversité, essentiel pour se reconstruire après un échec.
2️⃣ l’image de soi : subjective, elle peut être notre force ou notre limite.
3️⃣ la confiance en soi : concerne les actes, elle se traduit par notre capacité à agir efficacement, essentielle pour maintenir et développer notre estime de soi au quotidien.
Astuces simples pour travailler respectivement chacun d’eux :
✔ Soyez votre meilleur ami. Chaque fois que vous vous surprenez à être sévère envers vous même devant un échec, n’oubliez pas d’être votre premier soutien et de ne pas y rajouter d’autoflagellation.
✔Osez vous regarder tel que vous êtes, acceptez vous. Ce que vous détestez en vous n’est que du beau en devenir. De la même façon que vous êtes ce que vous mangez, vous devenez l’information que vous consommez.
✔Commencez là où vous en êtes. Débloquez vos compétences les unes après les autres. Mettez vous dans des conditions favorables afin d’agrandir votre confiance en vous par des actes abordables et répétés.
Et enfin, on ne le dira jamais assez, apprenons à moins nous prendre au sérieux ! Un peu d’autodérision, apprendre à se moquer de soi même est un pas décisif pour dédramatiser.
Avec Raisons d'agir, nous proposons à vos étudiants un espace de dialogue pour développer leur esprit critique.
Ils sont déjà plus de 250 à en avoir bénéficier ! ↗
L'idée est toute simple mais l'enjeu est de taille : arriver à se faire sa propre opinion, et pour ça déconstruire ses propres préjugés, mais aussi décrypter la réalité, puis rassembler l'ensemble du puzzle en un tout cohérent et plus proche de sa vérité.
On y va ensemble ?
🍀 On prépare les décideurs engagés de demain | 💪 Pour la transition écologique et sociale | 💼 Philosophe d’entreprise (Conseil-Formation-Conférences) | ✍️ Présidente de La Pause Philo Média (+30k lecteurs/mois)
🙌 Ce n’est plus le moment de faire l’autruche sur les enjeux climatiques et sociaux : il faut agir, et les établissements d’enseignement supérieur ont un rôle majeur à jouer
🏫 On commence à le voir apparaître également du côté des pouvoirs publics, il est désormais incontournable d’aborder les questions de transition écologique et de justice sociale auprès des jeunes en formation
✊ C’est également une attente centrale de la part des étudiant-es, comme le montrent des mouvements tels que Pour un réveil écologique
👉 Nous ne sommes plus dans l’anecdotique mais dans le mouvement de fond
🍀 Aussi, du côté de Quatrième Feuille, nous sommes convaincus que les sciences humaines et sociales peuvent nous aider à décrypter la métamorphose éthique, sociale, et environnementale en cours
👩🏫 Avec Raisons d'agir, nous proposons à vos étudiants un espace de dialogue pour développer leur esprit critique, à travers un programme clef en mains et des intervenant-es spécialisés
📚 Philosophie, sociologie, psychologie… Nous mobilisons de nombreuses disciplines des SHS pour venir p(a)enser les maux de notre temps
💪 Loin d’une approche magistrale et descendante du savoir, nous adoptons une pédagogie active, permettant à chacun-e de bénéficier d’un espace où s’approprier ces enjeux complexes
🚨 N'hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus !
Quatrième FeuilleChristopher Bénil 🍀Emma PitzalisEcopiaECOR Education
La flemme, un vilain défaut ?
Et si c'était au contraire un outil ?
Le monde du travail est largement régi par le culte de la performance, de la motivation permanente ou de l'engagement sans faille...
Mais est-on vraiment plus efficace quand on s'enquille des journées de plus de dix heures, six ou sept jours par semaine ? Apporte-t-on plus à son entreprise quand on pioche dans son temps de repos ou pire, son temps familial ? Accomplissons-nous réellement bien notre mission lorsque nous ne prenons pas le temps de relever la tête ? Pouvons-nous aimer ce que nous faisons dans ces conditions ?
Je parle assez peu à la première personne dans mes posts, mais une fois n'est pas coutume...
J'ai été journaliste pigiste pendant plus de dix ans. Pour "se faire" un bon salaire à la fin du mois : ne pas compter ses heures. Pour nourrir l'espoir d'intégrer une rédaction avec un contrat pérenne : ne pas compter ses heures. Mais aussi accepter toutes les missions les plus contraignantes dont les salariés les mieux installés ne veulent pas...
Je ne vais pas mentir en disant que cela ne donne aucun résultat : plus on est disponible, plus les rédacteurs en chef vous donnent du travail (si vous le faites bien). Plus vous vous habituez à travailler beaucoup et à toutes les heures, plus votre "force de travail augmente"...
Oui mais... On ne peut pas être en surrégime tout le temps, à un moment, au mieux, on n'est plus productif, au pire, on explose en vol...
J'ai eu la chance de prendre conscience de cette limite physiologique et mentale assez progressivement, et suffisamment tôt. Et je suis un peu fier de l'avoir acceptée... Parce que grâce à cela, j'ai réussi à comprendre comment je fonctionnais le mieux : en sanctuarisant des moments de répit, pour moi et mes proches.
Que s'est-il passé lorsque j'ai volontairement décidé de réduire mon temps de travail au risque de réduire mes revenus ?
-Je me suis senti mieux physiquement
-Je me suis senti plus frais mentalement
-J'ai remis au clair l'ordre des priorités dans ma vie
-Je suis plus efficace et aussi plus heureux
-Je ne gagne pas moins bien ma vie...
Tout ça grâce à quoi ? La flemme.
Il fallait donc rendre hommage à cette sensation souvent mal considérée. J'ai donc demandé à Marianne Mercier de philosopher sur le sujet... Et comme à chaque fois, elle est passionnante.
C'est le dernier épisode de #SMARTPHILO >>> https://lnkd.in/egZRJczs
PS : si vous avez la flemme 24h/24, c'est peut-être un peu plus que de la flemme...
BSMART#procrastination#repos#flemme
🍀 On prépare les décideurs engagés de demain | 💪 Pour la transition écologique et sociale | 💼 Philosophe d’entreprise (Conseil-Formation-Conférences) | ✍️ Présidente de La Pause Philo Média (+30k lecteurs/mois)
😴 Le bonheur au travail, c'est bon on a fait le tour, on peut passer à autre chose ?
➡ Le sujet du bonheur / bien-être au travail a été un marronnier qu'on tend aujourd'hui plutôt à décrier, et c'est sans doute pour le mieux...
À force de réduire le bien-être au travail à une problématique individuelle, en imaginant que ce que les gens recherchent c'est d'être traité comme des enfants avec babyfoot et distributeur de M&M's dans la salle de pause, on a finit par perdre totalement de vue le fond du problème.
Ce qu'on a tendance à attendre aujourd'hui, c'est surtout de sortir des bullshit jobs, et d'avoir un boulot qui a vraiment du sens pour nous.
🌱 Mon hypothèse, c'est que si les sujets de la transition écologique et sociale sont désormais sur le devant de la scène, c'est précisément pour venir combler ce manquement (c'est d'ailleurs l'axe que l'on a décidé d'adopter avec Quatrième Feuille dans nos accompagnements).
Qu'en pensez-vous ?
🍀 On prépare les décideurs engagés de demain | 💪 Pour la transition écologique et sociale | 💼 Philosophe d’entreprise (Conseil-Formation-Conférences) | ✍️ Présidente de La Pause Philo Média (+30k lecteurs/mois)
⚡ Affrontons-nous un choc des générations ? ⚡
C’est l’un des clichés incontournable, dès qu’on parle de culture d’entreprise on revient à cette idée que la Gen Z serait une horde d’aliens qui ne respectent aucun code du monde du travail 👽
Mais ce qu’on ne voit pas en se concentrant sur les jeunes, c’est que dans le fond ce n’est pas qu'une histoire de tranche d’âge, mais un changement de paradigme plus global de notre rapport au travail 👴 👵
Les 18-25 ans sont loin d’être les seuls à se poser la question du sens, à rechercher l’indépendance, à vouloir un job qui soit au service de leur vie et non pas l’inverse… 🧘♀️
Il s’agit de valeurs de plus en plus partagées par l’ensemble des actifs, et la différence de la Gen Z avec les générations d’avant, c’est que eux ont grandi dedans, et que tout simplement ça leur semble plus évident de défendre cette vision 🤷♀️
Bon, il y a peut-être UNE différence majeure qui existe entre les générations, sur les usages du numérique, mais là encore est-ce qu’on peut dire que seuls les jeunes sont scotchés à leur smartphone… La détox ça serait utile pour beaucoup ;)
Quatrième FeuilleChristopher Bénil 🍀Emma Pitzalis
❌ NON, je ne suis pas "aligné", et je ne le serai jamais ❌
Désolé de vous décevoir, mais j'en ai plus qu'assez d'entendre partout :
"Aligné avec toi"
"Je suis aligné avec ce projet"
"Complètement aligné"
Si être dans le vent c'est une ambition de feuille morte, être aligné, c'est une ambition de petit soldat.
Et pour ma part, je n'ai pas envie d'être l'exécutant d'un capitalisme fou 🤡
Je resterai toujours le même :
- Méfiant devant les évidences;
- Empêcheur de penser en rond;
- En quête de sens.
Dépassons ces mots qui nous enferment et qui nous alertent sur ce que l'époque fait de pire : des clones.
Par pitié, soyez vous même, soyez décalés, bousculez votre service, votre entreprise, challengez votre vie et vos idées, mais arrêtez de tout accepter.
Ce n'est pas parce que ça sent la rose que ça en a le goût.
L'alignement, c'est le nouveau patriotisme primitif, comme dans Orwell :
" Ce n'était pas nécessaire que les prolétaires puissent avoir des sentiments politiques profonds. Tout ce qu'on leur demandait, c'était un patriotisme primitif auquel on pouvait faire appel à chaque fois qu'il était nécessaire de leur faire accepter plus d'heures de travail ou des rations plus réduites. Ainsi, même quand ils se fâchaient, comme ils le faisaient parfois, leur mécontentement ne menait nulle part car il n'était pas soutenu par des idées générales. Ils ne pouvaient le concentrer que sur des griefs personnels et sans importance."
Et la phrase suivante, qui en dit long : " Les maux les plus grands échappaient invariablement à leur attention".
Voilà où on en est.
Vous pouvez aussi aller voir du côté de Agnès Vandevelde-Rougale et son précieux " La novlangue managériale".
Si un cas pratique vous intéresse, vous avez aussi Thibaud Brière et "Toxic Management".
Le langage structure le réel, construit les savoirs, décrypte et décrit notre monde, ou le voile d'un épais brouillard...
Toutes ces expressions, que nous laissons pénétrer dans notre façon de nous exprimer, simplifient tout et appauvrissent notre vocabulaire.
Si bien qu'à la fin, tout sera "normal" et "conforme". D'ailleurs, il n'y a pas plus banal que la "compliance" aujourd'hui.
C'est bien plutôt d'un service de "contrast" dont nous aurions besoin, pour faire apparaitre, par une mise en perspective, nos leviers de changements.
Ou bien encore, comme en parle Christophe Dejours dans son livre "Ce qu'il y a de meilleur en nous", nous avons besoin d'activité déontique, d'un lieu dédié à l'exploration de nos biais, mais aussi d'un lieu où nous pourrions faire le point sur le cadre qui nous guide.
Plus que nos propres prestations de conseils en organisations, c'est d'une institutionnalisation au sein même de l'entreprise qui est nécessaire.
Mais déjà, ce post nous transporte bien loin, je suis curieux d'avoir vos avis.
Noetic BeesQuatrième FeuilleFaire PhiloLa Pause Philo
Aujourd'hui, on déconstruit un mythe : le travailleur AGILE.
Mais avant, revenons juste une seconde sur le propos ci-dessous.
Sur le moi, le soi, et toutes ces entreprises qui veulent des moines-soldats.
Au fond, j'ai déjà parlé ici du sujet de l'alignement, du problème qu'il y a, à être un peu trop "dans les clous".
Mais l'exacerbation du Moi et l'exhortation au Soi, comme je l'ai expliqué, c'est un peu différent. Car ce qui est visé au fond : c'est l'agilité.
Oui, cet autre grand mot moderne. Ou alors, un autre qui le remplace parfois : la flexibilité. 👌
Que dis-je la flexibilité, l'ADAPTABILITE. Il n'y a plus un CV de jeune diplômé sans que je vois ce mot débile. ( j'ai dis ça moi ?)
Ok, on comprends l'idée, on parle parfois d'ouverture d'esprit au mieux, et au pire, résistance au stress. Madame CLAUDE, je te laisse le champ libre pour déglinguer cette attente horrible, je dois rester focus. 😭
Bref, l'agilité donc, cette pseudo compétence, ce mythe du travailleur qui s'adapte. J'ai une mauvaise nouvelle, CELA N'EXISTE PAS.
Pourquoi ? Parce que TOUS LES TRAVAILLEURS S'ADAPTENT EN PERMANENCE.
Et même ceux qui pour vous sont des exécutants. Summum du mépris d'ailleurs.
L'exécutant soit disant "dans le dur", celui qui procède par action quand l'autre est dans le "ciel des idées", dans la conception, cet exécutant la n'existe que dans vos clichés.
Tous les travailleurs au monde ont une activité différente des tâches que les managers ( attention, c'est des intellectuels ces gens là !) leurs ont donner.
Ouvrez les yeux. La réalité dépassera toujours vos tableaux excels et vos processus.
Pardon pour Bpifrance parce que vous êtes un peu concerné, mais à part lorsqu'ils vous demandent des sous, tous les entrepreneurs rigolent en coulisse des plans sur la comète qu'on leur demande.
Et c'est pareil au bout de la chaîne de production quand les consignes arrivent.
Certes, le parallèle est un peu rapide et inattendu, mais c'est venu naturellement.
Et c'est là que je place une phrase que j'adore :
La réalité est trop lourde pour être enveloppé par le voile du concept, qu'elle déchire toujours.
Essayez en soirée, ça marche bien.
Quatrième FeuilleLes Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens (Les EDC)
" J'ai l'impression que les autres ont une très bonne estime d'eux même, alors que moi ..."
Voilà ce que m'a dit un étudiant d'Elije lors des Bilans d'aptitudes étudiant.
Peut-être que c'est votre cas, alors voici une partie de la réponse que j'ai apporté :
L’estime de soi est une valeur fragile et changeante. Elle augmente chaque fois que nous agissons en respectant nos standards et diminue chaque fois que notre comportement les contredit. Elle varie en fonction de nos succès et de nos échecs et du regard que les autres portent sur nous. Il est donc possible qu’elle soit haute ou basse selon les périodes de notre vie. L’estime de soi nécessite d’être régulièrement alimentée. On parle alors de nourritures de l’estime de soi (indispensables à l’ego) que sont l’Amour et la Reconnaissance.
Evidemment je ne rentrerai pas dans les détails, mais comprenez que l'estime de soi est un capital qui s'érode.
Si vous êtes cloué au lit 3 semaines, et que le jour de la reprise vous devez présenter un compte-rendu devant 150 personnes, même grand orateur, cela restera difficile, car vous aurez manqué de ces fameuses "nourritures" pendant longtemps.
De même, si vous êtes au chômage depuis longtemps, et que vous devez reprendre une activité professionnelle, je vous invite à faire preuve de bienveillance envers vous même.
Ces hauts et ces bas sont communs ! Nous passons tous par là, pas d'inquiétude.
La semaine dernière, nous avons fêté +1000 étudiants accompagnés grâce au Bilan d'aptitudes étudiant avec Arthur Menage, 🟨 Sonia Bouzidi-Lienard 🟨 et Marianne Mercier. 🎉
Je précise qu'il s'agit d'accompagnements individualisés. 😉
Merci à Vanessa ELKAIM RIMMER et son équipe de permettre d'offrir ce moment privilégié à ses étudiants. Merci Antoine Bertheux sans qui ce projet n'aurait jamais vu le jour.
Chers étudiants, je profite de ce post pour vous annoncer une grande nouvelle :
✨ le Bilan d'aptitudes étudiant sera bientôt ouvert à tous ceux qui le souhaitent via un parcours spécifique sur la plate-forme, avec un agenda dédié. ✨
Ce sera aussi l'occasion pour ceux qui en ont déjà bénéficié de poursuivre leur accompagnement sur des thèmes comme la motivation, l'insertion professionnelle, les entretiens d'embauches, ou encore l'estime de soi.
Je vous communique les informations très prochainement !
On continue.
Quatrième Feuille
Clap de fin pour les Bilans d’aptitudes étudiant du Kampus de Strasbourg où j’ai rencontré les étudiants d’ESARC, ESG. 🎬
C’est donc +60 étudiants qui ont bénéficiés du parcours de la Quatrième Feuille, où nous parlons orientation, estime de soi, et comment retrouver sa motivation.
C’était l'occasion de donner un coup de pouce à l’élaboration de leur projet professionnel et de renforcer leur volonté.
Un immense merci à Loïc MATTI et Virginie LERDUNG spécialement, et à tous les membres de l’équipe qui participent à l’ambiance chaleureuse qu’on retrouve sur place.
Vous êtes professionnel en activité et vous aussi vous vous demandez comment faire le point sur votre motivation au travail ? Let’s go ! ✨
⬇ Voici 6 leviers que je vous invite à noter sur 10 selon votre cas :
1️⃣ La qualité de vie au travail - X/10
Ne pas avoir de stress excessif, garder de l'énergie disponible pour la vie hors travail. Ne pas avoir un travail physiquement ou psychologiquement pénible.
2️⃣ La sécurité et la stabilité – /10
Avoir un travail bien structuré : clarté des règles, des procédures, structures, missions. Travailler dans un contexte dans lequel les règles du jeu sont claires et bien définies.
3️⃣ Le sentiment d’appartenance - X/10
Faire partie d' une entreprise, d' une organisation et être identifié comme tel
vis-à-vis de l' extérieur. Se sentir fier, on dira quelques fois « être corporate ».
4️⃣ Le sentiment de reconnaissance – X/10
Réussir des exploits, des défis. Être considéré sur certains aspects du travail:
reconnaissance des résultats.
5️⃣ La responsabilité – X/10
Exercer une responsabilité effective sur un projet ou sur d'autres personnes. D’ailleurs, elle ne va pas sans le pouvoir d’agir. Une responsabilité sans le pouvoir de l’assumer, c’est le début de la fin.
6️⃣ L’accomplissement – X/10
Inventer, développer des idées nouvelles: se perfectionner, s'épanouir, à
l'intérieur de son travail. Progresser en permanence vers des objectifs à long
terme (évolution personnelle). C’est un peu la notion de travail sous l’angle de Christophe DEJOURS, un travail qui nous offre un travail de soi sur soi.
Maintenant, vous avez de quoi partir en exploration !
Parlons en ensemble ici 👇 ou par message privé, je répondrai à vos questions avec plaisir !
On continue !🍀
Antoine BertheuxJean - Luc Letouzé 💚Vanessa ELKAIM RIMMER