INRAE

🎓 INRAE accueille ses futurs stagiaires ! Vous êtes étudiant en Master ou en dernière année d'études ? Vous souhaitez mettre en pratique vos connaissances et participer à des projets de recherche innovants ? 🌿 Rejoignez INRAE pour un stage de 4 à 6 mois au sein de nos laboratoires et unités de recherche. Vous aurez l'opportunité de développer vos compétences, d'affiner votre projet professionnel et de contribuer à des avancées scientifiques au service de la société. 🚀 Pourquoi réaliser votre stage à INRAE ? · Intégrez des équipes passionnées et multidisciplinaires. · Bénéficiez d'un encadrement de qualité par des chercheurs expérimentés. · Participez à des projets à fort impact environnemental, agricole ou alimentaire. 🔎 Consultez nos offres de stage et postulez dès maintenant sur jobs.inrae.fr #INRAE #Stage #Recherche #Opportunité #Carrière #Innovation

📣 À vos agendas ! Comment faire face, à l'échelle mondiale, aux #inondations et au manque d'eau en cas de #sécheresses ? C'est une des questions... ...au programme du webinaire "l'eau, des sources à l'océan". 📅 RDV le 29 novembre de 13h à 15h30 (heure de Paris) pour un éclairage par 12 experts internationaux sur les enjeux et leviers scientifiques internationaux : 🌡️ Observer & anticiper les risques : crues, inondations, extrêmes hydro-climatiques..., 💧 Gérer la ressource en eau douce et préserver sa qualité, 🌊 Mer & #océan : maintenir des écosystèmes durables. 💻 A suivre en ligne. 🗣️ En langue française avec traduction simultanée en langue anglaise. 🔗 Inscrivez-vous dès maintenant (lien en commentaire). ---------------- Un évènement organisé par #INRAE, le CIRAD, l'IRD et la représentation permanente de la France auprès de l'#ONU à Rome en partenariat avec l'Ifremer Eric Sauquet, Maria-Helena Ramos, Julien Tournebize, Jean Michel Martinez, Marc Léopold, Julien Barde, Nicolas Faysse, Olivier LEPILLER, Lucie Cocquempot, Wilfried Sanchez, Raoul Mille, Philippe Mauguin, Valérie VERDIER, Elisabeth Claverie de Saint Martin, François Houllier

💧 Quand les rivières reprennent leur lit... De façon naturelle, le lit des rivières de plaine prend la forme de méandres. Mais l'Homme, au cours du temps, a eu tendance à "couper" ces méandres pour que le lit des rivières soit plus rectiligne. En ligne droite, il est plus facile par exemple d'exploiter les champs en bord de rivière. Mais voilà, en supprimant les méandres, l'eau va plus vite et coule avec plus de force. Au fil du temps, elle va donc creuser le lit de la rivière. Les conséquences ? Une perte de connexion écologique entre la rivière et les berges. Impossible pour les animaux de passer de la berge à la rivière pour s'y abreuver, la végétation ne peut pas se développer sur les berges trop abruptes... et tout un écosystème est appauvri. La solution ? Restaurer le lit naturel des rivières et les "reméandrer".  Mais l’ingénierie de la restauration est une pratique non stabilisée, entrainant de nombreuses controverses. C'est ce qu'a analysé Marie Lusson dans sa thèse au sein de l'UMR G-EAU d'INRAE Occitanie-Montpellier... et puis, avec Emilien De Bortoli, elle en a fait un film : Méandres, ou la rivière inventée. De belles images pour sensibiliser à l'importance de nos rivières. 🎞️ Projection gratuite (sur inscription) le vendredi 25 octobre à 14h au Muséum national d'Histoire naturelle dans le cadre du festival du film scientifique Pariscience. Association Science et Télévision - Festival Pariscience

[🇬🇧English below ⤵️]  🌍💧 Faites le point sur les contributions scientifiques aux enjeux internationaux sur le thème "l'eau, des sources à l'océan". 🔎 Éclairage de 12 experts européens et internationaux sur l'anticipation des risques hydriques, la gestion de la ressource en eau douce et le maintien des écosystèmes marins.  --- ⏯️Webinaire co-organisé pour la 4e édition de la "Fête internationale de la science" par le CIRAD, INRAE, l’IRD et la Représentation permanente de la France auprès des Nations unies à Rome, en partenariat avec l'Ifremer. 🗣️ Diffusion en français avec traduction simultanée en anglais.  Le lien de visionnage vous sera communiqué par mail, la veille de l'évènement. 🔗Inscrivez-vous : https://lnkd.in/e5Q3yzjm ------------------------------------------------ 🇬🇧 💧 The International Science Festival: Agriculture – Food - Environment" is back for its fourth edition, this year on the theme: "Water, from its sources to the ocean". 🌍🔎 Find out all about scientists’ contributions to the global challenges of water risk management, the preservation of freshwater resources and marine ecosystems, with 12 European and international experts ⏯️ #CIRAD, INRAE, #IRD and the permanent representation of France to the United Nations in Rome are co-organizing this webinaire, in partnership with #Ifremer. 🗣️ The webinar will be in French with simultaneous English interpretation. You will be sent the link by email the day before the event Join us on 29 November from 1:00 to 3:30 pm (French time). 🔗Registration link : https://lnkd.in/eVkCvgDN

Pluies, chaleur, sécheresse… Comment accompagner les éleveurs et bergers pour maintenir la transhumance en alpage ?  Les chercheurs INRAE ont développé des outils pour surveiller l’évolution des alpages et tester des scénarios climatiques.   1️⃣ Comment estimer au plus près la quantité d’herbe disponible dans les massifs alpins français ? Le dispositif de recherche transdisciplinaire Alpages Sentinelles, créé en 2007, propose une cartographie en ligne et en accès libre des conditions agroclimatiques de 2 700 alpages. Chaque année, la hauteur de l’herbe est mesurée sur près de 120 stations d’alpages avant l’arrivée des troupeaux. 🏔 🌧 L’objectif : évaluer, sur la durée, la quantité de fourrage disponible selon les conditions météorologiques et aider les éleveurs à identifier les bonnes actions pour chaque alpage. Alpages Sentinelle s’intéresse également à la disponibilité de la ressource en eau, un sujet de préoccupation croissant pour les éleveurs. 2️⃣ Que faire dans les prairies situées en altitude (+ de 2000m) ? A cette altitude, les prairies sont très exposées à des saisons atypiques (pluies, chaleur, sécheresse) combinées à l’impact des activités pastorales ou touristiques. La plateforme PASTORALP présente, en accès libre, une cartographie détaillée des parcs des Écrins et du Grand Paradis pour visualiser l’évolution du climat depuis 1970, ainsi que les projections réalisées jusqu’en 2070. 🐄 🐑 Une fonte prématurée des neiges dès le milieu du printemps entraîne une pousse plus précoce de l’herbe. Dans ce scénario, sortir les animaux des étables plus tôt dans la saison permettrait d’exploiter au mieux l’herbe fraîche (même si de nouvelles espèces végétales plus résistantes mais moins appétentes font leur apparition) Nos experts vous attendent au Sommet de l’élevage pour poursuivre ces explications. 📅 jusqu'au 4 octobre 📍 GRANDE HALLE D'AUVERGNE - 63800 Cournon-d'Auvergne

Produire de l’énergie solaire tout en apportant un service à l’agriculture, c’est le principe de l’agrivoltaïsme. Cela peut-il s’appliquer en élevage ?   Implanter des panneaux dans les pâturages, ce n’est pas si simple... Si les ovins et les caprins sont suffisamment petits pour aller sous les panneaux, profiter de leur ombrage et brouter l’herbe qui pousse dessous, il en va différemment pour les bovins 🐄   A l’occasion du Sommet de l’élevage, zoom sur un projet pour les élevages bovins. Le projet Camélia est mené à INRAE par 2 unités Mixte de Recherche sur l’Ecosystème Prairial et sur les Herbivores et en collaboration avec l’Unité Expérimentale Herbipole, en partenariat avec Engie Green à Laqueuille (Auvergne-Rhône-Alpes). La solution mise en place : des panneaux verticaux qui forment comme des « haies solaires » dans les prés. 

A l’occasion du #SPACE2024, voici un aperçu des solutions qu’INRAE développe avec les éleveurs et la filière pour assurer la viabilité des systèmes d’élevage Les recherches INRAE ont permis d’identifier 3 leviers majeurs pour accompagner l’élevage vers des pratiques durables en réduisant significativement les émissions de #GES -        La conduite au pâturage -        L’alimentation des animaux ⬇ -        La sélection génétique Une vache émet environ 400 à 500 g/j de #méthane en moyenne, soit 5% de l'énergie qu'elle consomme, mais cette quantité peut varier considérablement selon ses modes d’alimentation. 2 points clés à retenir : Faire pâturer les vaches au printemps 🐄 📅 Cela permet de réduire les émissions de méthane. De bonne qualité, l’herbe présente une ration naturellement complète pour les vaches. L'entretien des prairies par les animaux permet de stocker 80t de CO2/ha, à condition qu'elles ne soient pas labourées durant au moins 5 ans. Cela évite aussi les émissions de CO2 liées à la production & aux transports de céréales pour nourrir le troupeau. Modifier la composition des rations 🌿 🍽 Compléter le fourrage par un concentré riche en céréales & oléagineux peut réduire jusqu'à 20% les émission de méthane de la vache. Et certains compléments à base d'algues rouges ou d'acides gras issus d'oléagineux comme le lin peuvent réduire jusqu'à 40% les émissions de méthane liées à la digestion de la vache! Toutefois, ces produits représentent pour le moment un coût supplémentaire pour les exploitations. Ces pistes sont évaluées dans le cadre du programme Méthane 2030 porté par l’APIS-Gène, réunissant acteurs de la filière & scientifiques dont des équipes INRAE et l’IDELE Photo Christophe Maitre INRAE

🧀 Le fromage c’est la vie, ou plutôt ça grouille de vie et encore plus s'il est typique du terroir ! 🐓 La richesse des terroirs français donne un goût unique aux fromages sous appellation d'origine protégée (AOP) et jouerait un rôle dans la diversité microbienne de ces derniers ! 🦠 C’est ce qu’a montré une équipe de scientifiques d’INRAE, du CEA, du CNAOL et du CNIEL en analysant les bactéries, les levures et les moisissures présentes dans plus de 2 000 échantillons de fromages AOP français et dans 400 laits associés. 👩🌾 Grâce à la forte mobilisation des acteurs des filières AOP, les scientifiques ont pu analyser des échantillons collectés auprès de 386 producteurs fermiers et fromageries répartis dans toute la France, tout en recueillant des informations détaillées sur les modes de production dans le cadre du projet MetaPDOcheese. 🧐 Les résultats, publiés le 6 août 2024 dans ISME Communication, associent de manière inédite les données microbiennes avec les facteurs liés aux modes de production (zone géographique, topographie de la région, facteurs humains...). 🧬 L’analyse des données de séquençage a permis de détecter une grande diversité d’espèces microbiennes dans les fromages avec 820 espèces bactériennes et 333 espèces de moisissures/levures.  Près de 42 % des espèces bactériennes et 64 % des espèces de moisissures/levures identifiées dans les fromages sont également présentes dans les laits. 🚜 En croisant ces données avec les informations recueillies sur les pratiques de production, les scientifiques ont montré que le facteur AOP a un impact sur la diversité microbienne retrouvée dans les fromages et les laits. 👣 Un premier pas pour référencer la diversité microbienne en relation avec les pratiques de production de ces fromages, notamment dans le contexte du changement climatique. D’ailleurs, cette riche diversité contribuent aussi à augmenter la richesse du microbiote intestinal des consommateurs de ce produit fermenté. Avis aux amateurs & amatrices 😊 📑 Source : lrlinger F., Mariadassou M., Dugat-Bony E. et al. (2024). A comprehensive, large-scale analysis of 'terroir' cheese and milk microbiota reveals profiles strongly shaped by both geographical and human factors. 📸 Crédits INRAE : Michel MEURET, Bertrand NICOLAS, Jacques DUFRENOY & Freepik SayFood Research Unit, Université Clermont Auvergne VetAgro Sup Genoscope - Centre National de Séquençage, AgroParisTech, Université Paris-Saclay, INRAE Ile-de-France - Versailles-Saclay, INRAE Clermont-Auvergne-Rhône-Alpes

On sait enfin comment les rosiers développent des aiguillons ! 😲 Nommés à tort « épines », les aiguillons sont apparus chez de nombreuses familles de plantes. Utiles pour décourager les herbivores, ils aident à retenir l’eau atmosphérique ou servent de support de croissance pour les plantes grimpantes. Mais d’où vient cet avantage génétique ? C’est la question que s’est posée un consortium international mené par Cold Spring Harbor Laboratory, mobilisant le généticien Mohammed Bendahmane du centre INRAE Lyon-Grenoble Auvergne-Rhône-Alpes Un mystère de plus de 400 millions d’années, levé grâce à la cartographie génétique, qui fait la une du dernier numéro de Science !    #génétique #horticulture #rose 📷 Crédits photos : Mohammed Bendahmane

🌡 🌱 Sécheresses, gels, canicules, … quels impacts pour vos cultures ? Faites le point avec AgroMetInfo 2.0 L’accélération du changement climatique avec ses lots de sécheresses, de canicules et de fortes précipitations, plus intenses, plus fréquentes affecte fortement l’agriculture. 🌦 INRAE a développé un outil web de cartographie agro-climatique couvrant la France métropolitaine, à destination des professionnels et de toutes personnes intéressées, avec l’appui de Météo-France. 🎯 Objectif ? Offrir un outil pour apprécier l’influence des conditions météorologiques en cours de saison agricole et anticiper l’impact qu’elles peuvent avoir sur le développement des cultures. A l’échelle locale comme nationale, l’application AgroMetInfo 2.0 : 🔹 permet de suivre au quotidien, l’évolution d’une série d’indicateurs agroclimatiques, comme le nombre où la température est supérieure à 25°C ou 35°C, ou encore le nombre de jours de gels, d'une période donnée. 🔹 offre la possibilité de comparer en temps réel les conditions météorologiques observées avec la période de référence de 30 ans en France (1991- 2020). #agriculture #innovation #numérique INRAE Provence-Alpes-Côte d'Azur, Iñaki Garcia de Cortazar Atauri, Renan LE ROUX