Zimeray & Finelle Avocats

“The victims of deportation from Nagorno-Karabakh have a right to access international justice and we have a duty to help them in this process”. Great interview of Catalina de la Sota about a cause Zimeray & Finelle Avocats is proud to defend.

Avec les avocats Jean TAMALET , Rachel Lindon , William Bourdon , Emmanuel JEZ et William Julié et marion CRECENT, nous participons à la defense de Paul Watson. Pour François Zimeray «s’il était extradé au Japon, Watson n’aurait jamais de procès équitable et pourrait finir ses jours en prison. Le Danemark doit comprendre que ces poursuites ne sont qu’un prétexte pour harponner judiciairement celui qui a consacré sa vie à dénoncer l’illégalité des massacres commis par les baleiniers japonais »

I was very honoured to speak about extradition to conflict zones at the DELF very insightful annual conference last week. It was a pleasure to share a panel with the excellent Ben Joyes and Peter Haynes, KC and to reconnect with colleagues I have had the pleasure to work over the years, as well as meeting new ones. A very rich day ! Thank you very much to DELF and to Ben Joyes for inviting me. Zimeray & Finelle Avocats

Il y a des mots que l’on ne prononce pas à la légère, parce qu’ils renvoient à ce qu’il y a de plus sombre et de plus grave. Le terme « genocide » n’est ni une opinion, ni un slogan, c’est une notion précise, forgée par la justice internationale dans les braises de la Shoah, de la Bosnie, du Cambodge et du Rwanda. L’analyse minutieuse de cette jurisprudence nous a convaincus que les massacres du 7 octobre, l’anéantissement délibéré et irréversible de toute vie, sont la signature même du crime de genocide. C’est pourquoi nous avons adressé un mémoire au procureur de la Cour Pénale Internationale afin que soit restituée aux atrocités commises par le Hamas leur juste qualification. Avec Jessica Finelle, Blandine Gentil Nicolas PHILIPPE et François Zimeray

« L'indifférence et la résignation habitent sous le même toit, celui des oubliés de l'actualité. Nous ne pouvons tolérer que ces victimes deviennent aussi les délais- sés de la justice. Laisser les crimes du Haut-Karabakh impunis serait accepter que seule paye la loi de la force et de la terreur. La Cour pénale internationale est loin d'avoir atteint sa maturité, sa légitimité est encore fragile, mais quelle autre juridiction serait en mesure d'y répondre en faisant la lumière sur les crimes commis et en jugeant les responsables ? » Tribune de François Zimeray et Catalina de la Sota qui ont déposé une communication au procureur de la CPI.

« L'indifférence et la résignation habitent sous le même toit, celui des oubliés de l'actualité. Nous ne pouvons tolérer que ces victimes deviennent aussi les délais- sés de la justice. Laisser les crimes du Haut-Karabakh impunis serait accepter que seule paye la loi de la force et de la terreur. La Cour pénale internationale est loin d'avoir atteint sa maturité, sa légitimité est encore fragile, mais quelle autre juridiction serait en mesure d'y répondre en faisant la lumière sur les crimes commis et en jugeant les responsables ? » Tribune de François Zimeray et Catalina de la Sota qui ont déposé une communication au procureur de la CPI.

One year after the forcible displacement of more than 100.000 persons from Nagorno-Karabakh, we are proud to have filed the first International Criminal Court submission for crimes against humanity on behalf of Armenian victims. With Catalina de la Sota Jessica Finelle and François Zimeray

« Il y a un décalage entre une diplomatie qui se glorifie, à juste titre, d’avoir fait adopter des textes sur la protection de l’enfance et son incapacité à les appliquer là où cela demande de la créativité », développe l’avocat et ancien ambassadeur François Zimeray, en rappelant que les principales associations de victimes du terrorisme militent également pour ces retours.

Tribune signed by François Zimeray in Politiken

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