Post de Éditions CRÉER

On fait quoi cette semaine ? Cet été, Tribune de Lyon vous fait redécouvrir la ville autrement, à travers des événements et rendez-vous aux quatre coins de la métropole. Lire l'article👇

Savais tu pourquoi le sol au palais est ROUGE et pas bleu ?? c’est une curiosité intéressante ! Le rouge est souvent associé à la royauté, à la passion et à la vitalité. Peut-être que le choix du rouge pour le sol du palais symbolise la grandeur et la force de la nation. Le bleu pourrait être une alternative intéressante, symbolisant la sérénité et la stabilité, mais cela dépend des traditions et des choix esthétiques spécifiques au palais en question mais personnellement je pense que le bleu avec un tapis rouge parfois serait trop puissant. il serait fascinant de connaître les raisons historiques ou culturelles derrière ce choix. Peut-être qu’un jour, nous découvrirons pourquoi le bleu n’a pas été privilégié ! 🤔 #politique #senegal #palais.

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La 1ère journée en salle du colloque "La beauté essentielle des allées d'arbres" s'est conclue par une brillante synthèse effectuée par Elodie Gray, spécialiste en communication des organisations et des territoires. En voici un petit extrait pour vous mettre en bouche. https://lnkd.in/eaRxUxuS (voir l'intégralité de son intervention ici https://lnkd.in/eKUMmA56)

Amoureux de Sainté Main dans la main, jeunes ou un peu âgés, hommes, femmes et enfants, tous convergent vers le même point central, lieu de rendez-vous des amoureux footeux. Ils marchent vers ce monument qui n’appartient qu’à eux et personne d’autre, certes un peu différent de ce que l’on peut imaginer chez les habitués. Ici, on parle d’un monument populaire, dans les deux sens du terme. Ici, il s’agit d’un stade, celui du patron et créateur de Casino, ce Geoffroy Guichard qui lui donne ses lettres de noblesse. À Sainté, c’est presque une ode à la communion. Car oui, il faut avoir la foi tant les joueurs peuvent nous emmener en enfer comme au septième ciel selon leur bon vouloir. Comme toujours le plus difficile n’est pas d’aller au sommet mais bien d’y rester. In fine, tout ce monde se retrouvera dans les tribunes. Et les kops de vibrer à nouveau, emportant la foule en houle et y mettre la fièvre. Verte. Les drapeaux, les tifos vibreront dans les airs comme des phares illuminant le bout de la nuit : des repères pour ceux qui vibrent sous la même bannière. Pour la première fois ces mêmes kops et associations de supporters ouvrent leur porte et c’est une immense fierté pour l’écrivain, pour l’auteur de ces mots, que d’avoir pu raconter ce qu’il se passe de l’autre côté du miroir, ou du moins, y faire parvenir quelques échos. La confiance accordée est rare, faudra-t-il ainsi être à la hauteur : les pages suivantes en seront la réponse. (...) Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous amoureux de Sainté. Cette ville transpire le foot comme bien peu dans la France. Et c’est un torse bombé que d’être Stéphanois. Tant pis pour les autres. Alors ami, drape-toi de ton maillot, enroule-toi dans ton écharpe, et tends-la bien. Tends-la bien haut dans notre ciel vert parce que c’est la lumière de notre plus bel emblème. Ce sont quatre lettres, A.S.S.E, un ballon de foot qui roule et déroule le fil de l’histoire d’une ville, qui nous unit par-delà les âges et les situations : de pauvreté ici il n’y a plus, seule la richesse d’une fierté commune annonce que oui, décidément, la vie est si belle quand elle est « La vie en Vert ». Pascal Pacaly 21 mars-1er avril 2024 Préface du tome 2 de la Vie en Vert - DESORMAIS DISPONIBLE ! https://lnkd.in/dDrYrEuD Photo Yoann Lavaut A. M. Arthur Bastide Les e-Ambassadeurs de Saint-Étienne Métropole ASSE Le Peuple Vert Bastien Fuster Julien BEAL Candice Sagnard Cédric CABANEL franck annese Yassin Nfaoui Nabil Djellit Yohan Dépalle 🌐Timothee Maymon Over The Top Concept Thomas Doucet Jeremy Chatonnier jerome BALME ASSE Le Peuple Vert Emmanuel DEMONT Edward Jay Jean-François Vernet Thibaud Leplat Laure Cocquet Lucas Duvernet Coppola Quentin Martel Hervé Chabbal Suzanne BERNARD TCHEBANOFF Sylvain Bruyas Maxime Marchon Gaël PERDRIAU Thierry FUMAT Tibo Evect

Bruno Scannamea nous présente son ouvrage "Les tribulations de deux Liégeois à Paris et en Province"

DEUX NIDS Le château de Dieppe constitue, on le sait, un verrou. Nous sommes le 19 juillet 2024, et dans un mois, sans doute bien avant, le rédacteur de ces lignes sera, comme un certain nombre d'entre nous, loin des écrans plats. Et le 19 août sera fêté, comme tous les ans, le débarquement canadien de 1942. Je ne suis pas un spécialiste de l'histoire militaire, mais il m'arrive d'être logique. Quand on voit la tour la plus excentrée de ce château, on constate tout de suite qu'elle comporte deux ouvertures horizontales, fort peu moyenâgeuses, à la base. Il s'agit de deux nids de mitrailleuses allemandes. Quelle que soit la science des argumenteurs, reste une évidence : ces deux nids, parfaitement protégés, interdisent l'accès. Dieu merci, les Anglo-Canadiens ne sont pas des Yankees. Le château de Dieppe aurait connu le sort du Palais impérial de Hué au Vietnam, ou des cinquante ville normandes, telles Saint Lô et Le Havre, dont l'histoire et le charme ont été définitivement atteints par nos chers alliés de Washington. Imaginer que demain, dans des circonstances similaires, les dégâts humains et matériels puissent être au minimum, les mêmes, sans doute bien pires, devraient amener les uns et les autres à réfléchir sur nos alliances. Face à un micro-événement bien différent, d'un ordre différent, à savoir hier l'alliance des députés LR et du diable, avec le magnifique résultat que l'on sait, la réaction de nombre de nos compatriotes a été le dégoût. Sans doute peut-on leur opposer qu'il fallait défendre l'Assemblée des hordes vulgaires d'une part, et d'autre part s'emparer d'un ou deux nids de mitrailleuses pour les retourner demain contre le diable. Mais la Politique est aussi affaire de symbole. Dans une France soupçonneuse - à raison ! - de tout, il ne faut pas ne voir que les deux trous de la tour. Et la tour elle-même, et le château. Et son ciel. ___ Photographie de Savy Svay

Le temps d’un détour en Creuse, reportage #ÉricPerrin sur #France3 Nouvelle-Aquitaine. Nous sommes invités à voyager à travers la Creuse, une région riche en beauté naturelle et en inspiration artistique. #GillesClément, un jardinier qui nous apprend à nous reconnecter avec les principes fondamentaux du vivant. Il introduit l’idée du jardin en mouvement, un lieu où les plantes vagabondes et le jardinier dialoguent avec la nature. Il nous fait comprendre que la notion de « mauvaise herbe » doit impérativement être repensée dans le cadre d’un écosystème plus vaste dont nous faisons partie. Il souligne que toutes les plantes ont un rôle et que l’élimination systématique, sauf celles que nous voulons conserver, ont un impact écologique et sanitaire, y compris sur notre propre existence... Il nous invite à la poésie, à la délicatesse et à la prise de responsabilité par la compréhension du jardin planétaire, où une action ici a un impact ailleurs. Le reportage nous fait également découvrir #MarjorieMéa, une artiste qui utilise les plantes tinctoriales. Elle nous montre comment une tache due à un végétal lors d’une balade peut être l’acte fondateur d’une expérience artistique. Sa philosophie est de savourer le temps, la lenteur du mouvement créatif, l’observation et la redécouverte des textures et des couleurs. Peindre avec la nature, elle utilise le paysage comme matière à déposer sur la feuille, mélangeant du brou de noix avec d’autres couleurs subtiles de la nature, afin de donner à goûter une expérience sensible. Pour terminer, le reportage nous fait découvrir le métier de paysan avec #HervéetCélineMathez, des éleveurs pratiquant l’agriculture biologique. Ils partagent leur amour avec un profond respect pour la terre et le monde du vivant. Prendre soin des animaux avec les éléments de la nature et les plantes, ils nous transmettent une autre manière de regarder le paysage, comme, l’intérêt des souches ou des arbres morts dans ces espaces de nature… Merci Audrey Hennequin ce partage

En (re)visitant l'excellent musée de la Mine de Saint-Etienne, je (re)découvre l’utilisation des lampes à Grisou. On utilise le feu pour prévenir l’explosion (le changement du motif de la flamme prévient de l’augmentation de la concentration en méthane). Utiliser un objet générant le problème pour résoudre le problème me fait penser à l'outil "unification" de la méthode de créativité structurée ASIT (par SolidCreativity). https://lnkd.in/eri2fX9X

Une magnifique cour intérieure!