🫶 #Associations, vous souhaitez œuvrer pour le bien-être des femmes que vous accompagnez ? Les violences conjugales sont un frein à l’insertion professionnelle et à l’émancipation des femmes. 82 % des familles monoparentales ont une femme à leur tête. Ce qui place la victime de violences conjugale et ses enfants co-victimes, qui ont quittés le foyer familial, dans un risque accru de pauvreté et d’exclusion sociale. 👉 Je vous propose des actions de prévention concrètes, qui permettent aux femmes d’identifier les comportements violents, d’acquérir les outils pour s’en prémunir et ainsi d’éviter d’entrer dans une relation violente. En 2025, j’interviens dans vos locaux 📍, auprès des femmes que vous accompagnez, pour lever les freins à l’insertion de vos bénéficiaires. Ensemble 🤝, construisons un monde où chacun·e se sent respecté·e et protégé·e. Prêt·e à agir ? Contactez-moi ! #PreventionViolencesConjugales #StopViolences #DroitsDesFemmes #InsertionProfessionnelle #LeverLesFreins #LutteContreLaPrecarite #AgissonsEnsemble
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Ensemble, relevons les défis de la prévention des violences conjugales pour lever les freins à l'insertion.
🫶 #Associations, vous souhaitez œuvrer pour le bien-être des femmes que vous accompagnez ? Les violences conjugales sont un frein à l’insertion professionnelle et à l’émancipation des femmes. 82 % des familles monoparentales ont une femme à leur tête. Ce qui place la victime de violences conjugale et ses enfants co-victimes, qui ont quittés le foyer familial, dans un risque accru de pauvreté et d’exclusion sociale. 👉 Je vous propose des actions de prévention concrètes, qui permettent aux femmes d’identifier les comportements violents, d’acquérir les outils pour s’en prémunir et ainsi d’éviter d’entrer dans une relation violente. En 2025, j’interviens dans vos locaux 📍, auprès des femmes que vous accompagnez, pour lever les freins à l’insertion de vos bénéficiaires. Ensemble 🤝, construisons un monde où chacun·e se sent respecté·e et protégé·e. Prêt·e à agir ? Contactez-moi ! #PreventionViolencesConjugales #StopViolences #DroitsDesFemmes #InsertionProfessionnelle #LeverLesFreins #LutteContreLaPrecarite #AgissonsEnsemble
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Une approche genrée du sans-abrisme est nécessaire / Partie 1 : les facteurs de différenciation H/F 🚻 Il existe des éléments de différenciation entre les hommes et les femmes à la rue. Elles représenteraient 40% du public sans domicile en France. 1️⃣ Le sujet des VIOLENCES est majeur pour comprendre pourquoi les femmes se retrouvent sans domicile. Elles sont souvent présentes dans les parcours avant la vie à la rue : abus dans l’enfance, violence conjugale, qui ont ajouté de la vulnérabilité à ces femmes. Parfois, la situation de violence est directement la cause de la mise à la rue : les violences conjugales amènent encore la plupart du temps la femme à quitter le foyer. En Angleterre, une étude a montré que 75% des femmes sans abri interrogées avaient eu une enfance traumatique (violence parentale, abandon, …). La violence est très présente pour toutes les personnes sans domicile fixe. Toutefois, elle est démultipliée pour les femmes à la rue. Il s’agit surtout ici des violences sexuelles, mais aussi verbales, de vols, etc. Des études anglaises ont montré que les femmes sans domicile sont en proportion 4 à 5 fois plus victimes de ces crimes et délits que les hommes. L’impact de la violence peut être multiple et c’est un facteur aggravant, qui va mener à des comportements d’auto-destruction pour pouvoir survivre (drogues, alcool, automutilation), à des troubles psychiques, à des problèmes pour conserver un travail, à une insécurité permanente. Ces problèmes se juxtaposent et complexifient la sortie de la rue. 2️⃣ De nombreuses femmes sans domicile ont des ENFANTS. Parfois, leurs enfants leur ont été retirés, parfois ils vivent avec elles. Cela est un facteur de différenciation majeur également, à tenir en compte. Le fait de ne pas pouvoir s’occuper de ses enfants pour certaines femmes est un facteur majeur sur la détérioration de l'état psychologique. La question de la façon dont les femmes sans abri sont traitées par les services sociaux en ayant des enfants a été étudiée dans plusieurs pays européens (Royaume Un, Allemagne, Irlande, Suède) : il en ressort que beaucoup de mères sans-domicile craignent que leurs enfants soient placés et ainsi évitent au maximum les contacts avec les services sociaux. De la même façon, au Royaume Uni une étude a montré que les femmes avec enfants sans domicile se sentent « jugées, culpabilisées, et abandonnées plutôt que protégées par les services et les politiques publiques ». De la même façon, les femmes ayant un ou des enfants avec elles devraient normalement être considérées en priorité dans le système de l’hébergement et du logement mais ce n’est pas toujours le cas. Ainsi en région parisienne, de nombreuses femmes avec enfants dorment à la rue, faute de places disponibles. La vie à l’hôtel social, qui concerne plusieurs milliers de familles, évite la rue mais n’est également pas une solution vivable à long terme pour ces femmes avec enfants. #femmes #sansabrisme #sensibilisation
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[Genre et exclusion sociale] 👩👧 🔎 Depuis plusieurs années, les Samusociaux mettent en place des outils et méthodes de travail pour améliorer la prise en charge des filles et femmes en situation de rue. Cette volonté part du constat que ces publics font face à des problématiques spécifiques : risque de violences physiques, sexuelles et psychologiques, risque d’exploitation économique et sexuelle, ou encore, grossesse précoce. 📕 C'est tout l’objet de l’intervention de Sow Gouagna Traore, éducatrice sociale au Samusocial Mali, dans un ouvrage collectif “Le travail de rue”, publié en 2024 aux Editions érès. Elle y raconte comment le Samusocial Mali opère depuis 2004 auprès des jeunes femmes vivant en rue à Bamako, grâce à l’équipe mobile de femme qui effectue 2 maraudes par semaine depuis 2004. -- “Aujourd’hui, toutes les filles et jeunes femmes nous connaissent et n’hésitent pas à s’adresser à nous. Notre présence en permanence dans la rue permet aussi, surtout, de rentrer en contact avec des nouvelles arrivantes, et nous permet ainsi d’essayer d’instaurer une relation d’aide et de protection le plus rapidement possible.” -- Ces filles et jeunes mères (809 ont été prises en charge en 2022) ont des histoires personnelles complexes, souvent marquées par la violence physique, psychologique et/ou sexuelle. Les équipes sont mobilisées auprès d’elles pour un accompagnement personnalisé et durable : hébergement, insertion professionnelle, médiation familiale, causeries de groupe ; et ainsi éviter qu’elles soient exposées à tous les dangers que présente la rue : violences, exploitation et stigmatisation. 👩⚕️ Les équipes des Samusociaux œuvrent tous les jours sur le terrain pour l’accompagnement des publics fragilisés vivant en rue. Dans une volonté de continuer la réflexion sur l'accueil des publics spécifiques, le référentiel genre offre aux équipes un outil d’auto-diagnostic et une série standards minimums, pour s’assurer d’une meilleure prise en charge de ces publics. #dignite #solidarite #violences #genre #exclusion #accompagnement #mali
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🌍 𝐋'𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝟔𝟎 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐞𝐬 💡 Comprendre l’emprise : une étape essentielle pour lutter contre les violences conjugales. Les violences conjugales ne se résument pas seulement à des actes visibles. Elles commencent souvent par un processus d’emprise insidieux, difficile à détecter, mais destructeur pour la personne qui en est victime. 🎥 Découvrez notre nouvelle vidéo qui décrypte ce mécanisme et met en lumière les clés pour le comprendre et y faire face. 👉 𝐏𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐚𝐠𝐢𝐫, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝’𝐚𝐛𝐨𝐫𝐝 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞. N’hésitez pas à partager cette vidéo et à nous laisser vos impressions en commentaires. Ensemble, mobilisons-nous pour faire reculer les violences conjugales ! 🙌 #ViolencesConjugales #Sensibilisation
De la tension à la réconciliation : le cycle de la violence conjugale
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En lien avec la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, 🤝 Ce matin, j'ai assisté à un colloque captivant sur « Comprendre les carrières d’auteurs et de victimes de violences intrafamiliales en Haute-Saône ». ✨ La restitution a été tellement intéressante que je me suis inscrite pour la prochaine étude visant à éclairer les violences intrafamiliales dans les quartiers. 🔍 La culture et le contexte social des quartiers peuvent fortement influencer la manière dont ces violences se manifestent et sont perçues. Certains facteurs culturels peuvent exacerber la violence, tandis que d'autres peuvent offrir des mécanismes de soutien et de résilience. 🏠 Par exemple, dans certains quartiers où les structures familiales traditionnelles sont très valorisées, il peut y avoir une pression à maintenir l'unité familiale à tout prix, rendant difficile pour les victimes de chercher de l'aide. Les normes culturelles peuvent aussi dicter des rôles de genre stricts, où la violence envers les femmes est minimisée ou normalisée.
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Quel lien entre violences conjugales et précarité ? 🤔 Lorsqu'une femme est en situation de violences conjugales, elles subie souvent des violences économiques comme le contrôle de ses revenus, l’interdiction de consulter ses comptes ou l’obligation d’arrêter de travailler … Ces violences économiques ne sont pas innocentes pour les agresseurs : cela leur permet de garder les victimes dépendantes et de rendre leur départ beaucoup plus difficile. La majorité des femmes quittant leur domicile se retrouvent dans une précarité profonde : ➡️ Absence de ressources ➡️ Absence de logement ➡️ Sans emploi Pour leur venir en aide, la FNSF a mis en place un dispositif visant à assurer leur sécurité, leur hébergement et leur relogement. Ce programme accompagne les femmes fuyant les violences, les protégeant de la précarité, une réalité qui frappe particulièrement les femmes.
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Violences conjugales et précarité : un lien étroit et alarmant. ⚠️💔 Les violences économiques sont une arme redoutable utilisée par les agresseurs pour maintenir les victimes dans un état de dépendance. Contrôle des revenus, interdiction d’accès aux comptes, obligation d’arrêter de travailler… Ces pratiques rendent la fuite et la reconstruction d’autant plus difficiles. 🔍 Les chiffres parlent d’eux-mêmes : La majorité des femmes qui parviennent à quitter un domicile violent se retrouvent confrontées à une précarité profonde : ➡️ Pas de ressources. ➡️ Pas de logement. ➡️ Pas d’emploi. Face à cette réalité, la FNSF (Fédération Nationale Solidarité Femmes) a mis en place un dispositif essentiel pour accompagner les femmes victimes de violences : sécurité, hébergement, relogement et soutien pour se reconstruire. 💬 Protéger les femmes, c’est aussi les protéger de la précarité. 👉 Ensemble, mobilisons-nous pour briser ce cycle infernal. #StopViolencesConjugales #Solidarité #Précarité #AgirPourLesFemmes
Quel lien entre violences conjugales et précarité ? 🤔 Lorsqu'une femme est en situation de violences conjugales, elles subie souvent des violences économiques comme le contrôle de ses revenus, l’interdiction de consulter ses comptes ou l’obligation d’arrêter de travailler … Ces violences économiques ne sont pas innocentes pour les agresseurs : cela leur permet de garder les victimes dépendantes et de rendre leur départ beaucoup plus difficile. La majorité des femmes quittant leur domicile se retrouvent dans une précarité profonde : ➡️ Absence de ressources ➡️ Absence de logement ➡️ Sans emploi Pour leur venir en aide, la FNSF a mis en place un dispositif visant à assurer leur sécurité, leur hébergement et leur relogement. Ce programme accompagne les femmes fuyant les violences, les protégeant de la précarité, une réalité qui frappe particulièrement les femmes.
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📢 Du 25 au 28 novembre : Mobilisation contre les violences faites aux femmes. Selon le dernier rapport de la #FNSF (Fédération Nationale Solidarité Femmes), 52% des femmes victimes de violences veulent quitter le #domicile #conjugal. 🖋️ Ainsi, pour faciliter le #relogement au des #femmes #victimes, les #organismes #Hlm se sont engagés, dans le cadre d’une convention signée entre la FNSF, l’URSF et l’AORIF, à mettre à disposition 100 logements par an. Le #logement est #essentiel pour les victimes de violences conjugales car il constitue souvent la première étape vers leur sécurité et leur #indépendance, en leur permettant de s’éloigner du conjoint violent. Sans solution de #relogement, les victimes peuvent être contraintes de demeurer dans un #environnement #dangereux, au sein du domicile conjugal. Le parc social joue ainsi un rôle crucial en offrant aux victimes la possibilité de se reconstruire. 👉 Comment formuler une demande de logement social ? : Il est possible de faire une demande en ligne ou via un #formulaire à déposer auprès d’un guichet enregistreur. Les demandes de logement social pour motif de violences conjugales sont étudiées en priorité par les #organismes #Hlm. 💻 Pour plus d’informations : Faire une demande de logement social (HLM) | Service-Public.fr 👉 Comment être aidé.e par une association ? : 📞 Pour être aidé.e, appelez le 3919 ou contactez une association proche de vous : https://lnkd.in/eh6hRFnE Les associations membres du réseau Solidarité Femmes sont présentes dans toute l‘Ile-de-France. Ces associations viennent en aide aux femmes victimes de violences en les écoutant, les informant et les orientant pour les mettre en sécurité.
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Jour 15: 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe 2024 & 16 façons de mettre fin à la violence fondée sur le sexe Durant la campagne des 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe (VFS), découvrez 16 façons dont vous pouvez contribuer à mettre fin à la violence fondée sur le sexe. Mais n’oubliez pas que vous pouvez contribuer toute l’année, au-delà des 16 jours d’activisme! Façon 15: Soutenir les maisons d’hébergement. Les victimes d’agressions sont le plus en danger quand elles tentent de fuir leur agresseur. Les maisons d’hébergement ont des ressources et des formations qui les aident à partir sans danger. Chaque nuit, au Canada, plus de 6000 femmes et enfants dorment dans des maisons d’hébergement. Selon les données de 2018, environ 44 % des femmes auraient subi de la violence aux mains d’une ou d’un partenaire intime.
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Violences conjugales : des vies brisées, des carrières sacrifiées Une crise qui s’aggrave : 271 000 victimes en 2023 🤕 C’est un chiffre glaçant. En 2023, les violences conjugales ont frappé 271 000 personnes, une hausse de 10 % en un an. Derrière ces chiffres, un constat implacable : 85 % des victimes sont des femmes et dans 86 % des cas, les agresseurs sont des hommes. Depuis 2016, les plaintes ont doublé. Quand la violence s’invite aussi au travail 😡 Ces violences ne s’arrêtent pas aux portes du foyer. Elles détruisent aussi les parcours professionnels des victimes. Comment se concentrer sur son travail quand on subit des coups, des menaces, ou un harcèlement moral ? Arrêts maladie, carrières freinées, licenciements injustes : des milliers de femmes voient leur avenir professionnel s’effondrer, victimes d’un système qui peine à les protéger. Un accompagnement encore trop faible 🤦 Depuis 2020, une mesure permet aux victimes de violences conjugales de débloquer leur épargne salariale de manière anticipée. Mais est-ce suffisant ? Les femmes qui osent porter plainte se mettent souvent en danger. L’accompagnement reste trop faible, et les budgets alloués à cette cause largement insuffisants. Des mesures annoncées… mais seront-elles suffisantes ? 🤔 De nouvelles actions concrètes seront annoncées le 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Mais la société peut-elle encore attendre ? Ces mesures, qui visent à améliorer l’accueil des victimes, notamment en milieu rural et à renforcer leur accompagnement, doivent être suivies d’effets tangibles. Les entreprises, un rôle décisif à jouer 🏭 Le travail peut devenir un lieu de refuge, à condition que les entreprises s’engagent. Pourquoi ne pas rendre obligatoire la prévention des violences dans les négociations sociales ? Pourquoi ne pas mieux accompagner les salariées victimes, en sécurisant leur emploi et en soutenant leur reconstruction ? Pourquoi ne pas plus développer sur le lieu professionnel, les formations de lutte contre le sexisme ? Les violences conjugales ne sont pas une affaire privée : elles impactent toute la société. Les vies brisées, les carrières sacrifiées, les suicides évitables sont autant de tragédies qui nous interpellent collectivement. 📢 Et vous, que ferez-vous ? 🖐️ Nous ne pouvons plus détourner le regard. Face à l’urgence, chaque geste compte : soutenir les associations, interpeller les décideurs, accompagner les victimes. Ensemble, nous pouvons transformer l’indignation en action. Mais le temps presse : combien de vies faudra-t-il encore pour que nous réagissions ? #ViolencesConjugales #StopViolences #NonAuxViolences #ProtégerLesVictimes #AgirContreLesViolences #EgalitéProfessionnelle #SantéMentale #Respect #Egalité #HarcèlementMoral #HarcèlementSexuel #DroitsDesFemmes #ViolenceSexuelle
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