Gabriel Attal a proposé dans une lettre aux chefs de parti de mettre en place un «impôt participatif», pour que les contribuables décident à quoi servirait une part de leur impôt #impot #economie #france
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Essayiste, entrepreneur, Président du Think Tank Étienne Marcel, auteur de « L’avenir appartient aux PME » Dunod
#impôts #competitivité #entreprises 🇫🇷 📣 retrouvez mon point de vue publié dans la Revue Politique et sur mon blog : 📌 Demandons plus à l’impôt et moins au contribuable ! « C’est en libérant toutes les énergies des acteurs économiques des contraintes qui les entravent au quotidien que l’État inspirera confiance et réunira les conditions de la mise en place d’une économie plus verte, humaine et responsable »
Demandons plus à l’impôt et moins au contribuable
bernard-cohen-hadad.com
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Co-fondatrice et Directrice Générale de Label Emmaüs | 40 femmes Forbes 2023 | LinkedInTopVoice 2023 | Co-présidente Les Licoornes
Rendre une partie de l’impôt sur le revenu participatif, est-ce vraiment la priorité Gabriel Attal ? Voilà une des mesures proposées par le premier ministre démissionnaire dans son « pacte d’action pour les français » transmis aux présidents des groupes parlementaires pour bâtir des « compromis parlementaires » 👉 https://lnkd.in/e5zchubh Simple calcul ou réelle vision politique? Si l’objectif est de réconcilier les français avec l’impôt sur le revenu, la solution est-elle vraiment de les laisser décider de l’affectation de quelques pourcentages de cet impôt, donc en excluant de la décision ceux qui n’y sont pas assujettis, et en désavouant le rôle des parlementaires qui sont censés voter en connaissance de cause le budget de l’Etat? Le problème ne réside t’il pas plus dans le sentiment d’un impôt devenu injuste et illisible? Le schéma en visuel, extrait d’un rapport passionnant d’Oxfam France (Manifeste fiscal, juste, vert et féministe proposant 17 mesures pour s’attaquer aux inégalités), montre bien le différentiel de taxation des revenus selon le niveau de vie, en prenant en compte tous les impôts et taxes (TVA, CSG, IR…) 👉 https://lnkd.in/eq-V77S6 Contrairement à l’idée reçue selon laquelle la moitié des français ne paient pas d’impôt, on voit bien avec ce schéma qu’en prenant toutes les taxes sur le revenu, ce sont les plus modestes qui contribuent le plus proportionnellement à leurs revenus. Sans compter l’injustice des nombreuses niches fiscales, dont ne bénéficient pas les ménages non assujettis à l’IR, et dont la moitié des 14 milliards d’euros que ces niches représentent est préemptée par 9% des ménages les plus aisés… N’est-il pas tant de renouer avec un minimum de justice fiscale?
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Les mécanismes de défiscalisation permettent à certains ménages aisés et à des entreprises de réduire considérablement leur charge fiscale en France. Voici comment cela fonctionne : 1. Les niches fiscales pour les particuliers : Les contribuables aisés ont accès à plusieurs dispositifs qui permettent de réduire leur impôt sur le revenu. Parmi les plus utilisés : Les investissements immobiliers (lois Pinel, Denormandie, Malraux, etc.) qui offrent des réductions d'impôt pour les investissements dans l'immobilier locatif. Les dispositifs d'investissement dans les PME (loi Madelin, réduction IR-PME) qui permettent de déduire une partie des sommes investies dans des entreprises. Le plafonnement des niches fiscales : Chaque foyer fiscal peut cumuler des réductions et crédits d’impôt dans la limite de 10 000 € par an (ou 18 000 € dans certains cas particuliers). 2. Le prélèvement forfaitaire unique (PFU) : Les revenus du capital (dividendes, intérêts, plus-values) sont soumis au PFU de 30 %, qui inclut 12,8 % d'impôt sur le revenu et 17,2 % de prélèvements sociaux. Ce taux unique est souvent plus avantageux pour les contribuables aisés que les tranches progressives de l'impôt sur le revenu. 3. Défiscalisation pour les entreprises : Les entreprises, en particulier les grandes, bénéficient également de nombreux dispositifs pour réduire leur impôt sur les sociétés : Le crédit d’impôt recherche (CIR) : un des dispositifs les plus utilisés par les grandes entreprises pour déduire une partie de leurs dépenses en recherche et développement (R&D). Les exonérations dans les zones franches urbaines (ZFU) ou zones rurales revitalisées (ZRR). L'optimisation fiscale internationale, pour certaines multinationales, permet de transférer une partie des bénéfices dans des juridictions à faible taux d'imposition, ce qui peut réduire significativement la facture fiscale. 4. Le plafonnement de l'Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) : Le remplacement de l'ISF (impôt sur la fortune) par l'IFI en 2018 a réduit la pression fiscale sur les patrimoines élevés, car il ne concerne désormais que les biens immobiliers. De plus, l'IFI est plafonné pour ne pas dépasser 75 % des revenus d'un contribuable, ce qui limite son impact sur les fortunes élevées. Conséquence : Bien que les ménages aisés paient en général plus en termes absolus, ils peuvent réduire leur impôt grâce à la défiscalisation, et leur taux effectif d'imposition peut parfois être inférieur à celui de foyers plus modestes. L'effet cumulé des niches fiscales, du PFU et des dispositifs d'optimisation permet donc à certains contribuables et entreprises fortunés de diminuer considérablement leur charge fiscale. Cela alimente un débat récurrent sur l’équité fiscale en France.
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Diplômé Expert en Gestion de Patrimoine. Directeur Général d'Étude Notariale. Désagrégé de Mathématiques.
L'Impôt sur le Revenu en France : Entre Nécessité... et Équité ? En France, l'impôt sur le revenu (IR) a doublé au cours des 15 dernières années, une évolution qui suscite de nombreuses discussions! Et pourtant, une majorité de Français semble favorable à une augmentation encore plus marquée de cet impôt. Mais pourquoi cette opinion est-elle si répandue ? La réponse réside dans la répartition actuelle du paiement de l'IR! En effet, à peine 44 % des foyers fiscaux contribuent à l'IR, et parmi eux, les 10 % les plus aisés assument 80 % de cette charge. Ainsi, l'IR apparaît fortement concentré sur une petite partie de la population, la majorité des citoyens ne voit donc pas d'inconvénient à en augmenter le taux : cela ne les impacte pas ! Politiquement, augmenter l'IR peut sembler une solution aisée pour améliorer les finances de l'État, puisqu'elle affecte principalement une minorité de la population. Cependant, cette approche soulève des questions d'équité et de gestion des finances publiques. Plutôt que de se reposer uniquement sur les hauts revenus, ne serait-il pas plus juste que chaque citoyen, dans la mesure de ses moyens, contribue au budget de l'État ? Cette démarche encouragerait également une gestion plus rigoureuse des dépenses publiques... car plus de monde serait concerné! Rappelons que la France détient déjà le record de la plus forte pression fiscale du monde, avec des prélèvements obligatoires représentant près de 50 % du PIB. Dans un contexte où la société semble de plus en plus divisée, une réforme de l'IR pourrait non seulement équilibrer les contributions mais aussi renforcer le sentiment d'appartenance et de responsabilité citoyenne. Une réflexion s'impose : quel est le juste équilibre entre fiscalité nécessaire et équité pour tous les citoyens ? #fiscalité #impôts #france #équité Corinne FABIANI FABIANI PATRIMOINE
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💸𝐔𝐧 𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮 𝐚̀ 𝟗𝟏% ! 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞́ L'idée d'un impôt sur le revenu à un taux aussi élevé que 91% peut sembler extrême à première vue, mais elle est basée sur des précédents historiques. Dans les années 1940 et 1950, les États-Unis ont effectivement appliqué un taux marginal d'imposition sur le revenu très élevé, atteignant jusqu'à 91% pour les revenus les plus élevés. Ce système fiscal était en place principalement pour financer les efforts de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale et pour réduire les inégalités économiques. Cette période était marquée par une forte volonté politique de réduire les écarts de richesse et de soutenir la classe moyenne. L'idée était que les individus les plus riches devaient contribuer de manière significative au bien-être de la société. De plus, à cette époque, il existait également des taux d'imposition élevés sur les successions et les gains en capital. En France, une démarche similaire a été entreprise avec la création d'une taxe en 1954. Cette taxe, bien que n'atteignant pas le même niveau que celle des États-Unis, est devenue au fil du temps une source de revenus majeure pour le gouvernement français. Elle a également évolué pour devenir un élément clé du système fiscal français, contribuant à financer les services publics et les programmes sociaux : Une véritable 𝐯𝐚𝐜𝐡𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚𝐢𝐭. Cependant, au fil des décennies, les taux d'imposition ont généralement diminué dans de nombreux pays occidentaux, y compris aux États-Unis et en France. Cette évolution découle souvent de changements politiques, d'une pression économique pour stimuler la croissance et l'investissement, ainsi que de débats sur l'équité fiscale. Bien que l'idée d'un impôt sur le revenu à 91% puisse sembler radicale aujourd'hui, elle soulève des questions importantes sur la façon dont la société choisit de répartir la charge fiscale et de l'utiliser pour atteindre des objectifs sociaux et économiques. En fin de compte, la politique fiscale est le reflet des valeurs et des priorités d'une société à un moment donné de son histoire. #Fiscalité #Histoire #Économie #Innovation
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Ce type de déclaration interroge : "Une étude de l'Institut des politiques publiques publiée l'an dernier aboutit au fait que les milliardaires ne paient que 2 % d'impôt sur le revenu rapporté à l'ensemble des revenus perçus issus aussi bien de l'entreprise que du patrimoine », explique Ségal Le Guern Herry." dans Les Echos Pouquoi limiter la contribution des milliardaires (ou des millionnaires) à l'impôt sur le revenu qui représente déjà 66,2% de leur revenu, très proche du taux de 66,6% considéré comme confiscatoire, les stigmatiser alors que la création de richesse réalisée chaque année par leurs sociétés est très largement redistribuée à l'Etat entre l'impôt sur les sociétés, les charges sociales et diverses taxes et à leurs salariés, fournisseurs et autres prestataires ? Pourtant dans les faits, on comprend aussi de l'étude de l'Institut des politiques publiques que les milliardaires ne se versent qu'un revenu modeste au regard de la valorisation de leur patrimoine force est de constater que leur taux moyen d'impôt sur le revenu n'est que de 2% de la valeur de leur patrimoine, ce qui démontre leur attachement à privilégier leurs entreprises plutôt que leurs intérêts personnels. De plus, quand dans le même temps on sait que 10% des contribuables règlent, à eux seuls, 76% du total de l'impôt sur le revenu, quand certains parlent de justice fiscale, il serait temps de changer de logiciel et de remercier ceux sans qui le budget de l'Etat ne pourrait pas être financé. Millionaire ou milliardaire, il n'existe aucun passe-droit ou traitement de faveur en matière de fiscalité, l'impôt s'applique à tout résident fiscal français... #fiscalite #impots #actualité https://lnkd.in/e9HTSWMS
Impôts : comment faire payer les plus riches ?
lesechos.fr
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Spécialiste en Gestion Patrimoniale et Investissement Immobilier | Guide de confiance pour des Décisions Financières Éclairées | Objectif : Votre Équilibre Financier 📈🏠
📌 𝐈𝐦𝐩𝐨̂𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐑𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 : 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐳 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟒 L’impôt sur le revenu, instauré en France en 1914, est un impôt direct basé sur les revenus des personnes physiques. Il permet de financer en partie les dépenses d’intérêt général des administrations publiques. En 2022, l’impôt sur le revenu a rapporté à l’État près de 86,8 milliards d’euros, ce qui représente + de 25% des recettes fiscales de l’État. Le nombre de foyers assujettis, c’est-à-dire ayant réglé l’impôt sur le revenu, s’est élevé à 17,9 millions sur les 40 millions de foyers fiscaux. L’impôt sur le revenu a été conçu pour réduire les inégalités et a fini par financer l’effort de guerre pendant les premières années de son existence. De 1915 à 1918, en plein conflit mondial, le système se met progressivement en place et le barème d’imposition est modifié presque tous les ans. Malgré sa complexité et son impopularité croissantes, l’impôt sur le revenu reste un élément clé du système fiscal français, contribuant de manière significative aux recettes de l’État. 𝐃𝐚𝐭𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐞́𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐝𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟒 : Ouverture du service de déclaration en ligne : 11 avril 2024 Date limite de déclaration en ligne : Départements n°01 à 19 (zone 1) et non-résidents : 23 mai 2024 à 23h59 Départements n°20 à 54 (zone 2) : 30 mai 2024 à 23h59 Départements n°55 à 976 (zone 3) : 6 juin 2024 à 23h59 Date limite de déclaration papier (en cas d’impossibilité à la faire en ligne) : 21 mai 2024 🆕 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮𝐭𝐞́𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟒 🆕 1. Indexation du Barème Progressif de l’Impôt : Le barème de l’impôt 2024 sera revalorisé de 4,8 %. Le barème progressif comporte plusieurs tranches de revenu, qui correspondent chacune à un taux d’imposition différent, qui varie de 0 % à 45 %. 2. Décote et Abattement Majorés pour les Plus Modestes : La décote d’impôt accordée aux ménages faiblement imposés est revalorisée de 4,8 %. Exemple : Pour un célibataire, la décote est calculée comme suit : 873 - 45.25 % de l’impôt. 3. Réductions d’Impôt pour Certains Dons : Les dons de 2023 aux associations d’aide aux personnes en difficulté ouvriront droit à une réduction d’impôt de75 % cette année, dans la limite de 1 000 € de versements. 4. Abattement sur les Revenus pour les Contribuables Âgés ou Infirmes : L’abattement sur les revenus accordé aux contribuables âgés de plus de 65 ans et aux contribuables invalides de condition modeste est aussi relevé de 4,8 %. Vous y aurez droit cette année si votre revenu global de 2023 ne dépasse pas 27 670 €. #ImpotSurLeRevenu #Fiscalité #France #DéclarationImpôt2024 #GestionDePatrimoine #Épargne #PédagogieFinancière Pour en savoir plus direction le carrousel et/ou prenez rendez-vous avec moi. N’hésitez pas à réagir et à partager ce post ! 🚀 Liker 👍🏻 Partager ➡️ Abonnez-vous 🔔
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Plutôt que taxer les 500 Français les plus riches comme le préconise Thomas Piketty, la France a surtout besoin pour redresser ses finances publiques de baisser les impôts et d’investir dans les services publics. Une tribune d'Emmanuelle Mignon #Économie
Impôt sur les milliardaires : une idée stupide, par Emmanuelle Mignon
lexpress.fr
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Le débat parlementaire sur le #PLF est l'occasion d'entendre de très nombreuses imprécisions et contrevérités, de la part des députés mais également des commentateurs, plus ou moins experts de la chose économique… Le rapporteur général du Budget, le député de Charles de Courson, a publié quelques chiffres intéressants concernant l'impôt sur le revenu (IR). Chiffres relayés par Dominique SEUX du journal Les Echos sur France Inter ce matin. 💰 Recettes totales annuelles de l'IR = 100 milliards € 🫰10% des français paient les 3/4 de cette somme, soit 75 milliards € 📊 1% des français prennent à leur charge 1/3 du total, soit 32 milliards € 🏅 0.1% d'entre eux, soit 67.000 contribuables, s'acquittent d'un total de 12 milliards € L'idée n'est pas de plaindre celles et ceux qui paient l'IR, mais il est intéressant de voir que la contribution des "plus hauts revenus" est déjà bien réelle et sérieuse. Une majorité d'économistes s'accordent à dire que le problème n'est pas de trouver de nouvelles recettes, mais de mieux allouer (d'abord en les réduisant) le capital pour financer notre économie. Nous n'avons pas beaucoup entendu les parlementaires et Monsieur le Rapporteur sur ce sujet crucial!
Ces impôts que paient les plus aisés
radiofrance.fr
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Seuls les revenus supérieurs à 500.000 euros seront concernés par la hausse d’impôt: Malgré le contexte politique difficile, le projet de loi de finances 2025 semble prendre forme. Le ministre du Budget vient d’annoncer une contribution fiscale exceptionnelle qui ciblera les foyers sans enfants gagnant plus de 500.000 euros par an. Ce nouvel impôt concernera donc une minorité de contribuables (environ 0,3 %), soit 65 000 ménages, sur les 20 millions soumis à l’impôt sur le revenu. Une initiative qui vise à demander aux contribuables les plus fortunés de participer à l’effort de redressement économique. Si l’annonce a été faite sur le fond, la forme ne semble pas encore bien définie. Il pourrait s’agir d’une augmentation du taux d'imposition au-delà du seuil fixé ou bien encore un taux minimum pour les contribuables les plus aisés. De même, la durée de cette mesure temporaire n’est pas précisée et sera discutée lors des débats parlementaires. Ce n’est pas la première fois que le gouvernement entreprend une telle mesure. Elle avait déjà été mise en place après la crise des subprimes en 2008-2009. SOURCE AGEFI patrimoine 03/10/2024 #impôts #hautsrevenus #fisaclité #haussedesimpôts #budget #équillibrebudgetaire #déficitpublic #projetdeloidefinances2025 #tauxdimposition
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