Mais tous les partis n'y sont pas conviés. La gauche et l'extrême-droite ne participeront pas à ces discussions, suite à leur opposition frontale avec le Président hier. #Matignon #Legislatives2024 #Politique
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Plus de 21.000 professeurs depuis juillet 2006 ont contacté notre association pour changer de métier. Toi aussi, tu y penses ?
Et qui aura envie maintenant de voter pour un candidat LR après ce fiasco multimédiatisé ? Les survivants n'ont plus que le choix de rallier Emmanuel Macron pour lui redonner la majorité qu'il avait perdue dans la dernière Assemblée nationale, ou de disparaître progressivement au fil des élections. Car les LR sont pris dans un véritable maelström. Était-ce l'un des objectifs du stratège de la dissolution ? Emmanuel Macron aurait dû d'abord en discuter avec son Premier Ministre au moins, et envisager 10 solutions plutôt qu'une dissolution. Les derniers propos du Premier Ministre sur le Front Populaire, semblant trouver indigne que le PS s'allie à LFI, montre que le rêve de Renaissance, c'est le parti unique des forces de Gauche et de Droite qui ne font pas partie des extrêmes, et vers qui va le maximum de voix à chaque élection, au 2e tour. Un parti unique de la Gauche, du Centre et de la Droite traditionnels, est-ce bien souhaitable dans une démocratie ? C'est une autre problématique.
Au sein des LR, on a trouvé la meilleure ennemie d’Éric Ciotti
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Consultant en Communication 360° l Cofondateur Agence Akatsuki | Rédaction l Conseil l stratégie l Communication institutionnelle, politique et électorale l 15 ans d'expérience dans la communication l Comédien et auteur
Thucydide aurait-il raison ? L'Histoire ne serait-elle qu'un éternel recommencement ? Voilà plus de 20 ans maintenant que, lors de chaque scrutin, la France joue au train fantôme, s'effrayant avec le spectre de l'extrême-droite. Un jeu dangereux et disons-le ... pas franchement drôle. Voilà plus de 20 ans maintenant qu'à chaque élection, les médias produisent les mêmes commentaires inquiétants et qu'une fois le danger écarté, chacun affirme avoir compris le message et s'engage à changer. Et pourtant ... Un tour de manège et retour au point de départ. Certes, une fois encore l'extrême-droite a trébuché (et c'est tant mieux), mais qu'en sera-t-il demain et avec un hémicycle particulièrement divisé ? Depuis dimanche, on n'entend parler que de peur, on s'interroge pour savoir si le Premier ministre, c'est lui ?, on met en cause la Constitution et la limite de notre système institutionnel. Et si, au contraire, ces élections étaient une chance ? Celle d'enfin oser recomposer notre paysage politique ! D'aller vers cette pratique de coalition vers laquelle les résultats des urnes sembleraient converger. Chacun est prompt à vanter son affiliation au Père de la Vème République ... mais "chacun" se souvient-il qu'il ne portait pas spécialement le régime des partis en intérêt ? Ne serait-ce pas là un moyen d'enfin aider à la mise en place d'un barrage plus solide face aux extrêmes et d'éviter de brandir systématiquement un arc républicain, dont un jour, la corde ne manquera pas de casser ? #elections #electionslegislatives #france #legislatives2024 #communication #reseau #business #politique #assembleenationale #parlement Assemblée nationale Le Figaro Sénat Le Monde Gouvernement Entourages
Résultats Législatives 2024 : découvrez la projection en temps réel de la nouvelle Assemblée nationale
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Coach formateur, management, stratégie, négociation, médiation, comportements, commerce, économie, gestion, finance - observateur de la vie sociale, économique et politique.
La démocratie à la Française... 🤔. Encore un sujet qu'il faut comprendre quel que soit le résultat des dernières élections, car tous manœuvreraient de la même façon, dans les mêmes circonstances, et c'est bien là le problème. Voilà un pays, qui donne, par 3 fois, sur une période très courte, la parole à ses électeurs, pour finalement ne pas tenir compte de l'expression populaire et maintenir des membres du bloc perdant à des postes clés et particulièrement médiatiques de ses institutions. Quand on aime un minimum la cohérence et le droit, on peut s'interroger sur l'efficacité d'un système de suffrage universel, dont l'expression semble pouvoir être assez facilement contournée... Que va-t-il se passer par la suite ? Soit l'abstention va retrouver des niveaux particulièrement élevés, soit la volonté d'opposition de l'expression populaire aux institutions ne va faire que s'amplifier. 235 ans après la révolution Française, rien n'a vraiment changé, toutes proportions gardées. Maintenant, rappelons nous quand-même qu'à peine la prise de la bastille du 14 juillet 1789 terminée, la période de terreur qui a suivi a vu monter à la guillotine les célébrités de la gauche de l'époque (Montagnards), qu'étaient Danton et Robespierre. A noter toutefois un changement majeur avec cette période troublée de notre histoire : aujourd'hui on se contente de couper l'herbe sous les pieds des uns... comme des autres. C'est heureusement 🙏 bien moins violent, mais tout aussi efficace... 🫢🤭😉 REPORTAGE. Six heures de vote, une atmosphère tendue et des tractations en coulisses... On vous raconte la réélection sur le fil de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l'Assemblée nationale
REPORTAGE. Six heures de vote, une atmosphère tendue et des tractations en coulisses... On vous raconte la réélection sur le fil de Yaël Braun-Pivet à la présidence de l'Assemblée nationale
francetvinfo.fr
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🔴 Les infos à retenir : - Jordan Bardella : un "big bang de l’autorité" à l’école - Le Maire craint pour la "paix civile" avec le RN au pouvoir - Laurent Berger écarte l’idée d’une nomination à Matignon #Elections #Législatives #Politique #France
Législatives : Macron admet que "la manière de gouverner doit changer profondément"
lexpress.fr
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L’extrême droite est l’ennemi de la démocratie, elle ne sera JAMAIS la solution. Nous devons tout faire pour nous y opposer. Certes, LFI est un adversaire politique, dangereux car attisant la haine, la polarisation avec des slogans simplistes et même faux, mais la priorité absolue c'est de FAIRE BARRAGE au fascisme, pour le vivre-ensemble, pour nos valeurs fondamentales. Il ne doit pas y avoir d'hésitations. https://lnkd.in/eHtXGCfU
Élections législatives en France : une chute vertigineuse dans l'inconnu
lalibre.be
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Dans les couloirs des cabinets ministériels, on raconte qu’il souhaite qu’on se souvienne de lui comme « le président qui aura résisté au peuple ». Depuis le début de son premier mandat, le président de la République Emmanuel Macron se caractérise par son imperméabilité aux revendications de la société civile, qu’elles viennent de la rue (Gilets Jaunes, Réforme des Retraites, entres autres) ou des institutions (Grand débat, Convention Citoyenne pour le Climat, etc.). La nomination de Michel Barnier comme Premier Ministre, puis de son gouvernement n’échappe donc pas à la règle. Pour que ce soit bien clair, le nouveau Premier ministre Michel Barnier l’a dit lui-même lors de sa première allocution télévisée : « Nous ne sommes pas en cohabitation. L’essentiel du socle parlementaire qui accompagne le gouvernement est composé pour beaucoup de personnalités qui accompagnent le gouvernement depuis sept ans ». C’est bien le gouvernement d’Emmanuel Macron qui reste aux commandes, et l’écologie semble désormais loin de ses prétendues préoccupations. Le poste de Secrétaire d’État à la biodiversité a été tout simplement supprimé, alors que 60% des oiseaux des champs ont disparu en Europe depuis 40 ans. La gestion de la forêt, elle, passe aux mains de l’agriculture tenue par Annie Genevard, vice-présidente LR de l’Assemblée nationale. Cette dernière a été dénoncée par L214 pour ses nombreuses oppositions à la protection de la nature. Quant à l’océan, le ministère « de la mer et de la pêche » dit tout dans son titre. L’occupant du poste, le lorientais Fabrice Loher, est d’ailleurs connu pour ses liens étroits avec Olivier Le Nézet, président du comité national des pêches et promoteur de la pêche industrielle en France. Plus préoccupant, la nomination au poste de ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques d’Agnès Pannier-Runacher. L’ancienne ministre de la transition énergétique est l’héritière de Perenco, n°2 du pétrole en France, et avait été épinglée pour conflit d’intérêts par Disclose.
Le déni démocratique est sévère. Fini le gouvernement macroniste avec des ministres LR, nous avons désormais un gouvernement LR avec des ministres macronistes. Tout cela sous l’étroite surveillance du Rassemblement National. Et tant pis pour les électeurs ayant favorisé la gauche à l’Assemblée nationale. https://lnkd.in/d6Jxqg2G Vous souhaitez ne rater aucun de nos articles ? Rejoignez les 80 000 lecteurs de notre newsletter pour vous informer librement : https://lnkd.in/efcbWp-n
Le gouvernement Barnier : virage à droite et déni démocratique
https://lareleveetlapeste.fr
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Après l’accord manifeste passé entre les macronistes et LR pour la présidence de l’Assemblée, il est très étonnant qu’aucun commenteur ou analyste n’évoque l’hypothèse de François Bayrou pour Matignon. En effet, L. Wauquiez tient absolument à rester dans l’opposition dans la perspective de 2027, et le gouvernement devra forcément être beaucoup plus ouvert pour espérer tenir un certain temps. Sous réserve d’un veto présidentiel qui serait injuste vu le soutien décisif obtenu en 2017 ou d’un veto des députés macronistes (mais pourquoi et au profit de qui ?), François Bayrou apparaît incontestablement comme une figure adaptée à la recherche d’un rassemblement républicain qui correspondrait, en plus, au souhait majoritaire des français. Il peut raisonnablement porter un programme sensiblement plus social que la dérive droitière macroniste depuis 2017, et crédible sur le plan économique et européen. Politiquement, il pourrait rallier les « divers gauche » hors NFP, des centristes et progressistes divers et variés. Une solution finalement acceptable par beaucoup et sans doute parmi les plus souhaitables dans la période que traverse notre pays.
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Il est clair les jours de vote important que "extreme droite-LR-Horizons-macroniste" c'est le même raisonnement réactionnaire opposé au progrès social. C'est le monde d'avant sans mode de penser un Futur de Terre propre, une industrie et des services qui donnent des emplois à bon pouvoir d'achat pour les gens avec formation supérieure, une rémunération suffisante pour les salariés sans formation, une justice sociale de paire avec la fin des trafics, corruption et insécurité généralisée dans nos villes et campagnes. La fin des discours irréels et l'organisation européenne ferme industrielle, économique, sociale, une justice pour tous, avec des caractéristiques régionales tout en s'imposant au plan mondial par sa force unitaire.
« Un vent de panique s’empare de la Macronie. » Ils voulaient réinstaller un match « Rennaissance/extreme droite », étouffant encore un peu plus notre démocratie. C’était sans compter la gauche écolo démocrate et pro européenne.
Elections européennes : Raphaël Glucksmann, l’adversaire que les macronistes n’avaient pas vu venir
lemonde.fr
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Malgré le soulagement affiché par le camp présidentiel suite à la réélection de Yaël Braun-Pivet au perchoir de l’Assemblée nationale, la situation politique en France reste plus que jamais explosive. Car derrière cette victoire en demi-teinte se cachent en réalité de profondes frustrations qui pourraient bien faire dérailler le quinquennat d’Emmanuel Macron. Le Rassemblement National Évincé Malgré Son Triomphe La première source de tension concerne bien sûr le Rassemblement National. Arrivé largement en tête des élections européennes avec près de 24% des voix, le parti de Marine Le Pen s’est aussi imposé comme la première force à l’Assemblée nationale suite aux législatives. Pourtant, par le jeu des alliances entre l’ancienne majorité et la gauche, le RN s’est vu refuser tout poste à responsabilité au Palais Bourbon. Une mise à l’écart qui passe très mal auprès des 10,7 millions d’électeurs ayant voté pour le RN au premier tour des législatives. Beaucoup y voient un véritable « déni de démocratie » de la part des partis traditionnels, qui n’hésitent pas à s’allier contre l’extrême droite quand cela les arrange, tout en s’accusant mutuellement de tous les maux par ailleurs. L’Échec Cuisant Des Négociations À Gauche Autre sujet de crispation : l’incapacité des forces de gauche à s’entendre pour peser davantage à l’Assemblée. Malgré de longues tractations entre LFI, le PS, EELV et le PCF, le « Nouveau Front populaire » tant espéré par Jean-Luc Mélenchon n’a pas vu le jour. En cause, des divergences jugées irréconciliables sur des sujets clés comme l’Europe, le nucléaire ou la laïcité. Résultat, la gauche radicale se retrouve isolée avec seulement 150 députés, loin derrière les 245 sièges décrochés par la majorité présidentielle. Une impasse qui suscite l’incompréhension et la colère chez de nombreux sympathisants de gauche, déçus par ces « querelles d’égo » qui empêchent l’émergence d’une véritable opposition. Un Bloc Centriste Renforcé Mais Fragilisé Enfin, si les centristes semblent sortir renforcés de ce psychodrame politique en conservant une position charnière à l’Assemblée, leur victoire pourrait n’être que de courte durée. Car à force de jouer sur tous les tableaux en courtisant tantôt la droite, tantôt la gauche, la majorité présidentielle risque de générer encore plus de ressentiment. En refusant de jouer le jeu démocratique et en snobant le vote populaire, les partis traditionnels creusent dangereusement le fossé avec les citoyens. Guillaume Tabard, éditorialiste À trop vouloir préserver son influence, le bloc centriste pourrait finalement se retrouver pris en étau entre deux camps toujours plus polarisés et remontés. Un équilibre fragile qui menace à tout moment de voler en éclats. Vers Une Crise Démocratique Majeure ? Au final, ces trois grandes frustrations – celle du RN évincé malgré sa victoire, celle de la gauche incapable de s’unir, et celle d’un centre jugé trop opportuniste – font peser un risque majeur s...
Malgré le soulagement affiché par le camp présidentiel suite à la réélection de Yaël Braun-Pivet au perchoir de l’Assemblée nationale, la situation politique en France reste plus que jamais explosive. Car derrière cette victoire en demi-teinte se cachent en réalité de profondes frustrations qui pourraient bien faire dérailler le quinquennat d’Emmanuel Macron. Le Rassemblement National Évinc...
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🇫🇷 Nouveau 1er Ministre : Habemus Barnier ! 🇫🇷 La fumée blanche a enfin émergé au-dessus de l’Élysée… Après une attente interminable voire grotesque , Michel Barnier a été nommé Premier ministre pour former un gouvernement, probablement de coalition, afin de sortir notre pays de l’impasse politique actuelle. Sa nomination marque une victoire pour les idées portées par LES droites françaises, qui l’emportent sur celles des gauches et de l’extrême gauche, écartant ainsi le danger d’une mise en œuvre destructrice du programme du NFP. Lors des élections de juillet dernier, les Français ont voté plus à droite qu'à gauche, comme le démontrent les scores cumulés des voix des partis allant d’Horizons au Rassemblement National où ce dernier a d’ailleurs pris l’engagement responsable de ne pas immédiatement bloquer un gouvernement Barnier. Il est essentiel de reconnaître l’importance de la prise en considération de l’ensemble des sensibilités de droite(s) en cette période troublée, qu’elles soient issues d'un centre droit liberal ou d’une droite plus conservatrice, tant dans l’élaboration du programme gouvernemental que dans le choix des futures personnalités qui composeront ce gouvernement. Bien que cette tendance ne se soit pas traduite clairement dans la composition de l'Assemblée Nationale issue des dernières législatives, la reconnaissance aux divers courants de droite doit être prise en compte par le nouveau Premier ministre. Ne pas en tenir compte pourrait, dans un premier temps, entraîner un échec à former un gouvernement, ou, dans un second temps, une impossibilité à faire voter le budget en octobre, risquant de plonger le pays dans une plus grave instabilité politique jusqu’à une éventuelle nouvelle dissolution en juillet prochain… La messe est dite monsieur le 1er ministre ! #HabemusBarnier #GouvernementDeCoalition #DroiteFrançaise #ImpassePolitique #Élections2024 #InstabilitéPolitique
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