🤝 Même durant les jours fériés, les week-ends et les nuits, Adecco Medical reste joignable pour solutionner vos problématiques RH. Vos urgences deviennent les nôtres. Notre équipe dédiée prend le relai de votre agence habituelle et vous accompagne sur ces moments particuliers de la semaine. 🎆 Les 14 juillet et 15 août, vous pouvez aussi compter sur nous ! ▶️ https://bit.ly/3XIxbfV ◀️
Post de Adecco Medical
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𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐮𝐧 𝐦é𝐝𝐞𝐜𝐢𝐧 𝐫𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐠é... 👉 𝐄𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 é𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐝𝐞 𝐭é𝐥é𝐬𝐞𝐜𝐫é𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐩𝐞𝐫 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐠é𝐫é ! Notre efficacité et professionnalisme garantissent la continuité et la fluidité du fonctionnement du cabinet, même en l'absence du médecin. Voici comment nos télésecrétaires médicales rendent cela possible : 🔹 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐈𝐦𝐩𝐞𝐜𝐜𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥𝐬 : Pendant l'absence du médecin, nos télésecrétaires prennent en charge tous les appels entrants, répondant avec courtoisie et professionnalisme. 🔹 𝐎𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐏𝐥𝐚𝐧𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐑𝐃𝐕 : Nos télésecrétaires gèrent l'agenda du médecin, planifiant et confirmant les rendez-vous de manière à optimiser le temps et les ressources du cabinet. Elles envoient des rappels aux patients pour minimiser les absences et réorganisent les créneaux si nécessaire. 🔹 𝐎𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐏𝐥𝐚𝐧𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐑𝐃𝐕 : Elles assurent une communication continue avec les patients, répondant à leurs questions, gérant les demandes de rendez-vous. Pour en savoir un peu plus sur nos services, nous contacter au : ☎️ 0973 05 02 29 📧 contact@noutdoc.fr 🌐 http://www.noutdoc.fr/ #noutdoc #télésecrétariat #professionmédicale #santé #lareunion #reunion974
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Alors la nuit … Soit c’est urgent (OAP, AVC, IDM, détresse respiratoire) et cela relève des urgences. Le médecin généraliste libéral n’y fera rien. Soit c’est pas urgent (angine, rhino-pharyngite, entorses…) et cela attend le lendemain. Quelle utilité d’épuiser en garde de nuit profonde les rares médecins généralistes qui ont le courage de poursuivre leur activité dans le contexte actuel ? Que dirons les 30 patients qu’auraient pu voir leur médecin traitant s’il est absent le lendemain car de repos (non payé bien entendu) de sa garde (inutile) de nuit profonde. Rappelons que ces gardes ont été supprimés par la sécurité sociale car non utile et non rentable !! Après c’est juste l’avis d’un médecin de terrain. Mais probablement, sans intérêt par rapport à celui de technocrates parisiens ou d’un ministre surdiplomé !
""Motiver" ou contraindre les médecins à faire plus de gardes en soirée ou le week-end". L'idée du ministre Valletoux est idiote, coûtera cher et n'arrangera rien. 1 - La grande majorité des actes faits en soirée peut attendre le lendemain. La nuit, si ça ne peut pas attendre le lendemain c'est que c'est une urgence. 2 - Si l'on nous contraint à bosser le soir ou le week-end, puisque nous ne bosserons pas PLUS, nous récupérerons ce temps sur des jours où nous travaillons habituellement. Si nous sommes moins disponible pour ces patients que nous aurions vu en journée, où risquent-ils de se retrouver ? Oui, en consultation "d'urgence" le soir. Et pour les autres, les délais pour avoir un rendez-vous non urgent s'allongeront encore. 3 - On peut augmenter l'offre en PDSA autant qu'on veut, s'il n'y a pas en parallèle un travail de prévention sur le bon usage du système de soin, on ne désengorgera rien du tout. 4 - À nombre de consultations égal, le coût pour le système de santé sera plus important. Les actes en soirée ou week-end sont évidemment plus chers. Pour le même temps de travail (puisqu'on ne travaillera pas plus mais à la place d'autres plages de travail) nous gagnerons plus d'argent au détriment de postes de dépense plus pertinents. 5 - C'est une notion que les politiques et les tutelles n'ont toujours pas intégré : un médecin généraliste traitant est plus efficace et plus pertinent avec les patient.e.s qu'il connaît. Moins de risque de prescrire des examens ou traitements inutiles quand on suit une personne. Diminuer le temps de travail au contact des patient.e.s que je connais, en risquant de les contraindre à consulter un autre médecin et pour me faire voir à la place des patient.e.s que je ne connais pas est donc doublement idiot. On n'est pas dans un tableur Excel, un médecin n'égale pas un autre médecin qu'on peut caser n'importe où. 6 - Comme dans beaucoup d'autres territoires (mais pas tous, il est vrai), il existe déjà ici des maisons médicales de garde et une PDSA assurée par des organisations comme SOS médecins. 7 - Dans d'autres territoires moins denses, les médecins se comptent sur les doigts d'une main. Ils devraient être de garde tous les 3 jours ? Quelle pertinence et quelle vie, à l'égard des points précédents ? Bref, il veut uniquement déplacer le problème. Une solution intelligente serait donc de favoriser l'accès aux soins en journée. Ça tombe bien, c'est ce que propose des tas de médecins de terrain. Comment on fait ça ? En deux grands axes complémentaires, diminuer le recours inutile au système de santé (suppression des certificats médicaux pour les arrêts maladie courts, jours enfant malade, absences de cantine et périscolaire etc, grandes campagnes de prévention...), et augmenter la capacité d'accueil des soignants libéraux comme hospitaliers en leur donnant des moyens (d'être plus nombreux, d'embaucher du personnel administratif, d'accueillir des étudiants, de collaborer avec d'autres soignants...).
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Les cabinets et centres médicaux ouverts après 19h et le week-end se multiplient, et rencontrent un indéniable succès. 🏥 Ils répondent aux attentes de patients qui ne veulent et ou ne peuvent pas attendre plusieurs jours pour être soignés. Ils promettent dans le même temps aux professionnels de santé un cadre de travail plus compatible avec la vie familiale. 👨⚕ Cette nouvelle offre est aussi dynamique que protéiforme. Cohabitent par exemple des centres qui se dédient aux petites urgences nécessitant un soin et des cabinets de médecins généralistes classiques ouverts tard le soir et le week-end. 😣 L'assurance-maladie n'observe pas toujours ce développement d'un bon oeil. Dans son dernier rapport "charges et produits", elle déplore que certains aient "une pratique d'optimisation, d'une part, peu compatible avec les règles de prise en charge par l'Assurance Maladie et, d'autre part, qui peut conduire à une désorganisation des territoires". 💰 Pour ces acteurs, la donne va changer le 23 décembre prochain. Afin de donner un coup de frein au développement de cette activité, il en sera fini des majorations de consultations des tarifs de nuit et de week-end prises en charge par la sécurité sociale, pour tout type de consultations. Tous ne continueront pas à rester ouverts au-delà de 19h et le week-end. Merci à Loic Libot, Maeva Delaveau, Frédéric Pochet, CHAUMOITRE JEREMIE, Atika ALAMI, Matthieu Sainton et Aurélien Bouchet pour leurs éclairages. L'article complet est ici : https://lnkd.in/g8YtNr5F
Ouverts de 9h à 22h, 7 jours sur 7 : face aux urgences débordées, le succès des centres médicaux privés
lefigaro.fr
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""Motiver" ou contraindre les médecins à faire plus de gardes en soirée ou le week-end". L'idée du ministre Valletoux est idiote, coûtera cher et n'arrangera rien. 1 - La grande majorité des actes faits en soirée peut attendre le lendemain. La nuit, si ça ne peut pas attendre le lendemain c'est que c'est une urgence. 2 - Si l'on nous contraint à bosser le soir ou le week-end, puisque nous ne bosserons pas PLUS, nous récupérerons ce temps sur des jours où nous travaillons habituellement. Si nous sommes moins disponible pour ces patients que nous aurions vu en journée, où risquent-ils de se retrouver ? Oui, en consultation "d'urgence" le soir. Et pour les autres, les délais pour avoir un rendez-vous non urgent s'allongeront encore. 3 - On peut augmenter l'offre en PDSA autant qu'on veut, s'il n'y a pas en parallèle un travail de prévention sur le bon usage du système de soin, on ne désengorgera rien du tout. 4 - À nombre de consultations égal, le coût pour le système de santé sera plus important. Les actes en soirée ou week-end sont évidemment plus chers. Pour le même temps de travail (puisqu'on ne travaillera pas plus mais à la place d'autres plages de travail) nous gagnerons plus d'argent au détriment de postes de dépense plus pertinents. 5 - C'est une notion que les politiques et les tutelles n'ont toujours pas intégré : un médecin généraliste traitant est plus efficace et plus pertinent avec les patient.e.s qu'il connaît. Moins de risque de prescrire des examens ou traitements inutiles quand on suit une personne. Diminuer le temps de travail au contact des patient.e.s que je connais, en risquant de les contraindre à consulter un autre médecin et pour me faire voir à la place des patient.e.s que je ne connais pas est donc doublement idiot. On n'est pas dans un tableur Excel, un médecin n'égale pas un autre médecin qu'on peut caser n'importe où. 6 - Comme dans beaucoup d'autres territoires (mais pas tous, il est vrai), il existe déjà ici des maisons médicales de garde et une PDSA assurée par des organisations comme SOS médecins. 7 - Dans d'autres territoires moins denses, les médecins se comptent sur les doigts d'une main. Ils devraient être de garde tous les 3 jours ? Quelle pertinence et quelle vie, à l'égard des points précédents ? Bref, il veut uniquement déplacer le problème. Une solution intelligente serait donc de favoriser l'accès aux soins en journée. Ça tombe bien, c'est ce que propose des tas de médecins de terrain. Comment on fait ça ? En deux grands axes complémentaires, diminuer le recours inutile au système de santé (suppression des certificats médicaux pour les arrêts maladie courts, jours enfant malade, absences de cantine et périscolaire etc, grandes campagnes de prévention...), et augmenter la capacité d'accueil des soignants libéraux comme hospitaliers en leur donnant des moyens (d'être plus nombreux, d'embaucher du personnel administratif, d'accueillir des étudiants, de collaborer avec d'autres soignants...).
En visite dans les Yvelines, le nouveau ministre de la Santé veut "motiver" les médecins libéraux à prendre plus de gardes
francetvinfo.fr
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Exactement la même chose pour nous. Il veut nous forcer à aller renforcer l’hôpital voisin (je ne vais pas polémiquer sur le maintien de deux maternités distantes de 12 km). C’est déjà oublié que nous effectuons une double astreinte opérationnelle toutes les nuits (2 MAR) mais surtout : qui va prendre en charge mes patients le lendemain ? On marche sur la tête ! (Pour rappel : anesthésie libérale = 55% des actes de chirurgie et 70% des actes ambulatoires)
""Motiver" ou contraindre les médecins à faire plus de gardes en soirée ou le week-end". L'idée du ministre Valletoux est idiote, coûtera cher et n'arrangera rien. 1 - La grande majorité des actes faits en soirée peut attendre le lendemain. La nuit, si ça ne peut pas attendre le lendemain c'est que c'est une urgence. 2 - Si l'on nous contraint à bosser le soir ou le week-end, puisque nous ne bosserons pas PLUS, nous récupérerons ce temps sur des jours où nous travaillons habituellement. Si nous sommes moins disponible pour ces patients que nous aurions vu en journée, où risquent-ils de se retrouver ? Oui, en consultation "d'urgence" le soir. Et pour les autres, les délais pour avoir un rendez-vous non urgent s'allongeront encore. 3 - On peut augmenter l'offre en PDSA autant qu'on veut, s'il n'y a pas en parallèle un travail de prévention sur le bon usage du système de soin, on ne désengorgera rien du tout. 4 - À nombre de consultations égal, le coût pour le système de santé sera plus important. Les actes en soirée ou week-end sont évidemment plus chers. Pour le même temps de travail (puisqu'on ne travaillera pas plus mais à la place d'autres plages de travail) nous gagnerons plus d'argent au détriment de postes de dépense plus pertinents. 5 - C'est une notion que les politiques et les tutelles n'ont toujours pas intégré : un médecin généraliste traitant est plus efficace et plus pertinent avec les patient.e.s qu'il connaît. Moins de risque de prescrire des examens ou traitements inutiles quand on suit une personne. Diminuer le temps de travail au contact des patient.e.s que je connais, en risquant de les contraindre à consulter un autre médecin et pour me faire voir à la place des patient.e.s que je ne connais pas est donc doublement idiot. On n'est pas dans un tableur Excel, un médecin n'égale pas un autre médecin qu'on peut caser n'importe où. 6 - Comme dans beaucoup d'autres territoires (mais pas tous, il est vrai), il existe déjà ici des maisons médicales de garde et une PDSA assurée par des organisations comme SOS médecins. 7 - Dans d'autres territoires moins denses, les médecins se comptent sur les doigts d'une main. Ils devraient être de garde tous les 3 jours ? Quelle pertinence et quelle vie, à l'égard des points précédents ? Bref, il veut uniquement déplacer le problème. Une solution intelligente serait donc de favoriser l'accès aux soins en journée. Ça tombe bien, c'est ce que propose des tas de médecins de terrain. Comment on fait ça ? En deux grands axes complémentaires, diminuer le recours inutile au système de santé (suppression des certificats médicaux pour les arrêts maladie courts, jours enfant malade, absences de cantine et périscolaire etc, grandes campagnes de prévention...), et augmenter la capacité d'accueil des soignants libéraux comme hospitaliers en leur donnant des moyens (d'être plus nombreux, d'embaucher du personnel administratif, d'accueillir des étudiants, de collaborer avec d'autres soignants...).
En visite dans les Yvelines, le nouveau ministre de la Santé veut "motiver" les médecins libéraux à prendre plus de gardes
francetvinfo.fr
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CEO INFIRMIERS PRIVÉS Des binômes d'infirmiers sont à votre disposition pour vous soutenir dans le domaine des soins, que ce soit à domicile ou en entreprise, dans des conditions re-pensées
Ici c’est le sud, la plage, le soleil et la mer… Il fait 40* De nombreuses personnes âgées seules vivent dans des logements de 20m2 où il fait 40* nuit et jour… Les médecins ne se déplacent plus à domicile et attendent une perturbation du bilan sanguin pour définir si le patient est déshydraté ou non. Pas un ventilateur amené par la famille, pas de deuxième fenêtre pour faire courant d’air, parfois même pas d’eau fraîche au frigo, pas le temps de proposer une douche car une bsi qui représente le soin du patient c’est 30€ brut… soit 15€net. Tu sors de chez la patiente tu vas t’acheter une bouteille d’eau et un croissant t’as dépensé la moitié de ce qu’elle rapporte à la journée. Bref, nous allons tous finir comme ça? Couche au cul sans incontinence mais plus personne de disponible pour aider à aller aux wc Dents, oreilles cheveux sales qui nous rendent repoussant Seul tout le temps, sauf quand l’aide ménagère passe mais elle est sur son tel plutôt que de me parler. Seul jusqu’à ce que l’infirmière passe mais elle doit voir 40 patients par jours et ne restera que cinq minutes pour gagner comme un garagiste ou un plombier mais avec des humains et plus de responsabilités. Et encore l’infirmière déclare tout elle… Les infirmières sont seules face à cette détresse, il leur arrive d’avoir une conscience, de faire quelques courses pour leurs patients, d’amener des ventilateurs et de mettre des bouteilles glacées devant. Elles proposent aussi des douches quotidiennes à leurs patients mais là, la journée dure 15 h payé 10. Et un jour elles arrêtent, ça en est trop et finissent par faire du fromage de chèvre. J’ai vu trois patients hospitalisés récemment, retrouvés inconscients par un intervenant. Totalement déshydratés. Patients et soignants vont mal!! C’est difficile et inhumain!!! De plus en plus ce sont les aides à la personnes qui font les nursings les douches. Les patients sont de moins en moins soignés et les soignants de plus en plus épuisés. C’est honteux ! Et les prochains c’est nous!!! J’ai créé une entreprise qui re-visite le soin. Bien sûr le changement, la sécu ne l’encourage pas, les laboratoires se gavent moins sur la santé quand on propose plus d’humain. Et la sécu est dirigée par le lobby pharmaceutique. Donc bien évidemment ils ont refusé de conventionner mon entreprise qui prend soin des soignants et des patients pour sortir de ces services de santé moyenageux. Heureusement depuis trois été maintenant nous rencontrons des personnes différentes, qui pensent différemment, qui se doutent que ce n’est pas facile de changer les choses et qui encouragent notre entreprise différente. N’oubliez pas que demain vous ne pourrez plus aller aux wc, vous doucher, vous réchauffer, vous rafraîchir, vous habiller etc… Vous pensez que c’est avec des infirmières qui gagnent 15€. /j pour vos soins et des aides à la personne que ça va aller mieux?
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L'été est là et les besoins en personnel médical augmentent ! Vacances, pics d'activité, congés maternité ou paternité... Les établissements de santé sont souvent confrontés à des pénuries de personnel durant cette période. Pour faire face à ces défis et assurer une continuité optimale des soins, faites appel à Appel Médical, votre partenaire en recrutement médical. Contactez-nous dès aujourd'hui pour sécuriser vos recrutements et assurer la sérénité de vos équipes pendant l'été !
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Aidez nous 😔 • • • • • L’infirmière libérale est souvent le seul professionnel de santé qui se déplace au domicile des patients 🚗 Nous veillons au bien être de nos patients et prenons en compte leur environnement, leurs capacités, leurs aides quotidiennes, leurs ressources, … 🏠 Nous leur apportons notre expertise, notre regard attentif et notre écoute bienveillante 🙋♀️ • • • Que se passera t’il lorsque les infirmiers épuisés auront quittés le navire ? 🫠 Quelle est l’issue de tous ces changements en matière de santé ? 🤷♀️
Signez la pétition
change.org
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L’histoire de mes 15 heures d’attente aux urgences… 🙄⏳ J’ai été deux fois aux urgences ces deux derniers mois avec ma Mamy de 83 ans. Sur ces visites, nous avons attendu tous les deux au total +/- 15 heures à l’hôpital dont 12 heures dans des couloirs… Croyez-moi, j’ai eu le temps d’observer : 1. Des infirmières qui courent partout ! Je les admire, car malgré la charge de travail due au manque d’effectif, elles sont toutes restées hyper agréables (sorry je n’ai pas vu d’hommes) ❤️ Merci pour votre travail ! 2. Des assistants épuisés qui sont en première ligne et qui doivent prendre des décisions importantes. Malgré toute l’admiration que j’ai pour eux et leurs horaires, il n’est pas rare de voir une certaine inquiétude se lire sur les visages quand il s’agit de mettre sa santé entre les mains d’une personne jeune avec une expérience encore limitée du terrain. 3. À deux reprises, c’est l’attente des résultats des radios qui a été à la source de notre frustration… et la première fois que nous avons été aux urgences, nous n’avons jamais eu les résultats. Après 4 heures d’attente des résultats, on nous a renvoyé chez nous à minuit avec une boîte de Dafalgan 😅 Alors, comment faire pour améliorer tout ça ? On a quelques idées chez Myconsultation.be et ma motivation n’a jamais été aussi grande qu’après cette aventure avec ma Mamy 💪 Affaire à suivre #santé #urgence #hopital
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Dirigeant-entrepreneur, conseiller sénior en management, innovation et neuromanagement, formateur au MBA de l'UdS, mentor au Réseau Mentorat. Franchement passionné par les humains et leurs paradoxes.
Parlons tableau de bord. Tout ce que les médias, le ministre et les blessés ou malades nous rapportent ce sont les énormes % des taux d'occupation. Ce que personne ne nous dit, incluant les médias qui manquent sérieusement de connaissances en gestion, c'est le taux d'assiduité, le taux des ressources en place vs celles planifiées. Combien de médecins, d'infirmières, de préposés, de techniciens en poste en fonction des assignations planifiées ? Je ne parle pas ici en fonction des besoins mais en fonction de la cédule de service planifiée, du taux d'assiduité. La pression est strictement sur les usagers, pas sur le ''système'', pourquoi ? Facile de dire n'aller pas à l'urgence si vous n'en avez pas besoin, mais ils sont où celles et ceux qui ne sont pas au poste pour répondre à nos besoins?
Contraint d’aller au privé pour ne pas engorger les urgences
lapresse.ca
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