Post de Alix Boyer

Comme mentionné dans un commentaire, voilà un nouveau podcast à decouvrir d’utilité publique !!!

"Famille, école et numérique sont les trois incubateurs qui inoculent le sexisme aux enfants dès le plus jeune âge." C'est l'une des phrases choc de l'introduction du dernier rapport du HCE (Haut Conseil à l'Égalité) sorti la semaine dernière. Le constat est là, lourd et violent : le sexisme se glisse malgré tout jusque dans le cocon familial. On est mercredi après-midi. Maman télétravaille. Alors les enfants sont autorisés à regarder un petit dessin animé. Ce sera Les Schtroumpfs et le village perdu. Est-ce qu'on met le doigt sur quelque chose ? Ce dessin animé revient entre autre sur l'histoire de la schtroumpfette. Savez-vous qu'elle a d'abord été conçue par Garagamel pour semer la zizanie dans le village des schtroumpfs ? Mais ceux-ci ne la trouvaient pas à leur goût alors le Grand Schtroumpf lui a donné une apparence plus jolie et agréable. Oui, oui. On est plutôt bon là pour le sexisme. Pour être acceptée, la fille doit être agréable à regarder, avoir de bonnes manières. Et ça ne s'arrête pas là. Cette petite bonne femme bleue a donné vie au syndrome de la schtroumpfette. De quoi s'agit-il ? Ce syndrome fait écho au manque de représentation du genre féminin dans les œuvres de fiction. Il y a tout un village de petits bonshommes bleus pour un seul personnage féminin. Et pas n'importe lequel. La schtroumpfette. Celle qui se doit d'être jolie et gentille, l'objet de convoitise de tous les hommes du village. Problème : ces représentations féminines, loin d'être l'écho de la réalité, sont celles dont nos bambins se souviennent. Bon, je vous ai vraiment résumé le concept là... Je ne suis pas de celles qui vont interdire aux enfants de regarder les schtroumpfs. Je ne suis pas sûre que ce soit la bonne méthode. Mais il est important de comprendre où se cache le sexisme. Ensuite, avec de la pédagogie, il est important d'en parler aux enfants. "Oui, mes chéri·es, vous avez bien aimé le dessin animé. Mais vous n'avez pas trouvé bizarre qu'il n'y ai qu'une seule fille dans le village ? Vous en pensez quoi ?" Le faire avec nos enfants, c'est bien. Et le sexisme en entreprise, on en parle ? #sexisme #égalité #schtroumpfette

{Dans la série vie ma vie de JuJu, aujourd'hui JuJu est ennuyée}😌 Hier j'ai vu un commentaire qui disait "le sexe est une réalité biologique tandis que le genre est une construction sociale"  J'ai voulut répondre en commentaire mais c'était trop long. Mon problème est: à partir de quel moment dois-je lâcher un peu et arrêter de saouler les gens en les reprenant sur les éléments de langages qui me paraissent...incorrect?😮 Je m'explique: je suis ok sur le fait que le genre est une construction sociale même si je pense qu'on a une responsabilité collective sur les stéréotypes de genre que l'on véhicule au quotidien (dit celle qui viens de finir de se mettre du vernis pour améliorer son passing!!😂😍). Par contre je ne suis pas d'accord sur "le sexe est une réalité biologique": par ex, oui aujourd'hui l'ADN est une réalité biologique: on ne modifie pas encore les chromosomes "XX" ou "XY". Mais le sexe....avec les chirurgies de réassignation, on peut tout à fait le modifier pour qu'il soit conforme à notre réalité. Et quand bien même, qu'est ce qui m'interdirais de décider que le sexe que je possède depuis ma naissance, est un sexe dit de femme ou dis d'homme? Plus clairement dit, les sexes ont-iels un genre: un pénis "d'homme", une vulve "de femme".  Pourquoi, si je me revendique du genre féminin, je ne pourrais pas avoir unE pénis "de femme" puisque tout mon être est féminin? 🧠 Alors oui je suis consciente de pousser la réflexion très loin mais je crois être suffisamment déconstruite pour, légitimement, me questionner sur les conséquence de tout cela. Considérant qu'il n'existe que: un pénis "d'homme", une vulve "de femme", n'oblige-t-on pas les personnes trans à passer par une chirurgie, lourde de conséquence pour avoir cette fameuse "réalité biologique" en adéquation? Si dans le cadre de l'auto détermination, on accepte de changer la civilité "M" ou "F" facilement, ne pourrions nous pas avoir des personnes qui finalement considère que le sexe "de naissance" est devenue "un sexe choisi"? Je sens que ce post ne vas pas plaire au TERFs....et du coup ça me mets en joie pour la journée!!😂😁

Bravo à de nombreux jeunes pour leur éthique ! Je suis heureuse et pleine d'espoir en apprenant les statistiques sur les jeunes. Je vous ai déjà écrit qu'il y a un grande proportion de jeunes qui sont véganes, en comparaison avec les générations précédentes. J'ai récemment appris que de nombreux jeunes sont contre le viol et la luxure. C'est magnifique ! Il y a de nombreuses statistiques sur le sujet sur Internet. Cela est appelé "no-sex", maladie mentale par les violeurs qui font de la psychologie comme métier pour que la luxure et le viol se perpétuent, etc. Les anciennes générations essaient de les détruire psychologiquement d'après ce que j'ai lu dans divers articles. Ce n'est pas écrit ainsi, mais croyez en une docteur ingénieur avec de nombreuses compétences en psychologie et neurosciences (moi). Selon certains médias, les anciennes générations attaqueraient les jeunes, en imposant des cours sur la sexualité dans leur programme scolaire, où il leur dit d'être dans la luxure... Rien que le terme "faire l'amour" est une tromperie pour les cerveaux. Si cette expression devait être utilisée, ce serait pour tout acte d'amour : faire un gâteau pour une personne le jour de son anniversaire, sourire à une personne pour qu'elle aille mieux, etc. Mais pourquoi associer cette expression à une pratique absurde, à part pour les violeurs, les personnes qui ne croient pas au fait que leurs parents étaient un couple violeur/violée et qui pensent donc qu'avoir des rapports sexuels sans but d'avoir un bébé est un acte d'amour, et autres personnes ayant des dissonances cognitives ? C'est évidemment malveillant, et cela rentre dans ce que certains nomment "la culture du viol". Évidemment, l'appareil reproducteur a été créé pour faire des bébés. Cela ne sert à rien d'autre. Contrairement à ce que beaucoup de personnes aiment à prétendre, ce n'est pas une invention. Dans une société saine, on ne fait des bébés qu'avec l'être aimé, et que si nous voulons avoir des enfants. C'est le b.a.-ba, mais apparemment, la grande majorité des personnes ne savent pas cela, d'après les témoignages d'hommes dans les anciennes générations. Dans le culte de la bienveillance, et de l'altruisme, la "sexualité sacrée" est souvent nommée pour, en réalité, faire un culte à la luxure. La luxure vient d'une société contrôlée par les hommes, qui veulent violer. Dans de nombreux contenus actuels, il y a des cultes à la luxure, et donc, quand on connaît les neurosciences, au viol. Merci à ces jeunes d'ainsi supprimer une des pires cruautés dans ce monde : le viol. Cela amène à une société où les femmes pourront enfin se promener dans les rues, ou n'avoir que des emplois, où elles ne seront pas harcelées sexuellement. Je sors moi-même très peu par rapport à ce que je voudrais, car il y a toujours des harceleurs sexuels. Je rêvais d'un monde où nous pouvons être libres. Je rêve maintenant que les jeunes générations profitent d'un tel monde.

Le droit à l’erreur n’existe pas. ❌ Quand on fait partie d’une minorité, ou d’un groupe minorisé (une femme, par exemple), on se doit d’être exemplaire. Qu’on le veuille ou non, on représente notre groupe. ❌ Si une personne trans s’absente pour maladie, on dira que «les personnes trans sont toujours absentes».   ❌ Si l’enfant d’une famille homoparentale a des problèmes, la cause sera l’homosexualité de ses parents.   ❌ Si une personne en surpoids a des problèmes de santé, ce sera forcément à cause de son poids.   ❌ Si une personne noire est violente, on en déduira que «c’est comme ça, les Noirs sont violents».   ❌ Si une femme souhaite faire carrière, on dira que «de nos jours, les femmes sont carriéristes». Et je pourrais continuer comme ça pendant des heures. Qu’on le veuille ou non, nous nous devons d’être exemplaires. Dans nos vies privées, dans nos vies professionnelles, dans nos vies sociales. Tout le temps. À chaque instant, on sait qu’on nous juge selon un stéréotype. On a deux options:   ▶️ Confirmer le stéréotype   ▶️ Le faire mentir. Et vous savez quoi? Comme disait mon grand-père, c’est «pile je gagne, face tu perds». 🤷 Si je confirme le stéréotype, je remets une pièce dans la machine à discriminations.   🤷 Si je veux faire mentir le stéréotype, je dois surveiller mes faits et gestes en permanence. Pile je gagne, face tu perds. Mais c’est encore plus pervers: si je décide de faire mentir le stéréotype, cette attention constante me prendra tellement d’énergie que je serai moins efficace… donc je renforcerai un autre stéréotype. Pile je gagne, face tu perds. Et si tu ne joues pas, tu perds quand même. 🌈 C’est pour ça que les politiques d’inclusion sont aussi importantes en entreprise: personne ne peut tenir le coup bien longtemps avec une telle charge. Et si vous vous dites qu’on se l’impose nous-mêmes, demandez-vous quand vous avez pensé ou entendu pour la dernière fois une phrase du type «c’est bien un/une [insérer un groupe]». Favoriser l’inclusion en entreprise, c’est promouvoir le bien-être au travail des personnes minorisées, et in fine favoriser la performance de l’entreprise. Parce qu’on pourra enfin consacrer toute notre énergie à notre travail au lieu d’en cramer la moitié à nous auto-censurer. Qu’est-ce que vous faites pour instaurer le droit à l’erreur? 🐿️

Si une fillette de 7 ans vous demandait, c'est quoi “bouffer la ch**te ?  Vous lui aurez répondu quoi ? Le week-end dernier, une scène de film m’a complètement pris au dépourvu. Une femme à l’écran a dit : "Je veux que tu me bouffes la ch**tte." 🤯 Ma fille m’a demandé, maman, qu’est-ce qu’elle veut dire ? C’est quoi bouffer la … ? (Bon, je ne vais plus répéter au risque d’être ban 😅) Et je n’ai toujours pas la réponse. J’ai toujours voulu aborder la s.xualité de manière ouverte avec mes enfants. Mais là, je me suis retrouvé face à un vrai dilemme. Je ne voulais pas lui mentir, mais je ne pouvais pas non plus expliquer ça à un enfant. Pourtant, je ne veux pas qu’elle développe une curiosité malsaine et demande ça ailleurs. 😨 ↦ Ce moment m’a rappelé à quel point les sujets tabous peuvent avoir un impact puissant, souvent négatif. Plus un sujet est caché ou interdit, plus il attise la curiosité, parfois de manière malsaine, ou génère même de la révolte. L’homosexualité, par exemple, a longtemps été considérée comme un sujet défendu. Aujourd’hui, des mouvements entiers se sont formés pour soutenir cette communauté, en grande partie parce que ce qui aurait dû être discuté ouvertement a été réprimé. Les réseaux sociaux sont une opportunité ✶ d’éduquer avec bienveillance, ✶ de sensibiliser ✶ de briser les tabous et ✶ de créer des espaces dans lesquels des sujets complexes peuvent être abordés sans jugement. Coachs, vous pouvez largement utiliser votre influence pour ✶éduquer, ✶ déconstruire les préjugés, et ✶ offrir à votre audience les outils nécessaires pour naviguer dans un monde complexe avec plus de confiance et de compassion. Il ne s'agit pas uniquement de ce sujet, mais tous les sujets difficiles, les préjugés, les idées reçues et les discriminations en tout genre. Néanmoins, je suis toujours curieuse. Comment expliquer ce cas à un enfant selon vous, sans lui mentir et sans entrer dans les détails non plus ? 😅 Je n’ai toujours pas la réponse.

[EXTRAIT du livre NYONGO de Ayat Hamidoune] "Elle ferma les yeux pour ne plus voir le visage de son agresseur dont l’état de satisfaction était à l’extrême opposé du sien. Elle ne pouvait croire que c’était la réalité. Jamais elle n’aurait pu envisager se faire agresser sous son propre toit. Jamais on ne lui avait parlé de ces choses. Elle n’avait même pas le mot v..l en tête. A #Mayotte, la sexualité était tabou. Les parents n’en parlaient jamais à leurs enfants. L’ « ignorance sexuelle » permettait de se concentrer sur les autres savoirs, ceux qui menaient à la réussite sociale et professionnelle. Les adultes pensaient peut-être qu’en ne parlant pas de sexualité, ils la feraient disparaître ? Pourtant, la sexualité était partout. Les agresseurs sexuels continuaient de sévir impunément et l’inceste était un véritable fléau sur le territoire. En tout cas, le sujet était tellement tabou que même les enfants comprenaient qu’ils ne devaient pas poser de questions. Ils n’osaient pas ouvrir un manuel de SVT devant leurs parents, ni même un livre de littérature où l’on verrait une statue grecque partiellement dénudée. Au choni, les foundis disaient seulement qu’il fallait préserver son « devant » ou sa « chose cachée » des rapports charnels. Mais que signifiaient tous ces mots ? De quoi parlait-on ? Tout cela restait très vague. C’est seulement à l’école secondaire que les jeunes gens apprenaient ce qu’était la reproduction, la sexualité, la contraception, et surtout le consentement. Mais face aux viols, l’éducation des enfants était insuffisante. Il fallait aussi éduquer les adultes." COMMANDEZ-LE SANS PLUS ATTENDRE ! ➡️ https://lnkd.in/gyDXqWNR Préface : Saïrati ASSIMAKOU

PAS DE SEXUALISATION DES ENFANTS ET PAS D’ÉDUCATION SEXUELLE AVANT LA PUBERTÉ ! Les controverses inutiles autour du terme de "sexualité infantile" n'ont pas lieu d'être et sèment la division. Ce que les psychanalystes, psychologues de l'enfance et pédopsys entendent par cette expression est qu'il existe une construction antérieure à la puberté, qui passe par l'imaginaire et la sensorialité, autour de ce que sera plus tard la sexualité. Les contes de fées par exemple ne parlent que la rencontre amoureuse entre un jeune homme (le prince) et une jeune femme (la princesse) mais s'arrêtent précisément avant le seuil de la chambre à coucher . Ce qu'il s'y passe doit rester un mystère et à vrai dire n'intéresse pas les enfants ! Toute intrusion de la sexualité des adultes et des représentations de cette sexualité ne peuvent bien sûr qu'être lourdement traumatisantes. Les controverses, basées sur une confusion dans les termes, sapent toutefois l’unité alors que tout le monde est d’accord sur l’essentiel : ON FOUT LA PAIX AUX ENFANTS, Ils se construisent tout seuls avec les bonnes nourritures (contes et récits, imaginaire, activités physiques, sensorielles, artistiques et scolaires) avec une curiosité qu'il faut les laisser vivre à leur manière, sans aucune intrusion d'aucune sorte. L'éducation sexuelle n’a de pertinence qu’à l’approche de la puberté uniquement parce que c’est à partir de cet âge de la vie que la sexualité active commence ! Les programmes promus par l'OMS, inspirés de travaux pseudo-scientifiques d'origine pédocriminelle, doivent être interdits pour le salut de nos enfants ! Pour le reste, cessons les guerres de religion inutiles qui font le jeu du camp ennemi.

🎯 Haa, le fameux "Waou, mais tu ne fais pas autiste !" Merci pour heuu... l'effort ? 😉 Pour beaucoup, ce commentaire semble inoffensif, voire même positif. Mais pour les personnes concernées, cela peut avoir une toute autre signification. Ce que nous entendons souvent derrière ces termes en apparence inoffensifs, c'est : "Waouu, bravo ! Tu as passé tellement de temps à masquer ta véritable identité, par peur du jugement des autres, que je n'arrive même pas à détecter ce qui autrefois t'était naturel ! Et c'est une bonne chose, bien joué, continue comme ça !" 🙃 Petit rappel : l'autisme n'a pas de "look", et la plupart des personnes sur le spectre dépensent énormément d'énergie à "masquer" pour éviter ces jugements et se conformer aux attentes sociales. Un compliment de ce type, qui souligne ce camouflage, peut minimiser nos expériences et nos identités. A noter également que les femmes sur le spectre l'entendent beaucoup plus souvent : injonctions de genre, vous avez dit...? Alors, à la place, célébrons plutôt la diversité de chaque profil, et surtout l'authenticité, sans se sentir obligés de masquer qui nous sommes. 🚀 Parce que bon, l’autisme, ce n’est pas un déguisement 🎭 Et vous, vous l'entendez souvent cette petite phrase ? C'est quoi vos meilleurs réponses ? (+5 points si vous avez fait une référence au fait de savoir compter les cure-dents en 2 secondes, pour la réf !)

En matière d’éducation sexuelle pour adultes, on ne demande pas leurs conseils aux pros : les travailleur⸱ses du sexe (TDS) ! C’est fou, non ? Quand on cherche des ressources, on se contente trop souvent de regarder du porno — de la fiction en somme — qui nous éduque bien mal à la réalité de la sexualité partagée. Pour ma part, j’ai beaucoup appris aux contact des TDS, sur le consentement, sur mes limites, sur la diversité des formes que prennent nos sexualités. J’ai gardé en tête deux trois trucs techniques aussi ! Comme je sais bien qu’on a pas tou⸱tes la chance d’avoir un⸱e copin⸱e TDS, j’ai demandé à mon amie Aza de transmettre son savoir dans cet atelier. 9 vidéos, 38 minutes de contenu au total, qui s’adressent aux jeunes s’apprêtant à entrer dans la sexualité... et à tou⸱tes ceux et celles qui ont envie de reprendre le sexe à zéro en se laissant guider par une femme expérimentée et engagée sur le sujet. C’est quoi, après tout, un bon coup ? Comment bien embrasser ? Comment profiter d’un rapport pénétratif ? Et si je veux ajouter des sextoys ? Comment bien me protéger ? Comment pratiquer le sexe oral ? Aza décortique chaque technique avec expertise et légèreté. Elle dézingue l’anxiété de performance, rappelle que le principal est d’écouter son corps, et celui de notre partenaire, et fait la part belle à la communication. Je suis fière de cet atelier vidéo, car il est à ma connaissance une initiative unique. Il propose des tutos experts, féministes, sans tabous, bref une véritable alternative au porno pour (re)découvrir les techniques sexuelles. Comme on veut qu’il soit accessible au plus grand nombre, il est en vente pour 4,99€ sur mon site www.olympedege.com Enjoy !