SOUTIEN AUX PRODUCTEURS ! Nous témoignons notre soutien aux producteurs touchés par le gel, notamment à nos producteurs de pommes, poires et asperges vertes du Val de Loire. ❤️ La semaine dernière, nous parlions de l’expression : ”En avril, ne te découvre pas d’un fil”. Cette semaine, nous justifions cette expression avec le constat que les exploitations vivent une floraison avancée grâce à des températures plutôt douces depuis janvier. Aujourd’hui, le gel est de retour mettant à mal le monde agricole. Les producteurs, sous pression, jouent leur récolte ainsi que leur année de travail sur ces deux nuits de gel. 🌡 Cette photo des pommiers en fleurs a été prise jeudi dernier par notre productrice du Val de Loire. La nuit dernière, les températures de son exploitation ont atteint les -0.5°C, à savoir que les pertes de la récolte sont comptées à partir de -1,8°C. 🍎👩🌾 Nos producteurs ne dorment plus pour essayer de limiter les dégâts. Malheureusement, la majorité des producteurs n’a pas les moyens de s’équiper contre ces aléas climatiques répétitifs. 👨🌾 Les Althurs soutiennent l’ensemble des producteurs. Donnons du sens à notre manière de consommer ! 🔵⚪🔴 #Agriculteurs #AgriSousPression #mondeagricole #AvenirAgri #agriculture #froid #récoltes
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Des gelées dévastatrices frappent durement la production de clémentines dans le Cap Bon. Les gelées inattendues qui ont suivi les récentes pluies ont causé des pertes importantes dans la région du Cap Bon, en particulier pour la récolte de clémentines. Béchir Hammouda, le président de l’Union locale de l’agriculture à Menzel Bouzelfa, a confirmé les dégâts, soulignant que les clémentiniers ont été sévèrement touchés. Selon les informations fournies par Hammouda à Diwan FM aujourd’hui, entre 30 et 50 % de la récolte totale de clémentines dans la région ont été détruits en raison de ces conditions météorologiques extrêmes. Cette nouvelle a jeté un voile sombre sur la communauté agricole locale, qui dépend fortement de la production de fruits pour son économie. Les agriculteurs du Cap Bon se trouvent maintenant face à une réalité difficile, confrontés à des pertes significatives qui auront un impact à long terme sur leurs revenus. Les gelées ont frappé de manière inattendue, affectant la qualité et la quantité des clémentines, ce qui laisse les producteurs avec des défis importants pour se remettre de cette situation. Les experts agricoles locaux ... L'article complet : https://lnkd.in/dTAE-BKv
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Imaginez des champs à perte de vue, gorgés d’eau, où les cultures peinent à se dresser sous le poids des averses incessantes. C’est le triste spectacle qui s’offre aux agriculteurs français depuis près d’un an maintenant. Entre tempêtes, dépressions et autres épisodes pluvieux, les récoltes et les semis ont été grandement perturbés. Mais quelles conséquences ces intempéries auront-elles sur les prix des fruits et légumes dans nos supermarchés ? Éléments de réponse. Des récoltes et des semis compromis Prenons l’exemple des pommes. D’après une source proche du secteur, seulement 10% des pommes ont été récoltées cette année à la même période, contre 50% l’an dernier. Cela signifie non seulement un retard de livraison dans les supermarchés, mais aussi des délais dans la fabrication de produits dérivés comme les compotes ou les jus. Même constat pour le maïs, dont les plants ont été littéralement couchés par les vents violents, rendant la récolte bien plus ardue. Quant aux semis, ils accusent eux aussi un retard considérable : seuls 5% auraient été réalisés, contre 50% l’année dernière à la même époque. Une hausse des prix à prévoir Si les consommateurs doivent s’attendre à une augmentation du prix des fruits et légumes, c’est avant tout parce que les agriculteurs vont devoir engager des frais supplémentaires. Pour le maïs par exemple, une main-d’œuvre additionnelle sera nécessaire pour le ramassage. Il faudra aussi le faire sécher, ce qui implique une consommation d’énergie accrue pour envoyer de l’air chaud. Mais les cultures ne sont pas les seules touchées. Les pâturages détrempés obligent les éleveurs à garder leurs bêtes à l’intérieur et à les nourrir au foin, plutôt que de les laisser brouter en extérieur. Un coût non négligeable qui devra bien être répercuté quelque part. Entre 15 et 20 centimes de plus par kilo Difficile à ce stade de chiffrer précisément la hausse à venir. Mais si l’on se fie aux précédents épisodes climatiques extrêmes, on peut tabler sur une augmentation de 15 à 20 centimes par kilo en moyenne. Tout dépendra des négociations qui auront lieu début 2025 entre producteurs, industriels et grande distribution. Les discussions risquent d’être particulièrement tendues et les agriculteurs ont beaucoup à perdre. Un représentant de la FNSEA, premier syndicat agricole français Une qualité gustative et une conservation réduites Au-delà de l’aspect financier, c’est aussi la qualité des produits qui pourrait pâtir de ces conditions climatiques défavorables. Des fruits et légumes gorgés d’eau, récoltés à la hâte entre deux averses, il y a fort à parier que leurs qualités gustatives ne seront pas au rendez-vous. Autre problème : leur conservation. Stressés par un excès d’humidité, les fruits et légumes risquent de se détériorer bien plus rapidement qu’à l’accoutumée. De quoi générer du gaspillage et de la frustration chez les consommateurs. Alors que l’inflation grignote déjà le pouvoir d’achat des ménages et que...
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🌾 Point Moisson #2 Soufflet Agriculture 2024 🌾 Une année comme 2016 ? 🎬 Rendez-vous dès maintenant sur notre page YouTube pour la 2ème vidéo: https://lnkd.in/esJYM8nH Tout d’abord, toutes nos pensées vont aux sinistrés de cette #météo capricieuse : tempêtes, orages, grêle, inondations, peu de régions ont été épargnées. Les conséquences sont également économiques pour les #agriculteurs. 🌾Pour les orges de brasserie d’hiver : ➡ Aujourd’hui, nous pouvons dire que 100% ont été coupées et que les PS sont en baisse. Néanmoins nous constatons que les protéines et des calibrages sont corrects malgré un rendement en chute de 25% par rapport à l’année dernière. 🌾Orge de printemps : ➡ Des rendements faibles avec des protéines et des calibrages très faibles pour une récolte réalisée à 40%. 🌾Blé tendre : ➡ Une moyenne de PS à 75 et des protéines entre 11% et 11.5%. Cette année cela va nécessiter un travail important du grain pour en obtenir le meilleur au niveau de la qualité. 🌾Blé dur : ➡ Une récolte presque terminée à 85 % avec des PS autour de 75 et des protéines à 13.8%. 🌾Colza : ➡ Presque fini à 98%, les rendements oscillent entre 15 et 38 quintaux. 🌾L'agriculture biologique : ➡ Une catastrophe cette année avec une récolte amputée à 50% par les conditions climatiques. ➡ On remarque cependant une amélioration des temps de chute de Hagberg sur blé tendre et blé dur, sans mycotoxines, un point crucial sur la qualité. ❔ Un défi ? ➡ Acheminer cette marchandise en utilisant une logistique économe. 📈 Un point sur le marché : ➡ La récolte de #blé tendre en Russie a été augmentée à 84 millions de tonnes, pesant sur les prix. ➡ Le marché reste très volatile avec une récente hausse due à la période de pollinisation du maïs dans l'hémisphère Nord. Soufflet Agriculture vient de décider des premiers acomptes pour apporter un maximum de trésorerie aux exploitations. Un paiement sera fait au 31 juillet. 🌾 Bonne fin de #moisson à tous. #Moisson2024 #Agriculture #SouffletAgriculture #PointMoisson #RendementsAgricoles #AgricultureBiologique
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Michel nous donne ses premières impressions sur la #récolte des blés 2024 ! 🌾 Cet été a été un vrai casse-tête pour les #agriculteurs avec un climat pour le moins... imprévisible ! Entre de longues périodes de pluie et quelques épisodes de chaleur intense, les conditions n'ont pas toujours été idéales pour leurs cultures. 🌦️ Mais ne nous laissons pas décourager ! Malgré ces défis et son début tardif, la récolte est quasiment terminée. On observe une récolte beaucoup plus hétérogènes que d'habitude et des rendements en forte baisse, par rapport à 2023. Pas de quoi paniquer cependant, car la qualité intrinsèque des #blés est toujours au rendez-vous ! Les premiers tests de panification montrent des blés avec une bonne force équilibrée et une qualité boulangère qui promet de belles fournées. 🍞 L'agriculture est un défi constant, mais avec chaque saison, on apprend, on s'adapte, et on s'améliore ! #banette #artisanboulanger #boulangeriebanette #agriculture
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☀ L’ÉTÉ CHEZ LES ALTHURS ☀ C’est l’été et les Althurs sont tous excités à l’idée d’arriver sur la haute saison des récoltes afin de vous proposer des fruits et légumes frais de qualité ! Juin ouvre le bal avec la récolte des pêches et des nectarines. 🍑 L’un des défis est de ne pas devenir vulnérable face à l’évolution des aléas climatiques : des sols secs, la baisse des cours d’eau et des cultures menacées... Cependant, le territoire français nous offre des sols de bonne qualité. Une des solutions est donc de s’orienter vers une agriculture plus durable pour continuer d’avancer et de s’adapter aux problèmes du secteur. 🚀👨🌾👩🌾 Althur&CO agit en privilégiant la qualité de ses fruits et légumes à la quantité. Nos producteurs sont notre force, nous avons la chance aujourd’hui de travailler avec 150 d'entre eux. Un savoir-faire français & engagé ! ✅ #ChangementClimatique #été #sécheresse #Producteurs #AdaptationClimatique
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Les éléments du climat influence grandement sur la production Agricole, particulièrement les cultures maraîchères. Parmi celles-ci nous avons : 1) La lumière : le besoin d'un nombre déterminer d'heure de lumière peut faire variée chez certains espèces et variétés la qualité et qualité du produit comme de l'Ognon, de la Laitue (Salade) etc. 2) Le vent : L' haricot en particulier est très sensible aux dégâts causés par le vent, tout fois les cultures maraîchères sont impacté par les dégâts causés par le vent chaud et sec sûr leurs duré de germination allez à la production. 3) La pluie : Même en hiver il devient nécessaire d'irriguer car souvent irrégulier et insuffisantes. Pour l'excès d'eau il faut assurer une bonne drainage, légèrement, bombé les planches, cultiver sur les buttes, fair où faire une culture sous abri protégé. 4) L'humanité de l'aire : L'excès d'humidité peut provoquer le développement de certains maladie par exemple les champignons, très important sur de la salade, concombre etc. 5)La température : si vous pouvez nous donner des informations?
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🗓️ Les aléas climatiques de 2022 et 2023 ont bousculé la production de nombreux vergers français : canicule, gelées tardives, tempêtes… À nouveau, ces dernières semaines, la vigilance était de mise dans nos bassins de production ! De la fleur au fruit, la surveillance est constante en vergers pour préserver la récolte à venir 🌼🍎🍐🥝 En avril, suite à la pollinisation, les producteurs Blue Whale ont démarré l’ouverture des filets paragrêle et para-insectes pour protéger le verger. Avril - Mai : les yeux restent rivés sur les applications météo pour surveiller les éventuelles chutes de température. Car avec la nouaison, le seuil de sensibilité au gel est plus grand. ➡ Plus nous avançons dans le stade de développement des fruits, plus l’exposition au risque gel est grande ❄️ En cas de grand froid, c’est toute la récolte qui est en danger. ➡ Les températures négatives peuvent anéantir le travail de toute une année en seulement quelques heures. Les deux dernières semaines en sont l'exemple avec une vague de froid qui a traversé l’Europe et des gelées combattues sur tous nos bassins de production. Les producteurs sont intervenus plusieurs nuits d’affilée en verger pour activer la protection. 👀 La nouaison c’est quand la fleur devient fruit suite à la pollinisation ➡︎ A ce stade, la future récolte se dessine. ➡︎ Pour protéger les fruits des gels éventuels, les producteurs équipent leurs vergers avec différentes solutions : aspersion, tour à vent, frostbuster, bougies… #TousArboriculteurs #Fruits #MadeInFrance
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𝗟𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗶𝘀𝘀𝗼𝗻𝘀 𝘁𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗳𝗶𝗻 𝗲𝗻 𝗖𝗼̂𝘁𝗲-𝗱’𝗢𝗿. Après un début d’année très humide, les cultures de céréales et les fourrages sont en difficulté. COMBEMOREL Bertrand, directeur général de Coopérative Bourgogne du Sud constate des rendements médiocres en orge. 𝗟𝗲𝘀 𝘀𝗶𝗹𝗼𝘀 𝗱𝗲𝘃𝗿𝗼𝗻𝘁 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗱𝘂𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗿 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝘂𝗲. Les blés ne s’en sortent pas mieux avec une baisse de 15 à 20 % par rapport aux années précédentes. Benjamin Boyet de Dijon Céréales explique que l’excès d’eau et le manque de luminosité ont impacté le potentiel des cultures 🌧️. 𝗘𝗻 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲, 𝗼𝗻 𝗲𝗻𝗿𝗲𝗴𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗺𝗮𝘂𝘃𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝗰𝗼𝗹𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗯𝗹𝗲́ 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝟰𝟭 𝗮𝗻𝘀 : 𝟮𝟱 𝗠𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝟯𝟲 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯. 𝗩𝗶𝗻𝗰𝗲𝗻𝘁 𝗟𝗮𝘃𝗶𝗲𝗿 voit une lueur d’espoir dans le nord Côte-d’Or où les terres séchantes s’en sortent mieux cette année. 𝗟𝗲 𝗰𝗼𝗹𝘇𝗮 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝘀𝘂𝗿𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗻𝗱𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝟯𝟬 𝗲𝘁 𝟰𝟬 𝗾𝘂𝗶𝗻𝘁𝗮𝘂𝘅/𝗵𝗮 🌻. La situation géopolitique complique aussi les choses. 𝗟𝗮 𝗰𝗼𝗻𝗰𝘂𝗿𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗲̀𝘀𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗮𝗶𝘀 🇫🇷. Enfin, 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮𝗴𝗲𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗿𝗲́𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗮𝗻𝘁𝗲. Les éleveurs devront apporter des compléments alimentaires pour nourrir leurs bêtes correctement 🐄. #Agriculture #Moisson2024 #Orges #ProductionAgricole Département de Saône-et-Loire Département de la Côte-d'Or Département de l'Yonne Chambre d'agriculture de Côte-d'Or https://lnkd.in/e8aNBSyY
Moissons : un bilan 2024 mitigé
journal-du-palais.fr
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L'agriculture doit s'orienter vers des modèles économiques de souveraineté alimentaire, rémunérant correctement l'agriculteur, vertueux pour l'environnement et offrant aux consommateurs des produits locaux de bonne qualité à un prix accessible. Ce reportage de Groupe TF1 illustre bien cette évolution sur le marché des fruits secs où 80 % des amandes que vous consommez viennent encore de Californie (le reste venant d'Australie ou d'Espagne) alors que l'amandier pousse naturellement dans tout le midi méditerranéen. Nos partenaires DACO FRANCE, cofondateur de la COMPAGNIE DES AMANDES, ou NOUGAT CHABERT ET GUILLOT s'engagent dans la relance de la filière amande à laquelle contribue notre verger de Sérignan du Comtat. Le combat continue, avec les #agricuteurs pour #relocaliser la production et mettre en marché des amandes locales, plus économes de la ressource en eau, avec un contrôle de la qualité et de la traçabilité. Alain Abitbol, Marie-Claude STOFFEL, Rémy FOISSEY, Arnaud Montebourg https://lnkd.in/gFw5UWep
Amandes, noisettes, pistaches : d'où viennent-elles ? - Journal de 20 heures | TF1
tf1.fr
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Responsable du Département Commercial chez WTW | Expertise en service client, protection sociale et assurance
❄ Assurance agricole et gel de printemps : comment protéger les récoltes ? Bien que considéré comme une période de renouveau, le printemps apporte aussi son lot de défis. Parmi ces derniers, le gel printanier se distingue comme un phénomène capable de causer des dommages considérables aux cultures et aux vignobles, engendrant ainsi des pertes économiques importantes pour les agriculteurs. Face à ces risques, nos équipes spécialisées en assurance agricole partagent leur analyse et recommandations pour faire face à ces impacts. Retrouvez notre article ci-dessous 👇 https://ow.ly/R4Pb50Robx0 #WTWFrance #agriculture #geldeprintemps #assuranceagricole
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