Post de Arnaud Chiche

Dans une récente interview accordée aux Echos, le ministre de la Santé, Frédéric Valletoux, dévoile les contours de la stratégie gouvernementale visant à réguler les dépenses hospitalières pour 2024, dans le contexte post covid. Voici les grandes lignes : 🔴 Retour à la normale : Après les turbulences du Covid, le ministre prône un retour à des règles de financement plus traditionnelles pour les hôpitaux, avec un budget 2024 de 105,6 milliards d'euros. 🔴 Soutien ciblé : Certains secteurs tels que la maternité et les soins palliatifs, cruciaux pour le bien-être public, bénéficieront d'une attention particulière, peu importe leur statut public ou privé. 🔴 Rééquilibrage des finances : Une hausse de tarification favorisant plus les établissements publics que privés est en vue. Est-ce un pas vers une plus grande équité dans notre système de santé ou un risque de déséquilibre sectoriel ? 🔴 Défis et solutions : Face aux déficits, le gouvernement mise sur une augmentation de l'activité hospitalière de +2,5 %. Est-ce une prévision réaliste dans le contexte actuel ? 🔴 Une vision globale : Malgré les soutiens spécifiques, le ministre affirme que la santé nécessite un effort conjoint du public et du privé. Comment cette vision se traduira-t-elle dans les faits ?

Le Le journal du Médecin s'est procuré un rapport du Comité stratégique de Solidaris Wallonie. Ce rapport définit les priorités de la mutuelle pour les prochaines années et propose une réflexion sur le système de santé belge. Il examine les forces et les faiblesses du système actuel, tout en mettant en évidence les défis et les problèmes qui menacent son efficacité et sa durabilité à long terme. L'occasion d'interroger Jean-Pascal Labille, secrétaire général de Solidaris, pour mieux comprendre: ✔ Pourquoi Solidaris estime qu'il faut réformer nos soins de santé. ✔ Le financement de nos soins de santé. ✔ Les priorités de la mutuelle pour la prochaine législature: les soins intégrés, la situation des hôpitaux, le sens au travail. ✔ Les attentes de Solidaris à l'approche des élections.

L’ avenir des Centres de Santé s’esquisse maintenant

⚠️La santé est un sujet trop grave pour que l’on bricole avec⚠️ #4   Pour les Hôpitaux Privés Indépendants SantéCité,  la Santé Publique est un enjeu national pour le maintien et le développement de la sécurité et de la qualité de la prise en charge des citoyens, à tout âge.   Nous sommes des acteurs de Santé Publique en engageant des actions de Santé Publique sur nos territoires et en participant activement aux politiques de prévention, de dépistage, de formation et d'éducation à la santé. Toutes ces actions, nous les finançons sur nos fonds propres qui sont aujourd'hui menacés. Le Ministère de la Santé a décidé délibérément de léser les Hôpitaux et Cliniques Privées français en faisant augmenter nos financements uniquement de 0,3% alors que l'inflation est de 2.5% et que les financements du secteur public et associatif augmenteront de 4.3% pour les mêmes missions!     ⏩ Soutenez le mouvement en signant la pétition de la Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP): https://chng.it/jtpD6Wd4pk #SantéCité #NotreAdnSoignerResponsable #santé #mobilisation #pétition

Urgence nationale : Mobilisons-nous pour l'accès aux soins partout en France ! Le gouvernement a gravement compromis l'hospitalisation privée pour 2024 en lui refusant les ressources nécessaires, malgré une inflation record. Ce secteur vital représente 35 % de l'activité hospitalière tout en n'engendrant que 18 % des dépenses publiques. Il est également crucial pour plus de 50% des chirurgies, y compris 40% des interventions liées au cancer et 35% des chimiothérapies. Impact Direct : 9 millions de patients et 200 000 professionnels de santé risquent de voir leur qualité de soins diminuer, exacerbant la crise sanitaire actuelle. 📢 Action Requise : Pour défendre un accès équitable aux soins de qualité, joignez-vous à notre cause. Signez notre manifeste et aidez-nous à faire entendre notre voix. 👉 Votre soutien est crucial. Signez notre manifeste pour défendre l'accès aux soins pour tous, partout en France. https://lnkd.in/eBZ4Wazx

Selon un comité d'expert, il y a un risque élevé de dérapage des dépenses des soins de santé en ville par rapports aux objectifs fixés 💰 ✅️ Ce comité d’experts est chargé de suivre tous les six mois l’écart entre les dépenses réelles de l’Assurance maladie et l’objectif fixé par la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS). ➡️ La LFSS prévoyait que les soins de ville représentent en 2024 une dépense de 108,4 milliards d’euros. Mais sur les six premiers mois de l’année, « les dépenses brutes effectives » liées aux soins de ville ont progressé de + 5,7 % par rapport à la même période en 2023, soit 1,5 point supplémentaire par rapport à l’objectif fixé de + 4,2 %. ➡️ L’écart concerne « la plupart » des postes de soins de ville : biologie médicale, transports de patients, honoraires des médecins spécialistes, des masseurs-kinésithérapeutes, arrêts maladie, médicaments et dispositifs médicaux. ✅️ Au final, le comité estime que les dépenses brutes pourraient déraper d’environ 1 milliard d’euros à la fin de 2024. ✅️ La LFSS inclut toujours une « réserve » en cas de dépassements de l’objectif national de dépenses maladie (Ondam), mais celle-ci est « insuffisante », estiment les experts. ✴️ De nouvelles mesures pourraient donc être prises pour combler ce nouveau déficit. #dépensessanté #soinsdeville #assurancelaladie #LFSS #ondam

A ne pas louper ! Seminaire de l IJFR au CESE ! Inscrivez vous vite ! C est gratuit mais il n y aura pas de place pour tout le monde ! Et si au lieu d invoquer le sempiternel modèle medico économique "fragile" des centres de santé, nous parlions des missions des centres de sante, de leur modele d exercice professionnel et d offre de santé, de leurs justes financements et de l urgence à enfin passer au paiement au forfait et aux missions d intérêt terririal et de santé publique ?

Merci à Frédéric Valletoux, notre ministre délégué à la Santé, pour le long entretien qu’il a accordé à la Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) ce matin.   Il s’est montré très à l’écoute sur les différents sujets évoqués : l’importance de reconnaitre tous les acteurs de santé à la mesure de leur engagement dans l’offre de soins, et le secteur privé y prend toute sa part ; la campagne tarifaire à venir, cruciale et qui doit être à la hauteur des besoins des patients ; les réformes de financement SMR et Psy, bâties à rebours des attentes de terrain  ; et l’importance d’une reprise rapide des travaux sur le Protocole de pluriannualité, pour « voir loin », investir et innover.   Nous avons aussi évoqué la situation injuste concernant les professionnels de santé, inégalement considérés selon qu’ils exercent dans le public ou dans le privé. Enfin, fidèles à notre rôle-clé sur les territoires, nous avons redit notre volonté de nous inscrire au maximum de nos possibilités dans les lignes d’astreinte de la permanence des soins.   Ce rendez-vous en appelle d’autres, car notre système de santé a besoin de réformes structurelles et d’une vision pluriannuelle.

en dehors de la notion de médecine complémentaire (qu'il faudrait clairement redéfinir et encadrer d'ailleurs - parlons de médecine intégrative plutôt) les propos sont pertinents. Pas un soignant (médecin ou Infirmière ou physio ou ...) ni un patient? La conclusion serait que le systeme de santé peut s'en passer? Alors il sert à qui ce système de santé?

L’idéologie revêche et aveugle du nouveau ministre de la santé(ex journaliste !) le pousse à prendre des décisions iniques et contre productives. Pour satisfaire sa détestation des établissements de soins privés il les prive de financement (+0,3%dans contexte d’inflation à 3,5% ça veut dire une baisse de 3,2% des tarifs !) ce calcul idéologique va conduire à une dégradation de l’offre de soin et de la qualité des soins qui ne sont à l’évidence pas les priorités du « ministre »! Il injecte en revanche beaucoup d’argent dans l’hôpital public dont les déficits abyssaux sont comblés ( à la différence des établissements privés) par les contribuables d’un état déjà endetté à plus 3000 milliards d’euros et dont la qualité des soins se dégradent de jour en jour sous le poids d’une administration pléthorique et inefficiente ! On savait qu’il n’était pas un prix Nobel d’économie ( il n’est d’ailleurs même pas médecin !) on savait aussi sa détestation du privé mais imaginer qu’il profiterait de sa position politique ( qu’il doit à sa proximité avec Édouard Philippe !) pour prendre des décisions aussi debiles sur le plan économique et aussi néfastes pour les patients dépasse l’entendement !