Post de Artefact 3000

Paris-CDG fête ses 50 ans I Un peu d'histoire ! "Cet aéroport exprime l'ambition d'un pays qui a voulu d'abord, qui a appris ensuite, à épouser son siècle". Le 8 mars 1974, le Premier ministre, Pierre Messmer, inaugurait l'aérogare 1 de Paris-Nord, dans le Val-d'Oise, devenu aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, puis aujourd'hui Paris-Charles de Gaulle. C'est en effet sous l'impulsion du Président de la République Charles de Gaulle qui anticipait déjà la croissance spectaculaire du trafic aérien et le besoin d'une seconde plateforme aéroportuaire après celle d'Orly mise en service dans les années 1960, qu'a émergé ce projet. Au parallélépipède d'acier enveloppé par un mur rideau transparent, Paul Andreu et son équipe de jeunes architectes opposent un disque de 190 mètres de diamètre aux façades opaques en béton." Sa forme circulaire lui vaut le surnom de "camembert". Pour imaginer l'aménagement intérieur du bâtiment, un groupe de travail pluridisciplinaire est constitué en 1969. Leur objectif commun était "d'humaniser" le programme en dépassant ses aspects technique et utilitaire. "Au-delà de l'architecture brutaliste du terminal, il faut se rappeler de ses couleurs d'origine qui participaient à la lisibilité des espaces et à la sécurité des voyageurs : vert pour les équipements et les services, orange pour les zones d'attente et de repos ou encore jaune pour la signalétique. L'alphabet Roissy dessiné par Adrien Frutiger s'utilise toujours aujourd'hui, car sa police de caractères se lit instantanément même lorsqu'on est en mouvement." Paris-Charles de Gaulle s'apprête à relever cet été un défi majeur en accueillant les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. #50ansCDG

Paris-CDG fête ses 50 ans I Un peu d'histoire ! "Cet aéroport exprime l'ambition d'un pays qui a voulu d'abord, qui a appris ensuite, à épouser son siècle". Le 8 mars 1974, le Premier ministre, Pierre Messmer, inaugurait l'aérogare 1 de Paris-Nord, dans le Val-d'Oise, devenu aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, puis aujourd'hui Paris-Charles de Gaulle. C'est en effet sous l'impulsion du Président de la République Charles de Gaulle qui anticipait déjà la croissance spectaculaire du trafic aérien et le besoin d'une seconde plateforme aéroportuaire après celle d'Orly mise en service dans les années 1960, qu'a émergé ce projet. Au parallélépipède d'acier enveloppé par un mur rideau transparent, Paul Andreu et son équipe de jeunes architectes opposent un disque de 190 mètres de diamètre aux façades opaques en béton." Sa forme circulaire lui vaut le surnom de "camembert". Pour imaginer l'aménagement intérieur du bâtiment, un groupe de travail pluridisciplinaire est constitué en 1969. Leur objectif commun était "d'humaniser" le programme en dépassant ses aspects technique et utilitaire. "Au-delà de l'architecture brutaliste du terminal, il faut se rappeler de ses couleurs d'origine qui participaient à la lisibilité des espaces et à la sécurité des voyageurs : vert pour les équipements et les services, orange pour les zones d'attente et de repos ou encore jaune pour la signalétique. L'alphabet Roissy dessiné par Adrien Frutiger s'utilise toujours aujourd'hui, car sa police de caractères se lit instantanément même lorsqu'on est en mouvement." Paris-Charles de Gaulle s'apprête à relever cet été un défi majeur en accueillant les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. #50ansCDG

Paris-CDG fête ses 50 ans I Un peu d'histoire ! "Cet aéroport exprime l'ambition d'un pays qui a voulu d'abord, qui a appris ensuite, à épouser son siècle". Le 8 mars 1974, le Premier ministre, Pierre Messmer, inaugurait l'aérogare 1 de Paris-Nord, dans le Val-d'Oise, devenu aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, puis aujourd'hui Paris-Charles de Gaulle. C'est en effet sous l'impulsion du Président de la République Charles de Gaulle qui anticipait déjà la croissance spectaculaire du trafic aérien et le besoin d'une seconde plateforme aéroportuaire après celle d'Orly mise en service dans les années 1960, qu'a émergé ce projet. Au parallélépipède d'acier enveloppé par un mur rideau transparent, Paul Andreu et son équipe de jeunes architectes opposent un disque de 190 mètres de diamètre aux façades opaques en béton." Sa forme circulaire lui vaut le surnom de "camembert". Pour imaginer l'aménagement intérieur du bâtiment, un groupe de travail pluridisciplinaire est constitué en 1969. Leur objectif commun était "d'humaniser" le programme en dépassant ses aspects technique et utilitaire. "Au-delà de l'architecture brutaliste du terminal, il faut se rappeler de ses couleurs d'origine qui participaient à la lisibilité des espaces et à la sécurité des voyageurs : vert pour les équipements et les services, orange pour les zones d'attente et de repos ou encore jaune pour la signalétique. L'alphabet Roissy dessiné par Adrien Frutiger s'utilise toujours aujourd'hui, car sa police de caractères se lit instantanément même lorsqu'on est en mouvement." Paris-Charles de Gaulle s'apprête à relever cet été un défi majeur en accueillant les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. #50ansCDG

Paris-CDG fête ses 50 ans I Un peu d'histoire ! "Cet aéroport exprime l'ambition d'un pays qui a voulu d'abord, qui a appris ensuite, à épouser son siècle". Le 8 mars 1974, le Premier ministre, Pierre Messmer, inaugurait l'aérogare 1 de Paris-Nord, dans le Val-d'Oise, devenu aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, puis aujourd'hui Paris-Charles de Gaulle. C'est en effet sous l'impulsion du Président de la République Charles de Gaulle qui anticipait déjà la croissance spectaculaire du trafic aérien et le besoin d'une seconde plateforme aéroportuaire après celle d'Orly mise en service dans les années 1960, qu'a émergé ce projet. Au parallélépipède d'acier enveloppé par un mur rideau transparent, Paul Andreu et son équipe de jeunes architectes opposent un disque de 190 mètres de diamètre aux façades opaques en béton." Sa forme circulaire lui vaut le surnom de "camembert". Pour imaginer l'aménagement intérieur du bâtiment, un groupe de travail pluridisciplinaire est constitué en 1969. Leur objectif commun était "d'humaniser" le programme en dépassant ses aspects technique et utilitaire. "Au-delà de l'architecture brutaliste du terminal, il faut se rappeler de ses couleurs d'origine qui participaient à la lisibilité des espaces et à la sécurité des voyageurs : vert pour les équipements et les services, orange pour les zones d'attente et de repos ou encore jaune pour la signalétique. L'alphabet Roissy dessiné par Adrien Frutiger s'utilise toujours aujourd'hui, car sa police de caractères se lit instantanément même lorsqu'on est en mouvement." Paris-Charles de Gaulle s'apprête à relever cet été un défi majeur en accueillant les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. #50ansCDG

La #piste principale de l'Aéroport Grenoble Alpes Isère est numérotée "09/27". Savez-vous ce que cela signifie ? 🤔 Les numéros de piste dans un aéroport correspondent à l'#orientation magnétique de la piste en dizaines de degrés 🧭 La première partie du numéro, ici "09" indique que l'extrémité de la piste est orientée à 90 degrés, soit à l'est. La seconde partie, "27", signifie que l'autre extrémité de la piste est orientée à 270 degrés, soit à l'ouest. Ces chiffres sont arrondis aux dizaines les plus proches. Une piste orientée à 90 degrés (est) s'appellera donc 09, et la même piste orientée à 270 degrés (ouest) s'appellera 27. Les pistes sont numérotées de cette manière pour aider les pilotes à s'orienter correctement en fonction de la direction du vent et de la boussole. En général, les aéronefs décollent et atterrissent face au vent pour des raisons de #sécurité et de #performance 🛫

Cette semaine, il a été question de l’Inde et de l’évocation de son programme spatial. Pour en savoir plus sur son programme de vols habités #Gaganyaan, article à lire dans le dernier numéro de #SpaceInternational. #Lachroniquespatiale

🧐 Connaissez-vous la différence entre aérodrome et #aéroport ? Bien que les deux soient des infrastructures de transport aérien, ils présentent des différences importantes. On vous en dit plus 👇 🏙️ 𝗨𝗻 𝗮𝗲́𝗿𝗼𝗽𝗼𝗿𝘁 est doté d'infrastructures complexes telles que des pistes longues, des terminaux pour les passagers, au moins une tour de contrôle, des aires de stationnement d'avions et des installations de services aux passagers. 🌾 𝗨𝗻 𝗮𝗲́𝗿𝗼𝗱𝗿𝗼𝗺𝗲 est une infrastructure moins importante, souvent située dans des zones moins urbanisées. Il comporte en général une piste unique, ainsi que des installations de base telles que des hangars d'aéronefs et des bâtiments administratifs. 💡 Bien qu'il accueille des vols de formation ou de loisirs, l'Aéroport Annecy Haute-Savoie Mont-Blanc est également équipé de toutes les infrastructures nécessaires pour recevoir des vols commerciaux. A ce titre, il s'agit donc bien... d'un aéroport !

Découvrez Enenvol et suivez nous pour ne rien louper du décollage des montgolfières 🎈

Faire une croisière sur un énorme paquebot m’a toujours paru dénué de charme (le côté impersonnel, l’usine touristique). maintenant il me paraît aussi dénué de sens. Amis croisiéristes, je vous invite à lire l’article ci-dessous et à à envisager d’autres formes de vacances : joyeuses, festives, dans le partage et la découverte… mais en harmonie avec la nature 🐠🦋🌱 Dans cet article, je cite la phrase qui m’a le plus frappée : “les émissions / km / passager sont en moyenne d’environ 390g de CO₂ /km soit 6 fois plus que le ferry, et 2,4 fois plus que l’avion”. Bonne lecture!

L'Empire romain a joué un rôle significatif dans l'histoire de la navigation, contribuant à développer et à influencer les techniques maritimes de l'Antiquité. Voici quelques points clés à considérer lors de l'analyse de l'Empire romain sous l'angle de l'histoire de la navigation : Contrôle des voies maritimes : L'Empire romain a étendu son influence sur une vaste étendue de terres entourant la mer Méditerranée. Cette domination a permis aux Romains de contrôler et d'exploiter les principales voies maritimes de l'époque. Ils ont amélioré les infrastructures portuaires, favorisant ainsi le commerce et les échanges. Flotte impériale : Pour sécuriser leurs frontières maritimes et protéger les routes commerciales, les Romains ont créé une puissante flotte impériale. Les navires de guerre romains étaient bien conçus pour leur époque, utilisant des techniques avancées de construction navale. Innovation dans la construction navale : Les Romains ont apporté des améliorations significatives à la construction navale, développant des types de navires spécifiques pour répondre aux besoins militaires, commerciaux et logistiques. Le corvus, une passerelle mobile utilisée pour aborder les navires ennemis, est un exemple notable de leur ingéniosité navale. Commerce maritime : L'Empire romain a prospéré grâce au commerce maritime. Les routes commerciales maritimes reliant les provinces de l'Empire ont favorisé les échanges de marchandises, de cultures et d'idées. Des ports tels que Ostie, le port de Rome, ont joué un rôle central dans cette économie maritime. Exploration et cartographie : Bien que les Romains n'aient pas entrepris d'explorations océaniques à grande échelle comme celles de la période des Grandes Découvertes, ils ont amélioré la cartographie et la connaissance des côtes méditerranéennes. Des cartographes romains tels que Ptolémée ont contribué à la création de cartes plus précises. Déclin de la navigation : Avec le déclin de l'Empire romain, la navigation a également été affectée. Les invasions barbares, les troubles politiques et les changements économiques ont contribué à la diminution des activités maritimes romaines. Les routes commerciales ont été perturbées, et les connaissances en matière de navigation ont stagné pendant un certain temps. En conclusion, l'Empire romain a laissé une empreinte indéniable sur l'histoire de la navigation. Son contrôle des voies maritimes, son innovation dans la construction navale et son rôle dans le commerce maritime ont contribué à façonner le paysage naval de l'Antiquité méditerranéenne.