#Emploi | le Centre d'Examen de Santé (CES) de #Nantes recrute plusieurs profils en #CDI à temps partiel ! Rattaché à la CPAM Loire-Atlantique, le CES réalise des examens de prévention en santé pour les assurés éloignés du système de soins et en situation de fragilité sociale. Ces examens représentent une offre de prévention personnalisée prenant en compte les besoins et attentes des assurés, les facteurs de risques (âge, sexe, mode de vie, antécédents médicaux personnels et familiaux) et le suivi médical. 👉 Consultez les offres de recrutement et envoyez-nous votre candidature dès maintenant : 🔹 Médecin de prévention (H/F) : https://lnkd.in/e2sTJGgi 🔹 Infirmier de prévention (H/F) : https://lnkd.in/eezhA_ic 🔹 Secrétaire (H/F) : https://lnkd.in/eq2gBvax #FIERSDEPROTEGER
Post de Assurance Maladie de Loire-Atlantique (CPAM)
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⛑️LOI VALLETOUX : PRÉCISIONS SUR LES RESTRICTIONS DANS L’INTÉRIM MÉDICAL ⛑️ 🚫La loi Valletoux interdit aux établissements de santé (jôpitaux publics et privés, cliniques), aux laboratoires de biologie médicale et aux établissements médico-sociaux (EHPAD, établissements d’aide sociale à l’enfance ou aux personnes en situation de handicap) de recruter des professionnels de santé en intérim s’ils sont en début de carrière. ⏳Un décret devrait paraître en avril mais sa publication a été reportée à cet été. 🔎Les professionnels de santé concernés par cette restriction sont les médecins, infirmiers, aides-soignants, éducateurs spécialisés, assistants de service social, moniteurs-éducateurs, accompagnants éducatifs et sociaux, chirurgiens-dentistes, pharmaciens, et sage-femmes. Les étudiants en santé ne sont pas concernés. 💡Le ou les décrets, qui sont en attente de publication, définiront les obligations des agences de travail temporaire , lesquelles devront vérifier auprès des professionnels de santé qu’ils respectent la condition de durée minimale d’exercice hors contrat d’intérim. Les ETT devront certifier cette vérification auprès des établissements de santé et médico-sociaux au plus tard lors de la signature du contrat de mise à disposition. ⚖️Ces mêmes décrets détermineront également les sanctions en cas de non-respect de ces obligations de contrôle. 👀Affaire à suivre…
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La santé est l’un des grands enjeux des prochaines élections. La semaine dernière, la RTBF abordait différentes problématiques du secteur de la santé telles que le manque de personnel, les délais d’attente pour être pris en charge, ou encore le manque de moyens en santé mentale. ⚠ « Face au manque d’infirmiers et d’infirmières, le ministre veut repenser le métier" Pour GIBBIS, valoriser le métier infirmier et augmenter l’encadrement autour du patient est une priorité. Cela passe notamment par le fait de : ➡ Susciter des vocations dans le secteur des soins ➡ Développer un meilleur accompagnement des stagiaires afin d’éviter les abandons de la formation ou du secteur ➡ Innover au niveau de l’organisation des soins en renforçant les collaborations multidisciplinaires au sein d’une équipe structurée et intégrée ➡ Financer du soutien logistique ou administratif supplémentaire ➡ Assouplir le cadre réglementaire afin de créer plus de flexibilité dans les normes d’encadrement ➡ Développer un plan d’attractivité interfédéral soutenu par l’ensemble du secteur pour lutter contre la pénurie de personnel soignant et rendre à ces métiers porteurs de sens toute l’attention qu’ils méritent. ⚠ « Longs délais pour un rendez-vous chez un spécialiste » GIBBIS plaide notamment pour le fait de : ➡ Augmenter l’accessibilité aux nouvelles technologies, par exemple en imagerie médicale, en ouvrant l’accès à celles-ci pour toutes les institutions agréées afin de limiter les temps d’attente. Un contrôle des coûts peut être effectué au niveau des remboursements des frais de fonctionnement de ces technologies selon des quotas justes liés au niveau d’activité de chaque institution ➡ Rendre les hôpitaux plus attractifs pour les médecins spécialistes ➡ Renforcer l’offre de soins en santé mentale, notamment au niveau des équipes mobiles, des urgences psychiatriques, des maisons de soins psychiatriques, des initiatives d’habitation protégée et des lits hospitaliers pour les patients «double diagnostic» Les maîtres mots sont : #Réforme, #Innovation, #Investissements pour un secteur de la santé plus fort et plus résilient.
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PENURIE EN 2009 .A LIRE ... PARCE QUE RIEN N A CHANGE. OU EN SOMMES AUJOURD HUI ?? QUE FONT LES SYNDICATS ? MANQUE DE PLUS DE 10 % D INFIRMIERE DEPUIS PLUS DE 15 ANS. AUJOURD HUI 20 à 30% de manque et ça continue . Ce n'est plus de pénurie qu'il s'agit mais bel et bien de l'abandon du métier suites aux conditions de travail , bas salaires , ratio non respectés , heures inconfortables mal rémunérés , pension lamentable au vu des sacrifices quotidiens, compétences et de notre engagement . L'international concil nurse recommande 1 infirmière pour 5 patients max dans un secteur normal (en réa 1/1 , idem aux urgences ) Nous sommes à 1 infi pour 10 voir 18 patients ; la nuit 1 pour 30 ! Faudra pas s'étonner de la hausse de la mortalité dans tous les secteurs confondus . Mais mais .........on crie haut et fort que nous avons 9 ministères de la santé pour 11 millions d'habitants ! Absurde !Et on discute pour une nouvelle formation de l'assistant en soins infirmiers ; voilà ou on perd encore de l énergie ! Recruteurs actuels qui payent correctement les infirmières : USA, Suisse , Canada , Australie, Luxembourg .... En Belgique, on ferme les lits , on supprime l'ouverture de certaines salles d'opérations, 6 à 8 mois pour obtenir des rdv médicaux ...etc . En France ,on ferme non seulement des lits mais des urgences ... En Europe et dans le monde entier ,c'est la galère . En Belgique : manque de 30.000 infirmières . En France : manque 128.000. En Angleterre : manque 50.000. En 2023 , ils prévoient un manque de 123.000 En Italie : manque 85.000 Au canada , ils prévoient un manque de 117.600 infirmières en 2030 Que dire de la Roumanie , de la Pologne ........ DRA...MA..TI..QUE!
La pénurie dans la profession infirmière
infirmiers.com
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[🔎 #RECRUTEMENT] 🏥 Le CHANGE recherche des aides-soignant(e)s pour son unité de soins palliatifs d'Annecy 🤩 ❗ Rejoignez un établissement récent, agréable et engagez-vous dans de nombreuses missions : ✅ Evaluer l’état de santé et analyser les situations de soins des patients relevant de soins palliatifs ✅ Participer à la mise en place des projets de soins personnalisés en lien avec les autres compétences de l’équipe ✅ Evaluer le caractère critique d’une situation et mettre en place des actions correctrices en collaboration avec l’IDE ✅ Réaliser des soins d’hygiène adaptés à la situation de la personne en binôme avec l’infirmière ✅ Travailler à la continuité du parcours de prise en charge du patient en lien avec les partenaires référents ✅ Contrat : CDD, CDI, mutation ✅ Temps plein et temps partiel possibles / 7,5 h par jour ↪️ Vous souhaitez candidater ❔ 👇 https://lnkd.in/dYbcCKHg #CHANGE #Recrutement #SaintJulien
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#INFIRMIÈRE# Le rôle de l’infirmier s’étend bien au-delà des soins de base. Il inclut : 👉L’évaluation des besoins des patients 👉La préparation et l’administration des traitements 👉Le suivi des plans de soins 👉L’éducation sanitaire des patients et de leurs proches. L'infirmiere est #Aucœurdel’action# Que ce soit en milieu hospitalier, en clinique ou à domicile, l’infirmier est souvent le premier point de contact pour le patient. Il joue un rôle crucial dans le parcours de soins, travaillant en étroite collaboration avec l’ensemble de l’équipe médicale. Alors certes il y a _ un décalage entre la pratique infirmière occidentale et africaine _ le salaire qui est encore a son plus bas niveau _ le manque de spécialités et formation continue. Pourtant, La formation continue est un aspect fondamental de la profession, permettant aux infirmiers de rester à la pointe des avancées médicales et des meilleures pratiques. En Conclusion, Le métier d’infirmier est exigeant mais incroyablement gratifiant. Il offre l’opportunité de faire une différence significative dans la vie des gens, chaque jour. #passionnédelasanté# ma page facebook 👉https://lnkd.in/ek4VPe-x
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Conseiller et formateur en professionnalisation, démarche de certification Qualiopi, ingénierie de formation, culture sûreté, pratiques de fiabilisation des interventions, approche FOH des situations de travail.
Le secteur hospitalier lyonnais toujours en tension 🏥 l'Essentiel Avec ses 2 200 employés, le Centre Léon-Bérard s'occupe de 42 000 patients chaque année (Photo : CLB). Ce soir, le Centre Léon-Bérard organise une soirée d’immersion pour recruter du personnel. État des lieux 📌 Cet événement s’inscrit dans le cadre des difficultés persistantes du secteur hospitalier en matière de recrutement. Les conditions de travail et l'épuisement des équipes sont des facteurs souvent évoqués pour expliquer cette pénurie. Les postes d’infirmiers, d’aides-soignants ou encore de puéricultrices sont parmi les plus difficiles à pourvoir. En chiffres 📊 Dans le département, environ 5 000 postes hospitaliers seraient vacants. Parmi ceux-ci, 3 200 concernent directement les métiers du soin (infirmiers, aides-soignants, professions paramédicales, etc.). Sur le territoire, approximativement 85 % des offres d'emploi dans ce secteur sont jugées difficiles à pourvoir selon France Travail. Ces données reflètent un déséquilibre croissant entre la demande de soins liée au vieillissement de la population et le nombre de professionnels formés. Zoom sur 👩⚕️ Avec ce type de soirées de recrutement immersives, le Centre Léon-Bérard souhaite agir concrètement. Spécialisé dans la prise en charge des cancers, le CLB suit chaque année plus de 42 000 patients. Avec ses 2 200 employés actuels, il joue un rôle central dans le système de santé lyonnais. L’établissement centenaire compte par ailleurs sur d’autres initiatives pour attirer de nouveaux talents. On peut notamment évoquer la plateforme « Métiers du Prendre Soin », créée par l’ARS et la Métropole.
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🏥 Dans les métiers du soin, 25.000 postes sont vacants depuis plus de six mois. Beaucoup s'attaquent à ce problème et peu trouvent des solutions. Alors quand certains en ont, c’est important de les mettre en avant. 🧐 Petit rappel du contexte On connait toutes et tous le sujet du manque d’attractivité et de professionnels qualifiés dans ces métiers. Mais on a parfois du mal à se rendre compte de l'ampleur et de l'urgence de cette réalité. 👨🏼🦳 63 % des Ehpad sont confrontés à des difficultés de recrutement et fonctionnent avec au moins 1 poste non pourvu depuis 6 mois ou plus (selon la DREES) 👩🏽⚕️ 30% des postes de praticiens hospitaliers publics sont vacants (selon la Fédération Hospitalière Française) 🥼La part de postes vacants pour les infirmiers est passée de 7,5% à 13,1% en trois ans dans les établissements et services médico-sociaux (selon la FHF) En parallèle le besoin de soins augmente, notamment avec le vieillissement de la population. Notre système est au bord de la crise, cela amène à des fermetures de lit, des conditions de travail de plus en plus difficiles pour les équipes et/ou de la maltraitance des personnes accueillies. 🩹Alors on fait comment pour attirer et former à ces métiers ? Nous sommes nombreux et nombreuses à réfléchir à cette question mais peu d’entre nous peuvent se targuer d’avoir trouvé une solution miracle. A makesense, nous travaillons de plus en plus avec Compani dans notre accompagnement des Ehpad et j’ai été particulièrement touchée par 2 nouvelles approches qu’ils ont mises en place. Ils les présenteront le 21 novembre lors des premières Rencontres de l'Innovation des Etablissements sanitaires et médico-sociaux. 👩🏾🎓La VAE inversée ou comment mieux accompagner les faisant-fonction tout en restant en situation de travail dans leur structure. Aujourd’hui face à la pénurie de personnel, de nombreux établissements recrutent des personnes, souvent en situation précaire, qui font le rôle sans avoir le diplôme et qui, malgré leur motivation, ont des difficultés à l'obtenir. La VAE leur permettrait d’être mieux reconnus dans leur établissement et de pouvoir évoluer. La DRH et une apprentie aide-soignante du Centre Hospitalier de Paimpol viendront témoigner. 🫴🏽 L’organisation en équipes autonomes ou comment définir et répartir les rôles au sein d’une équipe à responsabilités partagées. Plusieurs études sur la crise d’attractivité des métiers du soin ont montré une demande de davantage d’autonomie et notamment la possibilité de travailler sur des sujets transverses en dehors des tâches répétitives liées au soin. Compani s’est spécialisé dans ce type d’accompagnement et la Résidence Noël Leduc (Fondation Partage et Vie) a relevé ce défis avec succès depuis 4 ans. 3 acteurs à des niveaux différents de l’établissement témoigneront sur cette aventure et ses résultats concrets. Rendez-vous le jeudi 21 novembre de 9h à 17h pour découvrir ces approches ! Lien en commentaire pour les inscriptions
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Depuis le 1er juillet 2024, certains professionnels de santé doivent justifier d'une expérience minimale de 2 ans pour effectuer des missions d’intérim ! Cette nouvelle réglementation concerne notamment les sages-femmes, les auxiliaires médicaux et les professions non réglementées du secteur médico-social. Elle vise à garantir une qualité de service optimale dans les établissements de santé, laboratoires de biologie médicale, et autres structures médico-sociales. Pour vérifier cette durée d’exercice, les entreprises de travail temporaire doivent collecter plusieurs documents, dont une attestation sur l’honneur et, pour les professions réglementées, une copie du diplôme ou de l'autorisation d'exercice. Ces preuves doivent être conservées pendant 5 ans et peuvent être réclamées par les établissements ou les autorités compétentes. Cette mesure vise à renforcer la fiabilité et la compétence des professionnels de santé en mission d’intérim, assurant ainsi une meilleure prise en charge des patients. #Santé #Réglementation #expertcomptable #amiens #conseilsentreprises #tpe #gestion https://lnkd.in/eDbmGewt
Mise à disposition de certains professionnels de santé : une durée minimale d’exercice requise
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La grand bazar de la gestion RH à l'#hôpitalpublic s'aggrave ! Chacun connait l'importance dans toute institution du soin, encore plus dans un hôpital, de la qualité, la stabilité, la motivation et de la loyauté des ressources humaines médicales et paramédicales. C'est crucial pour la qualité du service rendu aux patients et pour l'efficience des soins ( gestion des ressources). La #courdescomptes vient de sortir un rapport démontrant le grand bazar de la gestion des praticiens hospitaliers (PH), que la #loiRist a aggravé. Pour contourner le plafonnement des gardes, les PH veulent souscrire des contrats de type 2 très souples pour l'hôpital comme pour les médecins. Avec un tel contrat, vous travaillez quand vous voulez et un PH (quel que soit son âge) peut gagner 120 000 € (hors gardes , hors primes), alors qu'un PH en contrat normal gagne au maximum 100 000€ en fin de carrière. L'#hôpitalpublic est passé d'une institution où être médecin était le plus souvent des cas une vocation, un engagement , un honneur au nom de la médecine. Aujourd'hui c'est devenu, en partie, la course au gain, tout en passant le moins de temps possible sur place. Comment en est-on arrivé là? Chacun peut donner ses raisons sur ce réseau... La première d'entre elles est le basculement depuis la fin des années 90 vers une gouvernance 100% administrative, renforcée par la loi HPST de 2009, et tout ce qui a suivi pour bureaucratiser davantage. On ne fait que payer les fautes du passé. Cette bascule a généré une perte de sens de la fonction, une hyper bureaucratie qui tue l'initiative et l'innovation, une incapacité à gérer les ressources correctement. Le premier signal de ce phénomène de mercenarisation des PH est que le médecin ne croît plus à à son institution qui l'emploie, il maximise donc son intérêt personnel. C'est humain. Ca ne suffit pas pour répondre aux besoins de RH. Sur le tour de recrutement 2022 dans l'hôpital public, 7500 postes sont restés inoccupés. A cela il faut ajouter 5560 PH partis exercés en dehors de l'hôpital ou à faire autre chose. Si on ajoute qu'il se passe peu ou prou la même chose chez les paramédicaux, imaginez vous l'état réel de l'hôpital public. Tout ceci n'a pas que des conséquences limitées à l'hôpital. La cour des comptes tire la sonnette d'alarme sur les surcoûts générés. LA hausse de 12 Mrds€ par an de rémunération de la fonction publique hospitalière lors du Ségur 2020, sans aucune mesure structurelle d'accompagnement a conduit à ce désastre, tout en creusant les déficits de façon inédite. Le cercle vicieux est bien là. Nous avons vu hier qu'il n'y a plus de moyens à mettre ni dans la médecine de ville ni dans la prévention. S'il ya toujours une part de responsabilité collective, La FHF obtient la palme d'or , tant elle a défendu cette approche centralisée et bureaucratique. Ses anciens et actuels dirigeants ont maintenant les clés du Ministère, appliquent leur vision, la crise s'accélère. Rien d'étonnant donc...
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La santé est notre bien le plus précieux. Investir dans nos soins de santé, c'est investir en nous tous. Dès son entrée en fonction, en octobre 2020, ce gouvernement a investi des milliards d'euros pour nous aider à traverser la période de crise sanitaire, mais aussi pour soutenir et renforcer notre personnel de soins : pour avoir plus de personnel au chevet du patient, une meilleure rémunération et de meilleures conditions de travail. De plus, par des formations rémunérées sur le lieu de travail, nous encourageons les personnes étrangères au secteur à rejoindre les soins et nous faisons en sorte que les jeunes puissent commencer à y travailler immédiatement après leurs études. Vu l’ampleur du manque de personnel, nous avons également pris plusieurs mesures d'urgence : pendant la période de pandémie (jusqu’au 1er avril dernier), nous avons, par exemple, rendu les conditions financières plus intéressantes pour les retraités, les étudiants jobistes et les volontaires qui viennent donner un coup de main temporairement. Pour les retraités, ces conditions favorables sont encore prolongées jusqu’au 1er octobre 2023. https://lnkd.in/eDH_DwgX
Réforme de la profession infirmière
vandenbroucke.belgium.be
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