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📈 Découvrez nos résultats financiers 2023 Les entrées en carnet de commande ont atteint 4 842 millions d’euros en 2023 quand le chiffre d’affaires de l’exercice s’établit à 4 067 millions d’euros. Une croissance qui s’explique entre autres par le développement des projets EPR en France et Grande-Bretagne. Le résultat avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (EBITDA) s’établit quant à lui à 598 millions d’euros soit, une hausse organique de +4,7%. ➡️ Pour lire l’intégralité de notre communiqué de presse : https://lnkd.in/eZSjg5fA #Framatome  

Les acteurs de la filière du nucléaire, Bpifrance et l’État, via la direction générale des entreprises, lancent la 1re promotion de l’Accélérateur nucléaire pour répondre aux enjeux d’un secteur en forte croissance dans le cadre de la relance du nucléaire en France. 30 entreprises implantées sur tout le territoire participeront pendant 18 mois à ce programme sélectif, ciblé et personnalisé, pour accélérer leur croissance.

🔴 En direct des Journées Perspectives France sur le thème : « Renforcer la cohésion de la filière et préparer l'avenir »   Une partie de l’équipe nucléaire de Bessé est présente à cet événement majeur, organisé par le GIFEN pour ses adhérents ! C’est un lieu de rencontre incontournable pour tous les acteurs de la filière.   Chaque année depuis 2020, le GIFEN réunit ses adhérents autour des donneurs d'ordres de la filière nucléaire française, afin de donner aux industriels de la supply chain une meilleure visibilité sur les grands projets à venir, pour leur permettre d'anticiper et d'être prêts à répondre aux grands projets qui attendent l'industrie française.   💬 « Nous sommes fiers d’accompagner depuis plus de 10 ans les acteurs de la filière nucléaire et conseiller nos partenaires et clients dans la gestion de leurs risques. Nous sommes plus que jamais mobilisés dans un contexte enthousiasmant de relance du nucléaire en France qui apportera indiscutablement une contribution majeure aux objectifs de décarbonation de notre économie. » Didier Daoulas ✅, Directeur Bessé Marine, Energy & Logistics.  

Les acteurs de la filière du nucléaire, Bpifrance et l’État, via la direction générale des entreprises, lancent la 1re promotion de l’Accélérateur nucléaire pour répondre aux enjeux d’un secteur en forte croissance dans le cadre de la relance du nucléaire en France. 30 entreprises implantées sur tout le territoire participeront pendant 18 mois à ce programme sélectif, ciblé et personnalisé, pour accélérer leur croissance.

Comme le soulignait Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique : "L’État est désormais le seul actionnaire d’EDF. (...) indispensable pour permettre à EDF de mener de manière accélérée plusieurs chantiers décisifs : l’augmentation de la production du parc nucléaire existant (...). Cette opération a été un succès." Cette stratégie visait à renforcer la capacité d'EDF à répondre aux besoins croissants en électricité et à accélérer des projets clés, notamment l'expansion du parc nucléaire et la construction de nouveaux réacteurs. Cependant, suite à cette reprise, un contentieux a émergé lorsque les actionnaires minoritaires ont contesté le prix proposé pour le rachat de leurs actions. En effet, le 25 juin 2024, le Conseil d'État a rendu une décision significative suite à la procédure de retrait obligatoire des actions d'EDF, initiée par l'État.⚖️⬇️⬇️⬇️ 📢Affaire CE N° 476202 : Les actionnaires minoritaires contestaient le prix proposé pour l'acquisition de leurs actions, le jugeant insuffisant. Toutefois, leurs requêtes ont été rejetées pour irrecevabilité, ayant été déposées après le délai de deux mois prévu par l'article R. 421-1 du CJA. ⚠️🕰️ 📅 Détail important : Le délai de contestation de l'arrêté ministériel du 5 octobre 2022, fixant le prix à 12,00 euros par action, était crucial et décisif. Le Conseil d'État a confirmé que cet arrêté, de nature réglementaire, devait être contesté dans ce délai précis. 💡 Implications : Cette décision réaffirme l'importance des délais procéduraux pour la sécurité juridique des opérations financières de l'État. Elle s'inscrit dans le respect des principes de gouvernance des sociétés à participations publiques et du Code monétaire et financier (CMF) (Ord. du 20 août 2014).

Le nucléaire reprend des couleurs et c’est une excellente nouvelle pour notre territoire.   Une information confirmée hier par le directeur d'Orano Tricastin, Pascal TURBIAULT, et son homologue de la centrale EDF, Cédric Hausseguy, qui présentaient leurs voeux, à Lapalud.   S’il en ressort qu’EDF se projette dans le temps, en mettant en œuvre des travaux visant à prolonger de 60 à 80 ans la durée de vie de ses installations, Orano Tricastin a réaffirmé publiquement son intention de produire davantage, et à très court terme, dès 2028.   Pour cela, l’étape primordiale sera le dépôt, au mois de juin prochain, à Pierrelatte, après enquête publique, du permis de construire des travaux d’extension du site Georges Besse 2. Des travaux qui devraient démarrer dès le mois de septembre 2024 et mobiliser quelques 500 personnes, pour un budget compris entre 1,3 et 1,7 milliard d’euros.   Pour rappel, le site Orano Tricastin est le plus grand complexe d’enrichissement en Europe sur un même site et représente 30% de la capacité occidentale. L’uranium enrichi à usage exclusivement civil qui y est produit permet de fournir du combustible à 70 réacteurs nucléaires dans le monde et d’alimenter l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 90 millions de foyers, soit l’équivalent de la France, de l’Allemagne et du Royaume-Uni.   Avec cette extension, Orano sera en mesure d’alimenter l’équivalent de 120 millions de foyers.   Une perspective des plus réjouissantes pour tous les élus locaux, mais surtout une avancée majeure économique pour Pierrelatte et tout le bassin de vie tricastin. CCDSP - Communauté de communes Drôme Sud Provence

Pour faire face à la montée en cadence que devrait nécessiter le plan de relance du nucléaire, la supply chain française se retrousse dès aujourd'hui les manches. Les enjeux combinent délais, qualité et coûts de production. Pour accompagner les sous-traitants du nucléaire dans cette transformation, la Banque publique d'investissement (Bpifance) vient de lancer son nouvel accélérateur. Parmi les 30 entreprises retenues dans cette première promo, dix sont issues de la région Auvergne Rhône-Alpes.

GE Vernova : la CFDT juge positive la vente des activités nucléaires à EDF. C’est l’aboutissement de plus de deux ans de tractations, de rebondissements politiques et économiques depuis l’annonce du projet de rachat en février 2022 par le même président à Belfort. En amont, c’est l’aboutissement d’environ quatre ans de discussions entre EDF, GE, Gouvernement et Organisations syndicales notamment la CFDT qui a porté la voix des salariés aux dirigeants de l’entreprise et au gouvernement. En effet, la CFDT a pu influer sur le périmètre de vente et le volume d’effectif qui était bien plus réduit initialement et surtout sans réelle cohérence industrielle.

#Informations #Numérique #performance De nombreux échanges d’informations qui n’améliorent en rien les résultats ! A EDF, le redressement de la trajectoire financière du Groupe se décline en quatre chantiers : le « temps métal » (c’est-à-dire le temps véritablement consacré aux activités cœur de métier), les compétences, la performance opérationnelle et le numérique. Lire la suite >> https://lnkd.in/egFY2dma

Pour faire face à la montée en cadence que devrait nécessiter le plan de relance du nucléaire, la supply chain française se retrousse dès aujourd'hui les manches. Les enjeux combinent délais, qualité et coûts de production. Pour accompagner les sous-traitants du nucléaire dans cette transformation, la Banque publique d'investissement (Bpifrance) vient de lancer son nouvel accélérateur. Parmi les 30 entreprises retenues dans cette première promo, dix sont issues de la région Auvergne Rhône-Alpes. Florent Genoux