Le député #EricWoerth a remis ce 30 mai à #EmmanuelMacron son rapport sur l’avenir de la #décentralisation. Au total, 51 propositions dont beaucoup ne manqueront pas de faire réagir les #élus locaux et leurs associations, particulièrement au sein du bloc #communes - #intercommunalités et au niveau des #départements. Retour du #cumul des #mandats, conseiller territorial réinventé avec un scrutin "cantonal", moins d’élus communaux mais plus de #parité aux #elections municipales, #départements aux compétences confortées voire dopées, suppression du #GrandParis, réforme du #scrutin #PLM... Ce qu’il faut retenir du rapport #Woerth sur la #décentralisation. #collterr #territoires #élus #maires https://lnkd.in/dPCPHGDH
Post de Aurélien Hélias
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Dans son rapport sur la décentralisation remis le 30 mai au chef de l'État, Éric Woerth formule plusieurs propositions qui pourraient considérablement changer la donne pour Lyon et la Métropole. 👇 https://lnkd.in/e-CPY3E4
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La France de demain sera-t-elle celle d’un mille-feuille communal raboté, d’un #maire aux pouvoirs renforcés ou de #collectivités locales quarante fois moins nombreuses qu’aujourd’hui ?… Avant que le député Eric Woerth ne révèle ses propositions de réforme territoriale, la délégation aux collectivités de l’Assemblée nationale d’une part, et l'Institut Terram, emmené par Jean Coldefy et Jacques Lévy, d’autre part, nourrissent le débat avec des visions fort différentes à première vue mais pas forcément contradictoires si l'on songe aux temporalités variées dans lesquelles elles s'inscrivent. Le député David Valence demeure néanmoins sceptique vis-à-vis d'une application à court-terme des pistes disruptives avancées par le nouveau "#thinktank des #territoires". Analyse des deux contributions. #collterr #territoires #decentralisation #democratielocale https://lnkd.in/eisn9TVn
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L'organisation territoriale de la France et l'organisation administrative de l'Etat restent des sujets majeurs de la réflexion politique quelles que soient les coalitions gouvernementales. Voici un chantier en pleine évolution qui nécessiterait des clarifications d'ici au 30 juin
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🌍 Décentralisation sous pression : les maires en quête de reconnaissance 💬 🔍 Décryptage des résultats de l’Observatoire de la démocratie de proximité (AMF-CEVIPOF) - 2024 : 👉 Budget et investissement en péril : alors que les collectivités locales assument 60 % des investissements publics, elles doivent contribuer jusqu'à 11 milliards d'euros aux économies nationales. Une menace directe pour nos territoires et leur développement. 👉 Reconnaissance en berne : entre 2020 et 2023, la proportion de maires se sentant non reconnus par l'État est passée de 28 % à 45 %. Pourtant, 62 % des citoyens saluent leurs efforts. 👉 Un mandat à coût humain élevé : en 2023, 35 % des maires rapportent un impact négatif sur leur vie personnelle, contre 19 % en 2020. Une réalité qui interroge sur l’attractivité de ces fonctions essentielles. 💡 Enjeux : restaurer le dialogue entre État et collectivités pour préserver la dynamique de nos territoires. Soutenons nos maires et leurs équipes, véritable ossature de la démocratie locale ! 🙌 #Décentralisation #CollectivitésLocales #Budget #DémocratieLocale #Territoires #AMF #CEVIPOF
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💡"Le rapport sur la décentralisation d’Eric Woerth propose de rétablir le cumul des mandats" Sommes-nous sortis de l'auberge espagnol ? En tout les cas, ça n'est pas le Rapport Woerth qui nous en sortira. Il est indéniable que les lois sur le non-cumul des mandats du 14 février 2014 ont créé et installé un fossé béant entre les élus nationaux, pris dans un rôle surplombant mais vide de sens concret, et les enjeux terroriaux, bien présent, vivant et en attente de volontés politiques fortes. Sans leur dénier leurs louables intentions, l'on peut au moins situer autour des dates d'entrée en vigueur de ces deux textes, l'accélération de la déliquescence de l'activité politique en France. Les Gouvernements successifs ont été naifs de croire qu'en multipliant les instances de concertation nationales où siegeraient les élus locaux, ils parviendraient à atrophier les effets indésirables de cette séparation brutale entre les fonctions représentatives nationales et locales. Le procès en "déconnexion du réel " instruit par les élus locaux à l'endroit du président de la République et de sa majorité dès 2018, était en réalité déjà, les premiers symptômes de la cassure que la loi de 2014 venait d'opérer sur la dimension projetée du rôle d'élu local au sein des instances de délibérations nationales. Cette situation aurait dû tirer toutes les alarmes alors même que seulement quelques mois auparavant, les lois du 17 mai 2013 enterraient définitivement le "Conseiller territorial " idée géniale du comité Balladur. La proposition de la commission Woerth vient seulement nous rappeler que, comme toujours, l'action publique, lorsqu'il s'agit de décentralisation, semble condamnée aux éternels recommencements. Il me semble cependant suspect que cette proposition de la commission Woerth de possiblement revenir sur l'interdiction du non-cumul des mandats, tombe quelques jours seulement après que les chiffres sur la gabegie budgetaire du mille-feuille territorial aient été rendus public. Franchement, comment accueillir l'idée d'un pareil revirement sans entretenir immédiatement et pour un instant, un regard pensif ? Ce serait là une autre naïveté que de croire que ce retour prodigue au cumul des mandats, jouera la panacée pour résorber la crise des finances publiques territoriales, ou même celle qui traverse la métier et la vocation d'élu local. Ce qui aujourd'hui constitue l'urgence, c'est le rôle même et le statut d'élu local, qui doivent être repensés. (voir les propositions du groupe de travail du Sénat sur la décentralisation, du le 06 juillet 2023). #Territoires, #Décentralisation #RapportWoerth
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Réforme territoriale : les #intercos plaident pour le statu quo. Quelques semaines après le rapport #Woerth sur la #décentralisation, et en attendant un nouveau gouvernement, Intercommunalités de France publie une étude assez critique sur les réformes institutionnelles devant résoudre les « irritants » de la construction intercommunale depuis la loi NOTRe de 2015. Le verdict est clair : la majorité des intercommunalités exigent le statut quo sur la gouvernance intercommunale. A lire sur La Gazette des communes
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𝐏𝐨𝐬𝐭 𝟒: ⚖️ 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐞 𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐢𝐩𝐚𝐥𝐞 ? ⚖️ […]Cette tension structurelle, qui s’exprime de manière particulièrement aiguë dans le contexte de Dakar, constitue une source permanente de conflits, tant au niveau des relations entre les différents échelons de l’administration qu’au sein de la société civile, où la révocation d’un maire est souvent perçue comme une atteinte directe à la souveraineté populaire. La dimension sociologique de cette problématique ne saurait être ignorée, car elle éclaire les dynamiques profondes qui sous-tendent les rapports entre les citoyens, les élus locaux et l’État central. La révocation d’un maire, surtout lorsqu’elle concerne une figure aussi emblématique que Barthélémy Dias, soulève inévitablement des questions sur la légitimité des institutions et la capacité du système politique à répondre aux aspirations des citoyens. Dans un pays où les maires des grandes villes jouent souvent un rôle clé dans l’articulation des revendications sociales et économiques, leur éviction par décret présidentiel est perçue non seulement comme une mesure administrative, mais aussi comme une tentative de marginalisation politique, voire de musellement des voix dissidentes. Ce contexte sociopolitique complexe, exacerbé par les rivalités entre partis politiques et les tensions entre le pouvoir central et les collectivités locales, confère à la révocation d’un maire une portée qui dépasse largement son cadre juridique. Elle devient un révélateur des failles et des contradictions du système, tout en posant la question fondamentale de la place des élus locaux dans la gouvernance nationale. À cet égard, l’affaire Barthélémy Dias, tout comme celles de Khalifa Sall et d’autres maires révoqués avant lui, doit être analysée non pas comme un événement isolé, mais comme le symptôme d’une crise plus large, qui touche à l’essence même de la démocratie sénégalaise et à son équilibre institutionnel. L’incapacité du système actuel à garantir une séparation claire entre les dimensions politique et administrative de la gouvernance locale alimente une méfiance croissante envers les autorités centrales, tout en affaiblissant la crédibilité des institutions […].
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DÉCENTRALISATION : SORTIR DE L'ENTRE-SOI ! 📌 Emmanuel Macron demande un cycle de concertations dès le mois de juin uniquement avec les associations d’élus, parlementaires, partis politiques afin d’évaluer les propositions du rapport Woerth sur la décentralisation. 📌 Ce rapport intitulé "Décentralisation : le temps de la confiance" fait totalement l’impasse sur la démocratie dont se détournent pourtant de plus en plus de nos concitoyens, notamment les plus jeunes. Un constat qui risque de se vérifier le 9 juin... 📌 Pour renouer avec la confiance, il serait temps de sortir de l’entre-soi et d’inviter les citoyens, universitaires, chercheurs, acteurs associatifs et syndicalistes intéressés à un processus concertations large et ouvert.
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🚨 Une telle fébrilité sur le sujet de la Décentralisation est regrettable ! 🔎 Il s'agit d'une énième mission sur le sujet qui risque de n'aboutir qu'à des mesures partielles sans ambition réelle qui pourtant permettrait de répondre à de nombreux enjeux d'efficacité de l'action publique au niveau local s'il était clairement posé. ☢ Quand la politique politicienne l'emporte sur l'intérêt général et l'efficacité de l'action publique... ⚠ L'Etat reste coincé dans son paradigme des années 80 entre une incapacité à gérer seul l'ensembles des enjeux de la nation et une incapacité à organiser sa gouvernance publique au niveau local avec des territoires puissants et responsables (avec tout ce que cela implique) qui prendraient en charge les enjeux à leurs échelles avec l'ensemble des prérogatives permettant d'agir. ⁉ On est à mis chemin depuis plusieurs décennies et les lois NOTRE et MAPTAM n'ont fait que remonter le YoYo au niveau Intercommunal sans réellement poser les bases d'une Décentralisation forte et assumée. CB² Territoires Durables
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Une décentralisation balbutiante ou vacillante ? La décentralisation encore questionnée… Lors de sa conférence de presse de ce mercredi 12 juin 2024, le Président de la République Emmanuel Macron indique vouloir « Supprimer un échelon territorial » et donner le choix aux citoyens de revenir sur des « grandes Régions ». Cette déclaration du Président de la république semble surprenante d’autant plus la réforme territoriale de 2015 (LOI n° 2015-29 du 16 janvier 2015 relative à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral) avait permis la fusion des régions françaises passant ainsi de 22 à 13 régions, et avec pour objectif de « renforcer les responsabilités régionales » au travers le schéma régional d'aménagement et de développement durable et d'égalité des territoires (SRADDET). Quelle serait aujourd’hui, la raison de la création des « grandes régions » ? Est-ce par opportunisme politique ? Visiblement, la décentralisation est un système continuellement modulable …
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Consultant | Smart & sustainable cities, and urban mobility. #MBA 🇪🇺🇯🇵🇲🇾🌏 SHAPING THE URBAN AGE
10 moisÇa sent bon la vieille France localiste … ce n’est pas pour les citoyens mais pour les élus locaux. Aucun esprit de modernisation ! Nous ne savons même plus pourquoi tout cela est fait à l’exception du lobbying des élus et le soucis de la dette.