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💡 Numérique et Environnement : Entre Opportunités et Sobriété Nécessaire 🌱💻 🎯 Tiré du dernier rapport de l’ADEME : Numérique et Environnement 📊 Quelques chiffres clés : 1. 51,5 TWh d’électricité consommés en 2024 : le numérique représente 4,4 % de l’empreinte de la France (contre 2.5% en 2020) et 11 % de sa consommation électrique. Ces chiffres prennent en compte les impacts de l’utilisation des datacenters situés à l’étranger. 2. Les émissions dues aux datacenters seront multipliées par 2 et 19% des workloads des datacenters seront liés à l’IA d’ici 2030 (Goldman Sachs, 2024). 🌍 Points à retenir : 1️. Le numérique peut être un levier pour l’environnement, mais attention aux usages où il se substitue à des efforts de décarbonation essentiels (ex. industrie lourde). 2️. Les centres de données et l’IA générative sont au cœur des préoccupations. La consommation des data centers va augmenter de 160 % d’ici 2030 (Goldman Sachs, 2024). 3️. Des petits modèles d’IA générative plus sobres et spécialisés que les grands modèles généralistes pourraient offrir des solutions prometteuses. 🛠 Rappel des pistes pour un numérique durable : 1. Allonger la durée de vie des équipements : privilégier la réparation, les produits reconditionnés et le partage. 2. Encourager l’éco-conception des services numériques en rendant obligatoire un seuil minimal d’impact. 3. Sensibiliser : en 2022, 86 % des Français étaient conscients de l’impact du numérique, mais seulement 24 % ont changé leurs comportements. 4. Prioriser les financements pour des solutions au service de la transition. 5. Développer la connaissance des impacts des nouvelles technologies, en bâtissant une base de données dédiée au numérique intégrée à la base empreinte de l’ADEME. Adoptons un numérique responsable pour une transition réussie 🌟

#NumeriqueResponsable 🟢 L'impact environnemental du Numérique va croissant : les chiffres parlent d'eux-mêmes 👇 Le numérique continue de transformer nos vies, mais son empreinte environnementale ne cesse de croître à un rythme alarmant. Loin d’être neutre, ce secteur représente aujourd’hui un enjeu majeur pour atteindre les objectifs climatiques. 📊 L’étude ADEME-Arcep 2022 sur l’impact environnemental du numérique en France vient d’être actualisée. Voici les chiffres clés à retenir : ➡️ 29,5 Mt CO2éq : l’empreinte carbone générée pour un an de consommation de biens et services numérique en France en 2022, soit 4,4 % de l’empreinte carbone nationale (presque équivalent aux émissions des poids lourds). ➡️ 11 % de la consommation électrique française est liée aux services numériques, soit 51,5TWh (ou 65 TWh si on inclut les data centers à l'étranger). ➡️ 117 millions de tonnes de ressources sont utilisées par an pour produire et utiliser les équipements numériques, soit 1,7 tonnes par Français et par an ➡️ Les terminaux (smartphones, TV, ordinateurs) concentrent 50 % de l’empreinte carbone du numérique, les data centers 46 %, et les réseaux 4 %. ➡️ La fabrication des équipements est la phase la plus impactante, représentant 60 % de l’empreinte carbone, contre 40 % pour l’utilisation. ⚠️ À noter : ces résultats n’intègrent pas encore certains éléments clés comme les réseaux télécoms hors de France ou le développement de l’IA générative. 💡 Ce qu’il faut retenir ? Pour limiter l’impact environnemental du numérique, il est possible d’agir à tous les niveaux : 🔸 Favoriser des équipements durables et réparables 🔸 Optimiser les usages numériques (sobriété numérique) Le numérique peut être déployé au service d’un avenir durable. 👉 Pour y parvenir, Romain RANSON, expert du collectif Albacombee accompagne et forme vos équipes sur le Numérique responsable à tous les niveaux de l'entreprise : équipes IT, managers et CODIR. #TransitionÉcologique #SobriétéNumérique

📉 𝗘𝗺𝗽𝗿𝗲𝗶𝗻𝘁𝗲 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗱𝗼𝗶𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗼𝘂𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗮𝗴𝗶𝗿... L'ADEME a récemment publié une mise à jour de son évaluation de l'empreinte environnementale du numérique en France pour 2022 (𝘤𝘧. 𝘪𝘯𝘧𝘰𝘨𝘳𝘢𝘱𝘩𝘪𝘦 𝘤𝘪-𝘥𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘴), et les chiffres sont aussi instructifs qu'inquiétants : 📊 𝟰,𝟰 % 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗺𝗽𝗿𝗲𝗶𝗻𝘁𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗯𝗼𝗻𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : soit 29,5 millions de tonnes de CO₂ équivalent. Un chiffre en augmentation, notamment dû à la prise en compte des data centers à l'étranger, de plus en plus sollicités. A titre de comparaison, je rappelle que c'est approximativement équivalent à l'empreinte du transport aérien ou celle des poids lourds... ⚡ 𝟭𝟭 % 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 : avec 51,5 TWh, ce chiffre grimpe à 65 TWh en intégrant les data centers étrangers, soit presque autant que toute l’électricité consommée en Île-de-France. 👉 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗰𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗶𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲𝗻𝘁 ? Le numérique, souvent perçu comme immatériel, consomme énormément de ressources, depuis la fabrication des équipements jusqu'à l'utilisation des services. Ces impacts sont exacerbés par l'explosion des usages (streaming, IA, cloud, etc.) et la faible durée de vie des appareils. A noter que les nouveaux usages, notamment de l'IA, ne sont même pas pris en compte dans ces chiffres qui concernent l'année 2022... 💡 𝗦𝗼𝗯𝗿𝗶𝗲́𝘁𝗲́ 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 : 𝘂𝗻 𝗱𝗲́𝗳𝗶 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳 Tout comme nous l'abordons dans La Fresque du Numérique, l'ADEME propose des pistes d'action concrètes dont : 👉 Allonger la durée de vie de nos équipements. 👉 Promouvoir l'écoconception des services numériques. 👉 Réduire les usages superflus pour revenir à l’essentiel. 💭 𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁 𝗮𝘂 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 ? Le numérique peut être un levier puissant pour la transition écologique, mais il doit être utilisé avec discernement. En tant que citoyens, entrepreneurs ou décideurs, nous avons une responsabilité : faire du numérique un outil au service de l'humain et de la planète, et non l'inverse. 📌 𝗩𝗼𝘀 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲𝗻𝘁 ! Que ce soit à travers la sensibilisation de vos équipes, la mise en place d’une stratégie numérique responsable ou simplement un usage plus conscient au quotidien. Ensemble, nous pouvons faire la différence. Si vous avez besoin d'approfondir ce sujet, n'hésitez pas à me contacter ! #NumériqueResponsable #SobriétéNumérique #TransitionÉcologique #GreenIT

On peut y faire quelque chose ensemble : adopter une conception éco-responsable pour nos outils numériques. On en parle? "Sans action pour limiter la croissance de l’impact environnemental du numérique, son empreinte carbone pourrait tripler entre 2020 et 2050. Les hypothèses de l’analyse prospective de l’étude ADEME-Arcep Dans leur étude, l’ADEME et l’Arcep dessinent un scénario de référence en projetant les évolutions actuelles du numérique. Ce scénario dit « tendanciel », qui s’applique à 2030 et 2050, repose sur l’hypothèse que les tendances observées, qu’elles correspondent à une diminution (par exemple, la diminution continue de la consommation d’énergie unitaire des équipements ou le remplacement du réseau cuivre par un réseau fibre 3 fois moins consommateur d’énergie) ou une augmentation (par exemple, le déploiement de nouvelles infrastructures du fait de la croissance des usages) de l’impact environnemental, se poursuivent." Lire la suite - source : https://lnkd.in/eU-SXJb8

Ravi d’avoir pu participer à l'évènement 100% Numérique Responsable organisé par IT for Business la semaine dernière. Oui, je suis convaincu que le numérique peut être le premier secteur décarboné. Voici les principaux sujets abordés : Mesure des impacts : L’importance de prioriser les ratios physiques plutôt que monétaires pour se rapprocher des impacts réels du numérique. Décarbonation des semi-conducteurs : Nous assistons à une réduction notable des émissions de CO2, preuve que le secteur évolue rapidement vers une meilleure responsabilité. Innovations technologiques : Des solutions comme l'activation-on-demand, l'autoscaling, et l'Infrastructure-as-a-code sont cruciales pour optimiser notre efficacité énergétique. Je remercie Thomas Pagbe pour l’organisation de cet interview. Bravo à tous les intervenants, hommes et femmes du numérique, et en particulier à Dominique Bossard, Richard Bury, Thierry Batut, Thierry BONHOMME, Mellie La Roque, Joseph El Gharib 💡 Pour ceux qui souhaitent approfondir ces thématiques, je vous invite à visionner mon intervention de 15 minutes. Le lien est disponible dans le premier commentaire !

Quelle peut être la contribution du numérique aux trajectoires de décarbonation ? Si le numérique est déjà responsable de 2,5 % de l’empreinte carbone de la France, la technologie peut à l'opposer contribuer à réduire les émissions. Mais dans quelle mesure ? La question est complexe. Anne Faure et Gauthier Roussilhe de France Strategie ont dépouillé la littérature en la matière afin de quantifier le potentiel de décarbonation de 4 cas d’usage choisis dans les domaines clés de l’énergie et des transports : - les smart grids, - les smart homes, - le télétravail, - le covoiturage. Sans être négligeable, le potentiel de ces solutions numériques paraît globalement modeste au regard du niveau actuel des émissions de leur secteur d’application. Les études restent insuffisantes pour bien établir ce potentiel. Des évaluations plus fiables de l’ensemble des coûts et bénéfices seraient nécessaires pour orienter correctement la décision publique. La promotion des solutions pouvant contribuer à la transition écologique ne doit pas occulter l’enjeu majeur qui reste la maîtrise des impacts environnementaux des usages numériques dans leur ensemble. L'étude complète est disponible sur https://lnkd.in/dF8TY7Hi Extrait de : Cours "E-commerce, numérique et développement durable" de Damien Jacob à Université de Lorraine

Bilbea, spécialiste du numérique responsable et lauréat de Réseau Entreprendre vous livre ses précieux conseils dans l'entretien ci-dessous. Vous pouvez aussi en savoir plus sur le numérique comme levier de transition durable en téléchargeant notre guide du dirigeant pour le développement durable https://lnkd.in/eK-zu7VX

🌍 Anticiper l’impact énergie-climat du numérique 🌱 Au niveau mondial, le numérique génère une augmentation moyenne (historique) de la consommation énergétique de 6% par an et des émissions de gaz à effet de serre induites de 3-4 % des émissions mondiales. Parmi cela, l’empreinte environnementale des mondes virtuels et des réseaux mobiles – résultat des investissements massifs actuels — interpelle. En effet, en France par exemple, les terminaux, les centres de données et les infrastructures réseaux liés aux technologies immersives ont une consommation d’énergie correspondant aux trois tiers du système numérique. Pour anticiper les transformations nécessaires, le Shift Project publie deux rapports : Quels mondes virtuels pour quel monde réel ? et Des réseaux sobres pour des usages connectés résilients. La nouveauté est de s’intéresser aux usages à venir en se positionnant en amont du déploiement. L’objectif est d’orienter, pour la France, la réflexion et l’innovation (y compris au sein des entreprises) et d’influencer les stratégies, modalités (usages, réglementation…) et politiques publiques du numérique futur. Le projet s’intéresse à la fois aux émissions et aux effets de levier que celui-ci peut avoir sur la décarbonation, soit comment faire du numérique un outil pour transformer les modes de production, de consommation et de fonctionnement de notre société et réduire notre dépendance aux énergies fossiles – l’offre actuelle pour séduire un public toujours plus large conduisant à une intensité énergétique accrue incompatible avec modèle souhaitable et soutenable. Les quantifications physiques de l’étude ont porté sur les usages (ex. multiplication des contenus vidéos appelant un besoin de plus grande capacité réseau en mobilité) et sur les offres (ex. possibilité de visionner des vidéos en ultra-haute définition en itinérance). Elles ont permis de définir les conditions de pertinence des mondes virtuels et des réseaux mobiles qui tiennent compte des contraintes énergie-climat. Alors, prêt.e.s. à aider le secteur à mieux se saisir de cet enjeu ? L’enjeu ? Contribuer au cahier des charges d’un numérique sobre et résilient au niveau européen ! 🌟🌏🔍 Hugues Ferreboeuf Maxime Efoui-Hess Marlene de Bank Franck PRAMOTTON Esther Illouz

Le numérique, un danger pour la planète ? ⚠️ D'après une étude du Sénat, l'empreinte carbone du numérique en France pourrait augmenter de 60% d'ici 2040 si nous ne changeons rien.   Mais la bonne nouvelle est que nous pouvons agir ! Individuellement et collectivement, il est possible de réduire notre impact environnemental et de construire un numérique plus durable. Comment ? En adoptant des gestes simples au quotidien : Choisir des appareils durables et économes en énergie lors de l'achat. ▪ Éteindre les appareils lorsqu'on ne les utilise pas. ▪ Privilégier le Wi-Fi à la 4G/5G. ▪ Supprimer les cookies et les données de navigation régulièrement. ▪ Réduire la taille des fichiers avant de les envoyer ou de les télécharger. ▪ Héberger les données sur des serveurs éco-responsables. Mais il ne suffit pas d'agir seul. Les entreprises et les organisations ont également un rôle crucial à jouer. C'est pourquoi VAGANET propose IBM Envizi, une solution unique pour mesurer, réduire et piloter l'empreinte carbone du numérique. Avec Envizi, vous pouvez : ⚙️Calculer l'empreinte carbone de votre organisation en quelques clics. 📈Obtenir une analyse détaillée de vos émissions et identifier les points d'amélioration. 💡Mettre en place des actions concrètes pour réduire votre impact environnemental. 🔍Suivre vos progrès et mesurer l'efficacité de vos actions dans le temps. IBM Envizi, c'est plus qu'un outil, c'est un véritable partenaire pour vous accompagner dans la transition vers un numérique plus durable. Engagez-vous dès aujourd'hui pour un numérique plus responsable et un avenir plus vert. Pour plus d'informations, rendez-vous sur  👉https://esgdigital.fr/ #Sustainability #Envizi #IBM

📢 Nouvelle étude ADEME : l’impact environnemental du Numérique en France en 2022. L'ADEME a mis à jour son évaluation de l’impact environnemental du Numérique en France comparant désormais les chiffres de 2022 à ceux de l'étude précédente basée sur les chiffres de 2020. 1️⃣ CE QU'IL FAUT RETENIR 👉 En 2020 le Numérique représentait 2,6% de l’empreinte carbone de la France. 👉En 2022, il représente désormais 4,4% (29,5 Mt CO2éq). L’étude rappelle à nouveau qu’au-delà du carbone, le secteur épuise fortement les ressources abiotiques (minéraux & métaux). 2️⃣ LA GRANDE NOUVEAUTÉ ? L’étude prend désormais en compte les data centers situés à l’étranger qui hébergent 53% des usages numériques français. Cela change significativement la répartition des impacts : 👉 Data centers : 46% de l’impact du Numérique (+16 points) 👉 Equipements Utilisateurs : 50% 👉 Réseaux : 4% ⚠️ Ce constat est d’autant plus préoccupant qu’il ne tient même pas encore compte de l’essor de l’IA générative... 🙈 3️⃣ FACE À CES CHIFFRES ALARMANTS, AGISSONS ! 🌱 Eco-concevons nos outils numériques. ⚡ Adoptons des usages numériques responsables (prolonger la durée de vie des équipements, limiter le stream HD, etc...). 📊 Sensibilisons entreprises et grand public à ces enjeux cruciaux. Il est temps que chaque acteur du secteur prenne conscience de ces chiffres pour limiter l’impact environnemental du Numérique. Ensemble, faisons la différence ! 🌍 Un grand merci à l’ADEME pour cette étude d’utilité publique. Une pensée spéciale pour eux après les propos de Valérie Pécresse cette semaine qui annonçait vouloir tout simplement “supprimer l’ADEME” pour “faire des économies”…… 🤐