Post de Battoy Louisa

➡ Échirolles: l’impuissance publique au zénith Un immeuble squatté par les dealeurs évacué dans la région grenobloise Mardi matin, à 8 heures, les policiers sont venus frapper à chaque porte de l’immeuble le « Carrare », à Échirolles (38). Tous les habitants ont été évacués, le trafic de drogue ayant rendu leur maintien dans les lieux trop dangereux. Èchirolles, Isère, commune de la banlieue de Grenoble. La came, son commerce et ses ravages s’y portent à merveille. On peut même dire que la racaille qui a la main sur ce trafic vient de remporter une victoire dont elle peut se réjouir. Ne représente-t-elle pas en effet à elle seule une des plus criantes illustrations de l’incapacité de l’État, des autorités dites compétentes, à imposer l’ordre républicain ? Autrement dit à protéger les citoyens d’une délinquance qui se propage, s’insinue partout, sème le désarroi et prospère à un point tel qu’on finit par se demander s’il est encore possible de l’endiguer. Double peine Parce que ces autorités, l’État, se révèlent incapables de purger un immeuble de l’essaim de dealers qui l’occupent maintenant depuis plusieurs années et dont ils ont fait la plaque tournante de leur trafic, la municipalité en est venue à obliger les habitants, les occupants légaux de l’immeuble, à vider les lieux, à abandonner leurs logements. Le monde à l’envers. Double peine pour ces gens. Ils ont subi l’occupation – le terme est à prendre ici dans son sens le plus négatif, le plus violent – de ces racailles qui leur rendaient la vie impossible, et maintenant, ils doivent dégager ! Impossible la vie, véritablement, au « Carrare », sous la loi de cette milice du deal, puisque la Mairie n’a pas hésité à expliquer sa décision d’expulsion par « le danger de mort imminent et permanent » qui menaçait les locataires. Risques d’incendie, d’électrocution. Réseau électrique mis à nu parce que les portes des armoires en bois ont été arrachées pour servir de combustible dans les poubelles converties en brasero. Une flambée pour se réchauffer les mimines, faire griller la saucisse, chauffer la blanche ? Escaliers de secours encombrés de matelas, de meubles afin d’en interdire l’usage, en particulier aux forces de police. Accès au garage soudé pour bien achever la bunkerisation du lieu. Avec cela marques de sang au sol, rapporte un locataire, désemparé. Le tout agrémenté de fusillades – deux au moins dans l’été – épisodes hélas ordinaires d’une guerre des gangs qui sévit ici aussi. Marseille essaime. Marseille colonise, le Sud remonte, diagnostiquent les experts de la question. Le fait est que ces bandits sont parvenus à s’incruster dans ces murs, à se les approprier, terrorisant les habitants, mettant, répétons-le, leurs vies en danger. Et ce sont ces derniers qu’on déloge. Ce sont les victimes qu’on punit. Quel constat d’échec ! Quel aveu de faiblesse ! En effet, les racailles peuvent pavoiser. (...)

🔴France : URGENCE : La situation dans les Quartiers PACA 🔴 Une vidéo récente montre un trafiquant marseillais armé d’une Kalachnikov, tentant de rassurer la population en déclarant : « Oh les habitants, c’est chez nous maintenant ! On n’a rien contre vous, on vous aime bien. » Je vis à La Castellane, La Bricarde et Le Merlin, des quartiers monopolisé par les réseaux de drogue où je croise quotidiennement des revendeurs, guetteurs qui m’appellent “tonton”. En tant qu’ancien champion de boxe des Quartiers Nord, je me sens en sécurité, mais je suis profondément préoccupé par l’environnement dans lequel grandissent nos enfants. 😟 Les habitants de ces quartiers paient leurs taxes, travaillent dur et éduquent leurs enfants dans un climat de peur constante. Certains m’ont conseillé de déménager avec ma famille, mais comme beaucoup, nous n’en avons pas les moyens. Nous ne devrions pas avoir à fuir nos quartiers pour vivre en sécurité. 🏘️ Je suis investi dans les projets de vie des locataires de ces trois cités et j’ai ma salle de boxe en plein cœur de ces quartiers. Je me sens utile et apprécié par les habitants. Beaucoup des adultes que je croise aujourd’hui, je les ai connus enfants, et ils me voient comme une figure respectée, à l’image de mon grand ami Christian NKA. 💪 La vidéo que je partage est choquante, mais elle doit être vue. Il est impératif que les politiques et les organismes concernés agissent maintenant pour protéger nos enfants et redonner espoir à nos quartiers. 🙏 #Marseille #QuartiersNord #Sécurité #Justice #Enfants #Solidarité Gerald Darmanin Olivier Klein Ministère de la Justice Emmanuel Macron Michel Barnier Gouvernement

Un grand aveu d’impuissance en réponse à l’immense colère des habitants touchés de près ou de loin par les terribles conséquences du trafic de drogue qui grignote petit à petit la vie dans les grandes villes. Misère humaine, gangrène de notre société : les mots ne sont pas assez forts pour décrire ce fléau qu’est le trafic de drogue. Surtout lorsque les maux sont multiples… Le manque de forces vives dans la police a été maintes fois pointé du doigt. Comme l’a été cette justice exsangue, incapable de rivaliser en matériel et moyens humains avec ce qu’il faut bien appeler de véritables mafias. Sur le terrain de la prévention, le manque de places disponibles dans les hôpitaux et centres de santé mentale pour tenter de soigner les consommateurs de drogue est lui aussi patent. Tout comme est palpable – et c’est sans doute l’un des principaux noeuds du problème – le manque de perspectives socio-économiques pour une bonne partie de la (jeune) population bruxelloise, qui a le droit de crier son désarroi. C’est là aussi, et surtout, que ces mafias recrutent à tour de bras. (...) La Libre Annelies Verlinden #drogue #lutte #société Paul Van Tigchelt Alexander De Croo Rudi Vervoort Jean Spinette

https://lnkd.in/eHhQpyin Qu'a-t-on désormais le droit de supporter ? Les temps changent, sauf peut-être sur le far-west de la route et le loi du plus fort, où quand les personnes habitant dans les étages oublient que les talons peuvent faire du bruit sur le parquet vers minuit ou 6h du matin, en prenant vos gentilles demandes comme des agressions, sans doute par projection Les personnes quittent la ville pour la campagne en pensant pouvoir faire ce qu'ils veulent pour le bruit, pour répandre leurs déchets, inviter des personnes pendant les restrictions de covid, faire du quad dans leur jardin, laisser japper leur chien en journée mais surtout la nuit et faire du rodéo en répondant qu'ils font ce qu'ils veulent, ces mêmes voisins qui appellent la gendarmerie avec faux témoignage confondant volontairement un pétard et un fusil, le fauteur étant bien entendu le vilain qui soit disant ne supporte rien. Parfois il s'agit des nouveaux arrivants ou des touristes qui ne supportent pas le coq ou les cloches, voire des pratiques agricoles. Et que dire des maires qui aménagent les arrêtés préfectoraux à la carte pour des enjeux électoraux en comptant bien la balance des voix ? Dans les transports, bien entendu les panneaux et messages vocaux demandent, voire imposent une certaine restriction des sonneries de téléphones mais qui les appliquent sachant que les contrôleurs estiment que la vérification de titres de transport est déjà souvent délicates.  Les restaurants sont devenus non fumeurs. A quand les restaurants et les réunions demandant à laisser les téléphones éteints dans des casiers, bien entendu limitant les libertés pour les uns mais garantissant le calme pour les autres. On peut penser que ce sont les personnes âgées augmentent les sonneries et les communication en visio en public mais il n'en n'est rien.  Les exemples sont encore  nombreux. La règle est-elle désormais de porter des écouteurs ? A quand une police et une justice objectives sur la tranquillité Comme souvent, c'est la classe moyenne qui s'excuse et qui trinque, quand elle n'est pas accusée elle-même !

❗️La politique des hotspots à Bruxelles est contre-productive et met en danger les personnes les plus précarisées ! Face aux violences urbaines et au trafic de drogues, la Région bruxelloise précise sa méthode à l’échelle locale avec la création de 15 zones de déploiement prioritaires, dites “hotspots”. Outre une visibilité policière accrue, la politique des hotspots prévoit des règles spécifiques à l’échelle de ces quartiers. Derrière le motif sécuritaire, le volet répressif de la stratégie régionale de lutte contre le narcotrafic foule aux pieds les recommandations du secteur associatif et pèse de manière disproportionnée sur les populations les plus vulnérables. 🖊 Une carte blanche à lire sur La Libre et signée par près d'une trentaine d'organisations, dont I.Care : https://lnkd.in/eEqdSK45 👥 Ligue des droits humains Médecins du Monde Belgique - Dokters van de Wereld België féda bxl asbl Eurotox vzw ALIAS asbl

Toulouse a changé. Ça fait dix ans que j’y suis. Je m’y plais, la ville est assez agréable à vivre quand on a les moyens. Le climat y est moins pourri qu’à Paris. C’est sympa le soir pour sortir, etc. On peut prôner un développement des pistes cyclables pour bobos, une ville plus verte et une industrie florissante, le niveau d’insécurité se dégrade franchement. Et tout le monde n’a pas un salaire chez Airbus. Alors oui la ville a changé, et pas en bien. La raison ? Les cyclistes qui ne respectent rien ? Les embouteillages (ça pourrait) ?  Non, la raison c’est la came. Dans les faits, on se doute que c'est Marseille qui, pour les villes de plus de 100 000 habitants, prend la tête du classement du trafic de drogue avec 15 000 mis en cause pour usage de stupéfiants, mais Marseille reste quatrième au classement en ce qui concerne le trafic (2,51 mis en cause pour 1 000 habitants). Elle est précédée de Toulouse (2,61), Toulon (3,16) et Saint-Denis (5,78). Concernant les trafics de stupéfiants, c’est également Paris et Marseille qui ont connu les plus forts taux d’infractions en 2022, avec respectivement plus de 4 440 et près de 2 200 mises en cause. Derrière, on retrouve la Toulouse avec 1 298 mises en cause. Et ça c’était il y a 2 ans. Après Marseille, #Toulouse devient la seconde « plateforme » du #traficdedrogue dans le sud. Les trafiquants importent le cannabis et la cocaïne depuis l’Espagne (vroum le go-fast). Et ici, le trafic de drogue est depuis longtemps organisé, déculpabilisé et extrêmement rentable. Et puis on le sait, quand un junky a besoin de sa dose, il est prêt à tout : violence, cambriolages, casses. Et donc augmentation de l’insécurité depuis un (trop) long moment. Et ce n’est pas la multiplication des caméras dans la ville qui change vraiment les choses. Et dans certains quartiers, ça tire à vue : en deux ans, 85 échanges de tirs, 13 morts…et pas grand-chose aux infos. Même si le Maire essaie d'enrayer les choses (merci à lui), c'est vraiment pas gagné. Bref. Si vous venez vivre à Toulouse, gardez en tête que ça va pas en s’arrangeant. Toulouse c’est la nouvelle Marseille. #toulouse #drogue #moudenc

HUMOUR SOCIÉTÉ Française Zone de non Droit Indiens USA et casino C’est bien connu les cités sont le théâtre de tous les Trafic lucratifs illégaux notamment des stupéfiants tel que le hachich et la marijuana... Dans ces cités souvent ces trafics génèrent d’important revenus occultes en liquide. Le problème c’est comment faire pour blanchir ces fonds. Société écrans? jouets hors de prix avec des trains de vie de millionnaire qui vendent la mèche. Certaines pour les plus violentes sont nommées zones de non droit. Cela me rappelle les indiens. Je m’explique lors de la conquête des usa des zones de parcage ou réserves ont été créés pour les populations d’indiens qui étaient chassés de leur terres. En France ce sont des volontés de construire des barres d’immeuble pour les plus pauvres des émigrants après-guerre quand la France avait besoin de bras pour se reconstruire. Bref cités, zone de non droit, argent en billet, drogues et boss des réseaux de narcotrafiquant + indiens parqués ok/Cela posé 1 le problème ce sont comment dissimuler les billets aux chiens policiers qui sont dressés à les détecter. Idées pourquoi ces narcotrafiquants ne réinvestissement sous le manteau dans des lieux d’éducations dans leurs cités animées par des étudiants ou profs pour que les éducations parviennent à ce pan de la jeunesse de toute façon laisser pour compte par le système (Exemple atelier, logique, informatique, sciences. Matières orientées vers du concret) Donc 1 boss narco local grand frère protecteur en misant une partie de cette fortune qu’il perdra forcement car les douaniers et les gendarmes sont nombreux et se refilent les dossiers quand ils partent en retraite. Pour payer des profs afin de générer de futur avocats, médecins, ingénieurs, techniciens ok ? Revenons aux indiens qui ont été décimés par l’homme blanc et parqué dans des réserves. Leurs réserves de nos jours ont des statuts légaux autres que celui des états Us ou elles sont implantées et peuvent par exemple implanter des casinos qui sont prohibés dans leur état. Donc revenons aux cités : légalisons les drogues douces et offrons la patente à ces lieux qui ont toute l’infrastructure pour exercer ce commerce. Pour la consommation légale de drogues douces pourquoi ne pas créer des lieux récréatifs dans ces cités, ce serait comme aller au casino chez nos indiens (humour). Avec test à la sortie pour être dans légalité tolérée en quittant ces lieux. Bien entendu comme pour HSBC et le Trafic de l’opium qui ont fait sa richesse à ses débuts et qui est désormais une structure to big to kill (Car leurs possibilités de blanchiment ou activités légales sont imbriquées et elles ne peuvent être arrêter et dissoute sans impacter gravement le coté légal avec des pertes colossales) ces mannes d’argent attiseront les convoitises des structures financières de ce type mais. Comme on dit l’argent n’a pas d’odeur et il n’y a pas de petits profits même honteux...

Je suis incandescente. Voici une décharge sauvage près de chez moi sur une voie publique et un accès pompiers. Franchement c'est dégueulasse et en plus dangereux vu qu'on est dans une région où il peut avoir des feux. #ampmetropole d'Aix Marseille a récemment lancé une appli #adoptezler3flexe pour signaler ce genre de bêtises. l'appli marche moyennement et apparemment ce n'est qu'un geste symbolique parce que les deux tickets incidents que j'ai fais n'ont pas été traité 15 jours après ET en plus il y a des décharges qui ont été ajouté. Pareil en janvier le gouvernement a annoncé qu'il était obligatoire de trier les déchets alimentaires mais il y a pas de collecte exprès, pas de sacs ni de poubelles fournis ni privé ni publique, il faut commander une poubelle compartiment mais le site internet ne marche pas et n'accepte pas les commandes. Un petit plan change management est offert ici au #gouvernementfrançais à la mairie de #lespennesmirabeau et au #departement13 1. construire une coalition des sponsors entre les différents ministères 2. mettre un vrai budget à l'écologie et tapper dans les budgets de l'éducation, le tourisme, le business, l'intégration/L'immigration 3. mettre en places des solutions pratiques qui coûtent peu mais qui ont des effectifs derrière qui assurent un vrai service ecologique efficace de bout en bout 4. s'assurer que la technologie marche et qu'il y a les services derrière pour l'entretenir 5.lancer une campagne de publicité et d'education long terme avec l'éducation nationale et les services publiques pour changer le comportement du grand public 6. renforcer le plan avec des amendes douleureux et des conséquences de fer pour les contraventions, ça vous ajouterai du budget! 7. monitorer avec des KPIs 8. mettre en place une équipe Change!

14 octobre 2024 22 semaines de blocage – 2ème semaine de semi-liberté - 161ème jour de privation de la liberté d’aller et venir pour les Mondoriens – 161ème jour de couvre-feu pour le pays. Qui mettra fin à cette situation chaotique ? Depuis le 7 octobre, les habitants du Mont-Dore Sud et de Yaté peuvent traverser en véhicule la zone de non-droit de St. Louis pour se rendre à Nouméa. Cette liberté de mouvement est toutefois conditionnée à des créneaux horaires spécifiques (08h à 12h et 14h à 18h), par groupes de 30 véhicules, encadrés par 200 gendarmes et huit véhicules blindés, et surveillés par des drones. La traversée sécurisée de 5 km comporte néanmoins des risques de jets de pierres, ce qui pousse certains à continuer d’utiliser les navettes maritimes. Aujourd’hui, 14 octobre, les horaires ont été ajustés à 06h-12h et 14h-18h, une amélioration notable. La situation complexe du Mont-Dore Sud ne se limite pas à cela. La population vit dans une insécurité latente, avec des infrastructures essentielles paralysées et une économie locale en péril. L’alimentation en électricité se fait par groupes électrogènes installés à la Coulée, en raison d’une ligne électrique coupée par les émeutiers qu’Enercal ne peut approcher pour réparer. De plus, cette coupure et le barrage sur la RT1 empêchent depuis le 18 juin la société minière du sud, “Prony Resources”, de produire, mettant au chômage 1 357 emplois directs, sans compter les personnels des entreprises satellites et sous-traitantes. Quand cela prendra-t-il fin ? Lorsque les autorités locales trouveront une solution durable pour rétablir l’ordre républicain dans cette zone de non-droit et mettre fin à quarante années d’exactions quasi quotidiennes, de morts innocents, de blessés, de vols, de manifestations xénophobes et de méfaits d’anticonformistes asociaux qui, au gré de leurs pulsions, pourrissent la vie de milliers de personnes. Le 7 octobre, à l’ONU, lors de la 79e session du comité consacré aux questions de décolonisation, l’auto-proclamé roi de Maré, vêtu de ses plus beaux atours, a prononcé ses diatribes habituelles contre la France colonialiste, affirmant péremptoirement que le 13 mai était une « manifestation pacifique », excusant d’un trait de plume la tentative de coup d’état de la CCAT et les exactions de ses milices. Heureusement, Sonia Backes, présidente de la Province Sud, aux côtés de Naïa Wateou et Brieuc Frogier, élus au Congrès et à la Province Sud, ont rappelé la réalité des faits et demandé à la quatrième commission de condamner les violences et le racisme que nous avons subis et que nous subissons encore. Quand est-ce que tout ceci prendra fin ? Oui, quand ? Patience...

Clermont-Ferrand dans le JT de TF1 ce soir : loin des PQR qui illusionnent les Clermontois sur les réalités de notre ville, le reportage décrit l’ampleur du trafic de stupéfiants. Quel contraste entre les titres grandiloquents de certains de nos quotidiens et la réalité de l’état du centre-ville, devenu une zone de non-droit. L’avenue Charras et la rue Sainte-Claire sont parmi les exemples les plus honteux. Sur l’avenue Charras, la piétonnisation a accéléré la dégradation du quartier : fermeture des commerces, présence de dealers de drogue jour et nuit, impossibilité pour les propriétaires de louer leurs appartements aux étudiants, qui pourtant manquent de logements. Face à ce fléau, un homme incarne aujourd’hui, au niveau national l’ordre républicain et la fermeté retrouvée : Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur. Les Français ont enfin entendu un discours clair, limpide, mais surtout un discours de bon sens retrouvé. Face aux dogmes d’une gauche moralisatrice, la droite républicaine affirme sa volonté d’agir concrètement pour le retour du droit à la tranquillité et à la sécurité. À Clermont-Ferrand comme ailleurs, la sécurité est l’affaire de tous. Malheureusement, la tranquillité et la salubrité publiques restent les parents pauvres des politiques municipales, muselées par une majorité plurielle de gauche qui refuse, par idéologie, d'équiper, de considérer et d’utiliser le potentiel sécuritaire d’une police municipale présente 24h/24 et 7 jours sur 7, renforcée par un véritable maillage de caméras de surveillance. Les solutions miracles n’existent pas, mais la volonté politique peut changer beaucoup de choses dans une ville. #clermont #clermontfd #clermontferrand #securité #puydedome