Post de BNF

Au gré de votre trajet estival, venez vous arrêter sur la belle aire Marcel Pagnol. Une très belle étape sur votre parcours vous permettant à la fois de compléter vos connaissances sur Marcel Pagnol, mais également de vous y reposer en repartant le cœur empli de Provence. Quoi de mieux pour bien démarrer vos vacances ?

Publication de l’ouvrage "Little Bighorn, une bataille dans la mémoire américaine" par Philippe Birembaut Le 6 septembre 2023 a été publié l’ouvrage "Little Bighorn, une bataille dans la mémoire américaine" écrit par Philippe Birembaut. La bataille de la Little Bighorn a été un événement sans précédent dans l'Histoire militaire des États-Unis. Le 25 juin 1876, dans le Montana, face à une puissante coalition de Sioux et de Cheyennes, le général George Armstrong Custer trouve la mort avec une grande partie de son régiment, « son » 7e de Cavalerie. Cette défaite de l'armée américaine, symbolisée par l'appellation Custer's Last Stand, survient au moment où la conquête de l'Ouest s'achève. Malgré les décennies, Little Bighorn marque toujours les tréfonds de la mémoire collective du pays. Le site du théâtre des opérations, outre qu'il est un des lieux les plus visités des États-Unis, est une matrice de l'Histoire américaine, générant profusion de livres, d'articles, de films, de peintures et de sculptures. Comparés aux faits établis, les éléments les plus emblématiques, notamment vers la fin du XIXe siècle jusqu'à nos jours, sont ici rapportés aux historiens, romanciers, peintres, cinéastes, Américains et Indiens, ayant participé à la création ou à la destruction du mythe du Custer's Last Stand, à l'environnement culturel, socio-économique et politique des États-Unis. Dicté par une vision assez consensuelle de la bataille à diverses périodes, le mythe initial de Little Bighorn change progressivement, se déstructure et se reconstruit différemment. Il suit étroitement la vision et le traitement des Indiens par le gouvernement américain comme les options politiques des Américains eux-mêmes. Philippe Birembaut, professeur à la faculté de Médecine de Reims de 1985 à 2020, a toujours éprouvé un vif intérêt pour l'Histoire de l'Ouest américain. Little Bighorn et ses principaux acteurs qui ont participé grandement à la mythologie de l'Ouest, ont suscité son intérêt et donné ce livre.

#Vielittéraire #Vielittéraire De l’art du duel en littérature: Dans le roman du XIXème siècle, le duel est, par excellence, l’étape incontournable dans l’intrigue. Ce moment d’intense tension dramatique permet de construire avec efficacité de redoutables… @ActuaLitte https://t.co/VoefAeW320

Magnifique, je vous recommande cet interview, un message de grandeur et de lumière, et de découvrir son univers, bien particulier, entre l'amour pur et sincère des animaux, en témoigne sa vidéo qui m'a tellement touché à propos de la violence sur eux, par une mauvaise humanité. Et l'artistique, conte musical...et programme pour manifester de grands rêves, et pour ceux qui ne savent pas qu'on peut tout matérialiser, allez voir...Sa méthode est excellente et bien comprise, donc transmise parfaitement. Et les vidéos de spiritualité, développement personnel. Tout cela forme un savant mélange et un concept, et c'est exactement ce que j'aime. Les femmes qui innovent en manifestant leurs plus grands rêves car elles mettent en pratique leur super pouvoir dont celui de la manifestation, et réussissent à créer des concepts en alliant ou associant des univers, mondes et industries différentes. C'est le summum, et le secret de toute femme renaissance...🫶💗 Car vous savez ce qu'on entend par Renaissance, l'histoire de cette grande période d'invention et innovation vous fera comprendre notre merveilleuse terre actuelle d'opportunité. Alors bonne journée de création qui commence..⭐💙 Ah oui, je précise que ses voyages immersifs sont d'après ma connaissance, un nouveau genre, car on assiste pas à l'évolution d'un personnage dans son univers musical ou cinématographique, non, la magie de cet Art nouveau, c'est qu'on devient le personnage, par effet hypnotique, et c'est incroyable, moi j'adore, car on n'est ni passif ni fanatique d'un artiste ou d' un acteur, on devient nous aussi un personnage à la trajectoire unique, et c'est une prise de conscience essentielle en ces temps de rupture avec le salariat très conventionnel, on réalise qu'on peut tout entreprendre si on a compris les méthodes de manifestation..🙂 D'après moi, rentrer dans les voyages immersifs, c'est accéder à un autre univers, le nôtre tout simplement, et la manière d'y rentrer via l'auto hypnose et d'autres procédés en font un nouveau genre adapté à notre époque incroyable où tout est possible, y compris, et surtout conscientiser le pouvoir de la manifestation cher à mon coeur. C'est un des moyens, une méthode et il y en a tant d'autres, comme l'EFT, les affirmations positives.. voilà la merveille..🙂

Les Anglo-saxons ne comprendront jamais l'Histoire de France... 🙄 Aujourd'hui, j'ai eu l'occasion de voir ce dernier film de Ridley Scott qui a fait couler tant d'encre: Napoléon Elevé par une mère profondément bonapartiste, j'ai baigné dans cette Histoire durant toute mon enfance et lu des dizaines d'ouvrages allant des tactiques napoléoniennes, au génie de Nelson à Trafalgar, en passant par les Arts décoratifs durant le premier Empire... Bref, j'ai pratiquement vécu cette époque. Je ne lis pas que des livres sur le Business Fabian Delhaxhe 🚀 😉 Ce film, centré sur la relation complexe entre l'Empereur et Joséphine, promettait d'offrir une perspective intime sur des personnalités plus grandes que nature. Il s'agit de l'a-priori narratif choisi par Ridley Scott, si l'on se limite à cela, le film est cohérent, mais alors pourquoi envisager une période et un film aussi longs ? Et bien pour montrer de belles images dignes d'un blockbuster. Hélas, au-delà de ce fil narratif, l'œuvre semble effleurer la surface d'une époque riche en bouleversements. À travers une succession de scènes spectaculaires, le film rappelle davantage une bande-annonce de deux heures trente, qu'une exploration profonde du règne de Napoléon. Qui trop embrasse, mal étreint... et pour Napoléon on pourrait même dire qui trop étreint mal embrasse... (joke pour les initiés) Cette approche survolée illustre une fois de plus l'écart persistant entre la perception anglo-saxonne de Napoléon comme un simple phénomène français, plutôt que la figure profondément disruptive qui a boulversé le monde au 18e siècle et qui nous influence toujours aujourd'hui... mais cela peut-être l'objet d'un autre texte... L'infâme Arthur Wellesley me semble pratiquement la seule figure correctement décrite. L'ambition démesurée du film lui fait manquer de nombreux moments cruciaux, réduisant par exemple la bataille d'Austerlitz, étudiée dans toutes les académies militaires, à une note de bas de page. Même la journée historique du 18 Brumaire est traitée avec une légèreté qui frise l'absurde. Louis De Funès aurait pu jouer ce passage, bien mieux que Joaquin Phoenix... Quelques erreurs mineures, tels que la date de naissance de Napoléon, le prénom de Talleyrand, la présence de Buonaparte à l'exécution de la Reine...tout ça énerve un peu. Je dois donc regagner deux heures trente de temps perdu... Et heureusement, que ma mère ne va plus au cinéma...

Très beau document à voir

⏳Histoire⏳ L’Empire et l’Histoire Voici notre entretien avec Thierry Lentz sur l’Empire et l’histoire. Découvrez des informations méconnues sur cette période glorieuse de l'empire napoléonien.

J’ai eu la chance de participer vendredi 26 janvier au colloque organisé par le Musée de l'Armée - Hôtel national des Invalides sur « Le droit des prises de guerre : définitions, enjeux, exemples patrimoniaux » ! 🎓 Enrichi par des discussions animées entre juristes et historiens de l’art, le colloque a exploré les subtilités du vocabulaire lié à la prise de guerre, du pillage à la spoliation. Des éclairages fascinants sur l'évolution historique et juridique de cette notion. 📜🔍 🏛️ Les prises de guerre, ancrées dans les collections du Musée de l’Armée, offrent des exemples captivants pour éclaircir cette notion complexe. Certains artefacts, du fait de leur caractère de prise de guerre ont déjà été « rendus » à différentes nations par le biais de dépôts à long terme. Cependant, il est crucial de noter que ces biens n'ont pas encore été restitués formellement. L'élan du projet de loi-cadre sur les biens coloniaux promet d'apporter des changements significatifs, ouvrant la voie à des discussions plus approfondies sur la restitution et la préservation de notre héritage culturel. 🤝🔍 

Je ne sais pas vous, mais par les temps qui courent, ça me fait du bien de (re)découvrir des figures politiques lumineuses. Alors je vous partage cet incroyable portrait de Léon Blum par Philippe COLLIN dans « Face à l’Histoire » sur Radio France (9x1h, je n’y croyais vraiment pas, mais je les ai avalés tout rond, remerciant au passage, ce trésor du service public qu’est notre radio nationale- 🙌🏻Sibyle Veil) https://lnkd.in/eXnnu3Y9 Pourquoi ce portrait de Léon Blum m’a il tant touché ? - Blum, c’est le droit et la courbe : juriste au conseil d’Etat, et militant socialiste, il est aussi critique d’art, poète, journaliste, dandy, avant de s’engager définitivement en politique, après l’assassinat de Jaurès. Des mots pour rassurer et emporter, donner espoir, consoler, des mots partout. - Leon aime intensément et respectueusement (son féminisme d’avant garde, pragmatique et généreux m’était totalement méconnu) et suscite en retour des amours profondes et joyeuses défiant la morale, et la peur du danger. - Blum refuse les cases de l’évidence, la rassurante pureté de la caste, de la classe, du parti, de la corporation. Il n’est jamais là où on l’attend, mais toujours a l’endroit juste. - Leon est aligné. Il a le courage de la pensée et du corps. Et risque plusieurs fois sa vie, pour continuer de faire ce qu’il pense être utile. - C’est un homme passerelle, carrefour, fluide, ouvert aux nuances et aux changements, mais sans jamais fléchir sur les fondamentaux du cœur - un homme fédérateur qui embrasse d’abord, pardonne toujours et voit plus loin que les autres. Il a le recul du temps de l’espoir, et une confiance profonde dans l’humanité : parce qu’il est convaincu que la lumière triomphera des peurs qui nous coupent des autres et de nous mêmes. Leon Blum nous parle de nous. On n’a jamais eu autant besoin de sa sagesse métissée.

L’appel du 18 juin ! 📻 Diffusé par le général de Gaulle en 1940 sur les ondes de la BBC, cet appel est pensé comme une réponse au discours du maréchal Pétain, diffusé lors de sa prise de fonction en tant que président du Conseil. Tandis que le maréchal Pétain appelle à une collaboration avec l’Allemagne nazie, le général de Gaulle cherche à mobiliser la Résistance française. Quatre ans plus tard, Paris est libérée par les Forces françaises de l’intérieur et l’armée française de la Libération, épaulées par les forces armées américaines. L’année 2024 célèbre donc les 80 ans de la Libération ! 🇫🇷 A cette occasion, le Musée Libération Leclerc Moulin propose une exposition portant sur le classique du cinéma franco-américain Paris brûle-t-il ?, sorti en 1966. 🎥 Ce long-métrage réalisé par René Clément et interprété notamment par Alain Delon, Orson Welles ou Leslie Caron, met en scène les épisodes de la bataille de Paris et sa Libération. 📖 Adapté du best-seller éponyme publié en 1964, à l’époque de l’apogée du « mythe résistancialiste », la fresque historique dépeinte dans Paris brûle-t-il ? interprète assez librement les événements historiques. Le général allemand Von Choltitz est par exemple montré épargnant Paris de la destruction par humanisme et respect du patrimoine. Cette légende est aujourd’hui démentie, le général ayant épargné Paris par manque de moyens et de temps, ce qui l’a empêché de suivre les ordres dictés par le cabinet du Führer. 💡Le musée de la Libération propose de redécouvrir ce grand classique du cinéma, en invitant les visiteur.euses à remettre en question leur rapport aux images, à prendre du recul par rapport à la romantisation de l’Histoire, et à s’intéresser aux faits plutôt qu’à la fiction ! 👉 Exposition « Paris brûle-t-il ? Quand le cinéma réinvente la Libération » , du 27 mars au 22 septembre 2024. #Histoire #Libération #Cinéma #ParisBrûletil #18Juin