Post de BNF

La photographie est un témoin privilégié de nos vies, activités, métiers et savoir-faire. La filière de l’eau bénéficie tous les jours des compétences de milliers de femmes et d’hommes dévoués à la ressource. Pour réparer une canalisation, renaturer une rivière, désimperméabiliser un sol… de très nombreux métiers permettent de gérer et préserver l’eau. Quel meilleur médium pour les représenter que la photographie ? idealCO, 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗱’Actu-Environnement, 𝗼𝗿𝗴𝗮𝗻𝗶𝘀𝗲 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗵𝗼𝘁𝗼 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲 : « 𝗟’𝗲𝗮𝘂 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿 », à l’occasion du 25e anniversaire du Carrefour de l’eau (CGLE). 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 : envoyez votre meilleur cliché illustrant les métiers de l'eau, par mail à Sophie NOEL (s.noel@idealco.fr), 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝟭𝟮 𝗷𝗮𝗻𝘃𝗶𝗲𝗿 𝟮𝟬𝟮𝟰 (préciser "CONCOURS PHOTO CGLE" en objet). 𝗔 𝗻𝗼𝘁𝗲𝗿, 𝗹𝗮 𝗽𝗵𝗼𝘁𝗼𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗲 𝗱𝗼𝗶𝘁 : ✅ être en qualité HD et format paysage. ✅ respecter le thème et l'intention : la place de l’humain et la valorisation des savoir-faire dans les métiers de l'eau. ✅ proposer une bonne qualité artistique : cadre, perspective, lumière... ✅ appartenir à un participant ou exposant du CGLE. 𝗨𝗻 𝗷𝘂𝗿𝘆, 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗲́ 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗻𝘁𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗶𝗺𝗼𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 Région Bretagne, 𝗱'Actu-Environnement 𝗲𝘁 𝗱'idealCO, 𝗿𝗲́𝗰𝗼𝗺𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝗿𝗮 𝗹𝗲𝘀 𝟯 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗚𝗟𝗘 𝗮̀ 𝗥𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝟯𝟭 𝗷𝗮𝗻𝘃𝗶𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝟭𝗲𝗿 𝗳𝗲́𝘃𝗿𝗶𝗲𝗿 𝟮𝟬𝟮𝟰. Ces derniers seront exposés sur le salon ! A vos appareils et bonne chance ! #photo #eau #métier #CGLE Emploi-Environnement - David Ascher - Sebastien TROLLE 𝘓𝘢 𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰 𝘲𝘶𝘪 𝘪𝘭𝘭𝘶𝘴𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘦 𝘱𝘰𝘴𝘵 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘦𝘹𝘦𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘦𝘵 𝘯𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘦́𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯.

Jacques Yvergniaux - L'EXPOSITION Estran : Ce que la mer nous renvoie. Mon œil est toujours attiré par les objets qui ne sont pas à leur place. En déambulant dans la nature il est presque impossible de ne pas voir un détritus qui traîne. Cette série porte une attention particulière sur les estrans, où la mer dépose tous les jours sa laisse de mer. La bande de littoral qui se découvre à marée basse et se recouvre lorsque la mer monte, recueille chaque jour du goémon, des coquillages, des débris de toutes sortes et aussi des tas d’objets issus de l’activité humaine. Ce sont eux qui m’intéressent. Ils sont les témoins de la désinvolture de certaines personnes qui jettent leurs détritus, leurs objets usagés ou cassés, n’importe où. Une partie se retrouve dans la mer, puis rapportée sur la côte avec la marée. En marchant sur l’estran, j’essaie de repérer ces objets qui ne sont pas à leur place. Ils ont été abandonnés quelque part au lieu de terminer leur vie dans une poubelle de tri sélectif. Lorsque j’en repère un, avant de le toucher, je prends une photo de l’objet tel qu’il est à son emplacement, là où la mer l’a déposé. Si l’objet présente un intérêt particulier, je le ramasse, direction le studio. Je le photographie à nouveau sorti de son environnement. Après l’avoir grossièrement nettoyé, je l’installe sous les éclairages pour en faire une nature morte. Cette collection de photographies s’agrandit au fur et à mesure de mes sorties sur les estrans. Je peux maintenant les regrouper et composer des fresques de grandes dimensions. Ce travail photographique devrait pouvoir sensibiliser les citoyens à ne plus jeter, mais à réparer et recycler. https://lnkd.in/dPf8Ns9A

💡Expo : Serrano au Musée Maillol Une super expo photo sur les plus célèbres photos de Serrano sur les dérives aux USA. Pourvu que ce ne soit pas annonciateur 🤨 😄le CLUB MAZAG et @roger(s) ont le plaisir de vous offrir ce post culturel 😀. Un Grand merci à Stephane Gault 👉lire ci dessous l’article

400 photographies qui scrutent la France de 2020. 🤍 La France sous leurs yeux La France sous leurs yeux est une exposition inédite à la BNF qui réunit 200 regards de photographes sur les années 2020. Cette Grande commande pour le photojournalisme s’inscrit dans un contexte de bouleversement sociétal que la crise sanitaire a cristallisé. Condensée sur un an et demi de prises de vue seulement, cette commande draine pourtant des interrogations en germe depuis le milieu des années 2010 sur des changements ayant trait tour à tour au travail, à la spiritualité, à l’écologie, à la culture, à l’économie… Interrogations que la pandémie a contribué à réactiver non plus seulement sur le mode du constat mais aussi de façon critique afin de proposer de nouvelles manières d’habiter, de travailler, de vivre et d’être. L'exposition capture une France en clair-obscur, à la fois ouverte sur le monde et tentée par le repli, connectée et fragmentée, égalitaire et inégale, marquée par une nouvelle hiérarchie des territoires, une plus grande individualisation du travail, une économie et des paysages nouveaux, et des rapports au monde de plus en plus divergents" Cette commande est d’une ampleur historique et représente la plus grande commande publique photographique en Europe avec un budget de 5,46 millions d’euros Initiée par le Ministère de la Culture, pilotée par la BNF - Bibliothèque Nationale de France, la Grande commande pour le photojournalisme – intitulée Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire – a permis aux photographes lauréats de bénéficier d’un financement de 22 000 € chacun pour mener à bien leur reportage. Les 2000 tirages inédits produits ont ensuite intégré les collections de la BnF. Photo : Plis de soleil. Reflets de vie en Occitanie, 12 mai 2022 © Anaïs Boileau Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Photographie #Société #Planète

Et voici les leçons que l'on peut tirer de cette image incroyable : 👉 Nous établissons inconsciemment la corrélation entre intensité des photographies et intensité du tourisme. 👉 L'Europe est particulièrement sublime et attire l'objectif. 👉 Ce sont surtout les grands pôles urbains qui sont photographiés. 👉 Les zones de température extrême sont peu photographiées. 👉 Il semble exister une injonction d'ampleur planétaire à photographier : plus un lieu est photographié, plus on le photographie, et inversement. 👉 Les pratiques photographiques peuvent résulter de différences culturelles, et prendre une photo n'est pas un automatisme pour tous. 👉 Tout le monde n'est pas équipé d'un appareil capable de prendre des photos. Source de la carte : https://lnkd.in/d-S9xGxF 262/366

Un grand merci à Jean-Marc MANIFICAT pour son article à l'issue de l'exposition "Gerland expose ses talents" organisée par le Conseil de quartier de Lyon Gerland, La mairie de Lyon 7 et l'École normale supérieure de Lyon où s'est déroulée cette exposition. Je présentais trois projets : "Les mains des pavillons", que vous découvrirez très bientôt sur ce fil, "Seconde chance" qui est issue d'un travail de revalorisation de légumes et fruits jeté dans l'oubli après les marché, avec une dérivation sur la renaissance de personnes ayant pu avoir des soucis et méritant tous une seconde chance, et enfin "Le marinier", une chanson avec photos et vidéos exprimant le lien très fort entre le marinier et son bateau, en exposition prochainement à La fête des mariniers à Lyon, début Juin 2024. Mon style photographique s'adapte au message que je souhaite transmettre. Je recherche la créativité tout en préservant la puissance d'une image simple. Je jongle entre douceur et énergie, accordant une attention particulière aux regards et aux expressions des personnes que je photographie. La posture est pour moi un langage à part entière, révélant l'affection que j'ai pour le mouvement et l'expérience acquise dans mon domaine. Mon objectif est de créer des images uniques qui racontent une histoire, une personnalité. Je recherche l'harmonie entre la lumière, les émotions et les mouvements pour capturer l'essence même de l'humain. N'hésitez pas à me contacter pour discuter de vos projets photographiques. #photographe #portrait #émotion #mouvement #lumière #personnalité

[#19] Comment les rencontres de la photographie d’Arles ont réussi à s’imposer dans la ville, sans lieu fixe et dans un contexte de forte attractivité? Un article de gwendal simon à lire dans notre 19 sur les urbanités événementielles ⤵️

#festivalskokutanart | 4é édition #seriephotographique Parachronisme : Franchesca Bel Doit-on voir, dans la série de photos de Franchesca Bel, une sorte de sémaphore temporelle, ayant convoqué la postériorité dans l’instant ? Sans doute est-ce sa facilité. Tel Proust – pour reprendre les mots de Colette – « pourchassant un temps révolu », notre photographe se plonge dans le vertige de ce qui doit advenir, avec une intelligence qui surplombe l’intuition, à travers une présence sensible du hic et nunc, qui suscite l’imagination sans fin de celui qui contemplerait ses photos. Il s’agit d’une sorte d’accident involontaire, qui se pense, comme dirait Gilles Deleuze, non de façon délibérée, mais à travers la rencontre d’un signe esthétique, une rencontre qui nous inquiète (Jacques Darriulat). C’est une prise en compte de la sensibilité qui laisse à la traine l’entendement. D’ailleurs, l’artiste n’est en rien platonicienne. Le heurt temporel qu’elle crée n’occasionne ni unité, ni cosmos cohérent et harmonieux, traits chers à « l’Idée » de Platon. La mécanique du « parachronisme » de Franchesca Bel tient à l’esthétique et fait fi de la structure. Le monde qui en découle est fragmenté, dispersé. Ses sujets, dont les incarnations sont aléatoires et imprévisibles, en sont l’illustration. « Parachronisme » est également l’expérience d’un moment d’éternité, qui saisit le temps toujours fugitif, donnant à la photographie, dans une dimension plus large, cette superbe qui est d’inventer, sur des surfaces sensibles, des fragments de la vie qui figent le temps. Franchesca Bel réussit à créer des brèves complicités « entre la prévoyance et le hasard » (John Stuart Mill). Franchesca Bel est née à Pointe-Noire, en République du Congo. Elle vit et travaille à Paris, France #festivalkokutanart #impactclimatique #environnementdurable #urgences #urgenceclimatique #mondedurable #impact #environnement #photographie #Brazzaville #Congo

HIPA Hamdan International Photography Award est un prix international de photographie, fondé en 2011 sous le patronage du prince héritier de Dubaï, Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid al Maktoum. Un concours sur la thématique nature et environnement. Pour ce concours, présentation d'une sélection de photographies de ma série animalière "Endangered Species" Un portfolio comme un coup de projecteur, exclusivement consacré à des animaux sauvages en voie d'extinction, tous originaires du continent africain et recueillit par l'association Tonga Terre d'Accueil, refuge pour animaux sauvages victimes de trafics et de mauvais traitements. Actuellement, 26 pays d'Afrique déplorent la disparition totale du lion sur leur territoire. Diminution de 43% de la population en 20 ans. Les gorilles des plaines de l'ouest sont à un pas de l'extinction avec une diminution de 70 % de la population ces 20 dernières années. Le chimpanzé, qui singnifie en langue congolaise signifie "faux-homme" est classée sur la liste des espèces en danger. Ses effectifs s'élevaient à près de 2 millions au début du XXème siècle, aujourd'hui, ils ne dépassent pas les 500 000 individus. Déforestation, braconnage, chasse et trafics, en sont les principales causes. L'occasion de mettre en avant également dans ma présentation au concours, le magnifique projet ROAR porté par Tonga Terre d'Accueil, qui oeuvre à la création d'une réserve naturelle protégée en Afrique du Sud. Série disponible en tirages papier Hahenmülhe Fine Art 290g finition lustré réalisés par l'atelier OOblik, artisans d'art à Sully, Bourgogne. 60 x 80/90 cm. Tirages numérotés et limités. Une série travaillée en clair-obscur, une sensibilité inspirée de l'école caravagesque, pour une mise en valeur de l'anima(l) 10% de commission sur les ventes de tirages sont reversés à Tonga Terre d'Accueil. #concours #challenge #engagement #artiste #photographe #decorationinterieur

HIPA Hamdan International Photography Award est un prix international de photographie, fondé en 2011 sous le patronage du prince héritier de Dubaï, Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid al Maktoum. Un concours sur la thématique nature et environnement. Pour ce concours, présentation d'une sélection de photographies de ma série animalière "Endangered Species" Un portfolio comme un coup de projecteur, exclusivement consacré à des animaux sauvages en voie d'extinction, tous originaires du continent africain et recueillit par l'association Tonga Terre d'Accueil, refuge pour animaux sauvages victimes de trafics et de mauvais traitements. Actuellement, 26 pays d'Afrique déplorent la disparition totale du lion sur leur territoire. Diminution de 43% de la population en 20 ans. Les gorilles des plaines de l'ouest sont à un pas de l'extinction avec une diminution de 70 % de la population ces 20 dernières années. Le chimpanzé, qui singnifie en langue congolaise signifie "faux-homme" est classée sur la liste des espèces en danger. Ses effectifs s'élevaient à près de 2 millions au début du XXème siècle, aujourd'hui, ils ne dépassent pas les 500 000 individus. Déforestation, braconnage, chasse et trafics, en sont les principales causes. L'occasion de mettre en avant également dans ma présentation au concours, le magnifique projet ROAR porté par Tonga Terre d'Accueil, qui oeuvre à la création d'une réserve naturelle protégée en Afrique du Sud. Série disponible en tirages papier Hahenmülhe Fine Art 290g finition lustré réalisés par l'atelier OOblik, artisans d'art à Sully, Bourgogne. 60 x 80/90 cm. Tirages numérotés et limités. Une série travaillée en clair-obscur, une sensibilité inspirée de l'école caravagesque, pour une mise en valeur de l'anima(l) 10% de commission sur les ventes de tirages sont reversés à Tonga Terre d'Accueil. #concours #challenge #engagement #artiste #photographe #decorationinterieur