Post de British Embassy Paris

Sur la valo des Big Tech US. Elles sont considérées comme un actif sans risque au même titre que les Etats => elles ont de l'argent pas cher pour : investir les unes dans les autres + racheter leurs actions => faible rendement => ça va se voir => la valo va baisser. https://lnkd.in/eSw8HK7t

Selon La Tribune (mars 2024), le gouvernement devrait trouver 50 milliards d'euros pour "redresser les finances de la France, éviter un risque de crise et ramener le déficit public sous les 3 % du PIB d'ici 2027." En parallèle, OpenAI est en train de lever 6,5 milliards de dollars, alors que ses dépenses atteignent 7 milliards pour un chiffre d'affaires de 3 milliards. Cette recherche de financement est aussi motivée par ses nouveaux projets ambitieux. Comme le rapporte un article du The New York Times (Cade Metz, Tripp Mickle), OpenAI cherche à financer la construction de ses futurs centres de données, chacun estimé à 100 milliards de dollars — soit environ 20 fois le coût des data centers les plus puissants actuels. Ces centres contiendraient deux millions de puces d'#IA et consommeraient 5 gigawatts d'électricité ! Qui va trouver le plus de fonds ? https://lnkd.in/eDS4HQWH

Inflexion Points Technology Partners (IPTP), leader français de la vente de sociétés à forte composante #IA, comprend les dynamiques de ce marché et a démontré sa capacité à vendre la valeur stratégique des tech développées ainsi que la qualité des équipes. Les valorisations dans le secteur de l'IA peuvent être difficiles en raison du stade naissant de nombreuses technologies et du chemin incertain vers la commercialisation. Notre expertise consiste à comprendre la valeur intrinsèque des technologies #deeptech et à structurer des transactions qui reflètent le potentiel à long terme de ces assets. https://lnkd.in/eBsreKZU

357 milliards de dollars. C'est le montant que les géants de la tech - Microsoft, Amazon, Meta, Alphabet/Google, ... - ont investi au cours de l'année écoulée en dépenses de R&D, principalement dans le domaine de l'IA générative. Ce montant paraît vertigineux et il m'inspire une comparaison. Voici quelques problèmes planétaires majeures que l'on pourrait résoudre avec un tel investissement : 🌐 Lutte contre la pauvreté : améliorer les infrastructures, l'éducation, et les services de santé dans les pays en développement. Cela pourrait aider à sortir des millions de personnes de la pauvreté extrême. 🌐 Changement climatique : reforestation, investissements dans les énergies renouvelables et les technologies de réduction des émissions de carbone afin d'accélérer la transition vers une économie plus verte et durable. 🌐 Accès à l'eau potable : financer des projets d'infrastructure afin de fournir de l'eau potable à des millions de personnes dans des régions où l'accès est limité, réduisant ainsi les maladies et améliorant la qualité de vie. 🌐 Éducation globale : Financer des programmes éducatifs, des constructions d'écoles, et des formations d'enseignants afin d'améliorer l'accès à l'éducation pour des millions d'enfants, particulièrement dans les zones rurales et pauvres. 🌐 Santé mondiale : Lutter contre les maladies infectieuses, améliorer les systèmes de santé publique, et fournir des vaccins et des traitements médicaux dans les régions les plus défavorisées. 🌐 Sécurité alimentaire : Investir dans l'agriculture durable, les technologies agricoles et les programmes de nutrition pourrait aider à réduire la faim et la malnutrition dans le monde entier. 🌐 Gestion des déchets et pollution : Financer des projets de gestion des déchets et de réduction de la pollution afin d'améliorer la qualité de l'air et de l'eau, et réduire l'impact des déchets plastiques et autres polluants. La bonne nouvelle est que nous disposons largement des moyens financiers permettant de résoudre nos problèmes planétaires. La mauvaise nouvelle est que nous n'avons pas, en tant qu'espèce, la volonté de les résoudre. Un jour, peut-être, ...

Le classement des 20 premières capitalisations mondiales au début de 2025 illustre la prédominance écrasante des entreprises américaines sur la scène financière internationale. Alors que la valorisation totale de ces géants a progressé de 36 % en 2024, surpassant la hausse de 27 % de l’indice S&P Global 100, l’Europe ne compte plus aucun représentant parmi les 20 plus grandes entreprises du monde. LVMH, longtemps leader européen, et Novo Nordisk, champion danois de la pharma, ont quitté le classement. Apple reste en tête avec une capitalisation de 3 785 milliards de dollars, suivie par NVIDIA (3 288 milliards, +4 places) et Microsoft (3 133 milliards, -1 place). Alphabet et Amazon complètent le top 5, chacun affichant une valorisation supérieure à 2 300 milliards. Le départ de Saudi Aramco du top 5 marque une symbolique domination américaine, désormais totale à ce niveau. Les dynamiques boursières ont été particulièrement favorables aux secteurs de la tech et de la fintech. Broadcom réalise la meilleure progression, grimpant à la 9ᵉ position avec une capitalisation de 1 086 milliards, soit une montée de 7 places en un an, portée par une forte demande en semi-conducteurs. Visa et Mastercard réintègrent également le classement, confirmant le retour en grâce des valeurs fintech. Le secteur pharmaceutique n’est pas en reste avec Eli Lilly, qui occupe une position solide grâce à une capitalisation de 730 milliards, en hausse de 26 % sur l’année. Dans le domaine de la grande distribution, Walmart gagne cinq places, atteignant 726 milliards, tandis qu’ExxonMobil demeure la seule représentante du secteur pétrolier parmi les leaders mondiaux. Sur le plan financier, Berkshire Hathaway se place en 11ᵉ position, proche du seuil des 1 000 milliards de dollars de capitalisation. J.P. Morgan reste la seule banque dans le top 20, à la 14ᵉ place, tandis que UnitedHealth, malgré une perte de 6 places, conserve une valorisation supérieure à 450 milliards. L’année 2025 marque également le retour d’une entreprise chinoise, Tencent, à la 16ᵉ place, avec une capitalisation de 494 milliards. Les valorisations reflètent en grande partie l’appétit des investisseurs pour les valeurs de croissance, particulièrement dans un contexte de baisse des taux d’intérêt amorcée en fin d’année 2024 par la Réserve fédérale américaine. Les données financières montrent que près de 90 % des entreprises du top 20 sont américaines, une concentration qui s’explique par la profondeur et la liquidité des marchés financiers aux États-Unis, ainsi que par la capacité de leurs entreprises à capter des flux massifs de capitaux. Les géants de la tech, tels qu’Apple, Microsoft et NVIDIA, ont été les principaux bénéficiaires de cette abondance de capitaux, attirant les investisseurs grâce à des perspectives de croissance soutenues par l’innovation dans l’intelligence artificielle, les semi-conducteurs et les services numériques. Cette situation interroge sur la soutenabilité de telles valorisations.

État des lieux de la French Tech en 2024 et perspectives 2025 ! 🇫🇷 L’étude “The State of the French Tech Ecosystem 2024” d’Alexandre Dewez de 20VC qui parait ce jour, complète parfaitement l'étude d'Avolta sortie en début de semaine : 📊 7,1 milliards d’euros levés (+3% YoY), malgré une baisse du nombre de tours (-18%). 🤖 L’IA, moteur de croissance : 27% des fonds levés, +82% YoY. Paris s’impose comme un hub mondial de l’IA avec des acteurs clés, des écoles d’ingénieurs d’excellence et un écosystème très favorable. 🦄 45 licornes françaises, dont 3 nouvelles en 2024 (Pennylane, Pigment, Poolside). Mais seules 5 sont prêtes pour une IPO. 💸 Exits majeurs : Preligens (Safran), BeReal (Voodoo), Lumapps (Bridgepoint). ⚡ Secteurs porteurs en 2025 : toujours l’IA, le climat, les fintech et les logiciels verticaux, avec une forte présence des investisseurs internationaux. 💡 Défis pour 2025 : renforcer la compétitivité sur les phases seed et growth, tout en confirmant des croissances rentables. --> Un chapitre passionnant de l'étude est consacrée à la Startup mafia française... L’étude sera présenté à station F ce soir. Accès à l’étude complète 👉 https://lnkd.in/euYsvfMV Merci @Alexandre pour cette analyse et intelligente compilation de datas. #FrenchTech #Innovation #IA #Startups #EcosystèmeTech #VCs 

Dans les nombreuses discussions que nous avons avec des leaders informatiques, un thème récurrent émerge : bien que beaucoup reconnaissent les promesses de l'IA, ils se sentent souvent mal préparés pour en exploiter pleinement le potentiel. Ils rencontrent fréquemment des difficultés à déployer le matériel haute performance nécessaire pour les workloads de l'IA sur leur infrastructure. Ils peuvent aussi avoir besoin d'aide pour s'assurer qu'ils exploitent toutes les capacités de leur matériel. Les organisations du monde entier sont confrontées à ces défis, mais des facteurs spécifiques à l'Europe pourraient rendre la mise en œuvre de l'IA particulièrement complexe. Ce blog explore certains de ces facteurs et les étapes que les entreprises européennes ou les multinationales, prévoyant de s'étendre sur le continent, peuvent prendre pour les aborder avec succès. Il fournit des informations précieuses et des stratégies concrètes pour aborder des aspects critiques, tels que la navigation dans les réglementations sur l'IA et la surmonter les contraintes énergétiques. #IA #InfrastructureDigitale #StratégieIA #Europe #ESG

Arthur Mensch, PDG et cofondateur de Mistral, est au cœur des espoirs européens pour rivaliser avec les géants américains et chinois dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA). À 31 ans, cet ancien ingénieur de Google's DeepMind et ses cofondateurs, Timothee Lacroix et Guillaume Lample, également issus de grandes entreprises technologiques, aspirent à établir un champion européen dans ce secteur. Leur entreprise, Mistral, a émergé rapidement grâce à sa technologie d'IA générative qui permet aux entreprises de lancer des chatbots et d'autres produits pilotés par l'IA, offrant ainsi une alternative flexible et économique par rapport à OpenAI et Google. Cédric O, ancien secrétaire d’Etat du Numérique, est conseiller et actionnaire de la start-up. Ce soutien reflète l'importance croissante de l'IA, qui est devenue un enjeu stratégique pour les pays cherchant à renforcer leurs capacités domestiques. L'Europe, qui a pris du retard dans la révolution numérique, voit en Mistral une opportunité de leadership, notamment dans le développement de modèles d'IA respectueux des valeurs et de la culture européenne. Mistral, dont la technologie est déjà utilisée par des entreprises telles que Renault et BNP Paribas, prône un logiciel d'IA open source, offrant un accès au code pour stimuler la croissance économique et la sécurité des systèmes. Malgré les défis technologiques et les coûts élevés de calcul, Mistral a levé environ 500 millions d'euros et génère "plusieurs millions" en revenus récurrents. Des entreprises comme Microsoft, Salesforce et le fabricant de puces Nvidia ont investi dans la start-up, témoignant de son potentiel. Arthur Mensch, passionné d'informatique depuis son enfance et diplômé de l'École Polytechnique et de l'École Normale Supérieure, s'est lancé dans l'aventure entrepreneuriale après une carrière académique et industrielle. Il rejette la fascination de la Silicon Valley pour l'intelligence générale artificielle (AGI) et se concentre sur les enjeux culturels posés par les géants américains de l'IA. Mistral, qui a récemment publié en ligne la dernière version de son modèle, incarne l'ambition européenne de ne pas subir une dépendance stratégique dans le domaine de l'IA. Avec l'appui du gouvernement français, la société poursuit son développement rapide, tout en plaidant pour une réglementation allégée afin de ne pas entraver l'innovation dans l'UE.

🌟 Investir dans l’avenir : La Maison Blanche appelle à augmenter les dépenses en R&D pour l’IA Récemment, Arati Prabhakar, la directrice de l’Office of Science and Technology Policy de la Maison Blanche, a appelé à une augmentation significative des dépenses fédérales en recherche et développement dans le domaine de l’intelligence artificielle aux États-Unis. Actuellement, seulement 3 à 4 milliards de dollars sont alloués à la R&D en IA, un chiffre jugé insuffisant face aux défis technologiques et de sécurité nationale. En Europe, les investissements en IA ont également augmenté, mais restent en deçà des objectifs fixés. En 2020, l’UE a investi entre 12,7 et 16 milliards d’euros en IA, avec une part importante dédiée à la R&D. Pour rester compétitive face aux États-Unis et à la Chine, l’Europe doit intensifier ses efforts et atteindre son objectif d’investir 20 milliards d’euros par an d’ici 2030. Mais est-ce suffisant ? L’IA Act européen pourrait-il être un obstacle au développement des entreprises européennes ? Il est crucial que l’Europe reconnaisse l’importance de l’IA pour l’avenir et augmente les investissements pour stimuler l’innovation, renforcer la sécurité et maintenir le leadership technologique. 🌐 Qu’en pensez-vous ? Comment voyez-vous l’avenir des investissements en R&D pour l’IA en Europe francophone ? Partagez vos réflexions ! Lien vers l’article : https://lnkd.in/eFqCx2sC #ia #r&d #innovation #technologie #europe #avenir #investissement #recherche

1,7 milliard, certes en $ d'un côté et en € de l'autre. Ce seul chiffre, sous mes yeux ce matin dans deux articles différents, permet de prendre la mesure des montants investis par les grands acteurs des technologies et de l'éclatement des capitaux en Europe (et France) pour soutenir l'effort d'innovation et le développement de nos entreprises du numérique (et de leur pérennité) : - Microsoft to invest $1.7 billion into AI infrastructure in Indonesia ➜ https://lnkd.in/dpwVsiCe - Atos is now seeking €1.7 billion in cash to avoid insolvency ➜ https://lnkd.in/dqGUjmcm Le seul dernier chiffre que je viens de voir passer cette semaine à la hauteur des investissements dans ce domaine, c'est celui de Data4 Group qui va investir environ 1 milliard d'euros en Italie pour soutenir le développement d'infrastructures de data centres de nouvelle génération, intégrant dans l'approche la dimension de l'impact environnemental ➜ https://lnkd.in/du_3nEBv. Aujourd'hui, le morcellement et l'éclatement des investissements en Europe dans le numérique, dans un numérique innovant, plus responsable et durable, portent résolument préjudices. Et pourtant... Autre tendance à suivre : la majorité des derniers grands investissements des acteurs de la tech se font en Asie. Il y a une bascule progressive de leurs capitaux vers d'autres zones géographiques. Possible effet décalé dans le temps ?