Post de Burkina mining services

Ce qu’il y a de stupéfiant, dans nos sociétés occidentales, c’est cette incapacité à dresser des barrières morales à la fuite en avant d’un système économique en faillite, cette absence totale d’imagination et d’ambition devant les grands défis, cette abdication du politique au profit d’une petite et glaçante gestion déshumanisée. Le culte de la concurrence nous a fait perdre nos usines, il est en train d’abattre notre agriculture. Surtout, il a anesthésié notre capacité à nous émouvoir et à nous prendre en main. #agriculture #industrie #performance #suicides https://lnkd.in/e46JfgdV

Pour un retour au bon sens paysan, Remettre l'Humain au coeur de nos pratiques et de nos visions, dans ce que j'entends sur les réseaux, on ne parle pas de la formation des "exploitants agricoles" qui sont toujours pour la plupart (même si ça a un peu bougé ces dernières années, mais si peu) autour de toujours produire, toujours plus!! Promouvoir une autre agriculture est un enjeu essentiel du changement de paradigme, pour le respect du Vivant! https://lnkd.in/e5BAEHPP

L'UE se construit contre la volonté des peuples. Construisons une autre Europe. L'accord de libre échange avec la Canada, le CETA remis en cause, rejeté par le Sénat. Protégeons nos agriculteurs contre toute concurrence à fortiori déloyale. Pas d'interdictions sans solutions. Une écologie scientifique, singulière et originale est à construire. Nous avons besoin de grands travaux nécessaires, du mixte énergétique renouvelable, du fret ferroviaire. Pour l'Europe de la Paix. Aidons les Ukrainiens à résister à Poutine, ouvrons en même temps une issue diplomatique. Notre industrie d'armement est fragilisée. Non à la fraude démocratique de 2005. Non aux délocalisations en Europe, Non au pacte Budgétaire européen, Non à l'austérité qui détruit les services publics... Pour une Gauche Unie et populaire.

Ce chef du terrorisme musulman hezbollah est tué dans une attaque militaire, l'Iran affirme 5 jours de deuil (sauf erreur de ma part) Le chef du terrorisme musulman hamas a été tué dans une attaque militaire, l'Iran affirme 3 jours de deuil (sauf erreur de ma part). D'ailleurs il semble que celui-ci ait été enterré au quatar, pas parmi son peuple. Et l'Iran niera son implication dans le terrorisme musulman ??? Israël défend son peuple et son territoire contre des terroristes guérilléros musulmans fanatiques et incultes. C'est son devoir. Quel pays au monde accepterait de subir un génocide (pour rappel quelques 1100 morts) et des attaques quotidiennes au nord et au sud (des milliers de munitions). Et le Président Français hésite dans ses déclarations, serait-ce pour ne pas contrarier, ou plutôt pour plaire, à une partie de la population française ? On a bien vu quelle influence il avait eu lors de sa visite au Liban à la suite de l'explosion sur le port... Les mafieux n'ont pas changé, et le hesbollah est toujours là. Il ferait mieux de protéger son peuple de la menace islamiste en France. Et Mélenchon, comme d'habitude, va chercher ses voix électorales chez les musulmans de France. Il n'a pas compris que l'ayatollah Khomeini, qui d'ailleurs a été hébergé en France, a pris le pouvoir en Iran en bernant la gauche puis en l'exterminant. J'espère au moins pour lui qu'il est bien soudoyé par les pays qui alimentent le terrorisme. L'ONU s'inquiète d'un embrasement dans le moyen orient, mais que l'ONU commence par supprimer le terrorisme et les pays commanditaires qui sont connus. Ou alors, on pourrait penser qu'il y a des accointances.... Désespérant pour les générations futures

Dans la continuité de mon précédent post, retrouvez l expérience de ce peuple mexicain les Tarahumaras qui parcourent des longues distances pieds nus ou presque. https://lnkd.in/efjTJ7Z4

Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Laure Ducos « 1/4 des enfants ne savent pas que les frites viennent des papayes » Laure Ducos est experte sur la stratégie politique de l'environnement et de l'alimentation, facilitatrice, médiatrice et formatrice. Autrice: Les frites viennent des patates, dans les coulisses de notre alimentation et de l'agroindustrie. Elle a été cheffe de projet chez Greenpeace France de 2016 à 2022, où elle a coordonné une campagne de réduction des pesticides avant de se spécialiser sur les questions d’élevage et de consommation de viande. Avant cela, Laure Ducos a travaillé chez BLOOM pour dénoncer les lobbies de la pêche industrielle. Elle nous parle de son livre : Depuis la Révolution industrielle, nos habitudes dans le domaine de l’alimentation ont été bouleversées. Dans nos assiettes, nous trouvons des aliments recombinés, des perturbateurs endocriniens et des métaux lourds. Dans les champs, les fermes paysannes ont laissé la place à de gigantesques exploitations, à la monoculture et à l’élevage intensif. En mer, des bateaux de plus en plus puissants s’acharnent sur des populations de poissons qui sont, pour certaines, au bord de l’extinction. Pour satisfaire notre appétit, nous déforestons, réchauffons l’atmosphère, râclons le fond des océans, épuisons les sols... Laure Ducos répond à des questions cruciales : peut-on faire confiance au bio ? Pourquoi réduire la consommation de viande ? Quel est l’impact des produits ultra-transformés sur nos corps ? Manger sain, est-il l’apanage des plus riches ? Elle nous conduit dans les secrets de l’agro-industrie et de la pêche industrielle : comment la FNSEA et l’Etat soutiennent-ils les modèles les plus intensifs ? Comment les coopératives sont-elles devenues d’énormes entreprises ? Quel impact tout cela a-t-il sur les agriculteurs, les pêcheurs, le climat, l’eau et les terres ? Comprendre les rapports de domination constitue la première étape nécessaire pour s’engager dans une métamorphose profonde de ce modèle agro-alimentaire. Enfin, Laure Ducos pose les bases de l’action collective et politique : qu’est-ce qui fonctionne ? Comment reprendre le pouvoir sur nos assiettes ? Prendre soin de sa santé alimentaire, c’est prendre soin de planète. Son livre d’alerte et d’espoir.

Un texte d'une page

Loin des clichés parfois colportés complaisamment par la presse sur la #révolution des #œillets au #Portugal, dont nous célébrons aujourd'hui le cinquantième anniversaire, j'aimerais rappeler, dans cette commémoration, quelques éléments qui viennent tempérer cette mythologie d'une "révolution sans violence". Révolution sans violence, vraiment? Non. Pas du tout. Processus révolutionnaire long (ce processus se met en réalité progressivement en marche peu après la création de "l'Estado Novo"), et au contraire, largement émaillé de violences. Violences de l'Etat portugais dirigé par Gomes da Costa, Salazar et la junte soutenu longtemps par l'Eglise, d'abord et avant tout. Violences coloniales et politiques. Le Portugal est un empire colonial majeur: Mozambique, Angola, Sao-Tomé, Cap Vert...La répression des mouvements indépendantistes fera (au bas mot) des dizaines de milliers de morts partout chez les peuples colonisés, souvent avec une grande brutalité, de la torture, de la barbarie. La répression des oppositions politiques (interdites par la Constitution) aussi, notamment des mouvements de jeunesse de gauche. Le Portugal créera des camps de concentration dès 1934 (Cunene, Angola) 1936 (Tarrafal, Cap-Vert) où s'entassent rapidement les prisonniers politiques locaux ou exilés. Les prisons politiques (comme Caxias) seront plus souvent remplies qu'à leur tour. La lutte décoloniale et indépendantiste sera en réalité au cœur de la "Révolution des œillets". Violences réactionnelles à la dictature également, des mouvements révolutionnaires. A mon sens, sans comparaison avec celles exercées par l’État. La violence économique intrinsèque à ce double système d'oppression, aussi. Joug de la pauvreté sur le peuple portugais souvent contraint à l'exil dans des conditions misérables simplement pour ne pas crever de faim, extorsion de fonds contre les peuples colonisés, dépouillés de la tête au pied par la puissance coloniale. De tout cela, l'auteur et interprète de Grandola Vila Morena, "Zeca", José Alfonso, avait une conscience aiguë. Bien loin des images un peu "Bisounours" qu'on nous renvoie aujourd'hui. Je salue bien-sûr toutes celles et ceux qui ont payé de leur vie, de leur santé, de leur liberté, partout au sein de "l'empire portugais" leurs luttes contre cette oppression, cette exploitation. Je salue cette révolution - je précise: elle a débuté bien avant le 25 avril 1974. Je salue également la mémoire de mon beau-père, José Casimir Martins Ribeiro, décédé l'an dernier et qui a énormément participé (et payé, y compris de sa liberté), dès son plus jeune âge, avec tout son cœur, sa détermination et son humanité, à cette révolution qui était tellement nécessaire. Nous nous quittons évidemment avec Zeca et ses camarades. Vive la liberté. A bas l'oppression. A bas le colonialisme.

Voici les sujets principaux qui ont ete discutes entre les 2 Presidents. #Mauritanie https://lnkd.in/dfixNrbV

La vérité…