Post de Business France Algérie

Intégration ne passera jamais par une approche de désintégration. par Mouajib Abdelilah L'annonce aurait été ambitieuse et prometteuse si elle était crédible d'abord à travers un espace géographique et économique offrant tous les atouts de réussite. Or la liste des zones franches annoncées à été établie selon des objectifs géopolitiques visant clairement à contenir et évincer les ambitions régionales et continentales du Maroc. Des projets de zones franches qui viennent rejoindre d'autres projets lancés dans le seul objectif de rivaliser avec le Maroc comme la route transsaharienne et le gazoduc Nigéria-Algérie. Sur le plan géographique on voit mal l'efficience d'une zone franche avec le Niger ou avec la Libye puisque la pertinence même d'une zone franche est sa localisation dans une région frontalière . D'autre part quand on parle d'intégration régionale on n'est pas sensé exclure un pays voisin qui est une puissance économique et commerciale régionale et continentale. D'autant plus que le Maroc reste le deuxième plus grand investisseur africain en Afrique et un pays interface incontournable qui possède une double façade maritime méditerranéenne et atlantique. Sans oublier que le Maroc est considéré comme un pays pionnier dans la création des zones économiques spéciales qui sont des pôles d'attractions d'activités industrielles, d'investissements directs étrangers et catalyseurs du commerce intrarégional. Pour booster les échanges intra-afrcains qui stagnent à 15% de l'ensemble des exportations africaines, il faut donc répondre à ce besoin d'industrialisation et de diversification des productions africaines à travers la création de plus de zones économiques spéciales et de zones franches. Tout cela pour dire que la réussite de la ZLECAF ne pourrait se concrétiser par des créations de zones de libre échange sans diversifier les productions nationales qui doivent aller des minerais, aux produits agricoles et de la mer, à l'agro-alimentaire et aux productions industrielles. Et seules des zones économiques spéciales en nombre et aux activités diversifiées restent garantes d'une croissance des échanges intra-africains. Créer davantage de zones de libre échange est bien mais encore faut disposer de part et d'autre de ces ZLE des produits diversifiés pour garantir un seuil des échanges conséquents. Le passage par des zones économiques spéciales est un choix africain qui a été confirmé lors de plusieurs conventions annuelles de l'association africaines des zones économiques. Il existe à ce jour 203 ZES, dans 47 des 54pays que compte le continent, qui ont créé 60 millions d'emplois dans les secteurs de l'agro-alimentaire, de l'industrie et des services. Et dans le cas présent, mis à part les minerais, les énergies fossiles et des quantités limitées des productions agricoles, je ne vois pas avec quoi d'autres ces zones franches envisagées pourraient tourner.

Les dernières nouvelles sur l'économie marocaine !

🆕 Découvrez le nouveau policy paper de l’IMIS traitant du potentiel économique des relations entre le Royaume-Uni 🇬🇧 et le Royaume du Maroc 🇲🇦 👇🏼

Nouvelle ère pour la coopération économique et commerciale sino-française 🇨🇳🇫🇷 🎉 À l'occasion du 60e anniversaire des #relations diplomatiques entre la Chine et la France, le #Forum de Coopération Économique et Commerciale Chine-France et Conférence de promotion de la deuxième édition de la CISCE a été inauguré ! ✅ Ren Hongbin, président du CCPIT, a souligné l'immense #potentiel de la #coopération sino-française dans les chaînes d'approvisionnement, en exhortant les entreprises à utiliser leurs avantages respectifs pour des #bénéfices mutuels. 📈 ✅ Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre français, a insisté sur l'importance de renforcer la #compréhension et la #confiance mutuelles pour contribuer davantage au développement économique #mondial. 💡 ✅ Lin Shunjie, président du CIEC, a présenté en détail la prochaine Exposition de la chaîne d'approvisionnement qui se tiendra à #Pékin du 26 au 30 novembre, et a signé plusieurs accords de coopération avec des #institutions et #entreprises françaises. 📆 📌 Au cours du Forum, de nombreuses idées de #coopération ont été mises en lumière, dans une #perspective de développement des relations sino-françaises sur les plans économiques et commerciaux. 💪 Ce rassemblement, sous le signe de l’amélioration continue, se pose comme un #jalon crucial pour les entreprises chinoises et françaises collaborant dans le but de créer un #avenir commun. 🌟 Dans une conception d’innovation et coopération « gagnant-gagnant » pour la #promotion du potentiel de développement économico-commercial entre la France et la Chine, c’est un avenir prometteur qui se dessine pour les deux pays. #foruminternational #CISCE #CCPIT #CIEC #coopérationsinofrançaise #60ansderelationsdiplomatiques #evenement #francechine #maisondelamutualité #agencecommunication GL events Paris Venues

Son Excellence Monsieur Abdoulaye DIOP, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale et le Colonel Abdoulaye MAIGA, Ministre d’État, Ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du Gouvernement, ont présidé la première réunion du Comité national de pilotage du retrait du Mali de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), à la suite de la décision concertée des pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES). Au regard de l’importance toute particulière que nos plus hautes Autorités accordent à la conduite de ce processus, cette rencontre inaugurale a enregistré la participation d’une vingtaine de membres du Gouvernement, et avait pour objet d’orienter, d’harmoniser et d’examiner les actions liées à la gestion des impacts du retrait du Mali de la CEDEAO, tout en préservant les intérêts de notre pays. Dans cette perspective, les Ministres ont revisité plusieurs secteurs prioritaires de développement de notre pays en examinant les défis, enjeux et opportunités de ce retrait, dans le cadre d’une grille d’analyse qui met les populations au cœur de leurs préoccupations. Lors de cette rencontre, les échanges ont essentiellement porté sur le fonctionnement des mécanismes de coordination aux niveaux ministériel et technique pour assurer un retrait apaisé, la mise en œuvre d’un chronogramme de travail assorti d’activités prioritaires ainsi que la coordination des actions avec les pays membres de l’AES en vue des négociations concertées et harmonisées. Pour les Ministres, ce retrait constitue également pour notre pays une opportunité qui ouvre de nouvelles perspectives de développement, d’affirmation de notre souveraineté, de réalisation des attentes de nos populations et de développement des relations bilatérales et multilatérales avec les pays frères et Organisations partenaires. Bureau de l’Information et de la Presse/MAECI

Actualité CCE France

L'importance de l'exportation pour l'avenir de l'Algérie 🇩🇿 Lors de la deuxième édition du prix du meilleur exportateur, en présence du Président de la République, j'ai constaté l'impact positif des efforts des acteurs économiques algériens pour lancer et renforcer nos exportations 📈 Mes ambitions pour 2025 incluent des objectifs prioritaires pour l'exportations 🚀 Mon domaine des ascenseurs possède un potentiel énorme pouvant générer des millions d'euros 💶 En exploitant notre position géographique, nous pouvons exporter vers l'Afrique subsaharienne et l'Europe, tout en bénéficiant de coûts de production réduits 🌍 L'exportation est cruciale pour diversifier nos sources de revenus et réduire notre dépendance aux hydrocarbures ⚡ Cela stimulera la croissance économique, créera des emplois et améliorera notre balance commerciale 🏗️ Je m'engage à maximiser mes efforts pour établir rapidement des coopérations d'exportation et espère participer aux prochaines cérémonies du meilleur exportateur 💪🏅 Exporter est une contribution patriotique de haut niveau ! Ensemble, nous pouvons construire un avenir prospère pour l'Algérie en misant sur nos talents et nos ressources ! 🤝

Jules Alingete sur la renégociation du contrat Chinois Le mémorandum d'entente entre Kinshasa et le groupement d'entreprises Chinoises a été signé le 19 janvier 2024 et ajouté comme avenant à l'accord du 22 Avril 2008. L'IGF-CS Jules Alingete a donné ce vendredi les grandes lignes du nouvel accord qu'il juge bon, imaginable et extraordinaire. Parmi les nouveautés : 7 milliards $ pour la construction des routes nationales en raison de 324 millions $ par an et 624 millions $ pour l'année 2024, 1,2℅ de royalties sur le chiffre annuel de Sicomines pour la partie Congolaise, Cogestion de la centrale de Busanga avec 40% des parts pour la Rdc, La Commercialisation par la Gecamines de 32% de la production de la Sicomines. Le Professeur Florimond Muteba de l'ODEP quant à lui salue l’attitude de l’IGF qui fait la restitution des renégociations de la convention du 22 avril 2008 du contrat chinois qui ont conduit à la signature d’un mémorandum d’entente entre la RDC et les groupements des entreprises Chinoises. C'est un exercice de recevabilité et transparence dit-il.

CONSEIL DES MINISTRES DU 9 SEPTEMBRE 2024: JULIEN PALUKU KAHONGYA ET JEAN-PIERRE BEMBA GOMBO DÉSIGNES POUR PILOTER LA TASK FORCE POUR LA MOBILISATION DES FINANCEMENTS CHINOIS CHIFFRES A 50 MILLIARDS DE DOLLARS AMÉRICAINS POUR LES 3 PROCHAINES ANNEES Le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya pour le rôle majeur qu' il a joué dans la consolidation de diplomatie commerciale et économique lors du dernier Forum de coopération Chine-Afrique à Beijing a été chargé hier lundi au Conseil des Ministres avec son collègue du Transport, Voies de Communication et Désenclavement, Jean-Pierre Bemba Gombo par le Président de République République, Félix Tshisekedi de piloter la Task Force pour mobiliser les financements chinois chiffrés à 50 milliards de dollars américains annoncés par le Président chinois, Xi Jinping pour les 3 prochaines années. Cette Task Force qui est sous la supervision directe du Président de la République a pour mission de définir des stratégies et de développer des projets concrets visant à maximiser les avantages de la coopération avec la Chine , et ce, dans les secteurs prioritaires dont le Commerce Extérieur, l' Agriculture, l' Industrie, les Infrastructures, le Transport, l'Energie mais aussi les projet liés à la transition énergétique et au développement durable . Pour permettre à la République Démocratique du Congo de capter une grande partie de ces financements chinois en faveur des pays africains, le Chef de l'Etat a invité le Ministre du Commerce Extérieur et son collègue du Transport, Voies de Communication et Désenclavement à initier immédiatement les travaux de cette Task Force en associant étroitement son Cabinet, et cela, avec l'implication de tous les acteurs concernés tout en insistant biensure sur l'accélération de la mise en place des stratégies à la taille de ce challenge. Pour le Ministre du Commerce Extérieur, Julien Paluku Kahongya l'heure est désormais à la conjugaison des efforts pour que cette fois-ci la RDC qui occupe une place stratégique au niveau du continent africain avec l'initiative " la ceinture et la route" de capter une grande partie de ces 50 milliards de dollars américains destinés à soutenir le Commerce, l' Agriculture, l' Industrie, les Infrastructures et les énergies vertes en Afrique dans les 3 prochaines années.

#Afrique #France #Réseau On vous en dit plus sur ce qu'il s'est dit lors d'une session de tables rondes entre décideurs africains et français chez #Bpifrance au lendemain de #BIG2024