Post de Caisse d'Epargne Languedoc-Roussillon

Les jeux #paralympiques viennent de s'achever et il peut être utile de dresser un bilan des médailles obtenues. La #Chine caracole en tête, ce qui est normal vu la taille de ce pays et son engagement depuis plusieurs décennies dans le sport sous toutes ses composantes, sans doute à des fins de soft power. Plus intéressant est la seconde place de la #GrandeBretagne, qui contraste avec sa 7ème place aux jeux olympiques. La troisième place des #EtatsUnis traduit peut être la moindre implication de ce pays sur ce segment, qui tranche avec sa première place aux JO. Il serait intéressant de disposer d'informations sur la couverture médiatique de ces jeux outre-atlantique. Les #PaysBas en 4ème place sont également mieux classés qu'aux jeux "ordinaires" (6ème). L'écart est encore plus marqué pour le #Brésil qui conquiert une 5ème place, assez surprenante, nettement au-dessus de son 20ème rang aux JO. L'#Italie 6ème est également mieux classée qu'aux aux JO (9ème). Il faut féliciter la performance de l'#Ukraine qui, en dépit de la guerre, se glisse à la 7ème place, nettement plus qu'aux JO (22ème). La 8ème place de la #France est honorable et encourageante pour l'avenir. Il faut toutefois poursuivre l'effort engagé, tant sur la visibilité de ces sports en France, que sur l'#accessibilité des transports en commun. J'ai été souvent agacé par certains satisfecits dans les commentaires, alors que nos transports en commun demeurent pour la plupart inaccessibles aux personnes à mobilité réduite (personnes en situation de handicap, mais aussi personnes âgée ou avec des enfants etc.). Les décideurs politiques (région, Ville de Paris, Etat) auraient beaucoup à apprendre de ce qui se fait dans les autres pays.

Le collectif : une marque française au sommet des jeux olympiques de Paris 2024 ! À chaque édition des jeux olympiques, c’est la même grande et belle histoire. Pour Paris 2024, rebelote : les handballeuses, les basketteurs et basketteuses, les footballeurs et les volleyeurs ont atteint leur finale respective pour viser la médaille d’or le dernier jour des JO ! 5 équipes de France en finale !! Et même si les handballeurs ont quitté « prématurément » la compétition, ils ont créé ces dernières décennies une dynastie inégalée. Différentes équipes, différentes histoires mais au final les mêmes vertus collectives : un élan de cœur retrouvé, de l’énergie sans compter, de la solidarité, du courage pour se dire les choses qui fâchent en face quand il le faut, du combat acharné qui les fait nous parler de morts de faim… et louer cet esprit de corps et de cohésion qui force les individualismes et ego personnels. Les approximations, erreurs, ratés et passages à vide sont laissés derrière pour que seule l’action suivante compte. Le système d’après. Encore et encore. Quelle que soit la joueuse, le joueur. Pas de recherche de fautif ou de messie. Ni de dissension entre sportifs et management. Un seul concept prime et mène à l’étape d’après, qu’elle soit victoire d’or ou d’argent : le groupe. L’essence du collectif. Où chacun.e se met au service du tout. Du plus grand que soi. Le public ne s’y est pas trompé et répondait présent de sa folie et de son soutien inconditionnel. Au feu des terrains il a répondu avec le feu des chants et des chœurs. Poooooo po-po-po-po-poooo Poooooo 🔥😉 Bravo aux équipes de france (y compris le judo, escrime, natation, ping-pong, tir à l’arc, équitation…) qui montrent que les plus belles aventures sont non seulement humaines, mais collectives. Poursuivons cette dynamique des jeux olympiques et cette force du collectif au-delà du monde du sport ! #intelligencecollective #mindset #mental #management #jeuxolympiques #paris2024 #equipedefrance Sportricolore Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF)

Imaginez un instant. Nous sommes le 10 août 2024, au cœur de Paris, dans un Bercy chauffé à blanc. Sur le parquet, deux équipes légendaires s’apprêtent à en découdre pour la médaille d’or olympique de basket-ball : la France et les États-Unis. Un duel au sommet, une finale rêvée par tous les amoureux de la balle orange. L’excitation est à son comble, l’atmosphère électrique. Car au-delà du métal précieux, c’est une place dans l’histoire qui se joue ce soir. France-USA : bien plus qu’une finale, une rivalité épique Lorsqu’on parle de basket, impossible de ne pas évoquer la rivalité ancestrale entre la France et les États-Unis. Deux nations phares de ce sport, deux école de jeu différentes mais tout aussi redoutables. Chacune de leurs confrontations déchaîne les passions et offre un spectacle grandiose. Et quand il s’agit d’une finale olympique, l’enjeu prend une dimension supplémentaire. Cette rivalité, elle s’est encore intensifiée ces dernières années avec les exploits des Bleus face aux stars américaines. Souvenez-vous, en 2019, la victoire historique de la France en quart de finale de la Coupe du monde. Puis ce match fou aux JO de Tokyo en 2021, où les hommes de Vincent Collet avaient fait trembler Team USA en poules avant de s’incliner d’un rien en finale. Des souvenirs impérissables qui promettent une revanche épique à Paris. Le parcours héroïque des Bleus Pour atteindre cette finale tant espérée, les Bleus ont dû se surpasser. Un premier tour compliqué, des victoires arrachées au mental face au Brésil et au Japon, puis cette défaite cinglante contre l’Allemagne. Mais les hommes de Vincent Collet n’ont rien lâché. Portés par un public bouillant à Bercy, ils ont renversé le Canada en quart avant de prendre leur revanche sur les Allemands en demie. Un parcours digne des plus grandes épopées. Ce n’est que de l’amour et du respect. – Joel Embiid, à propos des sifflets du public français Team USA, l’armada des stars En face, les États-Unis alignent comme toujours une équipe de rêve. Emmenés par l’inévitable LeBron James, des joueurs comme Stephen Curry, Kevin Durant ou encore Joel Embiid – qui a préféré Team USA aux Bleus – forment un effectif monstrueux. Invaincus jusqu’ici, ils ont néanmoins été bousculés par une valeureuse équipe de Serbie en demi-finale. Preuve que même les plus grands peuvent être mis en difficulté. Les Américains partent favoris, mais gare à l’excès de confiance. Les Bleus ont prouvé par le passé qu’ils avaient les armes pour créer l’exploit. Avec un Rudy Gobert des grands soirs, un Evan Fournier clutch et un Victor Wembanyama qui monte en puissance, tout est possible. Sans oublier l’apport du sixième homme, ce bouillant public de Bercy qui poussera derrière son équipe. Les clés du match Pour espérer l’emporter, les Bleus devront réaliser un match parfait. Défensivement d’abord, en limitant l’impact des stars adverses. La paire Gobert-Wembanyama aura fort à faire face à la puissance athlétique US. Il fau...

« 𝑪𝒂𝒔𝒔𝒆𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒅𝒆𝒔 ! » C’est la volonté du patron des Jo, Tony Estanguet qui maintient le suspens total sur le dernier relayeur de la Flamme Olympique le 26 juillet prochain. L'EQUIPE y va de son pronostic mais le quotidien qui ne connait pas l’heureux ou l’heureuse élu(e) se hasarde à plusieurs scénarios… ❓« Classiquement, nous avons imaginé que ce dernier relayeur pourrait être un sportif français star des JO comme Marie Jose PEREC, Martin Fourcade ou Jean-Claude Killy, spécimens remarquables parmi les Olympiens tricolores. À moins qu'on ne s'oriente vers une star du sport français comme Kylian Mbappé ? » 𝐀𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐡𝐲𝐩𝐨𝐭𝐡𝐞̀𝐬𝐞𝐬 : ➡ ❓« Le COJO pourrait choisir un sportif français olympique encore en activité comme Renaud Lavillenie, Teddy Riner ou sa consoeur Clarisse Agbegnenou. Ou une star française connue à l'international comme Omar Sy alias Arsène Lupin ou pour un symbole de Paris qui pourrait être un rescapé des attentats du 13 novembre 2015. ➡ ❓Pourquoi pas un symbole de la France qui gagne comme les Bleus de 1998 tous rassemblés ? Zinédine Zidane, donc ? ➡ ❓Les JO de Paris 2024 doivent aussi être les Jeux de l'inclusion, dès lors quel symbole si la flamme était allumée par un athlète paralympique comme Michaël Jeremiasz ou Marie Amélie Le Fur. ➡ ❓ L’idée de faire appel à une star olympique internationale n'est pas absurde. Il y a le choix : Usain Bolt, Carl Lewis, Michael Phelps, Nadia Comaneci… Les paris sont plus que jamais ouverts… Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024

🏅 🇨🇵 𝟐𝟕 𝐞𝐧 𝐨𝐫, 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐥𝐚 𝐜𝐥𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝟑𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞𝐚𝐮 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐞́𝐝𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐫𝐭𝐮𝐞𝐥, 𝐥𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐄𝐭𝐚𝐭𝐬-𝐔𝐧𝐢𝐬. C’est la prévision de médailles qui serait obtenue par la délégation française aux Jo de Paris 2024 et qui a été établie par le fournisseur de données sportives Gracenote, à ce jour. Amélie OUDÉA-CASTÉRA "La France est et reste dans le top 3 des nations possiblement les plus titrées aux JO de Paris dans ces projections de médailles ». Avec 27 titres olympiques, l’équipe de France triplerait presque son total par rapport à 2021 Les Etats-Unis et la Chine (37 médailles d’or) devraient, selon cette prévision se partager la première et deuxième place. Top là !doit penser le sport français… Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF)

Jeux Olympiques : 𝐆𝐮𝐞𝐫*𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐞𝐝𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐡𝐢𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐔𝐒𝐀 Les jeux olympiques au fil des années ont dépassé le cadre sportif pour certaines nations. Ces nations, majoritairement les puissances mondiales comme les USA, la Chine, la France, etc. en font un ring de démonstration de leur force. Mieux ces puissances en dehors de la France, n'arrivent pas à s'exprimer à travers le sport roi, le football. Alors que le sport est devenu un outil incontournable de la mondialisation, elles cherchent désormais donc à donner de la voix à travers d'autres disciplines. Et pour ces nations, les JO sont une vitrine à exploiter sans modération. Les premières citées, à savoir les USA et la Chine mènent une guer*re sportive depuis maintenant des décennies sur les JO. Leurs États respectifs consacrent énormément de moyens dans la préparation des athlètes dans cette bataille de médailles aux JO. Comme l'a dit le spécialiste de la géopolitique du sport Pascal Boniface, "Le sport c'est la guer*re mais une guer*re sans les balles". À chaque tournoi des JO, les USA et la Chine se guettent dans le tableau des médailles, surtout l'or puisque c'est ce qui compte le plus dans le classement. Et il y a toujours ce mano à mano dans le classement des médailles entre les deux jusqu'à la fin de la compétition. Comme en témoin le Taekwondoïste burkinabè Ibrahim Maïga, la volonté de s'imposer aux JO ne se limite pas à arracher des médailles pour certains. "Quand tu arrives au village olympique, le premier bâtiment que tu vois c'est celui des États-Unis. C'est giganteste avec leur logo et tout et nous sommes nous on est caché dans des bounkers", a-t-il indiqué. En rappel, les JO est la compétition la plus suivie au monde devant le mondial de football. Malgré les pertes qu'enregistrent généralement les pays hôtes, les nations se bousculent toujours pour organiser les JO. Par exemple, Londres 2012 c'est près 500 millions € de perte pour le pays hôte. Rio 2016 c'est près de 40 millions € de perte pour le Brésil. 𝐌𝐨𝐮𝐦𝐨𝐮𝐧𝐢 𝐎𝐔𝐄𝐃𝐑𝐀𝐎𝐆𝐎 📷 Tableau des médailles au soir du 10 Août par SuperSport

La force d'un collectif s'exprime dans les moments difficiles. Volley, Hand, Basket. 3 sports collectifs où le niveau mondial se tient à "rien". En Volley, menés 2-0 en quart, les Français champions olympiques en titre ont renversé l'Allemagne 3/2. En Hand, à 6 secondes d'une demie, une improbable envoi les Allemands en prolongation gagnante. En Basket, surclassés en poule, la France renverse l'Allemagne (décidément en face!) en demi-finale. La différence ? Techniquement rien. A l'instant T : La confiance, la lucidité, la motivation, le public, ... et ce que les jeunes nommeraient la "vibe". La beauté de ces sports relève précisément de la capacité à exploiter ses temps forts et serrer les dents aux temps faibles. Dans la durée c'est l'équipe qui tient le mieux ce bras de fer qui va l'emporter. On parle de mental, mais c'est aussi le "fighting spirit", la fraîcheur physique ou tout simplement le talent qui vont tout faire basculer. C'est la récompense de la préparation. La leçon à en retenir ? Si l'on fait l'effort de bien se préparer, le match n'est jamais perdu/gagné tant qu'il n'est pas fini : il faut donc aller jusqu'au bout... et ne pas juger trop vite des équipes avant le résultat final (cf medias) ! Une bonne analogie avec le monde professionnel où il serait préférable de s'exprimer apres avoir vu le résultat final (et non avant) !

À un an des Jeux Olympiques de Paris 2024, l’excitation monte dans le monde du sport français. Et si certains athlètes affichent ouvertement leurs ambitions, d’autres préfèrent jouer la carte de l’humilité. C’est le cas de l’équipe de France de volley-ball, championne olympique en titre. Invité de l’émission “Bienvenue aux Jeux”, le passeur Antoine Brizard s’est confié sur la surprenante mentalité des Bleus. Une humilité teintée de superstition Malgré leur statut de favoris, les volleyeurs français gardent les pieds sur terre. Une posture qui peut surprendre, mais qui s’explique par une certaine superstition, comme le révèle Antoine Brizard : On est un peu superstitieux. Je vous rappelle qu’on a gagné Tokyo en se disant au début qu’on serait éliminés. Antoine Brizard, passeur de l’équipe de France de volley Une façon pour les Bleus de ne pas se mettre trop de pression et de garder la tête froide face à l’enjeu. Car si l’humilité est de mise, l’ambition est bien là. Antoine Brizard l’avoue sans détour : On vise une médaille mais au fond, on sait qu’on veut l’or. L’expérience comme atout Pour atteindre cet objectif, les Bleus pourront compter sur leur expérience. La plupart des joueurs ont déjà participé à des Jeux Olympiques et savent gérer la pression d’un tel événement. Un vécu précieux dans une compétition où le mental peut faire la différence. L’arrivée du légendaire entraîneur italien Andrea Giani a aussi apporté un nouveau souffle à l’équipe. Avec sa rigueur statistique et sa vision du jeu, il a su sublimer le potentiel des joueurs français. L’émotion des Jeux à domicile Mais plus que la quête de l’or, c’est l’émotion de jouer devant leur public qui animera les Bleus lors de ces JO de Paris 2024. Eux qui évoluent habituellement à l’étranger savent que l’euphorie des Jeux à domicile sera un moment unique. La première Marseillaise face à la Serbie va être spéciale. Un frisson qui traversera sans doute plus d’un supporteur dans les travées de la Porte de Versailles. Car au-delà de la performance sportive, c’est toute une nation qui vibrera à l’unisson derrière ses champions. Alors, superstition ou pas, une chose est sûre : les Bleus donneront tout pour faire briller les couleurs de la France sur le toit de l’Olympe. Et avec un public acquis à leur cause, ils auront un atout de taille pour décrocher une nouvelle médaille d’or. Rendez-vous en août 2024 pour une Marseillaise qui résonnera, on l’espère, jusqu’au bout de la nuit parisienne. The post Antoine Brizard : “La superstitieuse humilité des Bleus aux JO de Paris 2024” first appeared on ViralMag.fr.

Les retombées économiques des JO en quelques chiffres qui font du bien en cette période de mutation, comme un souffle d’énergie positive dont nous avons besoin