Post de Bâtonnier Philippe CANO

Cyclone Chido : La Fédération Cinov et Cinov Réunion-Mayotte se mobilisent pour Mayotte Suite au passage dévastateur du Cyclone Chido à Mayotte, la Fédération Cinov, la Fédération Cinov Réunion-Mayotte, et les entreprises qu'elles représentent, expriment leur soutien total à la population mahoraise. Les vents violents dépassant les 200 km/h ont causé des dégâts considérables sur l’île, laissant de nombreuses familles sans abri. Dans un communiqué publié ce jeudi 26 décembre, la Fédération Cinov a affirmé sa solidarité avec les habitants de Mayotte ainsi que les équipes de secours engagées dans l’urgence humanitaire. « Nos pensées accompagnent toutes les victimes et leurs proches, ainsi que ceux qui œuvrent sans relâche pour leur venir en aide », peut-on lire dans ce communiquéde la Fédération Cinov. Face à l’ampleur des dégâts, Cinov Réunion-Mayotte et Cinov préparent une mobilisation exceptionnelle. Un appel aux dons pourrait être lancé prochainement auprès des membres des fédérations. Celui-ci inclurait des contributions en matériaux de construction ainsi qu’une mobilisation de professionnels pour apporter des compétences techniques nécessaires à la reconstruction. Cette initiative, qui incarne les valeurs d’entraide et de responsabilité des adhérents Cinov, vise à accompagner Mayotte dans la reconstruction durable de ses infrastructures. #CycloneChido #Mayotte #Solidarité #Reconstruction #FédérationCinov #CinovRéunionMayotte #IngénierieSolidaire #SoutienMayotte #BETIC #RSE #ReconstructionDurable #CriseClimatique #EntraideProfessionnelle #IngénieursEnAction

[ANECDOTE] La rue d'Ardoise est rebaptisée (29 juin 1900) Un décret présidentiel en date du 29 mars 1900 autorise la municipalité de Compiègne à accepter le leg du défunt Hippolyte Bottier, datant du 21 juin 1892, à savoir: - 15 000frs et objets divers pour la paroisse St-Jacques, à charge de perpétuer sa mémoire par des messes et l'entretien de sa sépulture - 10 000frs pour les soeurs de la Compassion pour aider les femmes nécessiteuses - 40 000frs pour les hospices et 16 000frs pour la crèche - 35 000frs au Bureau de Bienfaisance - 10 000frs pour la Caisse de secours et de retraite des sapeurs-pompiers - 10 000frs pour la société Saint-Vincent de Paul - 20 000frs pour créer et entretenir un chauffoir communal - 10 000frs à la société de secours mutuels de Saint-François Xavier C'est lors du conseil municipal du 29 juin 1900 qu'est voté à l'unanimité le changement de nom de la rue d'Ardoise pour rendre hommage au généreux donateur. Pourquoi celle-ci? Parce que le nom de cette rue ne rappelle aux compiégnois aucun souvenir historique récent, et tient plus de la tradition. De plus, il n'y a alors aucun commerce important, hormis un peu d'alimentation. Elle donne également accès à la rue Le Féron, où se trouvait la dernière demeure de Bottier. Source: Registres aux délibérations 1D/COM47 -- Archives de l'agglomération de la région de Compiègne #histoire #culture #patrimoine

Voici le récapitulatif des infos dont on parle dans les villages de Béarn et Soule en ce samedi 1er juin !

✨ Solidarité et union : Une galette des rois portée par une belle cause Le 6 janvier, l’équipe de Medd Design a décidé de se réunir pour célébrer l’Épiphanie d’une manière spéciale et solidaire. La traditionnelle galette des rois a été bien plus qu’un simple moment de convivialité ; elle est devenue une occasion d’aider ceux qui en ont le plus besoin. Nous avons choisi de nous engager dans cette initiative car nous travaillons sur le marché espagnol et n’avons jamais été si proches d’une catastrophe d’une telle ampleur. La tempête DANA a laissé des traces dévastatrices, et nous avons ressenti une profonde responsabilité de contribuer au soutien des victimes. Chaque collaborateur a contribué volontairement aux dépenses de l’événement, et Medd Design, valorisant l’esprit d’équipe et l’engagement de tous, a décidé de doubler la somme collectée. Le montant final a été reversé à la Cruz Roja Española, en soutien aux victimes de la tempête DANA en Espagne. Ce geste réaffirme les valeurs qui nous animent : responsabilité sociale, union et volonté d’avoir un impact positif sur la société. Car nous croyons qu’ensemble, nous pouvons construire non seulement des espaces, mais aussi un avenir meilleur. #MeddDesign #Solidarité #EspritDÉquipe #Épiphanie #ResponsabilitéSociale #MeddAgencement

📢 Début de la trêve hivernale : Un répit temporaire, mais jusqu'à quand ? ❄️ Avec le début de la trêve hivernale, des milliers de ménages pourront souffler. Pourtant, ce répit reste fragile et temporaire. En 2023, la France a atteint un record dramatique avec 19 023 expulsions forcées, soit 17 % de plus que l’année précédente. Depuis vingt ans, c’est une hausse de 150 % ! 📈 Cette augmentation fulgurante témoigne d’une crise du logement sans précédent, alimentée par une précarisation accrue, une pénurie de logements sociaux et des loyers qui ne cessent de grimper. Derrière ces chiffres, des vies sont bouleversées. La trêve hivernale doit être une occasion pour repenser en profondeur la politique de prévention des expulsions. Ne fermons pas les yeux. En 2024, il est impératif de trouver des solutions durables et humaines. 🏠💔 #TrêveHivernale #Solidarité #Expulsions #CriseDuLogement #PréventionExpulsions

La proposition de Rachida Dati, ministre de la Culture, de rendre payante l’entrée de Notre-Dame de Paris, ne laisse personne indifférent. Alors que la célèbre cathédrale s’apprête à rouvrir ses portes en décembre prochain, après plus de cinq ans de travaux suite à l’incendie d’avril 2019, l’idée d’un droit d’entrée à 5 euros pour les touristes divise. Une proposition pour sauver le patrimoine religieux français Pour la ministre, l’objectif est clair : utiliser la notoriété de Notre-Dame et son attrait touristique pour financer la restauration des églises en péril partout en France. Avec 14 à 15 millions de visiteurs attendus chaque année, la somme récoltée pourrait atteindre 75 millions d’euros annuels. On récolterait 75 millions d’euros par an. Ainsi Notre-Dame sauverait toutes les églises de Paris et de France. Ce serait un magnifique symbole. Rachida Dati, ministre de la Culture En effet, près de 5000 lieux de culte sont en danger en France, nécessitant des travaux d’urgence. La souscription nationale lancée par l’État en septembre 2023 ne permet de mobiliser “que” 200 millions d’euros sur quatre ans, une goutte d’eau face à l’ampleur de la tâche. Des Français partagés sur la question Mais pour beaucoup, faire payer l’entrée d’une église, même pour la bonne cause, reste inconcevable. Notre-Dame est avant tout un lieu de culte qui doit rester libre d’accès selon eux. D’autres au contraire saluent une initiative pragmatique et solidaire, à l’image de ce qui se pratique déjà pour de nombreuses cathédrales en Europe. La Sagrada Familia de Barcelone coûte ainsi jusqu’à 36 euros à visiter. Les communes propriétaires d’églises classées y voient quant à elles une bouffée d’oxygène bienvenue. À Noyal-Châtillon-sur-Seiche près de Rennes, trois millions d’euros sont nécessaires pour restaurer l’édifice. Un gouffre pour le budget municipal. La loi de 1905 en question Mais la principale difficulté réside dans la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État. Celle-ci interdit de faire payer un droit d’entrée dans un édifice religieux en France. Pour contourner cet obstacle juridique et mettre en place son idée, la ministre devra donc faire preuve d’ingéniosité et de persuasion. La voie d’une modification législative s’annonce en effet complexe et semée d’embûches. En attendant, les Français restent divisés sur le sujet. Selon un sondage publié par Le Figaro, 54% se déclarent opposés à l’entrée payante, contre 46% qui y sont favorables. Le débat ne fait que commencer. The post Notre-Dame de Paris payante : les Français divisés sur l’idée first appeared on ViralMag.

🌍 Solidarité et engagement face à la crise : retour d’expérience à Mayotte 🌪️ Après le passage dévastateur du cyclone Chido à Mayotte, notre directeur du soutien aux populations sinistrées partage son témoignage poignant sur les réalités rencontrées sur le terrain. À travers cet article de la Dépêche, il décrit une situation critique, marquée par des défis logistiques majeurs et des conditions de vie éprouvantes pour les habitants. 👉 Découvrez son témoignage dans l’article ci-dessous 📰 Au-delà des difficultés, ce retour d’expérience met en lumière : 💪 La résilience des équipes de la Protection Civile déployées à Mayotte. 🤝 L’importance de la solidarité pour venir en aide aux populations sinistrées. 🌟 L'engagement indéfectible de nos bénévoles face à l’adversité. Un grand merci à Patrice et à toutes les équipes mobilisées. Vous êtes la preuve que l’action humanitaire ne connaît ni frontières, ni limites. 🙏 Nous continuons à soutenir les efforts sur place et restons engagés pour accompagner les habitants de Mayotte dans leur reconstruction. #Solidarité #ProtectionCivile #CycloneChido #Engagement #Mayotte #AideHumanitaire

  COMMUNIQUE DE PRESSE de la Métropole du Grand Nancy Nancy, lundi 16 décembre 2024 Solidarité #Mayotte   Après le cyclone tropical #Chido, qui a frappé l’archipel de Mayotte ce samedi 14 décembre, le département tout entier est aujourd’hui sous les décombres, et des centaines voire des milliers de morts, de blessés et de sans-abri sont à dénombrer.   Si le bilan humain reste encore extrêmement difficile à stabiliser, les conséquences de ce cyclone sont d’ores et déjà dramatiques. Aussi, la Ville de Nancy et la Métropole du Grand Nancy, souhaitent se mobiliser au plus vite, avec notamment, le versement de subventions à hauteur de 10 000 euros pour chacune des deux collectivités.   En effet, face à l’urgence et à l’ampleur de la situation, la Métropole du Grand Nancy proposera au vote, lors du prochain conseil métropolitain du 19 décembre, une subvention exceptionnelle de 10 000 € versée au Secours populaire français. L’action de l’association et de ses partenaires sur place s’inscrit dans la durée pour accompagner les sinistrés. La Ville de Nancy, apportera un soutien similaire lors de son prochain conseil municipal en janvier 2025.   Les deux collectivités sont par ailleurs en contact avec les associations locales pour permettre de cerner au mieux les besoins, et souhaitent exprimer tout leur soutien aux familles des victimes, aux habitants ainsi qu’aux secours dépêchés sur place.