Artisan ou artiste dans le Japon de l’époque Edo ? Le Centre André-Chastel propose un "Regards croisés" autour du livre « Suminawa, le charpentier des dieux » (1808) 📅 Vendredi 13 décembre 2024 de 18h00 à 20h00 Institut national d'histoire de l'art (INHA), salle Giorgio-Vasari (1er étage), 6 rue des Petits-Champs, 75002 Paris Thierry Laugée (Nantes Université, UMR 6566 CReAAH-LARA) et Jean-Sébastien Cluzel (Sorbonne Université, Centre André-Chastel) discuteront de ce récit atypique de l’époque Edo signé par le poète Ishikawa Masamochi (1754-1830) et illustré par le célèbre peintre des Trente-Six Vues du mont Fuji, Katsushika Hokusai (1760-1849). Si ce roman est aujourd’hui un classique, il est aussi un premier pas dans ce qui sera pour Hokusai le combat d’une vie : élever l’artisan au rang d’artiste. Coordination Tara Chapron https://lnkd.in/dj5mFkbK
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👉 Hommage à Dominique Thevenin du 27 avril au 3 novembre 2024. Présentation de trois installations de l'artiste dans les Jardins du Musées International de la Parfumerie. "L’œuvre sculptée de Dominique Thévenin est orientée, surtout depuis les années 1990, sur la recherche du mouvement et de l’équilibre. En cela, il s’inscrit dans un courant majeur de la sculpture contemporaine qui existe depuis le début du XXe siècle et qui consiste à donner du mouvement à des œuvres par définition immobiles. Au-delà des simples effets de style et de matières, il s’agit d’animer les sculptures. Parmi les grands représentants de ce courant artistique, on compte notamment Alexander Calder (1898-1976). Dominique Thévenin s’inscrit dans cette lignée tout en gardant son style propre, simple et épuré mettant en avant le matériau brut. Ses sculptures sont composées pour la plupart de matériaux de récupération qui sont sublimés en œuvre d’art. Il crée des œuvres monumentales en équilibre qui, sous l’action du vent, se balancent sur leur axe, comme une danse plus ou moins rythmée. L’œuvre de Dominique Thévenin est fondée sur le contraste entre des univers à priori antagonistes : la pesanteur et légèreté, la solidité et fragilité, entre l’immobilité et la mobilité, la subtilité du mouvement et l’état brut du matériau. C’est aussi une confrontation entre un matériau industriel, fabriqué et façonné par l’homme, et l’environnement naturel. Et de ces confrontations émergent la douceur et la poésie." #jardin #artcontemporain #création #sculpturecontemporaine Jérôme Viaud, Dominique Bourret, Silouane Faxe, Olivier Quiquempois, Noëlie Malamaire https://lnkd.in/dHKqG4Pz
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Pas une mais deux de mes oeuvres ont été sélectionnées par les curateurs d'Art de SINGULART dans la collection Oeuvres inspirées par de Gregory Crewdson, photographe américain. Il s'agit d'un de mes collages - Chroniques imaginaire Mes collages intègrent des éléments visuels variés pour réécrire et commenter l'histoire de mon point de vue personnel. J’utilise des images, des textes et des photos d'archives trouvés pour créer une nouvelle narration. En les scannant et en les manipulant avec un logiciel de traitement d'images, je donne une nouvelle vie à ces documents, documentant ainsi leur histoire initiale. L'œuvre combine des éléments de différentes époques et contextes, ce qui crée un effet visuel dense et riche en significations. Les éléments visibles incluent des publicités vintage, des images de magazines anciens, et d'autres fragments de documents historiques. La seconde œuvre est une toile de ma collection L'essentiel numéro 4. La série "Essentiel" n'est pas seulement une série de toiles; c'est une manifestation de la résilience humaine face à l'adversité. C'est un rappel que, même dans les périodes les plus sombres, nous avons la capacité de créer du beau, de nourrir notre esprit et de répandre de la bienveillance autour de nous. En ce sens, cette série est pour moi un acte de guérison, un témoignage de la force intérieure que l'art peut révéler en chacun de nous. Chaque monoprint de la série puise son inspiration dans les œuvres de Riopelle, un artiste dont la capacité à transformer l'énergie brute en formes abstraites a toujours résonné en moi. En m'inspirant de son approche, j'ai cherché à capturer la spontanéité et l'imprévisibilité de la vie, tout en insufflant à chaque toile une intention de bienveillance. Le choix du monoprint comme technique a permis de traduire cette idée de l'unicité du moment, chaque impression étant unique, tout comme chaque instant de résilience que nous avons traversé. https://lnkd.in/dA3V3z7m Croire toujours en vous et en votre art 😝
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Connexion, un sujet contemporain traité dans le style de la miniature persane, travail en cours, aout 2024 Alain Galet©Alain Galet@ADAGP #miniature persane #gouache #arts de l'orient #art contemporain
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Roman Zakrzewski peintre polonais (1955-2014) "Renaissance", Mai 1999 - Huile sur toile 110 x 80 cm - Collection particulière. Roman Zakrzewski a étudié à la Faculté de la Peinture de l'Académie des Beaux-Arts à l'atelier du Prof. Jerzy Nowosielski. Il a obtenu son diplôme en 1985. Le Professeur Jerzy Nowosielski s'exprime en ces termes sur l'oeuvre de Roman Zakrzewski: « Voila il y a sur qui écrire (...) on a de nouveau un peintre qui nous étonne. C'est un artiste assez jeune. Quelle est sa place? C'est étonnant! Quel miracle! Il n'est pas originel. Il n'est pas une individualité. Il ne peut pas se documenter avec rien qui constitue un laisser-passer sur toutes les expositions et les fêtes pompeuses de notre monde commercialise. Qui est-il ? C'est peut-être Modigliani, który ressuscite, qui est revenu, mais dans un autre climat et dans d'autres conditions il finit ses oeuvres? Laissons à part les intuitions et les suspicions. Dans le développement de l'art européen a existe quelque que chose qu'on peut appelé „une succession de l'expérience". De l'expérience non seulement technique, mais aussi celle spirituelle(...). Le développement spirituel de l'art est une continuité. Il est une unité de l'expérience spirituelles. Et si je vois qu'un jeune artiste prend directement «l'expérience » d'un autre artiste, trop tôt mort il y a des dizaines d'années, qu'il incarne sa vie picturale, l'approfondit la complète et réalise ce celui-ci n'a pas eu le temps de faire, je soupçonne que je suis devant un grand mystère du développement de l'art . Les gens peureux n'auront pas assez d'audace pour parler de ce mystère, qui nous se révèle soudainement et évoque ma grande joie. Soyons assez audacieux pour le voir et le recevoir."
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Claude Monet Le Parc Monceau ( 1878 ) huile sur toile 72.7 x 54.3 cm. Au parc Monceau, Claude Monet réalise six tableaux, trois vues exécutées au printemps 1876 et présentées lors de l'exposition impressionniste de 1877 puis trois autres toiles en 1878. S'il est aujourd'hui difficile de retrouver les endroits précis où le peintre a posé son chevalet tant le parc a évolué, la végétation changé, ses œuvres comme un journal sensible de promenade évoquent puissamment ses journées passées sous les arbres. Dans la lignée des humeurs paysagères dont Monet a pris le goût auprès d'Eugène Boudin, l'un des premiers artistes de plein air, précurseur de l'impressionnisme. En 1867, avec son tableau Femmes au jardin, Claude Monet entame une rupture radicale avec la représentation classique du paysage, traditionnellement attachée à la transposition romantique d'un état d'âme. L'émerveillement ressenti devant la nature se traduit sur la toile par une approche personnelle où le monde se reformule à l'aune de la sensibilité de l'artiste. Agnostique voire athée, Claude Monet n'intègre pas de dimension spirituelle à sa démarche. Il est dans l'interprétation. C'est la pensée humaine qu'il traduit à travers les formes et les couleurs qui se dissocient de la réalité, suggérant l'émotion, provocant la contemplation et le sentiment de transcendance. A propos des paysages de Monet, Kandinsky évoque d'une représentation de la "résonance intérieure".
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"Le Poète Philippe Soupault" de Robert Delaunay (1922) Robert Delaunay peint "Le Poète Philippe Soupault" en 1922, une œuvre qui incarne l'esprit vibrant et expérimental de l'avant-garde parisienne des années 1920. Delaunay, pionnier du mouvement orphique, se distingue par son utilisation de la couleur et des formes géométriques abstraites. À travers cette œuvre, il fusionne la poésie et la peinture dans un hommage visuel à Philippe Soupault, cofondateur du surréalisme, connu pour son esprit d'expérimentation littéraire. La collaboration implicite entre un peintre orphiste et un poète surréaliste montre comment ces mouvements étaient liés par leur quête de nouvelles formes d'expression artistique. L'œuvre est dominée par des cercles et des couleurs vives, caractéristiques de l'orphisme, où la lumière et la couleur deviennent les éléments centraux du tableau. Les formes dynamiques et les couleurs éclatantes créent une impression de mouvement perpétuel, reflétant à la fois la modernité et l'énergie du poète représenté. La palette vibrante est utilisée pour évoquer l'émotion, la musique et la poésie visuelle. Soupault est présenté non pas sous une forme réaliste, mais comme une abstraction intégrée dans un univers chromatique, soulignant l'importance de la suggestion plutôt que de la représentation littérale. Cela illustre la volonté de Delaunay de rompre avec la tradition figurative pour explorer une nouvelle esthétique de la perception. L'interaction entre les formes abstraites et les couleurs pures peut être interprétée comme une métaphore de l'interaction entre les mots et les images. La poésie de Soupault est ainsi traduite en peinture, une sorte de synesthésie visuelle où les sons poétiques deviennent des couleurs et des formes lumineuses L'œuvre incarne une vision optimiste de l'art moderne, libéré des contraintes académiques traditionnelles.
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Journée d’étude : La vie, l’œuvre – réflexions sur la place de l’autobiographie dans l’art « L’œuvre de ma sœur, ce qui lui donne son intérêt unique, c’est que tout entière, elle est l’histoire de sa vie. » : ainsi Paul Claudel résume-t-il l’œuvre de Camille Claudel dans son texte « Ma sœur Camille », écrit pour la première rétrospective de l’artiste en 1951 au Musée Rodin. Par ces mots, il a introduit une interprétation biographique du travail de sa sœur aînée, dont la vie avait connu un tournant tragique. Ce biais a profondément marqué la lecture des créations de Camille Claudel, et il prédomine encore souvent aujourd’hui. En quoi les éléments biographiques que nous connaissons sur la sculptrice permettent-ils d’éclairer ses œuvres ? Ou au contraire peuvent-ils faire écran à leur compréhension ? Jusqu’à quel point faut-il les confronter ? Plusieurs axes de réflexion autour des liens entre #art et vie seront explorés à partir de Camille #Claudel, mais aussi Auguste #Rodin ou encore d’autres femmes artistes. La question sera également abordée sous l’angle de la création théâtrale. 📅 Jeudi 5 décembre 📍 Musée Camille Claudel, Nogent-sur-Seine Inscription : https://lnkd.in/edinE-vM
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Claude Monet Le Parc Monceau ( 1878 ) huile sur toile 72.7 x 54.3 cm. Au parc Monceau, Claude Monet réalise six tableaux, trois vues exécutées au printemps 1876 et présentées lors de l'exposition impressionniste de 1877 puis trois autres toiles en 1878. S'il est aujourd'hui difficile de retrouver les endroits précis où le peintre a posé son chevalet tant le parc a évolué, la végétation changé, ses œuvres comme un journal sensible de promenade évoquent puissamment ses journées passées sous les arbres. Dans la lignée des humeurs paysagères dont Monet a pris le goût auprès d'Eugène Boudin, l'un des premiers artistes de plein air, précurseur de l'impressionnisme. En 1867, avec son tableau Femmes au jardin, Claude Monet entame une rupture radicale avec la représentation classique du paysage, traditionnellement attachée à la transposition romantique d'un état d'âme. L'émerveillement ressenti devant la nature se traduit sur la toile par une approche personnelle où le monde se reformule à l'aune de la sensibilité de l'artiste. Agnostique voire athée, Claude Monet n'intègre pas de dimension spirituelle à sa démarche. Il est dans l'interprétation. C'est la pensée humaine qu'il traduit à travers les formes et les couleurs qui se dissocient de la réalité, suggérant l'émotion, provocant la contemplation et le sentiment de transcendance. A propos des paysages de Monet, Kandinsky évoque d'une représentation de la "résonance intérieure".
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🎨 Marre de l’histoire de l’art ennuyeuse et poussiéreuse ? 📖 Une façon originale de vous plonger au cœur de 52 œuvres d’art. 🏛 Voyagez dans les musées avec le roman « Les yeux de Mona » de Thomas Schlesser ! Prêt.e pour une aventure artistique ? Cliquez sur le lien pour découvrir ce voyage captivant. Partagez vos impressions en commentant.
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Explorez le monde captivant de l'Art nouveau, un mouvement révolutionnaire qui a mêlé la beauté de la nature à un design complexe pour remodeler l'art et l'architecture de la fin du XIXe siècle.
Notre artiste, Caz In The Machine, en vedette dans l'article du jour rédigé par Artsper et consacré à l'Art Nouveau 😊
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