[Ecoute des marchés] La #Bourgogne Viticole et la #Belgique Episode 3 Une partie de ma production est en Appellations Régionales, comment appréhendez-vous ce segment ? Comment nos Appellations Régionales se positionnent par rapport à la concurrence ? Les Appellations Régionales de Bourgogne sont considérées comme milieu de gamme dans l’offre de vins en Belgique, une catégorie qui se porte plutôt bien. Leur image « plus standard » les rend plus facilement remplaçables selon plusieurs opérateurs des circuits interrogés. Certains parlent d’alternatives plus économiques avec les vins italiens ou du nouveau-monde et d’autres estiment que les appellations Régionales de la Bourgogne rassurent leurs clients. Tout repose alors sur le rapport qualité-prix perçu. Pour en savoir plus, visionnez la 2ème vidéo (lien extranet : https://lnkd.in/eUkqCJ7V?)! (Uniquement pour les adhérents au BIVB) #VinsBourgogne #Bourgogne #Bourgognewines #Belgique Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne - Bourgogne Wine Board Lindsay Aubry Cécile Mathiaud Philippe Longepierre Laurent Delaunay Sylvain Naulin Manoel Bouchet Sophie Woillez Association des Climats du vignoble de Bourgogne - Patrimoine mondial FNEB Confédération des Appellations et des Vignerons de Bourgogne Cité des Climats et vins de Bourgogne Marion SAÜQUERE Olivier LE ROY Bertrand GAUVRIT Fédération des Exportateurs de Vins & Spiritueux de France (F.E.V.S.) Gabriel Picard Augustin Chazal Magalie DUBOIS Arnaud Orsel
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[Ecoute des marchés] Episode 4 MARCHE BELGE Et si on rentre dans le détail de nos Appellations Régionales, quelles sont celles qui fonctionnent bien ? Les Appellations Régionales de Bourgogne correspondent aux attentes des nouveaux consommateurs belges. Les AOC Bourgogne restent incontournables dans le référencement, tandis que les Régionales Mâcon et le #Bourgogne #Aligoté sont de plus en plus appréciés. Enfin, le Crémant de Bourgogne est indiqué comme une bonne alternative à la hausse du prix du Champagne, et une option plus qualitative que le Cava et le Prosecco. Plus de détail pour la filière : 3ème vidéo (lien extranet : https://lnkd.in/e5crZ_sT ?) (Uniquement pour les adhérents au BIVB) #VinsBourgogne #Bourgogne #Bourgognewines #Belgique Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne - Bourgogne Wine Board Cécile Mathiaud Lindsay Aubry Manoel Bouchet Philippe Longepierre Sophie Woillez FNEB Pierre Gernelle Confédération des Appellations et des Vignerons de Bourgogne Marion SAÜQUERE Association des Climats du vignoble de Bourgogne - Patrimoine mondial Bertrand GAUVRIT Cité des Climats et vins de Bourgogne Olivier LE ROY
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#rosésdeterroirs Un récent article du Monde pose la question intéressante de la place du consommateur dans le succès du rosé et du rosé provençal en particulier. Concernant le succès du rosé en général, celui-ci s’inscrit dans un changement progressif de consommation et de consommateurs, dont les années 90 ont été le sas. D’ailleurs, en tant que responsable économie du CIVCP puis du CIVP (2000-2006), j’ai notamment cherché à raconter aux vignerons de Provence ce changement, via des sociologues et des prospectivistes (dont j’avais lu les ouvrages et études avant mon embauche). C’est ainsi qu’ils ont fait le choix très pertinent de parler des rosés comme des « vins de liberté » à partir de la 1ere moitié des années 2000, sachant que jusque-là leur communication faisait d’abord référence à l’imaginaire provençal (photos de lavandes, de vignes et d’oliviers) comme principal déclencheur d’intérêt et d’achat. Je me souviens notamment du jour où en Coteaux d’Aix j’ai expliqué le potentiel des rosés comme des « vins - boissons », racontés et promus via notamment leurs « terroirs de consommation". Depuis, cette approche figure dans mon canevas marketing. Bref, comprendre que la Provence avec son rosé allait pouvoir tirer profit du changement d’époque était fondamental, en interne comme en externe, et avoir à partir de 2000 un service économique dynamique pour diffuser une vision et des orientations aussi. Concernant le succès du rosé provençal en particulier, il n’aurait pas été possible sans la vision « produit » de certains, reprise ensuite par le collectif. Collectivement, les investissements en faveur d’un rosé plus technique, moderne, tendance, sont notamment réalisés au cours de la 2ème moitié des années 1990, comme dans les autres vignobles français d’ailleurs. Mais la Provence s’est avérée véritablement visionnaire quand elle décida de créer le Centre du Rosé, totem de sa mue qualitative et stylistique. Enfin, le leadership provençal fut possible par un nouveau jeu d’acteurs et de parties prenantes, que j’ai aimé décrire (évolution des profils) et animer (vision, ambition) à l’époque. Le tango coopération - négoce a été fondamental dans le renouveau du rosé provençal (1er socle). Quant aux marques leaders et challengers, historiques et nouvelles, elles ont commencé à prendre le relais de la communication institutionnelle à partir de la deuxième moitié des années 2000. C’est le moment où je quitte la Provence pour Cahors (automne 2006), convaincu que la mèche est allumée pour des années, avec déjà en vue le développement des rosés à l’export (Grande-Bretagne, Etats-Unis). Aujourd’hui, il s’agit de prendre en compte à nouveau les évolutions actuelles et prévisibles de la consommation, des consommateurs, de la concurrence. La Provence le sait bien. Créée en 2021, l'Association Internationale des Rosés de Terroirs (AIRT) considère quant à elle depuis 2021 qu'un marché DES rosés est en train d'émerger (www.rosesdeterroirs.com). A suivre.
Qui oserait encore se moquer du rosé ? Aujourd’hui, il représente une bouteille de vin sur trois vendues en France. Dans le verre, c’est la couleur préférée des jeunes. Dans le monde, sa consommation a bondi de 25% depuis 2000. La France, le premier producteur de la planète. Pour le directeur du Conseil interprofessionnel des vins de Provence (CIVP), Brice Eymard, c’est «la force des vignerons » qui est la source du succès de cette région. Et chez AGENCE 14 SEPTEMBRE on y croit ! Ravis de soutenir ces excellences du terroir, qui font des vins de Provence, les meilleurs rosés du monde ! Ci-dessous un extrait de l'article publié dans le Le Monde par Ophélie Neiman, où retrouver la prise de parole du président du CIVP - Vins de Provence, Éric Pastorino, Helene Dragon du Domaine Jacourette et encore Pierre Daziano du Domaine de la Fouquette. Tatiana Feld Hugo Waharte Elise A. Virginie Martins Pires Carole Guinchard 💡 Romain Schalapa
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🚲 Sortir la tête du guidon ! 🔍 Et oui, lever les yeux de notre quotidien en se tenant informés des actualités de notre filière est nécessaire et utile ! Dans son numéro d’avril, l’Union Girondine des Vins de Bordeaux a écrit un dossier sur le millésime 2023 à Bordeaux. A lire sans modération ! 📰 “En résumé, si la réussite des vins blanc secs et liquoreux est indéniable en 2023, le millésime apparait plus hétérogène pour les vins rouges, avec toutefois de grandes réussites. Certes, ils ne possèdent pas autant de chair et de densité que dans certaines années récentes, mais les vins rouges de distinguent par leur typicité, leur évidence aromatique et l’harmonie de leur structure, préservée par les vinifications délicates. A la lumière de ces éléments, 2023 mérite que l’on se penche avec attention sur sa qualité, à l’échelle de chaque cru, tant il serait dommage qu’il rejoigne la liste des millésimes de Bordeaux dont on réalise les vertus, quelques années plus tard, en regrettant de les avoir sous-estimés à leur naissance !” Source : Union Girondine des Vins de Bordeaux, mai 2024, Pr. Laurence Geny, Elodie Guittard, Dr. Valérie Lavigne et Pr. Axel Marchal Vins de Bordeaux - CIVB Union Girondine des Vins de Bordeaux
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Bis repetita placent ! Pour la seconde année consécutive, Vignerons d'Exception figure dans le classement des Echos - Statista "Les Champions de la Croissance 2024" publié aujourd'hui, qui regroupe les 500 plus fortes croissances de France sur trois ans (cette année : 2019-2022). Avec une croissance de 53%, nous sommes 17èmes du secteur e-commerce et 403èmes tous secteurs confondus (56èmes de Auvergne-Rhône-Alpes, où nous sommes 4èmes du secteur e-commerce). Sans autre publicité que la satisfaction de nos clients... pour l'instant. Rentables et autofinancés depuis le début, nous investissons tous nos bénéfices dans notre stock (aujourd'hui 60.000 bouteilles qui s'affinent tranquillement). Merci à nos 8500 fidèles clients particuliers, et aux 22.000 abonnés à notre lettre d'info du jeudi, arrivés par le bouche-à-oreille uniquement... Ils savent qu'ils peuvent acheter les yeux fermés et se faire livrer à domicile (à l'étude, au cabinet ou au bureau) des vins élaborés par les meilleur(e)s vigneron(ne)s de France, sélectionnés entre mille, qui n'ont connu que les chais du domaine et les nôtres, de 10 à 2000 € la bouteille. https://lnkd.in/dV6hc5es
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En dépit de marchés de vins rouges moins dynamiques, l'appellation du Languedoc joue sur ses forces d'identité, de mise en marché directe et d'approche environnementale pour tenir la voie de la valorisation.
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La revue de presse du retail : Le renouveau des vins de Loire - Informateur Judiciaire: ... grand nombre. Ils veillent surtout à assurer ... • La grande distribution constitue le circuit n°1 de commercialisation des vins rosés de Loire :. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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🍇 Recrudescence de mildiou au printemps, phase concrète d’arrachage des vignes et difficultés de commercialisation : la période n’est pas au beau fixe pour les vins de Bordeaux. Alors que les exportations sont encore en baisse, comment ceux-ci peuvent-ils évoluer, pour renouer avec leur attractivité d’antan ? 💭 Éléments de réponse avec Allan Sichel, PDG de la maison de négoce Sichel et président du Conseil interprofessionnel des Vins de Bordeaux - CIVB. 🍷 #commercialisation #vins #attractivité #bordeaux #gironde
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La revue de presse du retail : Vins de Bordeaux. « La crise est montée d'un cran » : des vignerons en rogne contre leur ...: Après la grande distribution ou le monde du négoce, des viticulteurs du collectif Viti 33 ont ciblé, ce jeudi 14 novembre, la maison mère des ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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La revue de presse du retail : Comment évoluera le marché du vin demain ? | Réussir Vigne - Reussir.fr: : Le modèle dominant de la grande distribution est déjà dépassé. Il y ... : Le label est important en particulier en grande surface, où le ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce
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#TerroirStrategy Le rosé (tranquille) et la bulle ont été les vins - boissons volumiquement à succès ces 20 dernières années. Mais des 2, c'est la bulle qui va demeurer un vecteur de croissance (même en rosé), car l'effervescence est désormais THE déclencheur d'achat et d'intérêt en mass comme en niche markets dans l'univers liquide, vin compris. Bref, l’étude de « l'effervescence vs le tranquille » devient incontournable. De nouvelles études qualitatives s’annoncent stratégiques (transfert d’achat, achat exclusif en faveur des bulles). Quant aux vignobles positionnés essentiellement en vins tranquilles, ils sont désormais invités à suivre l'évolution de la consommation dans l'univers des bulles. Toutefois, si la consommation mondiale de bulles a doublé en volume ces 20 dernières années (+50% dans les années 2000, +50% dans les années 2010, grâce au Prosecco notamment, un palier semble aujourd’hui avoir été atteint. Toutefois, à 15 ans, Terroir Manager considère que ce palier est dépassable et même qu'un nouveau boom est possible via les pétillants, dont l'offre peut et doit encore être développée car ils correspondent à un potentiel de ventes additionnelles (bulles alternatives qui ne se substituent pas à d’autres). Ainsi, certains experts estiment que chaque vigneron français pourrait vendre des bulles en complément de gamme sans pour autant ébranler le marché des effervescents, c’est dire le potentiel … Au-delà des vins - boissons effervescents, un développement en boissons effervescentes à base de vin s’annonce également prometteur, en rouge et blanc. Dans ce contexte, les bulles gaillacoises peuvent et doivent monter en puissance, disposant en effet d’une histoire séculaire en la matière, d’équipements collectifs récemment modernisés et bien sûr d’une méthode de plus en plus tendance (l’Ancestrale). A suivre.
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