Les 26 et 27 juin, se déroulait le lancement du projet ARMETISS à la forteresse d'Oscarsborg, en présence des membres du consortium ARMETISS, dont Chamatex, de l'AED et des représentants des ministères de la défense 👊 Pour rappel, ARMETISS est un programme européen ayant pour objectif de mettre à profit le potentiel des textiles innovantes et intelligents à travers leur intégration dans des équipements militaires de pointe 🪖🚀 Chamatex est fière de contribuer à cette mission notamment avec ses technologies SUSPENDOR et KARAPACE 💪 #ARMETISS #smarttextile #innovation
Post de Chamatex
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“Oui, les projets de R&D multinationaux appliqués à la défense sont complexes et soumis à des retards et divergences opérationnelles entre les pays partenaires, comme on a pu le voir dans les projets “Eurofighter” et “FCAS” qui ne décollent pas… Mais c’est toujours une bonne nouvelle d’en savoir plus sur chaque projet qui peut devenir un vecteur de dissuasion et de projection technologique “Made In Europe” ! 🇫🇷 🇩🇪 🇪🇺
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🌍 La Défense européenne devient un enjeu crucial de souveraineté pour la prochaine mandature. Nos industries textiles jouent un rôle-clé, de la fabrication de vêtements de sécurité à la production pour l'aéronautique militaire et l'armement. 🧥 Comment les appels d'offre européennes peuvent ils intégrer une préférence locale, et jusqu'à quel pourcentage ? Cette préférence pourrait-elle être étendue à tous les appels d'offre publics ? https://lnkd.in/er-wuY9m #DéfenseEuropéenne #IndustrieTextile #Souveraineté #Innovation #MarchésPublics #MadeInEurope #Protection #Sécurité #Aéronautique #Armement #PréférenceLocale
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Bonne ou mauvaise nouvelle pour la France? Réponse: mauvaise. "Après une tentative ratée en 2017, la 2ème fois devrait être la bonne pour John Cockerill (qui s'appelait alors CMI) pour s'offrir Arquus (appelé alors Renault Trucks Defence) pour un montant estimé à environ 300 millions d'euros. Le groupe belge a annoncé lundi qu'il est entré en négociations exclusives avec le suédois Groupe Volvo (dont le chinois Geely possède 16% de son capital) pour acheter le constructeur français de véhicules blindés légers Arquus. "C'est une très belle opération pour John Cockerill, qui réussit ainsi un mouvement majeur dans l'industrie de la défense européenne. « Elle marque également une étape majeure dans la création d'un champion européen de la défense, positionné de manière unique pour répondre aux besoins évolutifs des gouvernements en France, en Belgique, en Allemagne et dans d'autres pays partenaires », a confirmé John Cockerill dans son communiqué." Commentaire: Regardons les perdants et les gagnants. LES PERDANTS: NEXTER (= KNDS France) 1/ Qui était l’acheteur naturel d’Arquus, avec 4 programmes majeurs communs (VBCI, Caesar, Griffon, Jaguar sans compter le VBAE), générateurs de synergies de coûts (simplification des interfaces) et de revenus (meilleure compétitivité export). 2/ Qui loupe une opportunité de devenir LE leader français du terrestre à l’instar de Naval group et Dassault Aviation. 3/ Qui voit le renforcement d’un concurrent en France et en Belgique. LA FRANCE qui en ne poussant pas le rapprochement avec Nexter, dont elle est actionnaire à 50%, perd l’occasion : 1/ De simplifier et renforcer sa supply chain terrestre en faisant émerger un leader Nexter + Arquus. 2/ De mieux pérenniser Arquus, fournisseur important de son armée de terre. 3/ D’augmenter la souveraineté de ses industriels de défense, Nexter étant 50 % français alors que John Cockerill est 100 % belge. LES GAGNANTS: • LE SUEDOIS VOLVO : qui se débarrasse (enfin !) d’une division non stratégique voire gênante (car défense) et de petite taille à l’échelle du groupe. • LE BELGE JOHN COCKERILL, qui acquiert des compétences qu’il n’a pas, véhicules pour y placer ses tourelles, et une part de marché en France. • LA BELGIQUE, qui pourra confier le soutien des véhicules du programme CaMo à un acteur belgo-français plus compétent que John Cockerill seul. • KNDS ALLEMAGNE, qui bénéficie des affaiblissements de KNDS France. On résume : une mauvaise nouvelle pour la France. Une bonne nouvelle pour tous les autres: la Suède, la Belgique et l'Allemagne. Les Français ne paient pas des impôts pour favoriser "l'industrie européenne" ou "l'industrie des autres" contre les intérêts de l'industrie française. C'est tout l'avenir de notre filière terrestre qui est en danger. #faireface
Armement terrestre : le belge John Cockerill va s'offrir Arquus
latribune.fr
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Excellente analyse de la conjoncture actuelle des PME de la BITD.
👀 Consultez le très riche numéro du 📖 « Magazine des Ingénieurs de l'Armement (CAIA) »* consacré aux « Montées en Puissance » de l’industrie de #Defense du pays. Et en particulier 🔎 l’article de FRANCOIS DEGRYSE qui y partage le témoignage d’une PME de la défense (#Pyroalliance) relevant le défi de la montée en cadence dans un contexte dit d’ #EconomieDeGuerre. L’article permet aussi de revenir sur le dispositif d’accompagnement de la nouvelle Direction de l’Industrie de Défense (DID) de la DGA - Direction générale de l'armement dédié à certaines entreprises de la BITD** dont Pyroalliance a bénéficié. Merci à Olivier MARTIN et Jérôme de Dinechin pour ce partage d’analyses et de témoignages passionnants ! 🔗 Lien vers le magazine complet : https://lnkd.in/efwDsTDD * 🖋 Publication de renom de la Confédération Amicale des Ingénieurs de l’Armement (CAIA) dont les auteurs sont tous issus de ce grand corps technique militaire du ministère de la défense. **Base Industrielle et Technologique de Défense https://lnkd.in/dE_ASiQR
LE DÉFI DE LA MONTÉE EN CADENCE ?
caia.net
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Entrepreneur, professeur, auteur et acteur de politiques publiques, animateur et facilitateur d'écosystèmes.
Eurosatory 2024. le ministre de la défense, sous le regard allemand, mais surtout de beaucoup de délégation européennes et étrangères, insiste sur un salon fait pour les militaires et les industriels, sur la réassurance de la production notamment des Caesar et Aster, sur le savant équilibre entre fabrication et innovation, sur la décision de sauter une génération d'équipement pour les drones et l'IA reconnaissant que l'aide à l'Ukraine est bénéfique en terme de retour d'expérience notamment sur le sol air, sur la recherche d'alliances qui fonctionnent avec une veille d'interopérabilité sur le segment terrestre, sur le succès des rapprochements industriels français, belges et désormais luxembourgeois, et sur les avancées du MGCS, résumant aussi que vendre une arme est un partenariat stratégique et plus qu'un contrat. (rappel pour les puristes : partenariats = coopérations, collaborations et alliances)
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Project Manager | PMO | Senior Business Analyst | Project Leader | Finance | Pharma | Wealth Management
On a donc donné Nexter aux Allemands. On vend Arquus aux Belges. On achète l'arme principale de l'armée, le fusil d'assaut à HK. Après l’abandon du Famas, qui faisait la fierté de Saint-Etienne tant il constituait une arme compacte à la cadence de tir élevée, notre Nation poursuit tambour battant son marathon de l'erreur en acceptant l'achat, par le Belge John Cockerill, de la filiale Arquus, deuxième constructeur français de blindés derrière Nexter. Plus grave encore, cette vente est présentée comme un "générateur de synergies" franco-belges par les thuriféraires de l'accord, véritables gestionnaires du renoncement. Rappelons que Bruxelles, comme Berlin, Amsterdam, Rome, Varsovie ou Copenhague, n'a jamais signé avec Dassault pour équiper son armée de l’air en Rafale, un avion de chasse pourtant performant et produit par un voisin. De cette audace seulement naîtrait un embryon de Défense européenne et donc l’amorce de ces « synergies » si souvent annoncées qu’on ne les attend plus. Hormis la Grèce et la Croatie, tous nos partenaires se maintiennent dans l'ombre étasunienne, achetant parfois, comme ce fut le cas en 2016 après la rupture du contrat polonais portant sur 40 Caracal d’Airbus, « sur étagère », c'est-à-dire sans obtenir la moindre compensation industrielle. Avec la vente d'Arquus, la France met à l'encan le dernier pan de ses fleurons industriels, à savoir ceux de la Défense qui nous procurent - mais pour combien de temps ? Petit rappel, notre président actuel est l’homme qui a conseillé la vente des turbines d’Alstom à l’Américain General Electric une perte majeur pour la France. En termes de réindustrialisation du pays et si on a effectivement une stratégie de réarmement, sur laquelle notre président a insisté récemment, je ne suis pas complètement convaincu par l'approche. #Arquus #france #deindustrialisation #industrie
Armement terrestre : le belge John Cockerill va s'offrir Arquus
latribune.fr
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Le Défi de l'Innovation dans l'Industrie de Défense Française face à la Concurrence Internationale 🇫🇷 🌍 Dans un monde où les dynamiques géopolitiques évoluent rapidement, l'industrie française de la défense fait face à un défi majeur : la montée en puissance de nouveaux concurrents sur le marché mondial de l'armement. l’article de Jean-Michel Bezat pour le quotidien Le Monde met en lumière les complexités et les enjeux de cette situation. La France, avec sa base industrielle et technologique de défense (BITD) forte de 4 000 entreprises, a longtemps été un leader dans la production d'équipements militaires de haute qualité. Cependant, les tendances actuelles révèlent une dépendance croissante à des produits phares comme le Rafale, et une difficulté à s'adapter aux nouveaux marchés et technologies, notamment dans les domaines des drones et des systèmes de combat terrestre. 🔍 Des pays comme la Corée du Sud, la Turquie et Israël, avec leurs industries d'armement en pleine expansion, offrent désormais des alternatives compétitives, alliant innovation, qualité et coût efficace. Ces acteurs émergents bénéficient d'un soutien étatique significatif et d'une approche plus flexible en matière de transfert de technologie et de production locale, ce qui leur permet de gagner rapidement des parts de marché. 🤔 Comment la France peut-elle répondre à ces défis ? Cela nécessitera une réflexion stratégique approfondie, une innovation constante et une adaptation aux nouvelles réalités du marché mondial de la défense. La coopération internationale, les partenariats stratégiques et l'investissement dans les technologies de pointe seront essentiels pour maintenir la position de la France sur le marché mondial. Quelles stratégies devraient être adoptées pour renforcer la compétitivité de l'industrie de la défense française ? Comment pouvons-nous innover tout en préservant l'excellence et l'indépendance stratégique de la France dans ce secteur clé ? Lien vers l'article : https://lnkd.in/eET7efBS #cooperationinternationale #OTAN #UE #Defense #armement
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➡ Le belge FN Browning Group s'intéresse à l'armurier VERNEY-CARRON - CRÉATEUR DEPUIS 1820-Carron Le groupe belge FN Browning Group est intéressé par Verney-Carron, filiale du groupe Cybergun Group. Le groupe belge FN Browning Group (ex-Herstal Group) s'intéresse, selon des sources concordantes, à l'entreprise Verney-Carron. Pour autant, cet intérêt pour l'armurier stéphanois, détenu à 65% par le groupe Cybergun et à 35% par la famille Verney-Carron (via Verney-Carron Développement), n'a pas été encore formalisé. Les deux groupes continuent de discuter. Cybergun aimerait trouver un partenaire industriel pour faire passer un cap en matière de taille à Verney-Carron, actuellement en pleine restructuration. Basé à Herstal (Belgique) et détenu à 100% depuis 1997 par Wallonie Entreprendre, outil économique et financier de la Région wallonne, FN Browning Group, qui avait déjà regardé le dossier en 2022 avant de le refermer, pourrait ainsi confier des productions et des opérations de MCO (Maintien en condition opérationnelle) à un groupe français. Contactés par La Tribune, FN Browning Group et Cybergun n'ont pas souhaité faire de commentaires. Verney-Carron en petite forme En 2023, Verney-Carron (environ 90 salariés) a réalisé un chiffre d'affaires en légère hausse à 5,4 millions d'euros pour un résultat d'exploitation négatif de 3,4 millions d'euros, selon le rapport financier annuel de Cybergun. Le résultat net a quant à lui plongé à - 4,49 millions d'euros. Pour relancer l'entreprise stéphanoise, Cybergun est en train d'investir 10 millions d'euros environ. En outre, en novembre 2023, la société avait conclu un contrat cadre pour la livraison d'armes de petit calibre à l'Ukraine. Ce contrat prévoyait la livraison de 10.000 fusils d'assaut, 2.000 fusils de précision et 400 lance-grenades pour un montant estimé à environ 36 millions d'euros. Un contrat qui pour le moment n'a été mis en œuvre mais qui ne serait pas caduc. En revanche, FN Browning Group (marques FN, Browning, Winchester et Noptel) est en pleine forme. Dirigé par Julien Compère, le groupe belge a présenté en 2023 un résultat net historique de 75 millions d'euros et un EBIT de 90 millions d'euros. Toutefois le chiffre d'affaires de FN Browning Group a réalisé un chiffre d'affaires en baisse (908 millions d'euros) par rapport à 2022 (956 millions) et emploie 3.090 salariés. Le pôle Défense & Sécurité contribue au chiffre d'affaires à plus de 500 millions d'euros et le pôle Chasse & Tir sportif à plus de 400 millions d'euros. Enfin, le groupe dispose d'une trésorerie nette de 250 millions d'euros. Munitions de petit calibre L'opération entre Cybergun et FN Browning Group concernant Verney-Carron, si elle se concrétise, est dissociée d'un projet franco-belge d'installer en France une activité de munitions de petit calibre dans le cadre du partenariat de plus en plus étroit entre Paris et Bruxelles dans l'armement terrestre. (...)
Le belge FN Browning Group s'intéresse à l'armurier Verney-Carron
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A venir à l'été 2024, une note d'orientation industrielle (NOI) émanant de la nouvellement créée Direction de l'industrie de Défense (DID) de la DGA - Direction générale de l'armement sur ce que veut dire une Base Industrielle et Technologique de Défense (BITD) souverainne (en sourcing de composants/matières premières, en moyens de production/machines, en capacités de soutien...), et en délimitant et priorisant notamment les axes d'effort #dga #industrie #bitd #defense
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