Post de Charly | Recrutement & Intérim

Les candidats mentent. Mais qui fabrique vraiment les mensonges ? Par exemple, vous posez la question : « Vous êtes parti de l’entreprise X, et derrière vous n’avez pas travaillé pendant 2 ans ? Pourquoi ? » Là, le candidat se transforme en avocat de sa propre vie. Il improvise une défense. Et vous voilà à douter de tout ce qu’il dit, même de son prénom. Maintenant, essayez plutôt : « Qu’avez-vous fait après avoir quitté l’entreprise X ? » Le ton change. La réponse devient naturelle. Parce que la première question juge. La deuxième invite. Petit flashback… (Gros flashback pour certains…) Imaginez-vous en classe un mardi matin. Vous n’avez pas fait vos devoirs. Le professeur vous demande : « Est-ce que tu as pu trouver un peu de temps pour travailler là-dessus ? » Et à d’autres : « T’as eu le temps de faire ce qu’il fallait faire ou t’as rien fait du tout ? » La première déculpabilise et invite. La seconde accuse et provoque un mensonge. Si vous servez des mauvaises questions, on vous donnera des mauvaises réponses. Même pas volontairement ! En entretien, les bonnes réponses commencent avec de bonnes questions. Des questions qui révèlent, qui permettent au candidat de raconter. Pas des questions qui le poussent à se justifier comme s’il avait oublié de faire ses devoirs. Comment vous préparez vos questions ?

𝙏𝙖 𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙞𝙩é 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙩𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙛𝙛é𝙧𝙚𝙣𝙘𝙚!!🏋♀️😇 La mentalité est le moteur de toutes nos actions, surtout en tant que femmes. Les stéréotypes nous placent souvent dans une position désavantageuse, et beaucoup d’entre nous craignent le jugement. Par peur ou par manque de confiance, nous laissons nos faiblesses nous retenir, et parfois nous choisissons de ne pas nous en débarrasser. Combien de fois avons-nous entendu ou même prononcé des phrases comme : « 𝐌𝐨𝐢, 𝐣𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐱 𝐩𝐚𝐬😢 », « 𝐉𝐞 𝐝𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐚 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐜𝐢𝐭é à 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞 𝐟𝐚𝐜𝐞 à 𝐗 𝐨𝐮 𝐘. 😔 » Récemment, j’ai participé à une formation en ligne réunissant plusieurs pays africains, avec un test final pour obtenir un certificat. Un groupe WhatsApp avait été créé pour échanger des informations utiles. Le jour de l’examen, tout le monde était sous pression pour respecter les délais. Après avoir terminé mon travail, j’ai pris le temps de lire les échanges et j’ai vu une question qui m’a interpellée : une jeune femme demandait ce que signifiait « 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮’𝐮𝐧 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐩𝐢𝐞 ». Une autre lui a gentiment répondu, malgré la tension ambiante. Ce que je retiens, c'est qu'il faut que nous comprenions que : 👉𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫. 👉𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫𝐬. 👉𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐧𝐨𝐫𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐬𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬, 𝐦ê𝐦𝐞 𝐬𝐢 𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐛𝐚𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬. ℂ𝕖 𝕢𝕦𝕚 𝕖𝕤𝕥 𝕒𝕟𝕠𝕣𝕞𝕒𝕝, 𝕔’𝕖𝕤𝕥 𝕕𝕖 𝕤𝕒𝕧𝕠𝕚𝕣 𝕢𝕦’𝕠𝕟 𝕟𝕖 𝕔𝕠𝕟𝕟𝕒î𝕥 𝕡𝕒𝕤 𝕢𝕦𝕖𝕝𝕢𝕦𝕖 𝕔𝕙𝕠𝕤𝕖 𝕖𝕥 𝕕𝕖 𝕟𝕖 𝕡𝕒𝕤 𝕧𝕠𝕦𝕝𝕠𝕚𝕣 𝕗𝕒𝕚𝕣𝕖 𝕝’𝕖𝕗𝕗𝕠𝕣𝕥 𝕕’𝕒𝕡𝕡𝕣𝕖𝕟𝕕𝕣𝕖.👂🏼 Au fil du temps, j’ai compris que la confiance en soi, personne ne la cultivera pour nous. C’est à nous de nous répéter sans cesse que "je peux y arriver", d'accepter nos lacunes et de rester toujours prêtes à apprendre. 𝐋𝐚 𝐪𝐮𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐬𝐭 : 𝐐𝐮𝐞𝐥 𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐝é𝐬𝐢𝐫𝐞𝐬-𝐭𝐮 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐢𝐥𝐥𝐞 ? 𝐂𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐬 𝐞𝐧 𝐭'𝐚𝐦é𝐥𝐢𝐨𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐨𝐮 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐨ù 𝐭𝐮 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐠𝐫𝐞𝐭𝐬 𝐞𝐧𝐯𝐚𝐡𝐢𝐫 𝐭𝐨𝐧 𝐜œ𝐮𝐫 ? 𝔸𝕡𝕡𝕣𝕖𝕟𝕕𝕤 à ê𝕥𝕣𝕖 𝕠𝕡𝕥𝕚𝕞𝕚𝕤𝕥𝕖, 𝕣𝕖𝕤𝕚𝕝𝕚𝕖𝕟𝕥𝕖, 𝕠𝕦𝕧𝕖𝕣𝕥𝕖 𝕕'𝕖𝕤𝕡𝕣𝕚𝕥, 𝕒𝕦𝕥𝕠-𝕞𝕠𝕥𝕚𝕧𝕒𝕥𝕣𝕚𝕔𝕖,𝕡𝕣𝕠𝕒𝕔𝕥𝕚𝕧𝕖 !! Ps: 𝙈𝙖 𝙙𝙚𝙫𝙞𝙨𝙚 𝙙𝙚𝙢𝙚𝙪𝙧𝙚 : 𝙅'𝙖𝙥𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙨 𝙤𝙪 𝙟'𝙖𝙥𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙨 !! Retrouve en commentaire la différence entre le CC et Cci. Clémence ✍ #mentalitépositive #Motivationféminin #DéveloppementPersonnel #femmesourcedusavoir

𝗙𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘂𝗻 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗳 : 𝘂𝗻 𝗱𝗶𝗹𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗲́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲 𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 En tant que recruteur, l’une des missions les plus délicates est de faire un retour constructif aux candidats, surtout lorsqu’on décide de ne pas donner suite à leur candidature. Cela prend du temps, de l’énergie, et demande beaucoup de diplomatie pour ne pas braquer ou vexer. 🚩 𝗟𝗲 𝗱𝗶𝗹𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗱𝘂 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗳 : Même lorsque la forme est soignée, on peut faire face à des réactions inattendues : déni, incompréhension, voire violence verbale. J’ai déjà eu des candidats me raccrochant au nez, coupant la visio brutalement, lançant des insultes ou me menaçant de laisser des commentaires négatifs… Et ça, malgré tous les efforts pour rester constructif. Un des cas les plus courants est celui des candidats qui, après un retour négatif avec des axes d’amélioration, entrent dans des justifications interminables pour obtenir notre approbation ou entamer un débat. 🎯 𝗔𝗻𝗲𝗰𝗱𝗼𝘁𝗲 𝗿𝗲́𝗰𝗲𝗻𝘁𝗲 : Récemment, j’ai rencontré un candidat junior en visio. Il avait une expérience limitée mais potentiellement intéressante pour l’un de mes clients. Il ne rayonnait pas en entretien, mais je n’ai pas identifié de “red flag” majeur. Je l’ai donc envoyé à un entretien client après l’avoir coaché, comme à chaque fois. Après son entretien, le candidat m’a dit que ça s’était bien passé. Cependant, un détail m’a interpellé : il a critiqué un test en affirmant que les questions étaient mal formulées, et qu’il avait su répondre uniquement après les avoir fait reformuler. 🧐 J’ai contacté mon client pour débriefer et, sans surprise, il m’a fait part d’un entretien “farfelu”. Le candidat avait avoué avoir menti à un ancien employeur, attaqué un autre aux prud’hommes, et qualifié un troisième de voleur. Il avait critiqué le test (qu’il avait pourtant raté) et montré un savoir-être très limite. Face à cette situation, j’ai hésité. Le candidat semblait incapable de se remettre en question et rejetait systématiquement la faute sur les autres. J’ai pensé : « un retour détaillé ne serait même pas productif. » J’aurais pu lui faire un retour détaillé et l’accompagner sur ses axes d’amélioration, mais j’ai finalement opté pour une réponse plus simple : “Mauvais résultat au test, pas de suite”. 🤔 𝗟𝗲 𝗱𝗶𝗹𝗲𝗺𝗺𝗲 : 𝗲́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗼𝘂 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗼𝗿𝘁 ? Je me suis posé la question : fallait-il faire ce retour détaillé au risque d’investir plus de temps, d’énergie et de subir une charge émotionnelle supplémentaire ? Ou rester dans une zone de confort et de productivité ? J’ai choisi la deuxième option, troquant un peu de mon éthique de recruteur pour du confort. 👉 𝗘𝘁 𝘃𝗼𝘂𝘀, 𝗳𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀, 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗽𝗿𝗶𝘅 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗰𝗼𝘂̂𝘁𝗲𝗿 ?

Il y a une entreprise aux États-Unis qui a fait l'impensable pour pouvoir recruter son personnel de travail. Je vais vous raconter un tout petit peu ce qu'ils ont fait. Ils ont lancé un recrutement et beaucoup ont postulé. Ils ont mis l'entretien pour le recrutement supposons à 9 h. Déjà à 9 h, tout ceux qui avaient postuler étaient présents dans la salle d'attente. La salle d'attente était équipé de caméra. Ils ont commencé par appeler les postulants à partir de 10 h. Savez-vous ce qu'ils ont fait ? Ils ont choisi les meilleurs en fonction de comment ils étaient assis et de comment ils se comportaient dans la salle d'attente. C'est dingue, n'est-ce pas ? En réalité, ils ont observé tout les postulants à travers la caméra installée dans la salle d'attente 😅 En réalité, la manière dont vous vous asseyez en dit long sur votre personnalité, mais malheureusement vous l'ignorez. On peut lire votre avenir dans votre manière de vous assoir, dans vos postures. Votre corps reflète toujours directement comme indirectement votre type mentalité. Les gens peuvent donc deviner quel type de personnes vous êtes juste en analysant votre manière de marcher, de vous assoir et de vous tenir debout. Ne faites rien au hasard dans votre vie. Rien, je vous dis. Si je dois parler, je vais révéler tellement de choses que beaucoup ne vont plus jamais se négliger. Pourquoi je vous raconte tout cela ? C'est juste pour une simple raison et c'est celle-ci : Votre apparence joue sur vous lorsque vous souhaitez persuader/convaincre les gens. Il a été par exemple prouvé par une étude d'experts que les gens qui se tatouent ont plus de difficulté à persuader que ceux qui n'en n'ont pas. Ceci est simplement due à leur apparence. L'exemple est que certains hommes ne sont pas des bandits. Ils ont même des valeurs precieuses, mais juste à cause de leur apparence / physique , personne ne peut les croire si ils affirment qu'ils ne sont pas des brigands. Tout simplement parce que leurs apparence les trahissent. Dans notre programme Parler Pour Impacter, nous allons révéler à nos participants quelque postures et gestes qu'adoptent les grandes personnalités politiques qui les amènent à dominer leurs concurrents. Les inscriptions pour le programme Parler Pour Impacter finissent cette semaine. C'est donc votre dernière chance de participer à ce programme à ce prix. Inscrivez-vous donc ici 👇 https://lnkd.in/dmHUsYXp PS : En image, la photo de l'une de mes anciennes étudiantes que j'aime beaucoup taquiner. Désolé Ariane d'utiliser cette image sous le post 🤣🤣 Tu as pris la bonne posture qu'il fallait pour mon post 😅😅

𝐎𝐧 𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é𝐬 𝐚𝐮𝐱 𝐓𝐈𝐌𝐈𝐃𝐄𝐒 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐜𝐢é𝐭é ❌ J'ai jeté un coup d'œil à mon dictionnaire électronique à la recherche de la définition du mot #timide et voici ce que j'ai découvert: il est dit qu'est timide ce « qui est craintif, qui manque de hardiesse, d’assurance. » 😏 En d'autres termes, une personne timide est craintive, elle manque de hardiesse et d'assurance. De cette définition, dites-moi sincèrement qui aimerait confier une lourde responsabilité à un timide ? Vous ? Je ne pense pas. 🙅 Êtes-vous sûr (e) que si vous occupez un poste dans une institution de la place et que vous avez le pouvoir de recruter des personnes pour vous aider à booster le chiffre d'affaires de l'institution vous choisirez UN TIMIDE ? 🤔 C'est au vu de tout cela que j'affirme ce qui suit: les timides ne se verront pas accorder de grandes responsabilités dans notre société à moins qu'ils acceptent de s'améliorer, de travailler sur eux-mêmes afin d'être plus confiants et hardis. ▶️ Si tu es timide et que tu arrives difficilement à t'affirmer en public, ▶️ Si tu es allé (e) de frustration en frustration à cause des opportunités manquées simplement parce que tu es TIMIDE, tu manques de confiance en toi, ▶️ Si tu désires ardemment changer de statut et saisir dorénavant toutes les opportunités qui se présentent à toi en étant une personne confiante qui parle avec assurance et puissance, écris-moi inbox ou au +2250596863734 (WhatsApp) pour que je t'aide. Tu as de la valeur, ne laisse pas la timidité te détruire et te faire passer à côté de ton destin. 🙏 #prisedeparoleenpublic #commentparlerenpublic #astucespourparlerenpublic #howtospeakinpublic

Le rapport d’étonnement est souvent demandé aux nouvelles recrues pour recueillir un regard neuf sur l’entreprise, il reflète la perception brute de l’organisation par un œil extérieur. Pourtant, ce type de demande soulève plusieurs enjeux et difficultés pour celui qui doit s’y prêter. 🧐Un regard frais permet d’identifier rapidement des dysfonctionnements ou des axes d’amélioration. (Oui mais quelles conséquences ? Sanction si vexation? Amélioration ou indifférence ?) 🪃Un outil de feedback : Il s’inscrit dans une logique de transparence et d’amélioration continue. (Dans l'idéal mais...) ✂️L’exercice n’est pas un test : Il n’y a pas de “bonne réponse”, l’objectif étant d’exprimer un ressenti honnête. (C'est là que ça se gâte...😬) ⚠️ Pourquoi est-ce un exercice difficile ? (Quelques idées spontanées à approfondir) 👉 Biais cognitifs : Dès les premiers jours, nous sommes influencés par des biais (d’observation, de confirmation). Ce que nous percevons peut ne refléter qu’une partie du réel. 👉 Drivers internes : Le besoin de perfection ou de reconnaissance pousse à lisser ses propos, de peur d’être mal perçu. 👉 Peur du jugement : Que dire sans paraître critique ou naïf ? Où placer le curseur entre sincérité et prudence ? 👉 Enjeux invisibles : Les nouvelles recrues n’ont souvent pas accès à l’ensemble des enjeux politiques internes, ce qui peut biaiser leur analyse. ✨ Une analyse plus profonde : Ce rapport d’étonnement met en lumière une tension fondamentale dans le positionnement professionnel : Faut-il oser dire ce que l’on pense, quitte à détonner ? Ou bien jouer la carte de la diplomatie, au risque de passer à côté d’opportunités de changement ? L’exercice révèle autant l’entreprise que la personnalité de celui qui le rédige. Il devient alors un formidable outil de développement personnel, invitant à travailler sur ses peurs, ses filtres cognitifs et sa capacité à s’adapter. Le rapport d’étonnement n’est pas qu’une prise de parole neutre. Il agit comme un révélateur de nos mécanismes internes et de notre capacité à nous positionner face à l’autorité et aux enjeux politiques d’une organisation. Un bel exercice pour explorer ses propres biais et mieux comprendre l’environnement dans lequel on évolue.

"𝗡𝗼𝗻, 𝘁𝘂 𝗻'𝗲𝗻 𝗮𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻" ❌ Cela fait 5 ans que Sophie, cadre bancaire dans une entreprise de la défense à Paris, demande à son employeur de financer une formation à la prise de parole. Sa requête a été systématiquement refusée. Sophie, experte dans son domaine, manque d’aisance lorsqu’elle doit faire des présentations, que ce soit en interne ou face aux clients. Sa voix se bloque, elle perd son souffle, et se demande si ses propos sont cohérents. Elle admire les personnes qui s'expriment avec assurance et se demande pourquoi elle fait des blocages. Sophie n'est pas un cas isolé 😤 Beaucoup de femmes actives se retrouvent dans la même situation : désireuses de s'améliorer, mais freinées par une décision extérieure. Ce n'est pas normal qu'un employeur, et surtout si c'est un homme, sache à la place de la salariée ce dont elle a besoin. La prise de parole devrait être une formation obligatoire dès le début de la vie professionnelle. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗰𝗿𝘂𝗰𝗶𝗮𝗹❓ Parce qu’une communication efficace est la clé du succès professionnel. Les femmes manageures qui maîtrisent l'art de la parole, comme Sheryl Sandberg ou Christine Lagarde, brillent par leur assurance et leur capacité à convaincre. Elles montrent l'importance de savoir s'exprimer avec clarté et conviction. 𝗘𝘁 𝗺𝗮𝗶𝗻𝘁𝗲𝗻𝗮𝗻𝘁❓ Il est temps de prendre votre carrière en main 🚀 Ne laissez plus d’autres décider pour vous. Prenez rendez-vous avec moi et découvrez comment ma formation à la prise de parole peut transformer votre vie professionnelle. Comme Sophie, vous méritez de vivre la carrière à laquelle vous aspirez ✨ Cliquez ici (oui, même pendant l'été :-) et découvrez comment elle fonctionne et comment vous pouvez la financer avec le CPF https://lnkd.in/ejb2Me44 #PriseDeParole #FormationProfessionnelle #ConfianceEnSoi #Leadership #CarrièreFéminine

Je me pose la question sur comment nous sommes conscients que nous avons des lacunes mais nous avons du mal à poser des questions? Je faisais partie de ce genre de personnes coincées dans leur bulle qui refusaient catégoriquement de poser des questions aux personnes qui étaient plus aguerries pour finalement comprendre que c’était plus idiot de ma part de rester assise sans aller à la recherche de la connaissance. Jeune, âgée ou non, on devrait avoir le courage d’approcher d’autres personnes afin d’approfondir nos connaissances et à répondre à certaines questions relatives à nos activités ou à notre vie personnelle. Rappelons nous que tout ce que nous vivons d’autres l’ont déjà vécu. Nous aurons forcément une similitude de vécus avec une personne, s’approcher et chercher à savoir sur les actions menées de cette dernière nous permettra d’avoir une visée claire sur comment aborder notre prochaine étape. Ce n’est pas toujours facile de le faire car nous sommes remplis d’à priori. En revanche, il est mieux d’essayer que de rester sur son scepticisme.

T'as prévu un p'tit 2ème ? Cette phrase, sur le ton de l'humour, je ne suis pas la seule à l'avoir subie. Un sourire, un clin d'œil, et pourtant... On n’est pas dupes. Cette petite question est toujours posée quand un poste s’ouvre, quand un projet se lance, quand de nouvelles opportunités s’annoncent. Ces "petites phrases" anodines pour certains peuvent être dévastatrices pour d'autres. Elles peuvent briser une carrière. Elles peuvent surgir au pire moment : ... pendant une fausse couche ... au cours d’un long et difficile parcours PMA ... après une IVG Etre une femme en âge de procréer, c’est risqué, et c’est tabou. Alors on se tait, on fait semblant que ce n’est même pas un sujet. Un homme, lui, peut parler de ses projets familiaux. Un homme peut chercher du soutien après une fausse couche auprès de ses collègues. Un homme peut échanger sur ses difficultés pour avoir un enfant. Et ça ne remet jamais en question sa carrière. Au contraire, ça le rend plus accessible, plus humain, plus authentique. Pour une femme, c'est différent. Il faut se taire, ravaler ses larmes, prouver qu'on n'est pas un risque pour l'entreprise. 𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞. Et c'est encore une réalité pour beaucoup. 𝐀𝐥𝐨𝐫𝐬, 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞𝐬 ? En éduquant. En sensibilisant. En soutenant celles qui osent briser le silence. En vous formant, managers et dirigeants, à une communication plus saine et inclusive. En arrêtant de considérer la grossesse d’une femme comme un risque. Et toi, as-tu déjà entendu ou subi ce genre de remarque ? Partage ton expérience en commentaire. Chaque témoignage compte pour faire bouger les lignes. ************************** 🌟 Je suis 𝗔𝗹𝗶𝗰𝗶𝗮 𝗕𝗼𝘂𝗾𝘂𝗲𝘁, formatrice en management, softskills et formation de formateur. Ma mission number 1 ? Réhumaniser l’entreprise. Ma mission number 2 ? Professionnaliser les formateurs, pour atteindre ma mission number 1. 𝗢𝗻 𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 ? 💪