Post de Christine Orain

Ce soir, le #gouvernement de Michel #Barnier a été censuré. L’ancien président de la République François #Hollande, entre autres, a voté pour cette motion de censure. Qui d’autre parmi les députés ? Découvrez-le dans notre moteur de recherche, ainsi que les analyses sur ce qu’il peut désormais se passer sur le plan #politique, mais aussi pour les #contribuables ou les #retraités, dans nos articles sur Ouest-France

🔹 Les maires et agents communaux s'inquiètent à juste titre de leur capacité à organiser matériellement ces élections législatives dans les délais le plus contraints qui soient et dans une période souvent synonyme de nombreuses fêtes et manifestations locales, la campagne officielle débutant dès lundi prochain. 🔹 Mais la dissolution a d'ores-et-déjà d'autres conséquences importantes sur la "sphère locale" : ✅ abandon de textes en cours de discussion au Parlement (loi sur la simplification de la vie économique, habitat et SRU, communes nouvelles, nombre de conseilles municipaux...) ✅ report aux calendes grecques d'une réflexion générale sur la décentralisation faisant suite à la publication des rapports Ravignon et Woerth ✅ enterrement en première classe de la suppression des catégories A, B et C incluse dans une future loi "Guérini" de réforme de la fonction publique 💡Et politiquement retour à venir sur le terrain local (et donc municipal) de députés qui pourraient perdre leurs postes. 🔷

📢 Un nouveau rapport questionne le mandat de conseiller municipal "Renforcer l’efficacité des conseils municipaux : des solutions pour 2026" Face à une crise réelle de l'engagement local, marquée par la difficulté croissante à attirer des candidats et les démissions en série des maires, les Sénateurs ont rédigé un rapport d’information flash, qui propose diverses recommandations pour améliorer le fonctionnement des conseils municipaux. Voici les points clés de ce dernier et quelques questionnements : 🖊 Réduire le nombre de conseillers municipaux dans les communes de 100 à 3 499 habitants + ✏ Étendre le régime dérogatoire actuel aux communes entre 500 et 999 habitants, permettant de fonctionner avec deux conseillers de moins que l’effectif légal. ❓ Réduire le nombre de conseillers pourrait diminuer la diversité des opinions et la représentativité des citoyens ? Cela ne risque t-il pas de concentrer le pouvoir dans les mains de quelques élus, tout en affaiblissant la représentation des différentes voix au sein des communautés?? ❓ Moins de conseillers signifie une charge de travail plus importante pour les élus restants, ce qui pourrait décourager davantage l’engagement local?? 🖋 Uniformiser le mode de scrutin en appliquant le scrutin de liste aux communes de moins de 1 000 habitants pour améliorer la parité et la cohésion de l’équipe municipale. ❓ Il existe déjà des difficultés à constituer des listes paritaires. 🖊 Créer un statut d'élu local ❓ Si la création d’un statut de l’élu local est une avancée nécessaire, il est essentiel de s’assurer que cela ne se limite pas à une réforme symbolique. La réalité du terrain exige des solutions concrètes pour redonner du sens à l'engagement, comme des mécanismes plus souples d’accompagnement et de soutien aux élus en fonction. https://lnkd.in/g3BsDXJx #Decentralisation #StatutElu #EluLocal

C'est une information importante concernant les prochaines actions du Gouverneur Grâce Bilolo et son appel au soutien du gouvernement provincial pour la vision présidentielle, en particulier en ce qui concerne la réforme constitutionnelle. Il est essentiel que les différentes instances gouvernementales œuvrent ensemble pour promouvoir les intérêts et le bien-être de la population. La cohésion et la collaboration entre les différents niveaux de gouvernement sont indispensables pour mettre en œuvre des réformes importantes telles que la réforme constitutionnelle. Il est encourageant de voir le Gouverneur engagé dans des itinérances pour rencontrer les citoyens et comprendre leurs préoccupations. Cette démarche participative est essentielle pour une prise de décision éclairée et inclusive. Nous espérons que ces efforts contribueront à renforcer la gouvernance, la transparence et la démocratie dans la province.

QUESTION D'ACTUALITÉ Le programme du Nouveau Front Populaire précise : "Passer à une 6e République par la convocation d’une assemblée constituante citoyenne élue."  Pourquoi pas, mais s'agira-t-il d'une assemblée constituante intégrant des participants tirés au sort ? Dans ce cas, ils ne seront pas élus. Serait-ce une assemblée constituante spécifique qui ne sera pas l'assemblée nationale, avec des représentants élus pour cette tache ? Mais dans ce cas, à quoi sert la nouvelle Assemblée nationale. Votre avis m'intéresse.

🇪🇺 🗳️ Européennes : nous avons passé au crible les principales propositions défendues par le Rassemblement National (Off) ⤵️ Une mise en perspective qui permet d’évaluer leur niveau de faisabilité politique. Le Parlement européen dispose-t-il vraiment des pouvoirs pour mettre en place ce programme ? Cela a-t-il déjà été proposé ? 📊 Selon nos dernières projections, le Rassemblement national est susceptible d’envoyer 25 à 29 députés dans le prochain hémicycle. 🔍 Jusqu’au vote le 9 juin, Contexte analysera les mesures clés des principales listes susceptibles d’envoyer des députés siéger au sein du nouveau Parlement.

La stratégie de Gerald Darmanin conduit à une impasse : plus de dialogue depuis la fin 2023. Les tensions sur le terrain liées à cette crise politique, sans parler de la crise économique, nécessite la mise en place d’une mission du dialogue pour renouer les fils de la discussion entre les partenaires. Il faut que l’Etat prenne des initiatives en la matière car l’État est un acteur et non un spectateur de ce processus institutionnel. La seule solution c’est le dialogue autour d’un accord global.

Communiqué de presse Le vote de la motion de censure ce soir marque un tournant politique décisif pour notre pays. Dans ce contexte de crise, il est plus que jamais nécessaire de dépasser les logiques partisanes et de retrouver l’esprit républicain qui doit guider l’action publique. Ce que nous pratiquons au quotidien dans les conseils municipaux de nos territoires ruraux, à travers des majorités bâties sur le dialogue et le compromis, doit inspirer l’échelon national. En ruralité, nous travaillons pour l’intérêt collectif, non pour des calculs politiciens. La République doit renouer avec cette démarche de responsabilité. Il appartient désormais au Président de la République de nommer un Premier ministre capable de rassembler une majorité composée de forces politiques républicaines. Ce gouvernement devra être à la hauteur des attentes des citoyens, en agissant pour leur pouvoir d’achat, leur protection sociale et la stabilité de notre modèle démocratique. Les Français attendent des élus à la hauteur de l’enjeu, capables de dépasser les clivages pour agir dans l’intérêt collectif. C’est dans cet esprit de rassemblement et de dialogue que nous devons tracer l’avenir de notre République. Cyril Cibert Référent du Parti Radical - Centre Gauche de la Vienne

Maintenant l’AMF exige du président qu’il la consulte avant de prendre des décisions qui relèvent strictement de ses prérogatives constitutionnelles. Ben voyons ! Je croyais les collectivités territoriales bien plus agiles que l’Etat impotent… Mais peut être que l’AMF pense qu’il est temps de se passer des élections pour mieux organiser le bal du 14 juillet.

LES EFFETS EN SIÈGES DU FRONT RÉPUBLICAIN : +60 macronistes, +29 nfpistes, +18 républicains ( -109 pour le RN ) Le poids du « front républicain » au sein du Palais Bourbon ? Sans le barrage dit « front républicain » – lancé simultanément dès les résultats du 1er tour des législatives par Macron et Melenchon – le RN et ses alliés auraient obtenu 251 sièges selon simulation de MARIANNE , alors qu’ils n’en ont décroché que 142 dans les faits. Le « front républicain » a ainsi envoyé 109 députés d’autres bords à l’Assemblée Quels camps ont été le mieux protégés par la levée de boucliers. Parmi les 109 sièges sauvés grâce au « front républicain », 60 sont tombés dans l’escarcelle de la coalition présidentielle. Soit plus d’un tiers des 166 députés composant les troupes d’Emmanuel Macron. La proportion de repêchés est similaire chez les 47 élus Les Républicains, puisque 18 d’entre eux l’ont emporté grâce au barrage anti-RN, toujours selon notre estimation. Le Nouveau front populaire (NFP) s’est arrogé 29 places dans l’opération, soit « seulement » 15 % de ses 193 députés. Selon un sondage Ipsos publié le jour du second tour : 72 % des électeurs du NFP ont voté pour un candidat macroniste lorsqu’il était opposé au RN, alors que seuls 50 % des sympathisants du président ont soutenu le NFP en pareil cas. À l’issue de ce barrage favorable à la droite et au centre, les députés de gauche se retrouvent moins nombreux que la somme des élus LR et macronistes. ARTICLE – Assemblée nationale : comment le « front républicain » anti-RN a sauvé les sièges de la Macronie Vases communicants …/…