Post de Chut! Magazine

Nouvelle vie politique, nouveau magazine pour Chut! 🔥 🤝 L'économie peut-elle être l'alliée de l'écologie ? Peuvent-elles se tendre la main, comme nous l'invite à penser la couverture de ce numéro, et réfléchir ensemble à des solutions ? La réponse est oui, avec notamment la redirection écologique ! https://lnkd.in/eMjG9aZy ↩ — Pour aller plus loin 👀 Ecologie et économie partagent la même racine étymologique. « Oikos », leur préfixe commun, désigne en grec ancien « la maison ». Celle qui brûle tandis que nous fermons si fort les yeux. 👉 L’écologie est la science de notre maison, la planète Terre. 👉 L’économie définit les « règles » de la maison, la gestion dirait-on. 🏡 La gestion raisonnable ne passe-t-elle pas aujourd’hui justement par la préservation de notre maison commune ? C’est en réponse à cette question que la redirection s’impose. Pas contre, mais avec l’économie, puisque les deux notions doivent poursuivre le même but, en mettant fin au court-termisme. Ce numéro de Chut ! Magazine explore quelques-unes des voies de cette révolution silencieuse. A commander dès maintenant, au tarif prévente avec frais de ports offerts. Et n'oubliez pas de privilégier l'abonnement https://lnkd.in/erMXE5Mm S’abonner, c’est nous soutenir et soutenir le développement d’un média indépendant autours de valeurs essentielles : inclusion, parité, diversité, écologie et éthique, des mots justes pour la Tech et le numérique.

Les changements de comportements vers la sobriété stagnent alors que les enjeux se font de plus en plus pressants. Incarner l'écologie dans un nouveau mode de vie responsable et désirable peut être la solution qui mène à la grande bascule collective. C'est un enjeu de représentations sociales et donc d'imaginaires. L’ambition de la Fresque des Imaginaires c'est de permettre aux imaginaires écologiques utopiques de reprendre leur juste place aux cotés des imaginaires dystopiques surexploités dans les productions culturelles et les communications des acteurs de la transition écologique. En élargissant le reservoir des imaginaires exploités par les collectivités locales, les entreprises et les associations, on ouvre de nouvelles perspectives d'innovation et on permet l'émergence d'alternatives écologiques qui rencontrent leurs publics. Ce que demandent les habitants et consommateurs c'est des alternatives écologiques répondant à leurs attentes en terme de satisfaction de leurs besoins essentiels et accessibles. Limiter la sur consommation est consensuel, mais les efforts à faire sont du côté des politiques et des entreprises. En travaillant sur des imaginaires écologiques issus des différentes relations que nous pouvons entretenir à la nature nous permettons à chacun de trouver la motivation de prendre soin de soi, des autres et de la nature. Cette reconnexion à la nature est essentielle pour se projeter dans un futur responsable et désirable. La relation de l'humain à la nature structure nos représentations du réél et par conséquent nos modes de vie. Le fondement de la solidarité écologique se situe dans la réconciliation à la nature dont l’humanité est une partie intégrante avec la reconnaissance de notre capacité à contribuer. La fresque des imaginaires c'est un atelier réflexif et créatif permettant de se projeter dans le futur de son territoire, de son entreprise, de sa marque et de ses produits. Les collages partagés en fin d’atelier sont autant de façons de se projeter dans le futur. En intelligence collective enrichie des différentes perceptions de l’écologie de chacun. C'est un atelier thématique qui s'adapte aux enjeux spécifiques, avec des planches d'inspiration déclinées sur mesure et l'intervention d'artistes et designers. Par exemple : habiter en 2050, manger en 2050, s’habiller en 2050... 👉 En savoir plus sur la fresque des imaginaires : Un atelier qui permet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour son territoire, son entreprise, sa marque et ses produits https://lnkd.in/egdSY_r8 👉Prochaines sessions découverte : https://lnkd.in/euHZxBNp 👉 Prochaines formations à l'animation : https://lnkd.in/eSQpu_e3 NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE #NOUSSOMMESVIVANTS

La sobriété contamine le Marketing ? A lire notre ouvrage collectif sans modération 😉

Repenser le marketing en questionnant la manière dont il peut s'accorder avec une logique de sobriété : un ouvrage incontournable qui vient juste de paraître !

QUAND LES HOMMES ET LES FEMMES SE METTENT A CREER A PARTIR DE LEUR FEMININ (aux valeurs de partage, solidarité, fraternité, respect du vivant, des ressources…) L’ESPOIR D’UN FUTUR PROMETTEUR EMERGE ET CELA FAIT DU BIEN ! CF LE DOCUMENTAIRE D’ARTE ”ET SI LE MONDE TOURNAIT ROND ?”, Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’essor du capitalisme mondial nous a entraînés dans une course mortifère au pillage illimité des ressources de la Terre. Imposée tel un credo, l’injonction "acheter, consommer, jeter" qui nous pousse à posséder toujours plus nous mène aujourd’hui vers l’abîme. Et si, pour notre survie collective, il était plus que jamais urgent de changer de paradigme ? Le documentaire lève le voile sur le concept d'économie circulaire, un système économique basé sur l'idée que rien ne devrait être jeté et que tout devrait être réemployé. Un modèle qui pourrait bien sauver notre planète, mais qui suppose de rompre avec nos habitudes et notre frénésie consumériste… Dans son essai La Terre est un être vivant, l’hypothèse de Gaïa (Flammarion) publié en 1979, James Lovelock jette les bases du principe d’économie circulaire qui s'appuie sur un constat : la Terre est un organisme vivant où, des forêts aux calottes glaciaires, du plus petit atome aux écosystèmes mondiaux, tout est connecté, tout se transforme et rien ne se perd. Outre James Lovelock, qui livre, à 103 ans, les ressorts de son approche environnementaliste – abondamment critiquée dans les années 1980 –, ce documentaire donne la parole à trois autres "visionnaires" : la biologiste Janine Benyus, le designer Arthur Huang et le financier John Fullerton. Puisque, dans la nature, tout déchet produit est source d’une nouvelle vie et contribue à l’équilibre et à la pérennité de ce qui l’entoure, ces derniers proposent des solutions concrètes dont notre économie devrait s’inspirer dans les domaines les plus énergivores et polluants : le design, l’alimentation, le logement ou encore la mode.  https://lnkd.in/dRY84b6W (video non disponible en Espagne) Au plaisir de lire vos prochains partages sur ”Equilibre Féminin-Masculin au fil des siècles” : https://lnkd.in/dq5sFuu2

Un "Grand Bien Vous Fasse" de France Inter fort intéressant, présentant les contraintes historiques, géographiques, économiques et écologiques des besoins, identifiés évidemment différemment, en fonction des valeurs et des possibilités des personnes et des populations... Notamment, un bilan détaillant comment et pourquoi la société de (sur)consommation en est arrivée là (un bond au XVIème siècle). => contrainte de durabilité, d'équité et de besoin, => disjonction cognitive => Moyen Âge : 200 objets par personnes. Aujourd'hui : 20 000 (300 000 pour les américains).

4ème édition de l'Onde de coop: Vous le savez, le leitmotiv des Licoornes c'est "Transformons radicalement l'économie". Pour ce faire, nous avons notamment besoin de nous appuyer sur des imaginaires radicalement renouvelés. Cette année, nous vous donnons rendez-vous le jeudi 12 septembre 2024, à l'Académie du Climat, à Paris, pour œuvrer, ensemble, à transformer radicalement nos imaginaires ! Comment modifier nos modes de travail ou de consommation, quand la publicité, les influenceurs et les lieux communs construits pendant des décennies nous donnent pour injonction de consommer plus, toujours plus, toujours plus vite ? Comment peser concrètement face aux moyens colossaux de ceux qui désirent que rien ne change au péril du vivant ? Comment tisser des imaginaires désirables qui nous permettent d'aller vers un monde plus juste et plus vivable ? Comment les mettre en commun ? (...) - Les Licoornes / Paris (75), Région Ile de France, Promotion de l'économie sociale et solidaire, Agenda, Concerne les coopératives, grand public, Les Licoornes (Coopératives pour la transition citoyenne et écologique)

🆕 "Le marketing à l'ère de la sobriété" sous la direction de Jean-Baptiste Welté et Isabelle Dabadie Mounier L’époque est à la sobriété. Face au dérèglement climatique et au gaspillage des ressources, la surconsommation est pointée du doigt. Il faudrait réduire sa consommation et restreindre ses désirs pour préserver les ressources d’une planète au bord de l’épuisement. Le marketing est par conséquent invité à se réformer en cessant progressivement de promouvoir des modes de vie fondés sur l’accumulation excessive. Vaste chantier pour des métiers historiquement tournés vers la conquête de nouveaux marchés. Cet ouvrage collectif, fruit du travail de chercheurs en sciences de gestion, analyse l’émergence d’un marketing et de modes de vie sobres, premiers signaux faibles d’une transformation en cours. Réinvention de la sobriété au temps des crises écologiques, examen de pratiques de consommation sobres, leviers de transformation des comportements et des entreprises… Ces réflexions contemporaines invitent à repenser la pratique marketing ainsi que son rôle dans les transitions environnementales et sociales actuelles.   Dirigé par Jean-Baptiste Welté et Isabelle Dabadie Mounier, avec les contributions de Laurent Assouly-Enseignant-Chercheur (modes de sobriété), Yohan Bernard, Laurent Bertrandias, Véronique Chanut, Isabelle Dabadie Mounier, Leila Elgaaied Gambier, Agnès François Lecompte, Gorge Hélène, Valérie Guillard, François Jarrige, Anne Joyeau, Dr Gabriel Morin, Isabelle Muratore, Marie-Catherine Paquier, Philippe Robert-Demontrond, Marie Schill, Marc Vautier (PhD), Jean-Baptiste Welté. 📗 En savoir plus sur l'ouvrage : https://lnkd.in/emPZJqFA #Marketing #Consommation #Surconsommation #Sobriété #Démarketing #Anthropologie #Écologie #SciencesdeGestion

Pas facile de changer de rôle ! D'inviter les consommateurs à la modération, voire de les accompagner dans une trajectoire de réduction de leur empreinte. C'est pourtant l' un des grands défis du marketing d'aujourd'hui. Merci à Isabelle Dabadie Mounier et Jean-Baptiste Welté d'avoir porté cet ouvrage qui fait le point sur un sujet essentiel. Deux contributions pour ma part: ➡️ Avec Yohan Bernard et Leila Elgaaied Gambier, nous questionnons le rôle du #demarketing dans les transitions sobres en nous appuyant sur l'exemple d'entreprises telles que Loom. ➡️ Avec Agnès Lecompte, nous étudions les conditions d'acceptabilité d'une sobriété normative, qui consisterait à donner aux consommateurs des objectifs de réduction (ce n'est pas de la science-fiction 😉, cela existe déjà).

👩🏫 Cette semaine j’ai assisté à une conférence de l’Université Lumière Lyon 2 au sujet de la mode durable : utopie ou réalité ? 5 professionnels du milieu et militants pour l’écologie étaient réunis. Un débat clivant, mais indispensable, entre fervents défenseurs de l’écologie, certains plus timides ne touchant l’idée que du bout des doigts et d’autres préférant ne pas briser l’omerta. Une phrase de Me Perret Sénécaille, directrice RSE IKKS, a retenue mon attention « Même si on est animé par la volonté de faire bien, on essaie au moins de faire le moins pire… » L’enjeu ne serait-il pas là ? Est-ce que chercher l’empreinte 0 ne serait pas un acte vain ? C’est un fait : chaque geste entrepris, dans une société fonctionnant sur le profit, est une blessure irrévocable à notre écosystème. Il n’existe pas de mode d’emploi pour agir en faveur de l’écologie. Il n'existe pas non plus de remède miracle lorsqu'une économie mondiale repose sur un mode de consommation criminel pour la planète. Considérer la problématique et ne pas négliger sa gravité est un premier pas vers une évolution positive. Et si « faire le moins pire » était déjà un premier pas vers le « bien faire » ? Et si militer pour l'écologie n'était pas synonyme d'idéalisme mais d'audace ? La conférence a mis en lumière beaucoup de questionnements, de la considération de l’impact du vêtement aux règlements mis en place à l’échelle de l’UE, des conditions de productions mises sous le tapis à notre relation symbolique de l’habit et son usage actuel. Un débat enrichissant, et au cœur de l’actualité. 🙌 Merci à l’université Lyon 2, ses intervenants et étudiants en Master ayant organisé cette réunion animée. #universitélumière #lyon2 #isgluxurymanagement #débat #écologie #mode #durable