Post de CNES

Des avancées techniques très intéressantes, surtout quand on sait que la vie peut émerger des fonds marins. Peut-être que ces mesures et ces processus pourront servir ensuite dans des missions spatiales de l'European Space Agency - ESA ou de la NASA - National Aeronautics and Space Administration dans l'exploration de l'#espace si ce n'est pas déjà le cas. Quand à la #Terre, cela nous permet d'en savoir plus sur nos fonds marins et comprendre la structure de notre planète dont nous avons encore beaucoup à apprendre !

Nous connaissons mieux la surface de la Lune ou de Mars que nos propres mers et fonds océaniques, ce qui, au premier abord, peut paraître étrange. La science nous en apprend plus sur nos terres sous marines, mais depuis l'espace, ce qui devient cocasse au final. Un exploit technique et scientifique franco américain.

Artémis, T-shirt à l'effigie de la NASA, rovers martiens et lanceur super lourds... La conquête de l'espace à l'assaut de nos esprits. Entre élan pionnier, spéculation, programme militaire et épopée cosmique, le marché de l'aérospatial s’élèverait à quelques 350 milliards de dollars. Un chiffre à prendre avec des pincettes et au sujet duquel les experts se querellent. (Pour calculer le poids de l'industrie, mieux vaudrait se référer aux tonnes en orbite.) Mais pour Irénée Régnauld, essayiste, et Arnaud Saint-Martin, sociologue au CNRS, auteurs de "Une histoire de la conquête spatiale" (éditions La Fabrique, février 2024), ce marché est surtout « une protubérance issue de la guerre », un héritage technique à rentabiliser au maximum. Et pour cela, toutes sortes de mythes et imaginaires sont convoqués. Retour sur l'histoire de la conquête spatiale mise au service du capitalisme.

🧑🏻🚀Il y a 40 ans : un homme seul dans l’espace. Revenant de sa première mission Proxima, Thomas Pesquet expliquait : « Sortir soi-même de la station, devenir son propre vaisseau spatial, ce sont des sensations incroyables. » Mais il y a 40 ans, l’astronaute américain Bruce McCandless allait encore plus loin. Le 7 février 1984, McCandless flottait librement dans l’espace, sans aucun lien physique avec son vaisseau, une première dans l’histoire. Équipé de sa combinaison spatiale, il portait également sur son dos le « Manned Maneuvering Unit » (MMU), un dispositif muni de 24 tuyères propulsant du gaz froid, lui permettant une mobilité unique dans le vide spatial. Cette époque, suivant le succès d’Apollo, était marquée par une sous-évaluation de la sécurité, la NASA cherchant à repousser sans cesse les limites de l’exploration spatiale. L’accident tragique de Challenger en 1986 changea la donne, entraînant une réévaluation des normes. Le MMU, ne répondant plus aux standards de sécurité renforcés, fut alors retiré définitivement. Restent ces images de McCandless, seul dans l’immensité spatiale, qui continuent de fasciner. #OTD #Space #History P.S. Malgré seulement trois utilisations, le MMU a durablement marqué l’imaginaire spatial, comme en témoigne sa présence dans le film « Gravity » de 2013, porté par George Clooney. Photo : Bruce McCandless se déplace autour de la navette spatiale équipé de son MMU.

Carte gravitationnelle de la Terre 🌎 Le satellite GRACE de la NASA a généré une carte géoïde de la terre basée sur l'ampleur et la forme du globe terrestre et nous montre une image intéressante. Sur l'image, nous pouvons observer plusieurs points déformés et plusieurs nuances de couleurs, qui représentent l'ampleur de la gravité à ce point précis. D'après ce que nous voyons, la répartition de la matière sur Terre n'est pas parfaitement uniforme et donc la gravité non plus. Selon cette répartition, la zone la plus faible gravité serait proche de l'océan Indien, tandis que la zone centrale de l'Europe et le nord de l'océan Atlantique est le plus élevé. Une horreur pour les dénialistes platistes adeptes de la Terre plate 🤗😄😉 qui représentent 20 % de la population US et 10% de la population française quand même 🧐😆 #Terre #gravite #NASA #satellites #gravitation

- L'île de Kilikijii est un concept futuriste qui évoque une base de lancement de navettes spatiales utilisant la technologie laser. - Les lanceurs de navettes spatiales au laser pourraient révolutionner le domaine de l'exploration spatiale, en offrant une méthode plus efficace et potentiellement plus écologique pour envoyer des engins dans l'espace. - La notion de "lunes vertes" pourrait symboliser des lunes ou des corps célestes qui sont écologiquement préservés ou qui représentent un objectif de durabilité dans l'exploration spatiale. - Des projets innovants, comme celui proposé par l'ingénieur de la NASA David Burns, explorent des concepts théoriques pouvant presque atteindre la vitesse de la lumière grâce à des accélérateurs de particules. - La NASA continue de développer des systèmes de lancement puissants, comme le Space Launch System, qui pourrait jouer un rôle clé dans les futures missions lunaires et interplanétaires.

L'île de Kilikijii est un concept futuriste qui évoque une base de lancement de navettes spatiales utilisant la technologie laser. - Les lanceurs de navettes spatiales au laser pourraient révolutionner le domaine de l'exploration spatiale, en offrant une méthode plus efficace et potentiellement plus écologique pour envoyer des engins dans l'espace. - La notion de "lunes vertes" pourrait symboliser des lunes ou des corps célestes qui sont écologiquement préservés ou qui représentent un objectif de durabilité dans l'exploration spatiale. - Des projets innovants, comme celui proposé par l'ingénieur de la NASA David Burns, explorent des concepts théoriques pouvant presque atteindre la vitesse de la lumière grâce à des accélérateurs de particules. - La NASA continue de développer des systèmes de lancement puissants, comme le Space Launch System, qui pourrait jouer un rôle clé dans les futures missions lunaires et interplanétaires.

Lanceur SLS : des coûts et des coups…   La NASA s’est retrouvée début août sur la sellette avec une enquête de l’inspecteur Général (IG) du GAO (l’équivalent de notre Cour des Comptes) relative aux surcoûts du Space Launch System (SLS), lanceur principal pour la mission Artemis visant à envoyer des humains sur la Lune : ·      Le coût de la 1° mission dite Block 1B, prévue pour 2028, s’élève maintenant à 5.7Md$, soit 700M$ de plus qu’en 2023. ·      La part de Boeing dans le SLS est de 2.8Md$ : elle a augmenté de près d’1Md$ depuis 2017. ·      Bechtel, le constructeur de la plate-forme de lancement du SLS, le Mobile Launcher ML-2, n’est pas en reste : le coût du ML-2, estimé initialement à 600M$, est à ce jour de 1.8Md$ et pourrait grimper à 2.7Md$ selon le GAO.   L’IG a eu vite fait de mettre ces dérives au compte des « performance shortfalls » des deux industriels : notamment spécifications non tenues et non-respect des normes, attribués au manque de personnel qualifié du fait de méthodes de formation déficientes... Il est vrai qu’avec 71 problèmes de qualité relevés sur les étages du SLS, la confiance ne peut plus régner....   Cela dit, le vieil adage bien connu qui dit que « la critique est aisée, mais l’art est difficile » m’avait inspiré en mars 2019 un billet dans mon blog de l’Usine Nouvelle « L'art de critiquer les projets complexes » : le GAO (toujours lui !) venait d'épingler la NASA sur ses méthodes de contrôle des coûts et des plannings ; avec raison, certes, mais j’ai toujours trouvé que les « inspecteurs des travaux finis » avait une position beaucoup plus confortable que les « inspectés des travaux non finis »... Je concluais dans ce billet : « La simple constatation de problèmes de budget ou de calendrier, complétée par des considérations superficielles qui ne recherchent pas les causes profondes, n'amène rien dans le débat ». Cette conclusion me semble toujours d’actualité dans le cas du SLS.   En attendant, les coûts du SLS se sont envolés plus vite que le lanceur, et Boeing, Bechtel et la NASA n’en finissent plus de cumuler coups et surcoûts...  

🚀 Nouvelle Frontière de l'Exploration Spatiale et du Souvenir : La Mission Peregrine d'Astrobotic 🌕 Aujourd'hui, je tiens à partager un moment poignant et révolutionnaire dans l'histoire de l'exploration spatiale, soulignant à la fois les triomphes et les défis de cette quête audacieuse. Le 8 janvier, un jalon a été atteint avec le lancement de l'alunisseur Peregrine d'Astrobotic, à bord de la nouvelle fusée Vulcan Centaur de l'ULA, une collaboration entre des géants de l'aérospatiale, Boeing et Lockheed Martin. Cette mission était destinée à marquer un nouveau chapitre dans nos aventures lunaires. Cependant, l'espace reste un domaine imprévisible. Peu après sa séparation de la fusée, le Peregrine a rencontré un obstacle majeur - une explosion à bord, menant à une fuite de carburant et rendant un atterrissage lunaire doux impossible. Malgré cela, l'équipe d'Astrobotic a réussi à activer des expériences scientifiques pour la NASA et d'autres, un témoignage de la résilience et de l'ingéniosité humaines. Mais la mission Peregrine portait plus que des instruments scientifiques. Elle transportait un morceau de notre histoire et de nos rêves - y compris des échantillons d'ADN de figures historiques comme George Washington, J.F. Kennedy, et D.D. Eisenhower, ainsi que des cendres de soixante-cinq personnes, symbolisant un voyage infini parmi les étoiles. Alors que le vaisseau se dirige désormais vers la Terre, probablement pour se consumer dans l'atmosphère, nous sommes rappelés de la fragilité de nos entreprises spatiales. Pourtant, dans cet échec, il y a une beauté indéniable et une leçon à tirer : notre quête de l'inconnu continue, portée par l'espoir et l'audace. Cette mission représente un mélange de science, de souvenir, et de la poursuite inébranlable de l'humanité vers l'inconnu. Elle nous rappelle que dans chaque effort, il y a des leçons à apprendre et des histoires à raconter.

🔥🧊 Le 20 mai 2024, l’Antarctique a vécu un événement majeur: Le détachement du gigantesque iceberg mesurant 380 km2 en Antarctique capturé par satellite ! 📍Il s’agit de la troisième désagrégation d’icebergs significatif dans cette région en quatre ans, après A-74 en 2021 et A-81 en 2023 📍🛰️ La séparation de cet iceberg a été observée grâce aux satellites d’observation de la Terre: Les satellites Copernicus Sentinel-1 de l’ESA et Landsat 8 de la NASA 📍Des outils de surveillance importants pour comprendre l'urgence et l'impact alarmant 🌡️du changement climatique sur les calottes glaciaires. +d'infos 👉🏽tinyurl.com/mwdbm836