Post de CNIL

🛑 Retour d'audience "annulation du pass #JO2024" par David GUYON Avocat - Droit public - Médical #France #QRCode Jeudi 11 juillet 2024 à 11h, Maître David Guyon a vigoureusement défendu nos libertés devant le Conseil d'État en demandant l’annulation du PASS JO2024, un outil de contrôle des foules qui menace gravement nos droits fondamentaux. Deux points importants : - Il n’est pas contesté par le Conseil d’état que le PASSJO aura vocation à s’appliquer à d’autres évènements - Il est possible que l’administration applique en dehors de tout cadre légal une collecte de données personnelles Le pass grand événement/grand rassemblement intègre le contrôle de la population dans notre droit commun de manière permanente. Plus intrusif que jamais, il impose des critères d'accès et des documents nécessaires. Pour rappel, ce pass a déjà été testé lors du #FestivaldeCannes. Délibéré dans 15 jours ou peut-être avant vu l'urgence, soit d'ici 26 juillet 2024 soit le jour de l'ouverture des Jeux https://lnkd.in/dE_FqXxR

Une analyse pertinente de la réalité du marché de la sécurité privée. Cette pénurie de main d’œuvre ne date pas d’hier. Heureusement que l’aspect sécuritaire et organisationnel des JO est venu mettre en lumière cette problématique qui date depuis trop longtemps déjà.

et pourtant la sécurité est le premier moyen pour pénétrer l'entreprise.

Mais qui pouvait raisonnablement penser que le marché français de la sécurité privée était en mesure de fournir 25000 agents par jour pendant la période des Jeux ? 🙄 Cela fait 4 ans que tout a été dit (et écrit !) partout et par tous. Qui, sauf à vivre dans un monde parallèle avec des lunettes fumées et un casque anti bruit, peut encore ignorer que la filière n’est pas en état : faible attractivité économique des marchés proposés, déficit structurel de main d’œuvre au sein la profession, difficultés à circuler et à se loger pendant la période des Jeux… 🫠 Et le pire est que les avertissements émanaient…de la filière sécurité privée elle-même où des entrepreneurs appelaient à… plus d’intervention de l’Etat ! 🤷🏻♂️ Le Gouvernement et le Parlement avaient même reçu l’aide du CDSE et du GES en leur temps : la loi sécurité globale de 2021 n’avait qu’à reprendre à son compte les préconisations du Livre blanc de la sécurité intérieure ; ni plus, ni moins. 😕 Et le bilan ? On l’a hélas sous nos yeux. ☹️ 🔴 #Vigipirate #UrgenceAttentat #Sécurité #Solidarité #SecuritePrivee #Cnaps #paris2024 #Olympic #Paris #Lyon #Marseille #France #Cnaps #Police #Gendarmerie #Securite #Armee #Transport #metro #JOP2024 #sensibilisation #pompiers #security #SécuritéPrivée #Seris #Sécurité #intelligenceartificielle #surveillance 🔴

Pourquoi ne pas simplement renforcer les équipes mobiles de sécurité de chaque académie, plus proches, en leur accordant des prérogatives légales élargies puisque leurs personnels étaient souvent OPJ ?

Les attaques DDOS reviennent sur le devant de la scène via cette attaque et je remercie Valery Rieß-Marchive pour cet article très intéressant qui nous indique que ce groupe est certainement une création ou la reprise d'un groupe de cybercriminels qui n'avait probablement pas assez de ressources techniques à une certaine époque, mais cela est bien différent maintenant. Dans un contexte géopolitique compliqué, certains groupes entrent dans cette cyberguerre ou la France est directement visée par ces attaques DDOS de"nouvelle génération" puisqu'elles utilisent des ports spécifiques et se cachent derrière un masse importante de proxys. Mais faisons confiance, car la cyberdéfense elle, de son côté fait elle aussi son oeuvre. Pour les entreprises, cette attaque démontre sa puissance mais aussi son modèle qui va leur permettre d'être mieux préparées en cas d'attaque de ce type. #DDOS #cybersécurité

Voici deux mois, j'attirais votre attention sur le fait que l'outil principal des #enquêteurs et enquêtrices de la Police nationale et de la Préfecture de Police de Paris n'était pas à jour pour leur permettre d'"encaisser" une énième réforme de la garde à vue. ➡️ https://lnkd.in/eNM_qpWD L'été est passé par là, la sursollicitation des #JOP également, et la grogne croît chez les #OPJ. Comment les blâmer ? Ils ne disposent pas d'un logiciel #LRPPN qui leur permet d'être efficace et réactif, et n'ont pu que constater impuissants à une nouvelle dégradation de leur environnement de travail. Un texte voté en avril dernier, et près de 5 mois plus tard nous avons des Officiers de Police Judiciaire qui bricolent chaque procès-verbal de notification de garde à vue, avec les risques inhérents, sur un logiciel qui ne permet même pas le copier-coller au XXIème siècle. Et je vous passe d'autres détails qui pourraient prêter à sourire, si le dossier n'était pas aussi grave. 🗓️ JUSQU'À QUAND ? Les informations recueillies en essayant de croiser les sources, sont pour l'instant alarmantes, et le silence autour de ce sujet est assourdissant. Certains dispositifs pour pallier la défaillance technique sont en train d'entrer en vigueur (PV distinct de notification des droits nouveaux)... mais certains #OPJ restent perplexes. ⚠️ Nous sommes déjà au-delà de l'urgence 💣

💡La transformation numérique au service des #usagers & des #victimes, afin de simplifier les #démarches et le travail des #policiers 👮🏼♀️ 🏢Des dispositifs complémentaires aux #commissariats de police qui restent ouverts au public 24/7 🤝, car il ne faut pas oublier ceux qui n’ont pas accès au numérique 💻📱 #accueil #accessibilité #besoin #policenationale #Masécurité

Le COC, organe collatéral de la Chambre qui contrôle l’utilisation des données par les forces de l’ordre, a ouvert une enquête sur la collaboration rapprochée entre Anvers et la police fédérale autour d’un outil devenu incontournable dans le paysage policier. Avec Focus, le policier sur le terrain peut savoir quelles sont les infos reprises dans les banques de données policières qui existent sur vous au moment où il est en face de vous, alors qu’avant, il devait passer par le dispatching. C’est en quelque sorte un outil d’aide à la décision sur ce qu’il fait en plus dans le cadre de son contrôle. Mais Focus permet aussi, par exemple, d’assurer le suivi d’une opération à distance. Si vous encodez des informations dedans, le dispatching a en temps réel une vue sur ce que vous êtes en train de faire. » C’est en ces termes que ce commissaire divisionnaire francophone résume les capacités de Focus, outil informatique dont pratiquement tous les policiers locaux du royaume disposent désormais sur leur téléphone portable ou leur tablette. Une interface initialement développée en 2015 par la zone de police (ZP) d’Anvers, avec l’aide d’une société IT paracommunale, Digipolis. Et qui a rapidement fait des envieux. « A un certain moment, c’est sûr que l’effet de voir les policiers anversois sur leur tablette, ça a créé un intérêt et une demande au sein des autres zones », poursuit le haut gradé. Rapidement, Anvers met sa solution au service de zones voisines, tandis que se dessine le projet d’ouvrir le dispositif à l’ensemble des zones du pays. Nom de code : Focus@GPI. Bref Un appétit pour les grands projets qui rend service à l’ensemble de la police, c’est un fait. « Jusqu’ici, la zone d’Anvers se comporte comme un collègue loyal », note à ce titre un chef de corps francophone. Mais à l’heure où la régionalisation de la police et de la justice reste un sujet au nord du pays, certaines inquiétudes peinent à être pleinement dissipées. « Nous sommes à l’aune d’un nouveau modèle de développement pour la police intégrée », ajoute-t-il. « Il y a un questionnement lucide à avoir : aura-t-on toujours les bons outils pour travailler dans le futur ? » https://lnkd.in/eeB5jGb3