Post de Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent

Une nouvelle étape a été franchie dans la mise en place de la nouvelle centrale de cogénération à la biomasse forestière de la communauté d’Opitciwan, en Haute-Mauricie

🌿🏭 Etude d’installation d’une chaufferie biomasse 23 t/h alimentée en partie par des co-produits Coretec SA a accompagné un énergéticien dans le cadre de la définition de solutions de chaufferie biomasse pour un industriel du secteur du bois. 🔎 L’étude d’avant-projet a permis d’analyser plusieurs scénarios envisageables et de traiter plus en détail le plus compétitif : 👉 Installation d’une chaudière vapeur 15 MW biomasse bi combustible, assurant un besoin en vapeur de 23 t/h. La spécificité de ce projet est que l’industriel pourra s’alimenter en combustible en partie avec les poussières de bois issues du process de production du site et compléter avec des plaquettes forestières. Un double bénéfice pour ce projet qui réduit l’impact environnemental du site considérablement, mais aussi qui valorise des déchets de production ! Découvrez notre article sur le sujet : ↪ https://lnkd.in/dmq2ch7r

Le Conseil régional de l'environnement du Bas-Saint-Laurent donne un coup de pour pour la transition énergétique en préconisant l'utilisation de la biomasse forestière résiduelle locale.

Quelle quantité supplémentaire de projets de production d'énergie mobilisant la biomasse en Bretagne est-il possible de développer tout en assurant un approvisionnement durable de l'ensemble des installations ?  Ce dont nous sommes certains, au moment où se profile le besoin de territorialiser la prochaine programmation pluriannuelle de l'énergie : ☑️ Les consommations en bois énergie sont appelées à croitre sous l'effet du nombre de projets d'installation annoncées, par exemple de nouvelles chaufferies au bois, ☑️ Les consommations réelles restent mal connues, ☑️ Les milieux forestiers et bocagers sont fragilisés, Au point de devoir se demander si les flux de consommations entrainés par les projets à venir ne sont pas susceptibles d'entamer le stock de la biomasse forestière et bocagère. Le récent rapport inter-inspections de l'Inspection générale de l'environnement et du développement durable (IGEDD), du CGAAER - Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux, du Conseil général de l’économie (CGE) est publié à point nommé pour appeler notamment à : ☑️ améliorer la connaissance de l’offre et de la demande de biomasse par la constitution d’un observatoire national doté de déclinaisons régionales à partir des structures existantes, ☑️ construire un modèle de simulation des productions agricoles et forestières de biomasse internalisant les conditions agronomiques et climatiques ainsi que la variabilité géographique https://lnkd.in/e2n9PnW3

🪵 Le saviez-vous ? La majorité de notre bois provient de sources proches 75 % de l’approvisionnement en bois de la centrale biomasse provient de 17 départements du sud de la France dans un rayon de 250 km autour de Gardanne. 87 % du bois nécessaire à l’approvisionnement en biomasse provient de zones situées à moins de 1500 km, dans le bassin méditerranéen voisin, entre la France, l’Espagne et l’Italie. 

📈Le mémo des chaufferies biomasse de Bourgogne-Franche-Comté est en ligne ! Cliquez ici pour le retrouver sur le site de FIBOIS BFC : https://lnkd.in/eYhmE6B8 Comme tous les ans, ce document présente le suivi des chaufferies biomasse réalisé pour le compte de l'ADEME et de la Région Bourgogne-Franche-Comté. 💶Au programme de l'analyse thématique annuelle : l'impact des prix des énergies sur le développement de la biomasse !

🚰Le miscanthus est de plus en plus identifié par les collectivités et par l'écosystème agricole comme une solution BNI pertinente pour la préservation de la qualité de l' eau. 💡L'enjeu de la transition énergétique est également une occasion de faire d'une contrainte une opportunité. 🔥L'installation d'une chaudière biomasse approvisionnée au miscanthus permettera de construire des projets de territoire vertueux entre les agriculteurs et la collectivité.

[#MembresActifs #FGR] 3 questions à… Marc Braidy, élu référent #carbone et #bioéconomie de La Coopération Agricole et président de La Coopération Agricole Hauts-de-France. 👉 La Coopération Agricole est la fédération nationale des coopératives agricoles françaises et agroalimentaires, cadette des membre actifs de France gaz renouvelables (FGR), puisqu’elle a adhéré à l’association en février 2024 à l’occasion du dernier Salon International de l'Agriculture.   1️⃣ Pourquoi être membre actif de France gaz renouvelables (FGR) ?   La Coopération Agricole a conduit une réflexion stratégique pour accompagner les coopératives dans leur décarbonation pour relever le défi de l’atteinte de la neutralité carbone en France, qui implique l’engagement de tous les secteurs et acteurs économiques de la chaîne alimentaire. Accélérer le développement du biogaz pour réduire l’empreinte carbone des coopératives agricoles et la dépendance énergétique de la France constitue l’un de ses objectifs majeurs. L’adhésion à France gaz renouvelables (FGR) a confirmé à ce titre notre ambition de participer activement à la décarbonation de notre secteur et à la souveraineté énergétique de la France.   2️⃣ Pourquoi les #gazrenouvelables sont-ils indispensables à la #transitionénergétique ?   La #méthanisation constitue un des principaux leviers de décarbonation pour le réseau des coopératives mais aussi un levier de diversification pour la valorisation de la #biomasse agricole utilisée pour la production de #biométhane. Un duo gagnant et évident, qui a fait ses preuves, et qu’il convient de cultiver.   3️⃣ Une citation qui vous inspire ?   « Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite. » - Henry Ford   Chaque semaine, France gaz renouvelables (FGR) vous propose de faire la connaissance de ses membres actifs ! Restez connectés 🤳   La Coopération Agricole Laurent BLEUZE Carole Le Jeune

🌱 Lancement du Schéma régional biomasse (SRB) Centre-Val de Loire ! 🌱 Le 14 mai 2024, une réunion inaugurale a rassemblé plus de 40 acteurs clés de la région, des institutions aux experts, marquant le début officiel de l'élaboration du SRB. Un pas important vers un avenir énergétique durable !   Pourquoi un SRB ? Le SRB favorisera le développement de la valorisation énergétique de la biomasse, une ressource biodégradable aux multiples sources : forêt, agriculture et déchets.   Ce schéma, intégrant un état des lieux approfondi, des orientations et soumis à évaluation environnementale, vise à répondre à des questions cruciales : quelle quantité de biomasse valoriser et quelles mesures concrètes mettre en œuvre pour promouvoir cette mobilisation, tout en respectant l'équilibre des usages ?   Il est prévu tout au long de l'année un travail avec les différents acteurs pour élaborer ce schéma. Les premiers groupes de travail se réuniront en juin.   #Biomasse #TransitionÉnergétique #DéveloppementDurable #CentreValDeLoire #ÉnergieRenouvelable  Région Centre-Val de Loire Yves DEMOUY, ADEME, Chambre d'agriculture de Loir et Cher Chambre d'agriculture Centre-Val de Loire Préfecture de la région Centre-Val de Loire et du Loiret ONF (Office National des Forêts) Amaury Mazon GRTgaz ADEME ENGIE Chambre d'agriculture d'Eure-et-Loir Agglo du Pays de Dreux Fibois Centre-Val de Loire Lig'Air Sylvain MARTIN Tours Métropole Val de Loire INRAE CESER Centre-Val de Loire CNPF Centre national de la propriété forestière Enercoop Anne Lheureux

ÉCOBLANCHIMENT !!! A quel moment les instances politiques vont elles comprendre que brûler des résidus de bois n'est pas carboneutre, que c'est un sophisme de l'industrie forestière ? - La densité énergétique du bois est moindre que celle du charbon. Il faut donc brûler plus de bois pour produire la même énergie. Le résultat c'est environ 30% plus de CO2 émis, plus de polluant et plus de cendre. - Comme le charbon émet environ 30% plus de CO2 que le diesel, c'est environ 70% de plus de CO2 qui sera émis pour la production d'électricité de ce village ! - Carboneutre parce que le bois va repousser et absorber du carbone ! Oui dans 20 ans et plus, s'il est replanté ! Dans un contexte d'urgence climatique, c'est bien trop tard. - Mais plus sérieusement, pensez-vous réellement que les arbres ne pousseront pas si on ne brûle pas les résidus? Il n'y a aucune relation de cause à effet, ce n'est qu'un sophisme grossier ! - Les cas de maladies pulmonaires sont 5 fois plus important dans les villages nordiques que dans le reste du Canada à cause du chauffage et de la cuisson à la biomasse. Une réalité que les dirigeants de ces villages devraient être les premiers à comprendre et dénoncée.