[ Tribune ] 📣 Nous sonnons l’alarme face aux orientations qui mettent en danger notre système social ! Le 11 avril 2024, un collectif d’associations emmené par Pascale Ribes, présidente d’APF France handicap, a adressé une tribune à Le Monde au sujet des restrictions budgétaires, dont nous sommes les premiers signataires. Cette tribune vient mettre en exergue l’indignation des associations face 👉 aux restrictions budgétaires, 👉 au démantèlement des dispositifs de protection sociale, 👉 à la stigmatisation croissante des populations les plus vulnérables. Les associations demandent au gouvernement de sanctuariser les budgets de l’Etat à la protection sociale. Elles proposent également, dans cette tribune un modèle de financement de la dépense publique alternatif, en s’appuyant notamment sur des travaux autour de la justice fiscale. 📃 Pour retrouver la tribune, c’est ici : https://lnkd.in/eEExP6ee
Post de Collectif Handicaps
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https://lnkd.in/e45zKzba "Nos associations sont ainsi particulièrement préoccupées du démantèlement progressif des dispositifs de protection sociale dans un contexte d’apathie globale. La réforme annoncée de l’allocation spécifique de solidarité (ASS) en est l’illustration symbolique, tout comme la situation sinistrée du secteur de l’aide à domicile qui met en danger les personnes en situation de handicap et les personnes âgées." "la marchandisation voire la financiarisations des associations à déjà commancé" Catherine André réseau salariat 29 la transformation des associations tend vers un modèle plus axé sur la rentabilité
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système »
lemonde.fr
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Avec le collectif Alerte, Emmaus France appelle le futur Gouvernement à un choc de solidarité. Nous pourrions ainsi lui proposer diverses mesures d’importance attendues par notre secteur. Plutôt que de déconstruire la loi SRU, il faut relancer la production de logements sociaux à coûts abordables . Dans l’attente, il importe de mobiliser des places d’hébergement à hauteur des besoins et de ne plus remettre en cause l’inconditionnalité de l’accueil avec un système inacceptable de priorités selon les vulnérabilités. Il est également indispensable de maintenir l’Aide Médicale d’État (AME), de lutter contre la perte de pouvoir d'achat qui affecte un nombre croissant de citoyens, d'abandonner des réformes qui pénalisent les demandeurs d’emploi, de revaloriser les minima sociaux… Il faut ainsi promouvoir la solidarité pour toute personne vulnérable quel que soit son parcours : personne mal logée, personne à la rue victime d’accidents de la vie, personne exilée du fait de conditions politiques, économiques, sociales ou climatiques intolérables... Si nous souhaitons davantage de cohésion dans notre pays, commençons par répondre à toutes ces situations d’exclusion. https://lnkd.in/efPf9jTC
Il est temps d’agir en faveur des solidarités ! - Emmaüs France
emmaus-france.org
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À l’initiative de APF France handicap, je co-signe une tribune au nom du Collectif Handicaps dans Le Monde Alors que le gouvernement vient d’annoncer 10 milliards d’euros d’économies supplémentaires dès cette année sur le budget de l’Etat et jusqu’à 20 milliards d’euros qui devront être trouvés dans le budget 2025, nos associations sonnent l’alarme face à ces orientations qui mettent en danger notre système social et, plus largement, l’avenir de notre société. Conscientes des besoins massifs de financements pour l’éducation et l’emploi, la santé et la solidarité, l’adaptation au changement climatique ou encore la dépendance, nos associations enjoignent au gouvernement de poser les conditions d’un débat parlementaire et citoyen sur le financement de la dépense publique. Ce qui nous semble devenir incontrôlable aujourd’hui, ce n’est pas la dépense publique mais bien le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système. Pascale Ribes Daniel Goldberg Uniopss Noam LEANDRI Fédération des acteurs de la solidarité Nathalie LATOUR France Assos Santé Emmaüs France
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ». Dans un tribune publiée sur le site Le Monde, Pascale Ribes, présidente d’APF France handicap, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, Arnaud de Broca, président du Collectif Handicaps, Daniel Goldberg, président de l’Uniopss, Noam Leandri, président du Collectif Alerte, Gérard Raymond, président de France Assos Santé et Antoine Sueur, président d’Emmaüs France réagissent aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables et demandent au gouvernement de renforcer au contraire les budgets de l’Etat consacrés à la protection sociale. https://lnkd.in/eqUcZBsr
Coupes budgétaires dans les crédits destinés aux plus vulnérables : réaction interassociative dans une tribune publiée sur le site du Monde | Actions Politiques
actionspolitiques.apf-francehandicap.org
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Soutenez la pétition pour une politique de solidarité nationale ! Une pétition a été lancée pour exiger une augmentation des moyens alloués aux associations gestionnaires des établissements sociaux et médico-sociaux privés à but non lucratif. Dans un contexte marqué par une inflation galopante et une forte hausse du coût de l’énergie, il est crucial que cette question soit débattue à l’Assemblée nationale. La demande inclut également l’application du Ségur pour tous, afin de mettre fin aux inégalités entre professionnels. Les établissements accueillent 80% des personnes vulnérables, mais les crédits actuels sont largement insuffisants. La situation est alarmante : - Le taux de personnes en situation de privation matérielle et sociale a atteint 14% en 2022. - Les associations d’aide alimentaire rapportent une augmentation continue des bénéficiaires. - En octobre 2023, 2822 enfants étaient à la rue, dont 686 de moins de 3 ans. Il est urgent d’agir pour améliorer les conditions de travail des professionnels et la qualité des services offerts aux personnes accompagnées. Votre soutien est essentiel pour récolter 500 000 signatures. Ensemble, faisons entendre notre voix pour une solidarité nationale renforcée. 👉 Signez la pétition maintenant ! https://lnkd.in/eqirydBS #SolidaritéNationale #SoutienAssociations #JusticeSociale #Handicap #Inégalités
Pour une politique de solidarité nationale à la hauteur des besoins - Pour une politique de solidarité nationale à la hauteur des besoins - Plateforme des pétitions de l’Assemblée nationale
petitions.assemblee-nationale.fr
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CEO ENEKA Partners - Senior Photonics and Innovation Strategy Advisor- Photonics 21 Board member- Plateau de Saclay Business Angels
Constat partagé par les acteurs de l’action sociale : les erreurs de gestion de l’état et les nécessaires réductions de son déficit abyssal ne peuvent et ne doivent pas se faire en fragilisant encore davantage les plus fragiles et les plus vulnérables. D’autres choix politiques sont possibles, que le transfert de compétences de l’état vers le secteur privé, au détriment de la majorité dd la population. Nous voulons d’autres choix dans la réduction des dépenses, d’autres cibles dans ceux appelés à payer. Comme les entreprises qui s’enrichissent des guerres et conflits actuels, ou les milliardaires de niveau mondial de notre pays.
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système »
lemonde.fr
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🚨 #Solidaritéendanger : Emmaüs Solidarité se joint à l’appel national En réponse à une crise qui touche les secteurs sanitaire, social, et médico-social, nos organisations de la société civile se mobilisent pour interpeller les pouvoirs publics : la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), LA CONVENTION NATIONALE DES ASSOC DE PROTECTIONDE L ENFANT(CNAPE), Nexem (représentant les employeurs du secteur social, médico-social et sanitaire), l' Unapei (fédération d'associations de personnes handicapées mentales et de leurs familles), l'UNION INTERSYND SECT SANITAIRES SOCIAUX (UNISSS), et l' Uniopss (Union Nationale Interfédérale des Œuvres et Organismes Privés Sanitaires et Sociaux). Emmaüs Solidarité est partie prenante du mouvement #SolidaritéEnDanger qui interpelle sur les conditions de millions de personnes dépendantes de la solidarité et des professionnels, eux-mêmes en attente d’une juste reconnaissance pour leur travail. 🖋️🗣️ Une pétition citoyenne pour débattre des moyens alloués à la solidarité 💥L’objectif : 500 000 signatures pour déclencher un débat démocratique indispensable à l'Assemblée Nationale,mettant la solidarité au centre des discussions parlementaires. Pour signer 👉 https://lnkd.in/eqirydBS
Pour une politique de solidarité nationale à la hauteur des besoins - Pour une politique de solidarité nationale à la hauteur des besoins - Plateforme des pétitions de l’Assemblée nationale
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Pour continuer en 2024 de défendre nos valeurs ; celles d'un pays qui s'est reconstruit après la 2e guerre mondiale en appliquant des mesures sociales, économiques, sociétales préparées par le Conseil national de la Résistance.
🎤 Aux #JournéesduTravailSocial, nous avons échangé avec Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité. 📣 Il annonce une mobilisation, le 15 novembre, afin de montrer collectivement la force du secteur #social face aux orientations de politique sociale du nouveau gouvernement. Merci à Eric Le Braz, notre explorateur éditorial pour l'animation du plateau ASH ! Il est encore temps de lui rendre visite, n'hésitez pas 😉
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Non, la justice sociale n’est pas qu’une question de fiscalité. Et en France, 53% de la réduction des inégalités pourrait venir d’un autre volet… Cet autre volet en “nature” de la redistribution de la richesse nationale, ce sont les services publics. Levier historique de la solidarité et de la cohésion sociale et territoriale, ils ont pourtant été l’une des premières cibles des politiques de désengagement de l’Etat depuis les années 1980. Guidé par un objectif de réduction des coûts, s’en est résulté un décrochage vis-à-vis des attentes de la population. En parallèle, l’espace pour l’offre privé de service s’est accru, rendant ces services plus coûteux et mettant à mal leur accessibilité pour tous les publics. Perte d’attractivité de territoires, éloignement des lieux de service public, saturation et dégradation des services… On dénombre par exemple la fermeture de 30 % des maternités entre 2000 et 2017 ou encore un allongement du délai de jugement moyen d’une affaire civile devant le tribunal de grande instance multiplié par deux entre 2019 et 2005. Et malheureusement, les solutions déployées ont plus souvent concerné les problématiques les plus visibles politiquement comme la lutte contre l’immigration illégale et le maintien de l’ordre public notamment. Alors pour favoriser le retour du rôle de redistribution de ces services publics, l’heure est à l’action. Dans notre 8ème fiche thématique, nous proposons notamment de : 👉 Traiter en priorité la crise du service public de l’hôpital et des soins avec 👉 Renforcer la planification et le pilotage de l’accessibilité aux services publics dans tous les territoires 👉 Mieux soutenir le déploiement des “Maisons France services” 👉 Promouvoir les services publics au service de la planification écologique Vous voulez en savoir plus sur nos propositions et les raisons pour lesquelles le programme du Rassemblement National est en décalage avec les réels besoins de notre pays et de ses citoyens ? Rendez-vous sur notre site internet : https://lnkd.in/e8mxwKVA —— Du 21 juin au 7 juillet, l’Institut Rousseau publie quotidiennement des propositions synthétiques offrant des solutions concrètes et innovantes ! #politique #élections #législatives #justicesociale
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Un gouvernement RN créerait « une explosion de précarité », alertent ces associations: Tri des bénéficiaires, fin du soutien de l’État, droit au logement… Dans le monde associatif, l’inquiétude monte face à la possibilité d’un gouvernement RN. La lutte contre la précarité serait-elle encore possible si les élections législatives emmenaient la France vers l’extrême droite ? Le directeur des études de la Fondation abbé Pierre, qui lutte contre le mal-logement et le directeur de l’association citoyenne de solidarité Le Village ont témoigné de leurs craintes. « Le Rassemblement National est depuis toujours en attaque contre les étrangers, les immigrés et les autres minorités de tous genres, soupire Manuel Domergue. Si le pouvoir décide de réduire leurs droits, ça aura des conséquences directes sur la pauvreté et la violence sociale, et donc sur les associations qui viennent en aide aux personnes qui en sont victimes ». En première ligne des craintes, la question de la « préférence nationale » régulièrement brandie par le RN et notamment par Jordan Bardella, qui a affirmé, le 18 juin dernier sur France 2 qu’il soutenait la « priorité nationale » pour les logements sociaux. Mais pour le directeur des études de la Fondation abbé Pierre, « s’il y a des règles discriminatoires contre les étrangers, qu’ils n’ont plus le droit d’accéder aux logements sociaux, ça créera une explosion de précarité qui rejaillira sur tout le tissu associatif. » Il fait part de sa peur d’une extension de cette priorité nationale aux espaces de solidarités. « On gère des pensions de famille, qui sont des lieux d’accueil de personnes qui ont un passé à la rue. Si on devait en exclure les personnes étrangères, ça serait très dérangeant et ça poserait des problèmes éthiques très forts, souligne-t-il. Quand les gens n’ont pas de droit, comment on fait pour les aider ? » Il rappelle qu’en France, une grande partie de l’action sociale est menée par les associations, sur mandat de l’État. « S’il fallait faire un tri parmi les bénéficiaires d’aide d’accès au logement, aux soins, à l’aide alimentaire, il serait demandé aux associations de le faire, ce qui mettrait les travailleurs sociaux en grande souffrance, ou bien ça les obligerait à se placer en contournement de la règle ou en désobéissance civile. »
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Conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie en présence de Mesdames Catherine Vautrin, Ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités et Fadila Khattabi, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées. Une intervention axée sur la nécessité d'avoir une nouvelle approche du vieillissement avec trois mots clés: stratégie, gouvernance et financement. Une approche indispensable pour répondre aux enjeux démographiques. Je suis intervenue au nom du groupe des entreprises Mouvement des Entreprises de France, avec Frank NATAF au nom de la CPME nationale afin d'insister sur l'urgence qui était la nôtre, agir vite avant que les entreprises qui traitent plus de 42% de la demande ne soient plus en mesure d'accompagner les bénéficiaires, bénéficiaires de plus en plus nombreux et désirant rester chez eux le plus longtemps possible! Elles sont complètement exsangues avec un modèle économique qui nous tue chaque jour un peu plus! Comment est-il encore possible de considérer qu'une heure d'accompagnement d'une personne fragile ne vaut que 23,50 euros! il est temps de porter un nouveau regard! il est urgent de poser la question du financement afin de se consacrer enfin au deuxième enjeu de notre secteur après le financement, celui de l'attractivité. #autonomie #mad #domicile Brice Alzon Fédération des entreprises de services à la personne (FESP) Mehdi Tibourtine Loïc Gobé Maxence Hotte Olivier LEBOUCHE Pierre-Emmanuel Bercegeay Eric Bobet Jean-Christophe Amarantinis Nicolas Hurtiger Marianne Cornu-Pauchet Maëlig LE BAYON François MENGIN LECREULX Christine Meyer-Meuret Etienne Petitmengin Isabel Madrid Guénaëlle Haumesser Virginie POLI
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