🎨✨ Les Ateliers Belleville, un parcours inspirant ✨🎨 Jetez un œil à l’incroyable progression des Ateliers Belleville, devenus propriétaires d’un bâtiment 50 000 pieds carrés le quartier Chabanel! Cette acquisition leur permettra d’offrir encore plus d’espaces d’ateliers abordables aux artisan·e·s et artistes indépendant·e·s dans le domaine des arts visuels et des métiers d’art, fidèlement à leur mission. En 2021, à travers le programme d’accompagnement pour la mise sur pied de projets immobiliers culturels collectifs du Conseil, l’organisme a bénéficié du soutien du groupe de ressources techniques Bâtir son quartier pour son plan d’affaires et la prospection immobilière. Bravo à Alexis Bellavance et Jonathan Villeneuve, codirecteurs des Ateliers, pour le travail colossal réalisé! Une réussite qui fait rayonner les pratiques artistiques indépendantes et contribue à l’essor de nombreux talents issus des communautés artistiques montréalaises. 🎉 👉 Pour en savoir plus sur leur histoire et leur impact, lisez l’article complet sur La Presse : https://lnkd.in/gBkF82nb
Post de Conseil des arts de Montréal
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🎨🏙️ Art et Centre-Ville : Quand la Créativité Redessine nos Rues 🖌️💡 Nos centres-villes, autrefois de simples lieux de passage, peuvent se transformer en galeries à ciel ouvert, captivantes et vibrantes. Chez Oh La Belle Ville ! nous sommes parfois témoins de cette métamorphose où l'art devient une partie intégrante de l'espace urbain, une véritable manière de réinventer nos rues. Les œuvres d'art urbaines nous invitent à redécouvrir les façades et les coins de rue que nous avions tendance à ignorer. C'est une invitation constante à lever les yeux et à s'immerger dans un monde où l'art et la vie urbaine se rencontrent. L'art apporte aussi de la couleur, de la vie et du dynamisme à nos centres-villes. Ces initiatives reflètent une ville vivante, en constante évolution, montrant que la culture et l'art sont des éléments essentiels de la vie urbaine. D'autant plus que cela peut être une belle vitrine pour les talents locaux, leur donnant une visibilité unique. C'est une célébration de la créativité locale, un moyen de mettre en lumière ceux qui façonnent l'identité culturelle de notre commune. Ces créations artistiques transforment également nos rues en de parfaits spots Instagrammables. Chaque œuvre est une opportunité de capturer et partager des photos, contribuant ainsi à la renommée et à l'attrait de notre ville. Chaque cliché partagé devient une invitation ouverte à explorer et à apprécier les trésors cachés de la ville. Vous l'avez compris, chez Oh La Belle Ville ! nous sommes de fervents défenseurs des centres-villes aux touches artistiques. Et vous ? 🤔
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C’est un joyau du patrimoine lyonnais qui se fait désirer. Fermé depuis plusieurs années, le musée des Tissus de Lyon accumule les retards dans son ambitieux projet de rénovation, laissant les amateurs d’art et d’histoire dans l’expectative quant à sa date de réouverture. Un renouveau sous l’égide de la Région Tout avait pourtant bien commencé. En 2017, la région Auvergne-Rhône-Alpes, menée par Laurent Wauquiez, avait récupéré la gestion de ce lieu prestigieux pour un euro symbolique. Un accord providentiel conclu avec la CCI de Lyon, propriétaire historique du musée à bout de souffle financièrement. Un projet d’envergure, à la hauteur des collections textiles du lieu, considérées comme les plus importantes au monde. – D’après une source proche du dossier Deux ans plus tard, les plans de la renaissance étaient dévoilés : l’architecte de renom Rudy Ricciotti, auréolé de son travail sur le Mucem à Marseille, était choisi pour redonner vie à cette institution culturelle. De quoi faire saliver les Lyonnais et la presse locale. Première pierre d’achoppement Pourtant, très vite, le projet se heurte à une levée de boucliers des riverains. Les esquisses audacieuses de l’architecte star ne font pas l’unanimité. Face à la fronde, la Région est contrainte de revoir sa copie et Rudy Ricciotti de redessiner ses plans. Un retour à la case départ qui fait prendre du retard au projet. Une nouvelle version, amputée de plusieurs bâtiments et structures, est finalement présentée en 2023. Des négociations avec les riverains ont permis de trouver un compromis, assure-t-on du côté du conseil régional. Mais le mal est fait : le calendrier initial qui prévoyait une réouverture partielle dès 2026 paraît intenable. Le permis de construire se fait attendre Car un autre grain de sable est entre-temps venu enrayer la machine : le permis de construire n’a toujours pas été déposé. Un retard que la Région impute à la nécessité de finaliser tous les détails avec les riverains avant de soumettre le dossier. Résultat, alors que les travaux de démolition étaient programmés en octobre 2025, “afin de ne pas risquer de laisser une friche en cœur de ville et de permettre aux commerçants de bénéficier pleinement de la saison estivale“, dixit le conseil régional, rien n’est moins sûr aujourd’hui. Le document relatif à l’opération portée par l’agence Ricciotti est prévu pour la fin d’année 2024. – Communiqué de la Région Réouverture partielle en 2028 ? Une date qui laisse perplexe quant à une possible réouverture, même partielle, en 2028 comme on l’espérait. Car sans permis en poche, impossible d’afficher un calendrier définitif pour ce projet d’architecture muséale qui doit redonner son lustre à un fleuron du patrimoine lyonnais. D’autant que le tempo politique n’est pas à négliger. Laurent Wauquiez, grand artisan de cette renaissance, aura-t-il toujours les mains sur le volant une fois le permis accordé ? Rien n’est moins sûr à l’approche des échéances...
C’est un joyau du patrimoine lyonnais qui se fait désirer. Fermé depuis plusieurs années, le musée des Tissus de Lyon accumule les retards dans son ambitieux projet de rénovation, laissant les amateurs d’art et d’histoire dans l’expectative quant à sa date de réouverture. Un renouveau sous l’égide de la Région Tout avait pourtant bien commencé. En 2017, la région Auvergne-Rhône-Alpes, menée...
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Coach certifiée RNCP, conférencière, formatrice et Chorégraphe - Fondatrice de Danaïade - CREATIVE CONSULTING/ ART DIRECTION / WORKSHOPS / COACHING
Comment créer des émotions et fédérer... en participant à une oeuvre collective.
Billet 16 – Les « Murs éphémères », l’œuvre participative qui embellit les murs et fédère. J’ai eu le plaisir de publier un certain nombre de billets depuis février, des écrits, des photos et des vidéos, pour partager des réflexions, des interrogations ou le rappel de projets réalisés depuis 15 ans. Nos thèmes : l’art avec et pour tous, dans la ville, l’art dans les institutions culturelles, l’art participatif. Et dans votre organisation ou entreprise ? Que pensez-vous de la possibilité d'impliquer vos collaborateurs et vos publics dans la création d'une fresque éphémère qui pourrait transformer les espaces commerciaux, industriels ou de bureaux, tout en favorisant la cohésion et l'inclusion ? Que pensez-vous de profiter de notre expérience de 15 ans dans des contextes et des sites très différents avec des centaines de personnes de tous âges. Nous vous proposons d’intégrer une dimension artistique et collaborative au sein de votre entreprise avec "Murs éphémères". Vous nous contactez ? Véronique Le Mouël – Elodie Bergerault – Jezabel d’Alexis contact@oeuvreparticipative.fr
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Comment l'art urbain réinvente nos villes : entre transformation, lien social et attractivité. l'article complet ci dessous : https://lnkd.in/e8DD8665 Depuis quelques années, il joue un rôle de premier plan dans la réhabilitation urbaine, transformant les villes, leurs quartiers, et leur image. L'art urbain comme outil d'embellissement et de revalorisation des quartiers 1. Redonner vie à des lieux délaissés : Les fresques murales et autres formes d'art urbain permettent de réinvestir des espaces qui semblaient oubliés. Qu'il s'agisse de friches industrielles, de bâtiments en attente de démolition ou de quartiers en pleine mutation, l'art transforme ces lieux en espaces d'expression et de créativité. 2. Améliorer l'attractivité et l'image d'un quartier : Les touristes, curieux de découvrir ces fresques géantes, ainsi que les habitants eux-mêmes, se réapproprient ces espaces. L'art change la perception que l'on peut avoir d'un lieu. Là où il n'y avait que murs gris et béton, la couleur et la créativité redonnent de la vie. 3. Renforcer l'identité locale : Chaque œuvre d'art raconte une histoire, souvent inspirée par le lieu où elle est réalisée. Que ce soit en collaboration avec les habitants, les associations locales ou en hommage à un événement marquant de l’histoire du quartier, ces interventions artistiques renforcent le sentiment d’appartenance à une communauté. Un vecteur d'inclusion et de lien social - Collaborations citoyennes : De plus en plus de projets de réhabilitation urbaine intègrent les habitants dans la création d'œuvres. Ces collaborations permettent de tisser des liens, de valoriser les talents locaux, et d’encourager la participation active des résidents. Les fresques participatives, par exemple, deviennent un véritable projet de quartier. - Renforcement de la cohésion sociale : L'art urbain, en investissant l'espace public, permet à chacun de se réapproprier son environnement. Cela contribue à une meilleure intégration des jeunes, qui voient leur quartier transformé, et à la réduction des tensions sociales. Art urbain et développement économique - Valorisation des biens immobiliers : Un quartier redynamisé par l'art urbain devient plus attractif, non seulement pour les habitants mais aussi pour les investisseurs. Des fresques monumentales peuvent, par exemple, être un argument de vente pour des promoteurs immobiliers ou des entreprises cherchant à s'installer dans des lieux originaux. - Création de nouveaux circuits touristiques : En France, des villes comme Marseille, Lyon ou Paris intègrent désormais l’art urbain dans leurs stratégies touristiques. Des parcours dédiés aux fresques et autres interventions artistiques fleurissent, générant ainsi un dynamisme économique local (restauration, hébergement, commerces) Fresque sur la façade du Scandle (Paris 9e). #arturbain #postgraffiti #ster #urbanart
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Dans ce sens, l'artisanat peut-être revalorisé avec les #HumanitésNumériques, à condition que la main fasse, toujours en prospective avec l'idée, par exemple, de la représentation d'un ville, inscrite dans la céramique. La pertinence de l'artisanat se vera que grandie en ayant des outils simples et performants d'in-formation.
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🚶♂️Après un test concluant de la piétonisation de la rue de la Constitution à #Cusset (2021-2022), une pérennisation de cette piétonisation a été actée, en concertation avec les riverains, habitants et commerçants de la rue (2022-2023). 🌱Afin d’embellir la rue et d'inciter les passants à la flânerie au sein de cette artère commerciale, un certain nombre d'aménagements (places de stationnement et de livraison à proximité de la rue, actions de renaturation), de décorations (suspendues ou au sol) et d'animations (à vocation culturelles, musicales ou commerciales) ont été mises en place (2021-2024). 🌌 C'est dans cette perspective qu'un projet de fresque collaborative est né : Zoé Gruhn - LA PENSÉE D'ARTISTE - est une artiste-peintre, illustratrice, plasticienne, qui s’est installée depuis la fin d’année 2023 dans un atelier-boutique au sein de MON COMMERCE À L’ESSAI (1 rue Gambetta à Cusset). Zoé G. a adressé une proposition pour un projet de fresque collaborative avec le jeune public, les habitants et les commerçants de Cusset, afin de valoriser l'espace urbain de la ville et d’impliquer les habitants dans une « démarche artistique et humaine », dans la rue de la Constitution. 🎨 Zoé G. est convaincue que cette proposition permettra de dynamiser le centre-ville « en l’égayant de couleurs et en impliquant les habitants dans une œuvre chargée de sens pour eux ». Zoé G. intervient sur 50 mètres linéaires au sein de l'artère commerciale, pour la mise en place de cette fresque colorée, à découvrir sans plus attendre ! Le projet permettra d'inviter les passants à emprunter la rue et à découvrir les commerçants, artisans et artistes présents. Les ateliers de co-construction sur place, ouverts à tous, ont lieu entre le 20 et le 30 août 2024. Ville de Cusset Jean-Sébastien Laloy VICHY Économie Vichy Destinations Centre-Ville en Mouvement > Lien de présentation du projet de fresque participative :
Fresque Participative - Rue de la Constitution | 🔥 𝑹𝒆́𝒂𝒍𝒊𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅'𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒓𝒆𝒔𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒄𝒊𝒑𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒓𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑪𝒐𝒏𝒔𝒕𝒊𝒕𝒖𝒕𝒊𝒐𝒏 🎨 👉 La ville de Cusset et l'artiste-peintre 𝐙𝐨𝐞́ 𝐆𝐑𝐔𝐇𝐍 se sont associées pour réaliser... | By Ville de CussetFacebook
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Le secteur des métiers d’art rassemble 150 000 professionnels, 60 000 entreprises, 198 métiers et 83 spécialités. 🤍 Appel à projets : fonds de soutien aux métiers d’art Porté en grande partie par de très petites entreprises (TPE) hétérogènes, les métiers d’art doivent répondre à un important enjeu de transmission des savoir-faire mais est impacté par un manque de structuration et de visibilité. En 2019, 19 milliards d’euros de chiffre d’affaires, dont 8 milliards à l’export, ont été réalisés. La semaine dernière, le Gouvernement et la Fondation du patrimoine ont lancé le second appel à projets (AAP) du fonds de soutien aux métiers d’art. Les projets retenus, dont 15 ont été dévoilés - suite à un premier appel en 2023 - bénéficieront d’un soutien à hauteur d’un million d’euros. C’est en mai 2023, qu’a été dévoilée la stratégie nationale en faveur des métiers d’art. Parmi les actions mises en place, le fonds de soutien aux métiers d'art a pour objectif d’accompagner ainsi que de soutenir des projets visant à préserver et transmettre les métiers ainsi que l’artisanat d’art en France. Il contribue à répondre au troisième axe de la stratégie du Gouvernement en plaçant les métiers d’art au cœur des territoires. Dans ce cadre, un premier appel à projets a été réalisé et 15 dossiers ont été retenus (à retrouver en commentaire) par la Fondation du patrimoine, qui est chargée d’identifier les dossiers pouvant bénéficier du fonds et qui participe à leur financement. Sont éligibles les projets de restauration de patrimoine faisant appel à des métiers d’art et assurant la pérennité de ces métiers ainsi que la transmission des savoir-faire par le biais notamment de l’apprentissage, de stages ou par la mise en place d’actions destinées au grand public. L'appel à projets pour la deuxième sélection est ouvert jusqu'à mi-septembre 2024. Sont éligibles tous projets de restauration du patrimoine faisant appel à des métiers d'art, des projets situés dans les bourgs et les territoires ruraux. Situés dans des communes de moins de 10 000 habitants. Photo : À l’occasion des Journées Européennes des Métiers d’Art, la signature du fonds et l’annonce des 15 premiers lauréats par Olivia Gregoire et Alexandre Giuglaris - directeur général de la Fondation du patrimoine ont eu lieu au carré Saint-Cyr, une ancienne église du XVe siècle restaurée par Agglo Seine-Eure pour valoriser le travail des artisans d’art lors d’expositions temporaires, gratuites et accessibles à tous. Le Carré Saint-Cyr a reçu en 2023 le Prix Sésame de la Fondation du patrimoine qui récompense notamment des projets de reconversion du patrimoine religieux respectueux de l’esprit des lieux. Le chantier de restauration du site a été soutenu par le mécénat de la Fondation TotalEnergies © Antoine Mercusot pour l’atelier tmf qui a été en charge de la transformation Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Patrimoine #Société #Planète
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Billet 2 - 15 février 2024 Permettre la possibilité à chacun d’agir sur un espace contraint comme celui de l’espace public est-il un acte politique ? Cette question terminait mon précédent billet au sujet de la conférence organisée par l’Ecole Urbaine et la Maisons des Arts de Sciences Po sur le thème « Dessiner la ville : 4 rencontres sur les liens entre arts et territoires ». Sur ce sujet sensible, je n’ai pas la prétention de répondre autrement que par l’expérience. Rien de tel que l’expérience pour que mes propos soient concrets, aussi je témoigne ici : de la démolition d’une sculpture imposée sur un territoire à des œuvres de co-création. En 2008, je réalisai une sculpture de grande taille « Danse avec Rimbaud » avec les matériaux du chantier de la rue de mon atelier. J’avais obtenu l’autorisation de la Mairie et vivais avec bonheur l’expérience de créer pour la première fois dans l’espace public. Une fois la sculpture réalisée, elle fut entreposée par la Mairie dans des locaux techniques. Il fut décidé qu’elle serait placée à l’endroit choisi par les services de cette Mairie : à l’entrée de la ville non loin d’un skate parc. Fière de voir dressée cette grande femme en ciment les bras levés avec un certain élan, je me doutais bien qu’elle serait taguée. Mais pas qu’elle fût démolie deux jours après à la barre de fer. Je compris à mes dépends, et de façon viscérale, que la décision d’occuper un territoire, sans consultation de ceux qui se sentent concernés par celui-ci, ne se fait pas sans risque… Ce fut une grande leçon mais j’imaginai déjà d’autres façons de créer. A l’occasion des vœux 2010, je lançais mon premier projet nommé « Œuvre ensemble © » invitant un large public à une part créative à l’œuvre. L’association Œuvre participative fut constituée à la fin de l’année. Depuis 14 ans, nos projets dans la ville ont pris des formes très variées avec la même intention : permettre à tous les publics de prendre part à une œuvre qui tisse des liens et embellit un quartier. Le cas des « Murs éphémères © » est intéressant : bien qu’ils soient réalisés sur des murs de la ville facilement accessibles et avec des adhésifs qui peuvent être arracher en deux minutes, certains d’entre eux ont été respectés pendant presque toute une année. Nous les avons souvent nous-même décollés avant qu’ils ne se dégradent trop du fait des intempéries. Ces exemples ne sont-ils pas parlants du sujet politique, de qui est relatif à l’organisation et à de l’exercice du pouvoir dans la société ? Votre avis m’intéresse, n’hésitez pas à poursuivre cette réflexion ! Véronique Le Mouël - Fondatrice de l'association Œuvre Participative
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Avez-vous déjà vu ces escaliers qui donnent sur nulle part, ou ces portes qui s'ouvrent vers des murs sans fin ? Si vous avez croisé de telles absurdités architecturales, vous avez peut-être rencontré un "Thomasson". Ces objets urbains, dépourvus de toute utilité mais méticuleusement entretenus, constituent un phénomène captivant qui se situe à la croisée de l'art, de l'urbanisme et de la satire sociale. Le concept de Thomasson a été imaginé pour la première fois dans les années 1970 par Akasegawa Genpei, un artiste japonais qui s'est passionné pour ces anomalies urbaines. Le nom lui-même est un hommage ironique à Gary Thomasson, un joueur de baseball américain dont la carrière au Japon a été marquée par un rendement décevant malgré un contrat faramineux. À l'image de ce joueur, les Thomassons sont des éléments de l'espace urbain qui semblent n'avoir aucune fonction, excepté celle de coûter de l'argent et de l'espace. Ces reliques d'une utilité perdue invitent à réfléchir. Prenons l'exemple d'une vieille rampe d'accès à un parking qui, bien que le parking ait été démoli, reste suspendue dans les airs et parfaitement entretenue. Ou considérez des escaliers qui montent abruptement vers un mur lisse, peint avec le même soin que le reste de l'édifice. Chaque Thomasson a son histoire, souvent inconnue, parfois oubliée, mais toujours fascinante. Ils sont les vestiges de décisions passées, d'erreurs de planification ou peut-être de caprices artistiques. Bien que le terme soit d'origine japonaise, les Thomassons ne connaissent pas de frontières. De Paris à New York, ces anomalies architecturales peuplent les recoins les plus inattendus de nos villes. Ils défient notre logique et notre besoin de fonctionnalité, tout en offrant un sourire ou une pause contemplative aux passants attentifs. Et vous, quels sont les Thomassons que vous avez vu?
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𝙋𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙨𝙤𝙢𝙢𝙚𝙨-𝙣𝙤𝙪𝙨 𝙚𝙣𝙜𝙖𝙜𝙚́𝙚𝙨 𝙖𝙪𝙥𝙧𝙚̀𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙙’𝙖𝙧𝙩 ? Unies par notre amour pour ces métiers, nous avons imaginé, à l’image de la filière, un lieu unique, pluriel et hybride qui accueille, diffuse et transmet la culture des métiers d’art. On nous demande souvent pourquoi nous avons choisi de nous investir dans ces métiers. Nous sommes fermement convaincues que les métiers d'art représentent l'avenir. Pourquoi ne dirige-t-on jamais nos enfants vers ces métiers alors qu'ils constituent notre patrimoine ? Pourquoi qualifie-t-on ces métiers de passionnants mais sans avenir ? Nous nous opposons à ces affirmations désobligeantes et aux idées reçues, dans le but de raviver l'intérêt pour ces métiers de la main. À travers ARTFLO 🟦, nous avons l'ambition de créer des espaces de vie où tous les acteurs de l'artisanat se rassemblent pour faire des métiers d'art un enjeu de développement économique local et international. 𝙉𝙤𝙩𝙧𝙚 𝙢𝙞𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣 : 𝙥𝙧𝙤𝙩𝙚́𝙜𝙚𝙧 𝙣𝙤𝙩𝙧𝙚 𝙥𝙖𝙩𝙧𝙞𝙢𝙤𝙞𝙣𝙚 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙨𝙖𝙣𝙖𝙡 𝙚𝙩 𝙢𝙚𝙩𝙩𝙧𝙚 𝙚𝙣 𝙡𝙪𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙧𝙨 𝙢𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙣𝙪𝙨 𝙙𝙪 𝙜𝙧𝙖𝙣𝙙 𝙥𝙪𝙗𝙡𝙞𝙘, 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙪𝙣 𝙘𝙖𝙙𝙧𝙚 𝙤𝙪𝙫𝙚𝙧𝙩 𝙚𝙩 𝙖𝙘𝙘𝙚𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙖̀ 𝙩𝙤𝙪𝙨. 𝙋𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙘𝙚𝙡𝙖 ? Parce que nous sommes convaincues que ces métiers ont un avenir et méritent de retrouver leur place dans notre quotidien. Nous voulons préserver nos savoir-faire et nos traditions, réapprendre à consommer de manière plus juste et responsable, et célébrer la notion de long terme. ARTFLO 🟦 est une invitation à (re)découvrir l'ingéniosité de la main et tous ces savoir-faire, et nous sommes impatientes de vous y convier. 📍 𝟭𝟵𝟬 𝙍𝙪𝙚 𝘼𝙘𝙝𝙖𝙧𝙙 | 𝟯𝟯𝟯𝟬𝟬 𝘽𝙊𝙍𝘿𝙀𝘼𝙐𝙓 #artflo #savoirfairelocal #créativité #métiersdart Karine Villey Noélie Guillebaud Solene L.
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