Post de Constellation

Pour accompagner votre café, il est bon de regarder vers les étoiles !

#EGRIP Région Normandie Département du Calvados Communauté de Communes Coeur Côte Fleurie Banque des Territoires InfraNum ADGCF Assemblée des Départements de France Objectif Fibre Un « territoire connecté », c’est le numérique pour tous ! Le Département est heureux d’accueillir et de soutenir les états généraux des RIP le 28 mars à Deauville. Alors que notre réseau d’initiative publique parachève son déploiement et vient d’accueillir son 100.000ème client abonné à la fibre, cette 13ème édition nous permettra d’échanger ensemble sur cette transition majeure que constitue le passage d’une phase de déploiement à celle d’exploitation des réseaux. Une nouvelle étape exigeante vis-à-vis des situations qui perdurent encore – blocages d’éligibilité, échecs de raccordement… – et irritent, encore parfois légitimement, nos administrés, mais également de nouvelles responsabilités dans la gestion des réseaux face à l’extinction du cuivre... LIRE L'ÉDITO de Jean-Léonce DUPONT, Président du Département du Calvados : https://lnkd.in/dcUgdtqa

📣 𝐄𝐍𝐓𝐄𝐋𝐀 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐆𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞 𝐒𝐀𝐏𝐇𝐄𝐋𝐄𝐂 𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞́𝐜𝐢𝐝𝐞́ 𝐝’𝐮𝐧𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐢𝐭𝐞́ 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐫𝐨𝐛𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐫𝐞 🎉 𝐉𝐞𝐮𝐝𝐢 𝟏𝟑 𝐉𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟒 était un jour très important pour l'avenir d'ENTELA. C'est non sans émotions mais également avec beaucoup de fierté que nous vous annonçons une grande nouvelle : ENTELA et le Groupe SAPHELEC ont décidé d’unir leurs forces pour former une entité plus robuste et plus innovante encore ! 🤝 𝐔𝐧𝐞 𝐀𝐥𝐥𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 🏆 Ce rapprochement s’appuie sur des valeurs communes et une vision partagée : fournir des solutions technologiques de pointe tout en plaçant la satisfaction client et l’innovation au cœur de nos préoccupations. Nous travaillons depuis plusieurs mois main dans la main avec le Groupe SAPHELEC, il est donc devenu évident que la combinaison de nos ressources et de nos talents augmentera significativement notre expertise. Nous sommes déjà en train de développer des offres encore plus complètes et personnalisées que vous découvrirez bientôt. 🚀 𝐔𝐧 𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐭𝐭𝐞𝐮𝐫 🌟 Ensemble René DUTEY, Bruno Bauer, Hervé Mangot et Julien LEQUEURRE, formeront un quatuor qui guidera notre nouvelle organisation. 💼 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐏𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐧𝐢𝐭𝐞́ 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐄𝐍𝐓𝐄𝐋𝐀📞 Ce rapprochement n'est pas la fin d'une histoire, mais bien le début d'un nouveau chapitre où les valeurs et les forces d'ENTELA perdureront. Parce que faire partie d'un groupe de 200 personnes c'est : - être plus fort pour mieux se positionner sur un marché concurrentiel - plus d'expertises et de compétences - un ancrage national plus important - plus rassurant pour nos clients, partenaire et collaborateurs Bruno BAUER et René DUTEY continueront de contribuer activement à l’avenir de l’entreprise aux côtés de la nouvelle équipe dirigeante en accompagnant ce rapprochement ainsi que l’ensemble des équipes techniques, commerciales et support. 𝐄𝐧𝐭𝐞𝐥𝐚 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞𝐫𝐚 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐢𝐭𝐞́ 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞 𝐒𝐚𝐩𝐡𝐞𝐥𝐞𝐜. Mais nous allons encore accélérer notre développement dans la Région Grand-Est. ENTELA deviendra un centre de compétences national dans le domaine de la Cyber et des services. Soyez assurés que nos équipes restent à votre disposition pour toute question. Nous serons ravis d’y répondre et de continuer à vous accompagner dans les meilleures conditions, comme nous l’avons toujours fait. Nous sommes impatients de partager cette nouvelle aventure avec vous et de continuer à vous offrir des solutions toujours plus performantes. 𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐞𝐧𝐭𝐡𝐨𝐮𝐬𝐢𝐚𝐬𝐦𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐋’𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐄𝐍𝐓𝐄𝐋𝐀 #entela #groupesaphelec #union #nouveauchapitre #alliance #grandest

Les juges de Papeete avaient estimé en 2021 que l’OPT et sa filiale Onati facturaient trop cher, avec l’aval du Pays, l’utilisation de ses antennes par ses concurrents privés. Les juges parisiens ont confirmé l’analyse il y a quelques jours, même si ces tarifs d’interconnexion bénéficient depuis d’un nouveau calcul et ont donc évolué à la baisse. Un brin d’intelligence économique dans la gouvernance de ce formidable outil de développement aurait évité au Pays des conséquences financières désastreuses et une banqueroute prévisible à moyens termes. La société concurrente Vodafone surf sur les faiblesses de l’OPT en construisant une communication habile pour récupérer des parts du marché client polynésiens. Son PDG a des qualités humaines de leadership, d’intuitions et de combativité. Un grand « faaitoito » courage à la nouvelle PDG Hina Delva qui vient de prendre ses fonctions. Les prochaines ripostes de l’OPT dans cette guerre économique du microcosme polynésien seront passionnantes à suivre. À chaque commandant de « compagnie » sa stratégie de bataille pour les mois à venir.

🔴C’est un cri du cœur, symptôme de l’inquiétude qui traverse le corps social chez Atos. Il y a quelques semaines, lors d’une session de questions-réponses animée par le directeur général du groupe, Paul Saleh, devant ses 500 managers, l’un d’eux saisit l’opportunité de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : « Pour être honnête, je ne sais pas ce que je dois répondre à ma fille quand elle me demande s’il y a un risque de faillite pour Atos. » 🧐Au siège de Bezons et sur l’ensemble des sites à travers le monde, les 100.000 salariés attendent fébriles, de savoir comment l’ex-fleuron technologique tricolore peut sortir de l’ornière. « C’est le grand flou depuis deux ans. Chaque élément nouveau, censé nous éclairer sur la suite, porte avec lui trois nouvelles questions », indique Karine Dran, coordinatrice CFE-CGC du groupe Atos France 🛬Plus qu’une nouvelle interrogation, c’est un véritable coup de tonnerre qui s’est abattu sur Atos mardi. Entré en négociations exclusives il y a quelques semaines avec Airbus autour de la vente des activités cybersécurité et big data (BDS) du groupe français, le groupe présidé par Jean-Pierre Mustier a essuyé un refus de la part de l’avionneur. En Bourse, la nouvelle a été accueillie avec stupeur, le cours s’effondrant de près de 20 %. Atos, qui réalise 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires, vaut désormais moins de 200 millions d’euros. Enquête Le Figaro

Atos victime de la folie des grandeurs de Thierry Breton ➡️ Fortement endetté, le fleuron technologique français, qui assure nombre de services informatiques à l’Etat, doit faire l’objet d’une scission. En cause, une gouvernance défaillante 👉 L’histoire rangera peut-être Atos au même rayon qu’Alstom ou Alcatel : celui des champions tricolores dont le démantèlement ou la disparition ont été précipités par la stratégie de ses dirigeants. En 2020, Atos était encore loué comme un discret géant de l’informatique. Aujourd’hui, le fleuron technologique français est au plus bas : il doit faire l’objet d’une scission et le devenir de certaines de ses filiales inquiète, tant elles sont sensibles sur le plan de la souveraineté nationale 🎙️ Justin Delépine, Alternatives Economiques https://lnkd.in/dmyUwVX6 👉 Atos est notamment : ✅ Le seul constructeur européen de supercalculateurs : https://lnkd.in/da_ca3Gu ☑️ Le leader mondial du contrôle-commande des centrales nucléaires : https://lnkd.in/d-J5sdin ✅ Fournisseur de produits et solutions aux forces militaires et au personnel de sécurité intérieure : https://lnkd.in/d2Ud-2eh ☑️ Leader des services numériques pour le secteur public : https://lnkd.in/di3kXcGG ✅ Partenaire informatique mondial des Jeux Olympiques depuis 2002 et des Jeux Paralympiques depuis 2008 : https://lnkd.in/dMc6KnSa

Je trouve ce document très intéressant . On voit à quel point ils sont déconnectés de la réalité, La priorité c’est l’écoute pro-active des pays en voie de développement comme le font la Russie et la Chine plutôt que d’arriver en mode colon

🏆 Merci à tous nos clients, partenaires et collaborateurs pour cette année 2023 pleine de missions passionnantes et de succès. 🎯 L'année 2024 démarre sur de bonnes bases et s'annonce toute aussi excitante! #amocis #oravis #bilan #succès #amoa #transformationdigitale #vsi #csv #digitalisation #qualité #projets #datamanagement

NON A LA FUSION IRSN - ASN Message 2 : La fluidité du système de régulation actuel a déjà été améliorée et pourrait l’être encore sans qu’il soit nécessaire de fusionner l’IRSN et l’ASN. M. Devos (ancien collaborateur de l’ASN) indique que : « L’IRSN et l’ASN sont deux organismes qui se connaissent et travaillent ensemble depuis très longtemps. Ils ont des processus de travail dont ils discutent régulièrement pour les améliorer. Il reste sûrement des améliorations possibles, mais rien ne va automatiquement résulter de leur fusion ». Un salarié de l’IRSN témoigne de la fluidité de la coopération entre l’IRSN et l’ASN : « On se coordonne, on se parle, il n’y a aucun souci de ce côté-là. Je suis très surpris d’entendre qu’il y a des problèmes à ce niveau. Ce n’est pas mon vécu de tous les jours ». M. Devos complète le propos sur la question de l’amélioration de la fluidité en identifiant plusieurs pistes : « Ce qui m’avait frappé lorsque je travaillais à l’ASN, c’est que le processus d’instruction était encombré de dossiers qui étaient d’importance mineure, parce qu’EDF tenait à avoir sur les changements qu’il faisait une bénédiction de l’ASN. C’était très lourd. Je crois que ça a été allégé depuis, mais c’est un des éléments qui mériterait d’être regardé. […] Deuxième élément de lourdeur, c’est ce que j’appelle « le sur-mesure », c’est-à-dire qu’EDF qui a de gros moyens d’ingénierie, n’hésitait pas à bâtir des démonstrations très savantes, qui étaient parfois au service du maintien en état de matériels qu’il aurait mieux valu remplacer. Tout le monde aurait gagné à dire : « Ce matériel qui présente quelques défauts, des faiblesses, pourquoi ne le remettriez-vous pas en conformité plutôt que de montrer avec des démonstrations très compliquées qu’il peut encore assurer son service ? ». Un salarié de l’IRSN souligne que « l’injonction à l’accélération portée par le projet de fusion rappelle furieusement des études d’accidents et notamment l’accident de la navette Challenger avec le mot d’ordre de la NASA : faster, better, cheaper et au bout l’explosion de la navette. Cela prend plusieurs années, il y a un délai d’incubation, mais je suis vraiment préoccupé, ma crainte est la désorganisation annoncée prépare un problème ». Ce message est issu de la table ronde sur le projet de loi de fusion de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et de l’Autorite de sûreté nucléaire (ASN), organisé le 14 novembre dernier à l’Assemblée nationale, a l’invitation de plusieurs députés.

Aux armes, salariés actionnaires ! Ne laissez pas Orange aux mains de ses destructeurs !! A l’heure où j’écris ces lignes, il est encore temps de vous présenter mes meilleurs vœux de santé, de bonheur et de prospérité. 2024 s’annonce pour Orange comme une année charnière : les nombreux projets qui ont été présentés en 2023 et dont nous avons contesté la pertinence vont entrer en phase opérationnelle, et nous allons commencer à en subir les conséquences. Alors que nous appelions la Direction à proposer un projet industriel et à lancer les chantiers de simplification qui s’imposent pour engager les personnels, nous n’avons observé qu’une politique de repli sur les activités historiques en déclin. L’avenir ne peut qu’interroger ! Ces dernières semaines, deux entreprises industrielles bien connues, Alstom et Boeing, ont été mises à genoux par leurs dirigeants, au nom de la réduction des coûts et malgré un carnet de commande plein à ras bord. Abandon des dépenses d’innovation, arrêt des investissements d’avenir, augmentation des dividendes : autant de causes à l’origine de ces catastrophes industrielles. Orange est-il en train de suivre la même voie ? Lorsque la Direction arrête sa banque, sa production audiovisuelle et sa R&D ou qu’elle transfère ses activités dans des pays low-cost, la question est légitime. Quand l’Etat est aux abonnés absents, et joue un piètre rôle d’actionnaire, Xavier Niel se comporte en véritable entrepreneur et construit un empire dans les télécoms en Europe, qui ne tardera pas à dépasser Orange. Et de surcroît, il ne le fait pas sans personnels puisque les effectifs cumulés de ses différents opérateurs frisent les 25 000 personnes. Voilà qui devrait faire réfléchir nos dirigeants actuels…   Nous, personnels, sommes le 2ème actionnaire d’un groupe dont l’ambition des dirigeants est inexistante. Nous avons la possibilité de porter l’un des nôtres au Conseil d’Administration pour porter la demande d’un véritable projet industriel. Les candidats soutenus par la CFDT, outre l’ambition de cumuler salaire mirobolant et jetons de présence annuels de 100 000 euros ont comme tête de liste une figure bien connue pour son soutien sans faille à la direction... et qui aura 68 ans à la fin de son mandat et un colistier, déjà désigné par Didier Lombard comme administrateur représentant les personnels à l’époque où c’était encore la Direction qui les choisissait… (sic)   Thierry Chatelier et Mireille Garcia (qui reverseront la totalité de leurs jetons à notre organisation) sauront assurément mieux faire entendre leur voix pour défendre un avenir qui vise à faire d’Orange la 4e couleur du drapeau français.   #CFECGCOrange