Post de CEC (Convention des Entreprises pour le Climat)

Bonjour à toutes et à tous,   Toute l'équipe pédagogique (Christine, Véronique, Alexandra, Marie-Laure, Maryline, Sandrine, Cindy, François, Cédric, Cyrille, Michaël et Bruno) vous souhaite une bonne et heureuse année 2024. Qu'elle puisse vous apporter la paix pour pouvoir la diffuser autour de vous.   Nous vous souhaitons également d'apprendre, encore et encore, y compris de vos erreurs pour continuer à grandir dans vos projets professionnels et personnels.   Nous savons qu'une des compétences clés est de prendre des décisions. Nous partageons donc notre "Poème de la décision" dans cette courte vidéo, disponible sur notre blog ...https://lnkd.in/exVCHyVy

MEILLEURS VOEUX ✨ Cher Réseau, Chères lectrices, Chers lecteurs, À l’aube du nouvel an, qui succède à une année notablement intense, dans une époque qui interroge les consciences, il me tient à coeur de souhaiter, à chacune et chacun, le meilleur. Plus que jamais fragiles, l’esprit de bonté et le besoin d’humanité nous imposent un impérieux devoir d’humilité. Une sobriété éthique face aux périls et incertitudes de notre temps. Croyant en la noblesse de la transmission, nous continuons de faire de l’activité éditoriale et le partage de contenu un axe essentiel. La rigueur, la pertinence, la profondeur en sont notre crédo. Au travers les publications, aussi variées que questionnantes, portées par l’objectif de simplification et de généralisation de notre droit, nous tâcherons à rapprocher la règle juridique du réel; offrir aux dirigeants et acteurs de l’entreprise les outils nécessaires à l’épanouissement. Et la croissance durable. En filigrane, les idées humaines et universelles irriguent le fond et s’efforcent de susciter réflexion et approfondissement. Pour cette année, nous continuons d’étendre nos interventions (accompagnement, conseil, défense, médiation, formation); mener nos missions avec conviction et enthousiasme. L'offre de formation (droit du travail, santé au travail, CSE...), en plus d’être un levier de compétences nouvelles, c’est aussi enrichissement et dialogue fécond avec les parties prenantes. Après une année 2023 qui a connu des avancées sans précédent de l’amiable, la médiation apparaît, résolument et avantageusement, un outil accessible, rapide et économe. Ce, à double titre: en prévention et en résolution des conflits. Conscient de la diversité des disciplines, tisser des passerelles interprofessionnelles est une exigence, à la fois, professionnelle et opérationnelle. Que nos clients et partenaires trouvent, ici, l’expression de notre insigne gratitude. Reconnaissance aussi à ceux qui portent, patiemment, nos projets. Parmi lesquels nos stagiaires, dévoués et passionnés. Pensées solidaires à toutes celles et tous ceux qui se battent pour la liberté, la dignité. Et la vie. Tous mes meilleurs vœux.

Carrière envisagée : enseignant Un choix qui, sur le papier, respire l'amour du partage et de la transmission du savoir. Un métier qui va bien au-delà de la simple transmission de connaissances. C'est un métier d'écoute, de patience, d'inspiration. Chacun d'entre nous a déjà trouvé son chemin grâce à un enseignant investi. Mais aujourd'hui, comment exercer cette profession avec passion quand les moyens manquent, les classes sont surchargées et la reconnaissance ne sont pas toujours au rendez-vous ? Nos enseignants, à tous les niveaux de l'enseignement public, travaillent dans des conditions déplorables. Et lorsque l'enseignement est malade, tout le pays entier est malade. Alors que quelques bâtiments d'école flambants neufs voient le jour, les espoirs des enseignants s'effritent. Ne laissons pas nos bâtisseurs d'avenir sombrer dans l'oubli national. Aujourd'hui, faisons un geste pour nos enseignants ! une petite pensée, un petit message, un geste de reconnaissance, une petite contribution pour l'amélioration de leurs conditions ... Si minime qu'il soit, ce geste fera leur journée. Merci à tous ces héros sans cape, qui ont fait de nous des hommes dignes de ce nom. ----------------------------- Je suis Diana, juriste passionné et engagée pour la bonne gouvernance, l'éducation et la protection de l'environnement

📖 Un peu d'histoire... Le centre de documentation de l'école, auquel les Alumni ont accès à vie, dispose de 320 livres anciens qui permettent de mieux saisir l'histoire de l'ISARA Lyon depuis sa création place Bellecour en 1968. Une histoire retracée récemment par une stagiaire, qui a travaillé dans les archives de La Source, dans cet article 👉 https://lnkd.in/dKBvjba5 ✒ On peut également y lire des correspondances du tout premier directeur de l'Isara, Eloi Laget, œnologue, qui co-dirigea l'ESA, L'Ecole supérieure des agricultures avant de prendre la tête de l'Isara de 1968 à 1979. En 1981, alors en retraite, il préfaçait le premier annuaire des anciens élèves. « Une Association d’anciens élèves, c’est sans doute un regard sur le passé, une amicale qui permet de maintenir les liens noués au cours de quelques années d’une vie commune, pendant laquelle on a fourni le même effort, on a vécu les mêmes inquiétudes, les mêmes impatiences, les mêmes joies. C’est aussi le prolongement de la grande solidarité, si sympathique, que l’on a connue dans la camaraderie des élèves. Mais c’est plus que cela : au-delà du passé, c’est l’ouverture de l’Ecole sur le monde pour le présent et pour l’avenir. Pour le présent, parce que chaque année, un nouveau contingent d’anciens se trouve confronté aux problèmes de l’entrée dans la vie professionnelle. Pour l’avenir, parce que vous êtes au contact d’un monde qui bouge, vous en vivez l’évolution et vous éprouvez la nécessité d’y ajuster votre formation ainsi que la formation de vos jeunes camarades qui sont en cours d’étude. Vous êtes le phare qui éclaire leur route et la route de votre Ecole. Anciens de l’Isara, vous êtes les mieux placés pour la protéger afin qu’elle éclaire les décisions de tous ceux qui, à des titres divers, ont des responsabilités dans l’Isara et qu’elle guide les pas de vos successeurs, garçons et filles qui progressent à votre suite. C’est le souhait que je forme afin que nous trouvions durant de nombreuses années, dans votre annuaire, non seulement les échos du dynamisme de votre association, mais aussi, le témoignage de l’attention vigilante que vous portez à votre institut. » 🤝🧡

Les mots prononcés ce matin à l'occasion de mes vœux aux personnels de Sciences Po Aix Chères toutes, Chers tous, …/… Loin de vouloir vous donner lecture ici d’un bréviaire des petites et grandes vertus, pour cela je vous conseille le réjouissant ouvrage de Carlo Ossola La vie simple, je souhaiterais plutôt revenir sur la formule qui figure sur notre carte de vœux institutionnelle : « Notre Monde, demain, sera ce que nous voudrons qu’il soit » ! Soyons honnêtes, A. Camus ajoutait « Mais il faut le vouloir durement et longtemps ». Au fond, je trouve que prise dans son intégralité cette citation rend tout à fait justice au parcours que notre communauté a accompli depuis 2015. Ne jamais se résigner ! Nous avons au contraire fait preuve de résolution, d’audace et de constance dans l’action. Une audace consciente et résolue qui est tout le contraire de la témérité, cette hardiesse excessive et inconsidérée, ce courage aussi grandiloquent que stérile. La constance quant à elle consiste à rester fidèle à soi, sans paroles ni exigences, la constance qui confine à la noblesse du dévouement ; que l’on songe au vieux dromadaire qui fait tourner sa noria sans fin pour extraire des entrailles d’une terre aride le fluide vital. Sisyphe a lui aussi trouvé la voie d’une forme de félicité. Rien n’est jamais vain lorsque l’on a un l’œil fixé sur un horizon d’espérance. La constance mais aussi la confiance, celle que l’on se doit à nous même. Une confiance qui se mesure à l’aune des résultats obtenus ensemble à force d’effort et de volonté portés par l’esprit d’audace et de responsabilité qui caractérise notre communauté. La confiance que nous nous devons les uns aux autres dans une société qui semble être devenue honteusement, par glissements successifs et lâcheté quotidienne, celle de la défiance (pour reprendre la formule de Michela Marzano). On voit alors à quel point la confiance est elle-même essentiellement liées à la raison et à la solidarité. La raison, facteur de tempérance, de nuance et de considération. Cette disposition d’esprit qui conduit à aller contre soi-même ; à veiller à ne pas jeter l’anathème sur celui avec lequel on est en désaccord, à ne pas ruiner sans merci le crédit et la réputation de son adversaire. La solidarité ensuite qui bat en brèche cette certitude de pacotille mais tellement dans l’air du temps selon laquelle on pourrait ne dépendre de personne, jamais. La solidarité qui désigne cette relation d’étroite dépendance unissant les uns aux autres les membres d’une communauté humaine. Cette solidarité-là entretient une relation quasi gémellaire avec la fraternité que j’ai souvent évoquée devant vous. Je nous souhaite donc de vivre, ensemble, une belle année 2024. Raisonnable, audacieuse, solidaire et fraternelle !

Chaque année, je suis épaté par l'inventivité des profs de philo qui choisissent les sujets du Bac. Les sujets 2024 viennent d'être révélés, et et tous sont d'une grande actualité, à commencer par celui-ci qui mérite de faire la une des journaux radio et télé : "L'Etat nous doit-il quelque chose ?" Quelques réponses possibles : la sécurité ? l'égalité ? des excuses ? nous laisser en paix ? et nous, que lui devons-nous, à l'Etat ? et si l'Etat c'est nous, que peut-on se devoir à soi-même ? Mais la philo, ce n'est pas seulement l'art de poser des bonnes questions, c'est l'art de problématiser et ainsi de trouver l'autre question, plus fondamentale, qui conditionne la première. Ce matin des profs de philo planchent pour Philosophie magazine, et à 12h pile nous publierons leurs corrigés sur philomag.com. C'est un rituel que nous renouvelons depuis des années, comme le Bac philo est un rituel républicain, en France et nulle part ailleurs. En ces temps de grand doute généralisé, sur la France, sur l'état de la démocratie ici et ailleurs, l'Etat nous doit au moins ceci : laisser vivre et prospérer ce grand rituel républicain, ce moment essentiel de formation des futurs citoyens, qu'est le Bac philo (et, pourquoi pas, l'ouvrir aussi aux filières pro qui en ont toujours été exclues). Le Bac philo a perdu beaucoup de plumes avec la réforme du Bac et avec Parcoursup - cette année au moins il regagne le privilège d'ouvrir le bal, avant les épreuves de spécialité. Et pour la réponse sur l'Etat, rendez-vous à 12h sur philomag.com, ou avec Martin Legros au journal de 13h de France Inter.

💡 Le bac philo, c'était ce matin! Ce rituel républicain très français doit être préservé, explique Fabrice Gerschel, fondateur de Philosophie magazine, notamment car il permet aux élèves de plancher sur des sujets ancrés dans l'actualité. 📣 "La philo, ce n'est pas seulement l'art de poser des bonnes questions, c'est l'art de problématiser et ainsi de trouver l'autre question, plus fondamentale, qui conditionne la première. En ces temps de grand doute généralisé, sur la France, sur l'état de la démocratie ici et ailleurs, l'Etat nous doit au moins ceci: laisser vivre et prospérer ce grand rituel républicain, ce moment essentiel de formation des futurs citoyens, qu'est le Bac philo (et, pourquoi pas, l'ouvrir aussi aux filières pro qui en ont toujours été exclues)." 🎙️Qu'en pensez-vous? Rejoignez la conversation en commentant le post ci-dessous.

A tous les acteurs engagés dans la passionnante aventure des Cités Éducatives, et à tous ceux qu’intéressent vraiment les questions éducatives, je voudrais suggérer d'écouter cette nourrissante conférence donnée en 2023 par Philippe Meirieu… (merci JRR !). Il y évoque la différence entre ce que proposent les robots conversationnels type chat GPT et ce que constitue une approche éducative au sens fort. Au-delà du grand intérêt de sa déconstruction subtile de leur rationalité limitée, il montre à quel point l’enjeu central de la pratique éducative est de susciter un désir d’apprendre qui ne peut pas être un préalable ou une condition et donc de passer de l’enrôlement à l’engagement. Il y montre comment le cœur de la pédagogie est d’ouvrir des possibles et de permettre le dépassement par la confrontation et le collectif. De permettre au sujet de découvrir ce qu’il ne savait pas de lui-même…et de permettre une articulation entre contingence et liberté, qui participe au refus de l’essentialisation et de l’assignation. Nombre de ses remarques résonnent profondément avec la réflexion de ceux qui cherchent, dans des contextes urbains bien dégradés et dans lesquels ce qu’on appelle le « droit commun » ne cesse de se dérober, à poursuivre l’œuvre éducative dans ce qu’elle a de modeste, d’obstiné et dans ce qu’elle continue à réussir en termes d’ouvertures pour les élèves et les jeunes. Il y pointe aussi l'écart qui découle du fait que les institutions s’adressent à des usagers / citoyens et non à des usagers / clients de services en pointant la dérive constante qui va dans ce sens, dans l'offre éducative et dans d'autres domaines. Et il y a évidemment un lien très fort avec ce qui vit le secteur social et médico-social dans le cadre de la sanitarisation de son pilotage et de son contrôle qualité par la HAS dont nous avons parlé avec Gilbert Berlioz (cf post récent). Merci monsieur Meirieu pour cet engagement qui est le votre depuis longtemps.

Il y a une semaine, j’ai eu le plaisir d'assister à la cérémonie de remise des certifications de l'Académie des Minis, un programme organisé par une grande amie et professionnelle dévouée. Bien que je suive de loin ce programme depuis trois ans, c'était la première fois que je participais à la cérémonie, et pour moi, qui apprécie les initiatives pour les enfants et les entreprises féminines, ce fut une belle expérience. Ce qui distingue l'Académie des Minis des autres programmes pour enfants, c'est son approche unique. Contrairement aux cours de vacances traditionnels, ce programme se concentre sur des aspects tels que l'acquisition de bonnes manières, le développement de la prise de parole en public, la tenue en société, et bien plus encore. Marinette Chantal AKLOBO l’organisatrice, et son équipe ne se contentent pas d'enseigner des compétences ; ils inculquent des valeurs fondamentales qui formeront la base du futur leadership de ces jeunes. Deux points m'ont particulièrement marqué au cours de cette expérience. Premièrement, nos enfants ne deviennent pas "plus cons" avec le temps ; au contraire, avec les bons outils et le bon encadrement, ils montrent un potentiel incroyable et une soif d'apprendre qui inspire. Deuxièmement, il y a encore de l'espoir pour l'avenir, car des programmes comme celui-là montrent que nous pouvons encore façonner des générations de jeunes bien préparés à affronter les défis du monde moderne. En tant que spécialiste en marketing et communication, cette expérience me ramène également à l'importance de l'éducation alternative. Les compétences sociales, la confiance en soi et la capacité à s'exprimer sont autant de qualités que nous recherchons chez les futurs leaders et professionnels. De plus, ces compétences sont cruciales non seulement pour le développement personnel mais aussi pour le succès dans le monde des affaires et la communication. Je crois d’ailleurs que les entreprises gagneraient aussi à miser sur ce type de programmes en investissant dans la formation de leurs employés sur des soft skills. Cela n'a l'air de rien, mais il y a toujours une grande différence entre une personne lambda et celles dont les compétences personnelles sont affermies. En attendant, l'année prochaine, je vous rappellerai d'inscrire vos enfants à cette excellente académie qui se déroule désormais à guichets fermés. Hamid,

🗓️Aujourd’hui c’est la rentrée de l’année civile. 🎆 Une date clé qui permet : - De faire le point de l’année passée ⏪📝 - De poser des objectifs sur l’année suivante (appelons les au hasard « bonnes résolutions » 😉) 🎯 Sur l’année passée, les mots qui me viennent à l’esprit sont : apprentissage, reconnaissance et inspiration J’ai passé 2023 à m’enrichir sur le mode Produit, à apprendre et m’inspirer de beaucoup de vos posts cher réseau autour du produit et/ou de l’IA (je pense à Victor Billette de Villemeur, Marie Fontaine ou encore Stephane Delbecque et je vous remercie de vos publications récurrentes 🙏🏼 je me nourris de ça 😁) Sur les 12 mois qui se profile, posons des objectifs avec ambition mais mesuré afin d’être réaliste et tenter de réussir 🎯🔥💪🏼 - Continuer à m’inspirer de vous et vos contenus 💡👍🏼 - Avancer sur tout ce qu’on peut faire autour de l’IA conversationnelle en l’intégrant de manière systémique et industrielle dans nos usages et en s’accommodant des SI existants (Jarvis et Tony Stark n’ont qu’à bien se tenir 🤖🦾) - Tenter de m’inspirer de vous afin de poster d’avantage cette année 📩✍️ Je vous souhaite cher réseau, d’être l’acteur de votre année, mais aussi de faire preuve de créativité. Bonne et heureuse année « Cré-Active » à tous.