Nos éleveurs sont très attentifs au bien-être de leurs animaux et soucieux d’améliorer leur espace de vie. Un bel exemple d'aménagement d’aires de vie extérieures chez un de nos producteurs caprins, que nous sommes fiers de vous partager en vidéo ! Crédit: Apyfilm #eleveurschevre #elevagecaprin #sevre&belle #eleveursengagés
Post de Laiterie Terre de Sèvre
Plus de posts pertinents
-
[REPORTAGE D’ÉLEVEUR] 🌟 Dans cette vidéo, voici l'histoire de Guillaume qui a acheté et rénové des poulaillers. Il a su transformer les défis en opportunité. 🐔💼 Découvrez les difficultés rencontrées lors de l'achat et de la rénovation de ses poulaillers, comment il a surmonté chaque obstacle. 🛠️💪 Des poulaillers qui offrent un environnement optimal pour ses animaux et un modèle de durabilité pour l'élevage Français. 🌱🏡 Vous avez un projet ? Éleveurs, futurs éleveurs n'hésitez pas à nous contacter ! 🐥 #huttepainbretagne #volaillefrançaise #fierdenoseleveurs #natureeleveurs
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
[Viande bovine et circuits courts 🤝🥩] "Près d'une exploitation sur quatre vend en circuit court" ▶ C'est le #RA (Recensement Agricole) qui le dit ! Les alternatives aux filières longues se développent, partout en France. ▶MAIS on dispose encore de peu de références techniques et économiques sur ces systèmes. ✅ Aujourd'hui, découvrez le portrait d'une exploitation en Isère, suivie dans le cadre du Réseau Thématique d'#INOSYS "Circuits de proximité - produits carnés". L'éleveur de la ferme Guillaud Clément a choisi de développer l'activité de vente en circuit court, à partir de 2019. Il vend aujourd'hui une quarantaine d'animaux : 👨🌾en direct à la ferme 🚶♀️au marché 🤝à des supermarchés 🥩à des coopératives d'éleveurs. Comme souvent, c'est une activité qui prend du temps à l'éleveur... Mais dont il est explique être très satisfait. Elle lui permet de développer du #contact avec les consommateurs, de leur expliquer comment il élève ses animaux. Retrouvez son #témoignage, et les autres témoignages des éleveurs suivis dans le cadre de ce #RéseauThématique. Affaire à suivre ! https://lnkd.in/ew9vB6sj : mots clés "circuits de commercialisation" #circuitscourts #viandebovine #INOSYS Sarah Dupire
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Il lève des millions d’€ pour vendre des poissons sur internet. Pêcheur depuis l’enfance, Charles Guirriec s’est vite rendu compte du problème de la pêche intensive et a pensé à un moyen pour l’endiguer… En se baladant dans un magasin, il tombe sur des paniers de légumes en circuit court et se dit que ce serait génial d’avoir ce principe pour les produits de la mer. Mais le déclic de Charles est venu un hiver, quand il a ramené 80 kilos de coquilles Saint-Jacques à ses amis de Paris, qui lui en redemandèrent littéralement 5 fois plus pour le Noël suivant. À partir de là, Charles sait qu’il tient quelque chose. Il achète alors une camionnette réfrigérée et lance sa start-up Poiscaille. Le but est de faire de la pêche éthique et durable en proposant du bon poisson, frais, local, pêché il y a moins de 3 jours. Pour limiter le problème de la surpêche et aussi la pollution, les pêcheurs sont mieux rémunérés, environ 30% de plus. Grâce à cet avantage financier, ils ont moins besoin d’aller en mer et de pêcher des quantités trop importantes de poisson. Pour mener à bien cette aventure il s’associe également avec Charles Braine, un pêcheur engagé et reconnu pour avoir monté l’association “pleine mer” et avoir travaillé avec WWF notamment. (J'ai eu la chance de le rencontrer au sein de l'association Les Nouvelles Voix ;)) Cette approche respectueuse de l’environnement a su trouver son public vu qu’en 2022, le service comptait déjà plus de 20 000 abonnés. Aujourd’hui, Poiscaille c’est : - Une levée de fonds de 8 millions d’euros en 2022 - Plus de 7 millions d’euros de chiffre d’affaires - 1 600 partenaires partout en France - Plus de 240 pêcheurs associés au projet L’entreprise pense se développer à l’étranger, et grâce à son concept, des centaines d’espèces de poissons pourraient être préservées partout dans le monde. #startup #impact #entrepreneuriat -- PS : chaque semaine, je partage des histoires d’entrepreneurs à impact qui changent le monde. Pour ne rien louper, ça se passe 👉 sur mon profil.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Au cœur de la Drôme, un projet de mégapoulailler géant fait couler beaucoup d’encre et soulève les passions. La préfecture vient de donner son feu vert à l’extension d’un élevage de poulets à Peyrins, petit village de 2700 âmes. La capacité passerait ainsi de 30.000 à 142.800 volatiles, soit presque cinq fois plus. Une décision qui passe mal auprès des riverains et des défenseurs de l’environnement, bien décidés à contre-attaquer. Un mégapoulailler de 142.800 poulets qui ne passe pas Porté par l’entreprise Duc, géant du poulet industriel, ce projet d’envergure prévoit de faire passer la capacité de l’élevage de Peyrins de 30.000 à 142.800 poulets. Des chiffres vertigineux qui choquent riverains et défenseurs du bien-être animal. Car derrière ces volailles se cachent des conditions d’élevage plus que douteuses : Une densité moyenne de 21 poulets par m2 Aucun accès à l’extérieur pour les animaux 93% des élevages ont une capacité inférieure à 50.000 têtes en France Pour L214, association de défense des animaux, ce mégapoulailler est tout simplement « une aberration pour les animaux ». Dans son viseur, les conditions de vie déplorables imposées aux poulets, entassés dans des bâtiments surpeuplés sans jamais voir la lumière du jour. La souffrance animale semble ici poussée à son paroxysme au nom de la rentabilité. La préfecture donne son feu vert malgré l’opposition Si la préfecture affirme avoir pris en compte les réserves exprimées par les opposants lors de l’enquête publique, avec des « prescriptions particulières », cela est loin de convaincre. L’arrêté d’autorisation mentionne bien un encadrement de l’usage de l’eau, l’interdiction de construire à moins de 100m des habitations ou encore une limitation des nuisances sonores. Mais sur le fond, rien ne change : la capacité d’accueil explose et le bien-être animal reste le grand absent. C’est aberrant. On va étudier ce que l’on peut faire. Philippe Barneron, maire de Peyrins Du côté du village, c’est la consternation. Le maire Philippe Barneron ne décolère pas et craint de futures pollutions des cours d’eau. Il avait d’ailleurs pris les devants en juillet en promulguant deux arrêtés interdisant toute nouvelle construction. L214 compte de son côté déposer un recours devant le tribunal administratif de Grenoble. La bataille juridique ne fait que commencer. L’élevage intensif en question Au-delà de Peyrins, c’est tout le modèle de l’élevage industriel qui est pointé du doigt. Car ce projet est loin d’être un cas isolé. Si seulement 7% des élevages de volailles en France dépassent les 50.000 têtes, la tendance est à l’agrandissement pour rester compétitif face aux géants européens et mondiaux. Un coup de projecteur édifiant sur les dérives d’une agriculture intensive et productiviste, où l’animal n’est plus qu’une variable d’ajustement. Alors que la demande sociale pour plus de bien-être animal et de respect de l’environnement n’a jamais été aussi forte, ce mégapoulailler appara...
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
[Rencontre inspirante : Entretien avec les propriétaires de la Ferme aux Canards de Barbarie🦆] Nous avons récemment rencontré Viola et Mika, les propriétaires de la SCEA Jaussely Foglia, plus connue sous le nom de la ferme aux canards de Barbarie, située à Viviers-lès-Lavaur dans le Tarn (81). Dans cette exploitation à taille humaine, le bien-être animal est au cœur de leur démarche. Le canard de Barbarie, élevé avec soin, refuse toute pratique de gavage industriel, ce qui se traduit par des produits d'une très grande qualité. Tous leurs produits sont vendus directement au consommateur, reflétant ainsi leur engagement en faveur d'une agriculture respectueuse et responsable. En plus des canards, Viola et Mika élèvent des volailles, des agneaux et pratiquent la culture de céréales en agriculture biologique. C’est notamment avec ces céréales qu’ils nourrissent leurs animaux. Depuis l'année dernière, ils ont lancé "La Mondine", une guinguette estivale sur leur exploitation, offrant des plats préparés à partir des produits locaux et de la ferme. Nous leur avons présenté notre projet, la plateforme CoWorker Service qui vise à mettre en relation les agriculteurs en recherche de main d’œuvre avec des étudiants motivés. Leur avis très encourageant et leurs conseils ont été précieux pour nous. En effet, recueillir les avis de nos futurs utilisateurs nous permet d'ajuster la plateforme afin qu'elle réponde au mieux aux besoins de chacun. Viola est emballée par l'idée et envisage d'utiliser la plateforme pour différents besoins, dont certains qui seraient adaptés aux étudiants. Par exemple, ils pourraient s’occuper des animaux sur la ferme quand le couple a besoin de s’absenter. « On arrive quand même à partir en vacances une à deux fois par an pendant une dizaine de jours par contre on doit toujours avoir quelqu’un à la maison qui habite là ou qui vient plusieurs fois par jour donc on aimerait trouver quelqu’un à qui ça convient. Malheureusement on doit souvent forcer nos amis à le faire car on ne trouve pas autrement. Il faut nourrir les brebis matins et soirs et s’occuper des chiens. Quand on part sur des foires on a aussi besoin de quelqu’un pour nourrir à notre place. » Nous remercions Viola et Mika pour le temps qu’ils nous ont accordé et nous sommes ravies de partager avec vous notre rencontre ! 🌱 #AgricultureResponsable #FermeLocale #agriculteurs
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Tours s'engage un peu plus pour le bien-être animal. Alice Wanneroy, première adjointe au maire de Tours, a signé la charte ETICA de Welfarm, une association qui œuvre pour une meilleure prise en compte du bien-être des animaux. La Ville de Tours s’engage désormais à proposer autant que possible des aliments issus des meilleures pratiques en matière de bien-être animal et ce, à toutes les étapes de production : élevage, transport, abattage. Welfarm accompagnera la Ville pour l’approvisionnement de tous ses établissements de restauration collective. L’expertise de l’ONG permettra aux professionnels de la restauration collective de déterminer quels labels et signes de qualité contribuent à un niveau de bien-être animal satisfaisant. Ils pourront aussi intégrer davantage de critères de bien-être animal dans leurs appels d’offres. « La commande publique est un levier important pour favoriser des pratiques d’élevage plus respectueuses des animaux et sensibiliser les citoyens à une consommation plus responsable de produits animaux » explique le directeur général de Welfarm. Avec cette signature, la Ville de Tours renforce ses engagements pour une alimentation plus respectueuse de l’environnement. Les objectifs de la loi Egalim (qui demande de « tendre » vers 50 % de produits de qualité, dont 20 % de bio) sont dépassés puisque Tours propose 53 % de produits de qualité, dont 35 % de bio. La Ville propose également du bœuf label Rouge de Touraine ou encore des œufs coquille 100 % bio. Elle a aussi intégré un critère de préservation du bien-être animal pour l’attribution du marché de restauration collective. La signature de cette charte valorise et officialise l’engagement durable de la ville pour la prise en compte du bien-être animal dans ses approvisionnements en restauration collective. Tours pourra encore bénéficier des conseils de Welfarm lors du renouvellement futur de ses marchés, afin, notamment, d’atteindre ses objectifs de 30 à 50 % de viandes et produits laitiers bio d’ici à 2026. Tours devient ainsi la 5ᵉ ville française à adhérer à la démarche ETICA de Welfarm. #Engagement #BienÊtre #Animaux
Signature de la charte ETICA de Welfarm
https://www.tours.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Fondatrice de LAPLAINE, le cuir précieux d'autruche français | Créatrice de NILAU, marque de Haute Maroquinerie
Dans mon domaine, il faut prendre le temps. Pourtant, il ne me faut qu’une seconde pour tracer le chemin parcouru par notre cuir d’autruche. Je vous explique : Chaque peau que nous revalorisons chez LAPLAINE provient directement de notre élevage d'autruches en Isère, où ces grands oiseaux sont élevés pour leur viande. En plus de maximiser l'utilisation de chaque ressource de notre exploitation (et de contribuer à réduire le gaspillage), nous maitrisons notre chaine de production avec le plus grand soin, en passant par le bien-être animal et la qualité finale. Mais savez-vous ce qui rend nos peaux encore plus spéciales ? C'est la courte distance parcourue entre notre ferme, la tannerie et les ateliers : se trouvant chacun dans un rayon de seulement 180 kilomètres, nous pouvons garantir une traçabilité totale de nos produits, des parcs à votre main. Finalement, le vrai luxe ne serait-il pas de connaître l'origine des produits, de comprendre leur histoire et leur impact sur notre planète ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🐮 Ferme des 3 000 bovins : arrêtez l'escalade ! ➡️ https://lc.cx/-92AAJ Après la « ferme des mille veaux », le Limousin s'apprête à accueillir un nouveau projet de gigantisme agro-industriel, prévoyant d'engraisser pas moins de 5 000 bovins par an, dont 3 100 simultanément. Vous pouvez vous opposer à cette aberration environnementale et agricole, en participant à l'enquête publique jusqu'au 11 avril 2024 ⚠️ Une telle concentration d'animaux (la plupart en bâtiments, quelques centaines au pré) donnera lieu à une énorme consommation d'eau, à une concentration des déjections polluantes et à une pression insoutenable sur les milieux naturels – sans oublier les nuisances sonores et olfactives pour les riverains, ni les conditions intolérables pour les animaux. 🔗 Participez à l'enquête publique jusqu'au 11 avril inclus, en envoyant votre avis au commissaire-enquêteur : https://lc.cx/-92AAJ 👉 Pour vous aider à formuler votre avis, nous vous proposons un texte-type, à ajuster selon votre personnalité (plus les contributions sont distinctes, plus elles sont prises en compte) : https://lc.cx/RypXDD
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La différence entre les conditions d'élevage des poulets 🇺🇦 et 🇫🇷 ? En réalité, dans les deux cas, les animaux sont entassés dans d'immenses hangars, sans accès à l'extérieur. Ils subissent des densités extrêmes similaires. Contrairement à ce qu'on veut nous faire croire, les poulets français ne sont pas mieux traités. En France, l'élevage intensif est même majoritaire et concerne 83% des poulets tués ! Signons la pétition pour que LDC Groupe, leader de l'élevage intensif, mette fin aux pires pratiques d'élevage et d'abattage des poulets ! 👉 LDC.stopcruaute.com #poulet #elevageintensif #viande
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
[ Élevage ] Si nos Volailles Fermières des Landes IGP et Label rouge ont un goût et une saveur si uniques, c'est parce qu'elles sont choyées dans un environnement naturel et préservé. A l'abri et en sécurité la nuit dans les Marensines (petites cabanes déplaçables), elles sortent à l'extérieur dès les premières lueurs du jour et profitent d'un terrain de jeu sans limite : à l'ombre des pins ou des fougères, elles picorent la biodiversité à leur disposition dans le sol. Un élevage lent en totale liberté est un critère primordial du cahier des charges du Label Rouge, une assurance pour le consommateur de retrouver un goût incomparable et une qualité de viande irréprochable.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
1 178 abonnés