Post de Coopérative Biocoop

🛑 8 Français sur 10 inquiets des conséquences de l'utilisation des pesticides de synthèse sur la qualité de l'eau, la biodiversité, la santé des agriculteurs et leur santé !

😍 La 19ème Semaine Pour les Alternatives aux Pesticides (SPAP) se déroule du 20 au 30 mars, avec près de 50 partenaires nationaux et internationaux, et des centaines d’organisateurs locaux. Cet événement, coordonné par Générations Futures, promeut la transformation de l'agriculture vers l'agroécologie et la sortie des pesticides de synthèse. La #SPAP vise à informer sur les risques des pesticides, promouvoir des alternatives saines et mobiliser un réseau diversifié autour de la santé et de la biodiversité. Des événements variés sont programmés, avec des ressources et outils disponibles pour l'organisation et la communication, y compris un concours artistique et des défis spécifiques. Face aux menaces sur le plan Ecophyto et l'urgence sanitaire et environnementale, l'initiative appelle à une action collective pour démontrer la possibilité d'une agriculture sans pesticides de synthèse. Les relais de Générations Futures organisent de très nombreux événements à découvrir sur le site de la SPAP et sur le site de Générations Futures ! https://lnkd.in/ePZM3XA8 LPO France Greenpeace France Noé Justice Pesticides Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Fédération Nationale des Jardins Familiaux et Collectifs Coopérative Biocoop Bio Consom'Acteurs (BCA) Secrets Toxiques LÉA NATURE  FRENE Médecins du Monde France Nature Environnement Groupe ECOCERT La Mutuelle Familiale Solagro Eau et Rivières de Bretagne Humanité et Biodiversité Union nationale des CPIE

En Bretagne, le CNRS aide des agriculteurs à supprimer les pesticides pour protéger l’eau 💧 Pour aider les agriculteurs à s’orienter vers une production réduite ou affranchie de produits phytosanitaires de synthèse (PPS), le CNRS a lancé, en ce début d’année, un projet collaboratif avec le Syndicat Mixte du Grand Bassin de l’Oust, visant à proposer des solutions alternatives et innovantes sur le territoire Centre-Bretagne. Pourtant néfastes pour l’environnement et la biodiversité comme la santé humaine, les intrants chimiques sont aujourd’hui encore massivement utilisés dans les pratiques agricoles industrielles. Autour de nous, tout, ou presque, en contient : l’eau, les fruits et légumes, dont la contamination aux résidus de pesticides PFAS a triplé en 10 ans, les produits boulangers, qui en contiennent à 90%, ou encore les vignobles, qui font peser le risque de leucémies sur les enfants vivant à proximité. La réduction, et, à terme, l’abandon de l’utilisation de ces produits phytosanitaires de synthèse (PPS) est un enjeu majeur de santé publique et environnemental, et une urgence d’autant plus tangible dans un contexte de réchauffement climatique. Les sols agricoles, appauvris par ces biocides, perdent leur capacité d’adaptation face aux sécheresses et catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes. La suite de mon article à retrouver sur La Relève et La Peste 🌿

Surtout ne pas dire "bio". Lors de la passation de pouvoir entre Marc Fesneau et Annie Genevard au ministère de l'Agriculture, ces deux affidés de la FNSEA ont rivalisé de superlatifs sur la "production", sur l'importance de l'export, sur la crise des agriculteurs qu'ils avaient entendu (en supprimant eco phyto). Mais aucun des deux n'a prononcé le mot "bio". Comme s'ils avaient joué à Taboo.... C'est dommage car il paraît qu'il faut rétablir les comptes publics et le bio ne pollue pas les cours d'eaux contrairement au "conventionnel" qui nous coûte entre 6 et 8 milliards par an pour enlever les pesticides de synthèse de ce qu'on boira (et vous noterez que ça ne suffit pas, puisqu'il reste des résidus). Sur les comptes publics, on ajoutera que le coût des cancers liés à l'alimentation "conventionnelle" ou les leucémies pédiatriques liés à des exploitations agricoles pesticidées près des écoles, c'est aussi un gros coût pour la collectivité qu'on s'épargne avec la bio. Et c'est aussi en milliards. C'est dommage parce qu'il paraît qu'on vise la souveraineté et que la bio, beaucoup plus diverse, nous permet de limiter les importations. C'est dommage parce qu'il paraît que le dérèglement climatique ne compte pas s'arrêter malgré l'arrivée de Michel Barnier et que la seule agriculture qui assure la qualité des sols sur le long terme quand le conventionnel les appauvrit, qui recrée de la biodiversité quand le conventionnel la tue (et on le sait depuis 1962 et "Printemps silencieux" de Rachel Carson) qui consomme moins d'eau, qui s'adapte mieux aux aléas climatiques, c'est celle qui fait avec la nature plutôt que d'être en guerre contre elle avec l'allié chimique.

C'est dommage car il paraît qu'il faut rétablir les comptes publics et le bio ne pollue pas les cours d'eaux contrairement au "conventionnel" qui nous coûte entre 6 et 8 milliards par an pour enlever les pesticides de synthèse de ce qu'on boira (et vous noterez que ça ne suffit pas, puisqu'il reste des résidus). Sur les comptes publics, on ajoutera que le coût des cancers liés à l'alimentation "conventionnelle" ou les leucémies pédiatriques liés à des exploitations agricoles pesticidées près des écoles, c'est aussi un gros coût pour la collectivité qu'on s'épargne avec la bio. Et c'est aussi en milliards.

A Paris, ce mercredi en tant que Paysanne Bio du GAB29 et Présidente de la Maison de l' Agriculture Biologique avec la FNAB pour défendre la Bio et discussions, échanges avec les Parlementaires, notamment Sandrine Le Feur, députée dans le Finistère et paysanne bio à côté de Morlaix. 𝗟𝗲𝘀 𝗯𝗶𝗼 𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗲́𝘀 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮𝘂 𝗿𝗲𝗰𝘂𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘅𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝗼𝗹𝗲 📣 Aujourd'hui plus de 300 personnes étaient réunies avec la FNAB Place Edouard Henriot à Paris pour rencontrer les parlementaires et leur demander de soutenir les filières #bio. Plus de 40 députés et sénateurs se sont joints au cortège, composé des agriculteurs et agricultrices #bio du réseau FNAB, accompagnés de Greenpeace France, La Confédération paysanne, CIWF France, Sne-Fsu Biodiversité, Office français de la biodiversité , France Nature Environnement, le Modef, Les Amis de la Terre France , Générations Futures, Scientist Rebellion, SNETAP-FSU, Bio Consom'acteurs... Merci à tout le monde pour votre présence et votre soutien ! ✊ 𝗟𝗮 𝗙𝗡𝗔𝗕 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗹𝗲 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗲𝘀𝘂𝗿𝗲𝘀 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 pour maintenir la dynamique de transition agroécologique tout en protégeant le #revenu des agriculteur et agricultrices : 👉 Un plan d’urgence de 𝟮𝟳𝟭 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝘂𝗿𝗼𝘀 : c’est le montant chiffré conjointement par toutes les organisations agricoles, et qui avait été voté à l’Assemblée Nationale, pour maintenir les 60 000 fermes bio en bio et les aider à passer la crise économique ; 👉 La revalorisation des aides PAC pour les agriculteurs bio via 𝘂𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗺𝗲 𝗮̀ 𝟭𝟰𝟱€/𝗵𝗮/𝗮𝗻 pour assurer la rémunération des services environnementaux qu’ils rendent ; 👉 Un vrai plan d’action pour 𝗿𝗲𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗲𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́ avec un coup de pouce anti inflation pour les consommateurs ; 👉 Le 𝗺𝗮𝗶𝗻𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗺𝗯𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀 : la transition agroécologique ne sera possible que si elle est encouragée, elle ne peut pas être supportée uniquement par le monde agricole. Le plan #Ecophyto est un plan d’incitation à la transition, pas un plan d’interdiction, le suspendre est un chiffon rouge.

La stratégie Écophyto 2030 enfin publiée Maintes fois reporté, le nouveau plan Écophyto – une "stratégie", désormais – vient enfin d’être publié. Il entérine le changement d’indicateur, réclamé par le monde agricole, pour juger des progrès réalisés en matière de réduction de la consommation des produits phytopharmaceutiques. Un "changement de thermomètre" vertement décrié par les associations environnementales. Entre autres dispositions, le plan précise également les changements à venir pour protéger les captages d’eau "prioritaires et sensibles". 👉 https://lnkd.in/e9i6Pjxq

« Couvrir le risque de changer » nous a dit Christian HUYGHE, Directeur Scientifique INRAE en conclusion du 1er séminaire ARRUPVICO sur l’assurabilité du non-recours aux usages phytosanitaires. A l’issue des débats, quelques conclusions personnelles en attendant les synthèses et les replays vidéo : => La couverture des risques liés aux nouvelles pratiques sera bien la nouvelle frontière à la fois de la lutte phytosanitaire et de la gestion des risques en agriculture. Pourquoi ? C'est ·      Nécessaire :       Il y a un besoin d’accompagner les agriculteurs pour accélérer l’adoption de nouvelles pratiques ·      Légitime :                         il n’est pas normal de laisser les agriculteurs seuls à assumer le risque de pertes de rendement, qui peut être important. Il faut le partager ce risque entre acteurs des filières et pouvoirs publics. ·      Réglementairement faisable :    à court terme, il faut ajouter 2 mots (« et sanitaires ») dans le Code rural pour élargir le champ de l’assurance multirisque climatique, en attendant des dispositifs ad'hoc. ·      Techniquement envisageable : au prix des incertitudes couteuses au départ mais qui se réduiront avec l’expérience. ·      Urgent, pour  faire la promotion des #biosolutions et du #biocontrôle et gérer les retraits programmés de molécules Un défi : aligner les politiques de gestion de risques et de lutte phytosanitaire (=> Marc Fesneau et Agnès Pannier-Runacher ) A terme, il faut aller vers une Assurance non conventionnelle de la transition, avec 2 finalités : 1. Expérimenter « Grandeur Nature » pour apprendre en couvrant le risque de rendement, lié aux ravageurs, à l’imperfection de nos connaissances, aux OAD et au conseils 2. Accélérer l’adoption et la diffusion de nouvelles pratiques agroécologiques Merci Christian HUYGHE et aux participants de la table ronde : Aymeric Berling (DG Agri, Commission Européenne) Gael Certain (Swiss Ré) Guillaume Chartier (FOP) Nicolas Chérel Ministère de l’Agriculture Ambre Nelet, Vitirev, Région Nouvelle Aquitaine et à tous les intervenants pour leur éclairage Xavier Reboud (INRAE, ex Pdt CSO R&I #Ecophyto II+), Marc Raynal (IFV, UMT SEVEN), Dimitri Lely & Baptiste Dubois (Groupama), David Makowski (INRAE), , Rodolphe Bigot, Amandine Cayol & Martial Phélippé-Guinvarc'h (Le Mans Université), Pablo Yepes Llano (DiagoRisk), Cecile Aubert (Bordeaux Sciences Eco), Yann Raineau (INRAE) Au plaisir d'envisager l'organisation de la session 2 en mars 2025, avec Marc Raynal, Anne-Sophie Masure et Yann Raineau avec le financement de l'Office français de la biodiversité #colza #vin #betterave .... #agriculture #agroécologie #ecophyto #risque #innovation #assurance #ARRUPVICO

Ce gouvernement ne cesse de me révolter. Stop à ses inepties constantes et dangereuses. 'Casser le thermomètre alors que la fièvre ne baisse pas'!!! C'est ce que fait le gouvernement à propos des pesticides dénoncent si justement les associations écologistes et les chercheurs scientifiques spécialisés. Attal a annoncé, mercredi 21 février la FIN de l'indicateur d'usage des pesticides français, le NODU (nombre de doses unités). Il a précisé qu'il serait remplacé par un nouvel indice, l'indicateur de risque harmonisé (HRI-1) conformément aux revendications de la FNSEA portées par son président lobbyiste!!! Pour les organisations de défense de la biodiversité et de la santé, ce soudain et partial revirement de référentiel signe la MORT du plan Ecophyto (plan national de réduction des usages de pesticides dont le NODU mesure l'évolution depuis 2008, sans inflexion majeure de leur utilisation depuis cette date. Chercheur à l' INRAE (institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement, et spécialiste français de ces indicateurs, Corentin Barbu juge SCANDALEUX l'abandon illico presto du NODU et ajoute que l'indignation est très largement partagée par la communauté des scientifiques et par les citoyens. Cette mise à l'arrêt arbitraire du plan Ecophyto est contraire à la justice, selon les spécialistes en droit de l'environnement. A qui profite le crime? La réponse est évidente! Citoyens de tout continents, boycottez les géants de l'agro industrie, qui usent de votre crédulité, de votre insensibilité et de votre consumérisme insensé pour parvenir à leur fin. Ils ne 'nourrissent' pas la planète, ils la massacre sans aucun états d'âme. LE FRIC monarque Dieu absolu de cette humanité. putride! Quel dantesque monde! ☣

Manger bien, manger bon, manger bio ! ✔ La santé humaine, ainsi que celle de la faune et de la flore, passent par la réduction de l’utilisation des pesticides en faveur de solutions plus respectueuses de l’environnement, telles que les solutions de biocontrôle. ↘ Cette transition visant à réduire les maladies et les troubles causés par la dangerosité des pesticides, représente un enjeu majeur de santé publique Les produits de biocontrôle font partie des grandes solutions acteurs du changement, contribuant à la bonne santé des utilisateurs et des consommateurs tout en respectant les réglementations pour une transition écologique plus verte 🌍 #pheromones #biocontrole #environnement #sante #fauneflore #biologique #transitionecologique #bio #santepublique #agriculture Association Biocontrôle et Biostimulation pour l'Agroécologie France Biocontrôle Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire Santé publique France IBMA - International Biocontrol Manufacturers Association Biocontrole Région Nouvelle-Aquitaine Agri Sud-Ouest Innovation Pôle Agricole et Agroalimentaire francetv info https://lnkd.in/emQNjJhB